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Par Sandra Mézière. Le 7ème art raconté avec passion depuis 2003. 4000 articles. Festivals de cinéma en direct : Deauville, La Baule, Cannes, Dinard...Critiques de films : avant-premières, à l'affiche, classiques. Actualité de romancière. Podcast.
Inthemoodforcinema continue comme chaque mois à vous faire gagner votre exemplaire de Studio Ciné Live et vous permet aujourd'hui, en partenariat avec le magazine, de remporter le n°19 qui sera en kiosques le 17 septembre.
Au sommaire de ce spécial Hollywood
Un dossier de quarante pages consacré au cinéma
américain :
- Le top 20 (basé sur les revenus et le poids sur le box-office) des fortes têtes d’Hollywood. La révélation de cette rentrée, Robert Downey Jr, n°3 du classement !
- Harry Potter est à l’honneur avec les toutes premières photos de l’épisode 7 commentées par son réalisateur, David Yates.
- Deux enquêtes spéciales de Studio Ciné Live : l’histoire des studios américains et de ce qu’il en reste et l’impact grandissant des réseaux sociaux sur le 7e art.
- Interview spéciale de deux figures féminines, Drew Barrymore et Kirsten Dunst, focus sur les réalisateurs Oliver Stone, Gregg Araki et Woody Allen avec sa leçon de cinéma.
- En tournage, Tron Legacy, premier blockbuster de 2011- Visite guidée.
Et aussi dans Studio Ciné Live :
_ Hors-La-Loi, retour sur une polémique
En exclusivité pour Studio Ciné Live, les héros du film Hors-la-loi reviennent sur ce qui a déclenché la polémique au Festival de Cannes.
_ En tournage
Studio Ciné Live décrypte l’ambiance du nouveau film de Cédric Klapisch Ma part du gâteau, … A découvrir.
_ Face aux lecteurs, Kristin Scott Thomas
C’est en toute intimité que Kristin Scott Thomas répond aux questions de quatre lecteurs de Studio Ciné Live. Une façon pour eux de réaliser un rêve et pour elle de montrer son amour pour Paris avec son nouveau film Elle s’appelait Sarah.
_ Et tous ceux qui font l’actu ciné du mois.
Elodie Bouchez, Xavier Dolan, Benjamin Biolay, Freida Pinto, Romain Gavras.
Comment gagner votre exemplaire?
Pour remporter votre exemplaire:
Envoyez un email à inthemoodforcinema@gmail.com avec, pour intitulé "Concours magazine". Le gagnant sera contacté directement. Vous avez jusqu'au 21 septembre pour participer.
1. Dîtes-moi qui figurait en couverture du numéro de mars 2010 de Studio Ciné Live.
2. Donnez-moi 3 bonnes raisons pour lesquelles vous souhaitez remporter ce numéro.
Je vous avais déjà parlé de "Hors-la-loi" à plusieurs reprises notamment à l'occasion de la projection du film dans le cadre du dernier Festival de Cannes où il était sélectionné en compétition, un de mes coups de coeur de ce festival, injustement méprisé par la critique, et victime d'une polémique qui n'avait pas lieu d'être.
Retrouvez ci-dessous mon interview de Bernard Blancan, un des acteurs principaux du film qui avait reçu le prix d'interprétation pour "Indigènes", à Cannes.
Grâce au distributeur du film Studio Canal et grâce à Cinetrafic (page Cinétrafic consacrée à "Hors-la-loi" , Cinétrafic consacre également une page aux films sur la Guerre d'Algérie) et à l'occasion de la sortie du film en salles le 22 SEPTEMBRE 2010 prochain, je vous propose aujourd'hui un concours vous permettant de remporter 10x1 places pour découvrir le film en salles. Pour gagner ces places soyez parmi les 10 premiers à répondre aux 3 questions suivantes par email à inthemoodforcinema@gmail.com avec pour intitulé de l'email "Concours Hors-la-loi" en n"oubliant pas de joindre vos coordonnées.
1. Quels sont les 5 acteurs à avoir obtenu le prix d'interprétation à Cannes pour "Indigènes"? En quelle année?
2. Par quel tristement célèbre massacre "Hors-la-loi" débute-t-il?
Grâce à Studio Canal, à l'occasion de la sortie en DVD de "Green zone" de Paul Greengrass, le 31 août prochain, j'ai le plaisir de vous proposer aujourd'hui 5 DVD du film, un film que je vous recommande vivement par ailleurs (voir ma critique ci-dessous).
