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IN THE MOOD FOR NEWS (actualité cinématographique) - Page 107

  • Ce soir, à 20H50 sur Canal+, ne manquez pas "La fille du RER" d'André Téchiné: critique du film

    Ce soir, à 20H50 sur Canal+, ne manquez pas "La fille du RER" d'André Téchiné.

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    Un film d’André Téchiné est pour moi toujours un rendez-vous incontournable, pourtant le sujet de son dernier film inspiré d’un fait divers (En juillet 2004, une jeune femme avait inventé avoir été victime d’une agression antisémite dans le RER. Son terrible mensonge avait provoqué un emballement médiatique et politique sans précèdent, avant même d’avoir été confirmé) m’avait laissée perplexe, d’abord parce qu’il s’agissait finalement d’un sujet assez mince pour en faire une fiction, ensuite parce que le sujet était plutôt sensible… C’était oublier l’immense talent de cinéaste et de « psychologue » d’André Téchiné, sa capacité à transcender et sublimer toute histoire, et à mettre en scène la confusion des âmes et des sentiments.

    Jeanne (Emilie Dequenne), vit dans un pavillon de banlieue plutôt coquet bercé par le bruit de la circulation et du RER, avec sa mère, Louise (Catherine Deneuve). Les deux femmes sont inséparables et s’entendent bien.  Louise garde des enfants et Jeanne cherche un emploi sans trop de conviction préférant passer et perdre son temps à déambuler en rollers. C’est lors de l’une de ces déambulations qu’elle rencontre Franck (Nicolas Duvauchelle), l’étrange et direct lutteur qui rêve de devenir champion olympique. Un jour, Louise