Pour remporter l'un de ces 5 DVD soyez parmi les 5 premiers à répondre correctement aux questions suivantes et à envoyer vos réponses à inthemoodforcinema@gmail.com avec pour intitulé de l'email "Concours green zone" en n'oubliant pas de préciser vos coordonnées postales. Seuls les gagnants seront contactés.
1. Qu'est-ce que la "Green zone"?
2. Combien de fois et sur quels films Paul Greengrass et Matt Damon ont-ils déjà travaillé ensemble?
3.Quel est le titre du film dont l'image ci-dessous est extraite?
5.Quel jour la dernière brigade de combat américaine a-t-elle quitté l'Irak?
Avec ce septième long-métrage, Paul Greengrass retrouve pour la troisième fois Matt Damon et s'attèle également pour la troisième fois au film « historique » après « Bloody Sunday » et « Vol 93 ». Mais qu'allait donc donner cette collaboration entre le réalisateur et l'acteur qui, sous la direction de Paul Greengrass, pour la première fois n'incarne plus Jason Bourne mais l'adjudant-chef Roy Miller dans cette adaptation du livre d'enquête de Rajiv Chandrasekaran?
Pendant l'occupation américaine de Bagdad en 2003, ce dernier et ses hommes ont ainsi pour mission de trouver des armes de destruction massive censées être stockées dans le désert iraquien mais, d'un site à un autre où il ne trouve jamais rien, Roy Miller commence à s'interroger sur le véritable objectif de leur mission. C'est dans la Green zone (quartier fortifié du gouvernement provisoire irakien, des ministères et des ambassades) que se joue le sort du pays entre les mains de ceux pour qui il est un capital enjeu...
Le premier grand atout de cette nouvelle collaboration Damon/Greengrass (et disons-le tout de suite, de cette vraie réussite) c'est d'expliquer intelligemment et avec simplicité tous les ressorts d'une situation aussi explosive que complexe. Ainsi, chaque personnage incarne un point de vue sur la situation irakienne : le militaire américain qui remet en cause la position du Pentagone, l'Irakien (blessé lors de la guerre Iran/Irak et victime de ce conflit qui à la fois le concerne directement et l'ignore) qui souhaite avant tout que son pays aille de l'avant et le débarrasser des anciens acolytes de Saddam Hussein (les fameuses cartes comme si cette désolante et tragique mascarade n'était qu'un jeu), les militaires qui obéissent aveuglement au mépris des vies sacrifiées et au prétexte de l'objectif fallacieux dicté par la Maison Blanche (et pour couvrir cet objectif fallacieux), les journalistes manipulés et par voie de conséquence manipulateurs de l'opinion, le nouveau gouvernement incompétent choisi par l'administration américaine... et au milieu de tout ça, une population qui subit les conséquences désastreuses qui, aujourd'hui encore, n'a pas trouvé d'heureux dénouement.
Le film de guerre se transforme alors en explication géopolitique imagée mais n'allez pas croire qu'il s'agit là d'un film soporifique comme son sujet aurait pu laisser le craindre. Caméra à l'épaule, réalisation nerveuse, saccadée, contribuant à renforcer le sentiment d'urgence, immersion dès le premier plan qui nous plonge en plein chaos... Paul Greengrass, avec son style documentaire et réaliste (il a même fait tourner de nombreux vétérans de la guerre en Irak), n'a pas son pareil pour créer une tension qui nous emporte dans le début et ne nous quitte plus jusqu'à la fin. Côté réalisation le film lorgne donc du côté des Jason Bourne surtout que Roy Miller, tout comme Jason Bourne est aussi en quête de vérité, pas celle qui le concerne mais qui implique l'Etat dont il est censé défendre les valeurs. Matt Damon avec son physique d'une force déterminée et rassurante confirme une nouvelle fois la pertinence de ses choix.
En signant le premier film à aborder frontalement le thème de l'absence des armes de destruction massive, Paul Greengrass n'épargne personne, ni l'administration Bush ( un dernier plan sur des installations pétrolières est particulièrement significatif quant aux vraies et accablantes raisons du conflit) ni certains militaires ni les médias ne sont épargnés. Enfin des images sur une piètre vérité pour un film aussi explosif que la situation qu'il relate.
Entre thriller et film de guerre, un film prenant en forme de brûlot politique qui n'oublie jamais, ni de nous distraire, ni de vulgariser une situation complexe, ni son objectif de mettre en lumière la sombre vérité. Courageux et nécessaire. A voir absolument !
Synopsis : Ricky avait un rêve : faire de Staff Benda Bilili le meilleur orchestre du Congo. Roger, enfant des rues, désirait plus que tout rejoindre ces stars du ghetto kinois qui écument la ville sur des fauteuils roulants customisés façon Mad Max. Mais avant tout il faut survivre, déjouer les pièges de la rue de Kinshasa, chanter et danser pour s'évader. Pendant cinq ans, des premières chansons à leur triomphe dans les festivals du monde entier, BENDA BILILI nous raconte ce rêve devenu réalité.
Concours:
EDIT du 30.08: Comme le concours semble un peu difficile, tentez quand même votre chance si vous n'avez pas toutes les bonnes réponses et les participants ayant, soit toutes soit un maximum de réponses, remporteront un des lots.
Pour remporter un album (voir la bande-annonce et l'interview de Staff Benda Bilili ci-dessus si vous ne connaissez pas) ou une invitation pour 2 à voir le film au cinéma, dès sa sortie le 8 septembre, soyez parmi les premiers à répondre aux 4 questions ci-dessous (en envoyant un email à inthemoodforcinema@gmail.com et en n'oubliant pas de joindre vos coordonnées postales, avec pour intitué de l'email "Concours Benda Bilili). Les premiers à répondre correctement recevront un album et les suivants des places de cinéma.
1. Donnez-moi le nom de la langue nationale de la République Démocratique du Congo.
2.Dans quelle section du Festival de Cannes "Benda Bilili" a-t-il été présenté?
3. De quel film est extraite l'image ci-dessous?
4. Trouvez deux points communs entre le film ci-dessus et "Benda Bilili".
Suite à la projection en compétition dans le cadre du dernier Festival de Cannes du film de Xavier " Des hommes et des dieux" (voir ma critique publiée alors et ma vidéo de l'équipe du film, très émue, suite à la projection cannoise ci-dessous), je vous avait dit tout le bien que je pensais de ce film.
Grâce à France Télévisions et France 3 Cinémas (dont le film est une coproduction), je suis donc ravie de pouvoir vous faire gagner 20 places pour 2 pour voir le film en salles (il sort sur les écrans français le 8 septembre 2010).
Pour remporter ces places, rien de plus simple: soyez parmi les 20 premiers à m'envoyer un email à inthemoodforcinema@gmail.com avec pour titre "concours des hommes et des dieux", en n'oubliant surtout pas de préciser vos coordonnées postales et en répondant correctement aux deux très simples questions suivantes:
1-Quels prix "Des hommes et des dieux" a-t-il obtenu au dernier Festival de Cannes?
2. De quel tragique massacre le film est-il inspiré?
15 ans après « N'oublie pas que tu vas mourir » (pour lequel il avait obtenu le prix du jury) Xavier Beauvois est donc de retour dans la compétition cannoise. Cette fois il s'est attelé à un sujet particulièrement sensible dont il s'est librement inspiré : le massacre des moins de Tibéhirine en Algérie en 1996. Sept moines trappistes de Tibéhirine avaient ainsi été enlevés et retrouvés assassinés deux mois plus tard. Ce massacre fut d'abord attribué au Groupe Islamiste Armé avant de l'être à une bavure de l'armée algérienne (selon un militaire algérien, les moines auraient été mitraillés par l'armée croyant que leur monastère était un repère de membres du GIA). C'est Lambert Wilson qui incarne le responsable de la communauté. La terreur commence ainsi à s'installer quand une équipe de travailleurs étrangers est massacrée par un groupe islamiste. L'armée propose une protection aux moines, mais ceux-ci refusent, vivant en bonne harmonie avec leurs voisins musulmans pour qui ils sont une présence précieuse. Doivent-ils partir ? Malgré les menaces grandissantes qui les entourent, la décision des moines de rester coûte que coûte, se concrétise jour après jour...
Après « Le petit Lieutenant » et son immersion dans l'univers policier, c'est dans l'univers monastique, avec la même ferveur , que nous plonge Xavier Beauvois par le biais d'une mise en scène sobre , rigoureuse, modeste et lumineuse à l'image de l'impression qui émane de ces sept moines. Au lieu de nous tenir à distance la lenteur accompagne la montée en puissance jusqu'à une scène paroxystique sur la musique du lac des cygnes de Tchaïkovski d'une beauté redoutable. La caméra qui se resserre sur les visages, les expressions de chacun, leurs visages qui passent d'une expression de bonheur et de plénitude à celle de l'effroi à la résignation est celle, poignante, d'un grand metteur en scène. Mais il ne faudrait pas réduire ce film à cette scène qui, du début à la fin, fait preuve de ce même sens de la grâce et de l'épure.
Au-delà de l'aspect formel, c'est le message, universel et pacifiste, qui fait de ce film un sérieux prétendant à la palme d'or. C'est en effet un appel à la tolérance, à l'harmonie entre les peuples et les religions, une dénonciation de l'obscurantisme sous de fallacieux prétexte religieux, une ode au courage qui touche autant les croyants que les athées et les agnostiques. C'est aussi le portrait magnifique de 8 hommes avec leurs doutes et leurs convictions, qui donnent tout, y compris leur vie, pour les autres (sans que cela soit bien évidemment un appel au martyr, bien au contraire).
La phrase de Pascal cité par Michael Lonsdale (absolument remarquable et particulièrement ému hier soir lors de la projection officielle) : : "Les hommes ne font jamais le mal si complètement et joyeusement que lorsqu'ils le font par conviction religieuse" est plus que jamais d'actualité et malheureusement universelle et intemporelle. Le lieu n'est d'ailleurs pas vraiment précisé. Le tournage a ainsi eu lieu au Maroc et non en Algérie, pour raisons de sécurités liées à la sensibilité du sujet. C'est Michel Barthélémy, le décorateur césarisé pour « Un Prophète » qui a reconstitué le Monastère. Plutôt que de désigner des responsables, Xavier Beauvois évoque ainsi implicitement les deux thèses sur leurs morts, sur leur belle sérénité ensanglantée, leur message de paix souillé, là n'étant pas finalement le sujet.
Des hommes et des dieux : un titre finalement très laïque qui met sur un pied d'égalité les uns et les autres et dénonce ce « mal » qu'ils font au nom de leurs convictions religieuses faisant ainsi écho à la citation d'exergue du film extraite de la bible : "Vous êtes des dieux, des fils du Très-Haut, vous tous ! Pourtant, vous mourrez comme des hommes, comme les princes, tous, vous tomberez".
Impossible de ne pas parler des acteurs qui incarnent ces personnages, à la fois mystiques et si humains, humbles et grandioses , Michael Lonsdale et Lambert Wilson en tête, lequel Lambert Wilson était également le meilleur interprète et le personnage le plus intéressant de « La Princesse de Montpensier » de Bertrand Tavernier, autre film en compétition de ce Festival 2010. Tout juste remis de son opération de l'appendicite (à cause de laquelle il n'avait pu être présent pour la projection cannoise du film de Tavernier) il a assuré le spectacle hier entre baisers de cinéma à Sabrina Ouazani (qui pendant la montée des marches tenait la photo d'un comédien décédé après le tournage) et Xavier Beauvois lors du photo call, et fumant ostensiblement sur les marches .
Après le mystique « sous le Soleil de Satan », palme d'or 1987, ces hommes et ces dieux sous le soleil du Maghreb pourraient bien subir le même sort. C'est tout le mal que l'on peut souhaiter à cet hommage à ces hommes de bien, un hommage pétri de grâce. Des humains avant tout. Bref, les vrais dieux ce sont eux.
Ce n'est pas encore tout à fait la rentrée et pour la rendre moins douloureuse, dans le cadre de l'opération "1Max2Ciné par BNP Paribas" je vous offre aujourd'hui 200 contremarques (= 1 place de cinéma offerte sur présentation de la contremarque, pour une place achetée le même jour).
Le principe de la fête du cinéma destiné aux moins de 27 ans est le suivant : quand vous achetez une place le samedi, vous bénéficiez automatiquement d'une place offerte (le même jour, dans le même cinéma pour une autre séance). L'opération de la BNP consiste à vous permettre d'en profiter également le dimanche. Sur présentation de la contremarque BNP (à condition d'avoir moins de 27 ans), vous bénéficiez d'une place gratuite tous les dimanches de septembre.
Pour remporter ces places de cinéma, rien de plus simple: il vous suffit d'avoir moins de 27 ans et de remplir le widget ci-dessous. Attention cependant: les premiers arrivés seront les premiers servis donc dépêchez-vous de vous inscrire si vous voulez être certain de remporter vos places.
En septembre 2010, la Fédération Nationale des Cinémas Français lance une toute nouvelle opération de promotion qui est, pour la première fois, destinée aux jeunes spectateurs : 1max2ciné
Tous les samedis de septembre (les 4, 11, 18 et 25 septembre), une séance est offerte pour les moins de 27ans après l’achat d’une première séance au tarif habituel. Celle-ci est valable le même jour, pour un autre film, à une autre séance, dans le même cinéma (hors majoration 3D).
En s’échelonnant sur un mois, 1max2ciné représente une occasion exceptionnelle de découvrir toute la programmation de la rentrée cinématographique dans les salles obscures de l’ensemble du territoire.
BNP Paribas, partenaire exclusif des opérations de promotion de la FNCF, prolonge 1max2ciné tous les dimanches de septembre (les 5, 12, 19 et 26 septembre) en offrant plus de 300 000 contremarques de cinéma à ses clients et prospects, dont 100 000 à gagner sur www.bnpparibas.net relayé sur la page facebook (www.facebook.com/bnpparibasnet) et twitter (www.twitter.com/BNPPARIBAS_NET) à partir du 18 août 2010 (dans la limite des stocks disponibles). Ces contremarques BNP Paribas sont valables dans les salles de cinéma partout en France, selon les modalités identiques à celles de l’opération.
Pour inaugurer le retour de l’actualité sur mes blogs, et en attendant de vous détailler quotidiennement le programme du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2010 sur In the mood for Deauville (à partir de demain), en partenariat avec Orange (partenaire officiel du Festival du Cinéma Américain de Deauvillequi met en place plusieurs opérations en rapport avec le Festival, je vous en reparlerai en détails prochainement), je vous propose un nouveau concours qui vous permettra à vous aussi d’assister à ce festival dont je vous parle depuis de nombreuses années et que je vous commenterai en direct, comme tous les ans, de l’ouverture à la clôture.
Pour remporter ces pass, répondez aux questions suivantes avec pour intitulé de votre email « Concours pass Deauville » en y ajoutant la dénomination du pass pour lequel vous concourez dans le titre (premier week end, second week end, pass permanent, pass semaine 1, pass semaine 2) et dans le corps de l'email votre deuxième choix de catégorie de pass (au cas où tous les participants concoureraient pour les mêmes).
Répartition des pass (22 gagnants pour 80 pass au total) :
4 gagnants pour le premier week end ( pass samedi 4, dimanche 5- intitulé : pass premier week end)
4 gagnants pour le second week end (pass vendredi 10, samedi 11 – intitulé : pass second week end)
6 gagnants de pass permanents (pour la totalité du Festival soit 8 pass journaliers pour chacun des 6 gagnants allant du samedi 4 au samedi 11 septembre inclus- intitulé : pass permanent)
4 gagnants de pass semaine (du lundi 6 et mardi 7-intitulé : pass semaine 1)
4 gagnants de pass semaine (mercredi 8 et jeudi 9 – intitulé : pass semaine 2)
N’oubliez pas de préciser votre adresse. Les participations sans adresses seront considérées comme caduques. Les gagnants seront contactés au plus tard le 22 août. Vous pouvez participer jusqu'au 20 août. Les questions ont toutes un lien soit avec le Festival du Cinéma Américain de Deauville (cette année ou années précédentes), soit avec le cinéma américain, soit avec ce blog, soit avec les trois. Pas de panique si vous n’avez pas toutes les réponses, vous pouvez quand même tenter votre chance au cas où le nombre de gagnants trouvant toutes les réponses ne serait pas suffisant, ceux qui en auront un maximum seraient alors sélectionnés.
Question n°1: Donnez-moi les titres des 5 films suivants dont des morceaux d’affiches ont été découpés (tous ces films ont un lien plus ou moins proche avec l’édition 2010 du Festival)
Affiche n°1:
Affiche n°2:
Affiche n°3:
Affiche n°4:
Affiche n°5:
Question n°2: Trouvez les titres des 5 films américains dont les photos ci-dessous sont extraites (des films que j’apprécie donc il est possible qu’il en soit question sur le blog)
Photo n°1:
Photo n°2:
Photo n°3:
Photo n°4:
Photo n°5:
Question n°3: Trouvez les titres des 5 films suivants ET leur point commun grâce aux indices (c’est très facile si vous trouvez le point commun).
Film n°1. Indices: Ravel-Daniel-Claude
Film n°2. Indices : Pagnol-Claude pas Richard- la deuxième partie
Film n°3. Indices : Encore un Claude (comme le premier) et un titre avec un prénom en guise de nom
Film n°4. Indices Régis-Nationalité
Film n°5 Indice Bois-pâtisserie
Question n°4: En quelle année ai-je fait partie d’un jury de cinéphiles dans le cadre du Festival du Cinéma Américain de Deauville?
Question n°5: En quelle année a eu lieu le 35ème anniversaire du Festival ?
Question n°6: Citez une des nouveautés dans l'organisation du Festival 2010.
Question n°7: Ci-dessous une affiche du Festival du Cinéma Américain de Deauville a été découpée. De quelle édition s’agit-il ?
Question n°8 (facultative): Afin de départager les gagnants en cas d’égalités, dîtes-moi en 500 caractères maximum pourquoi vous souhaitez assister au Festival et/ou ce que représente le Festival du Cinéma Américain de Deauville pour vous.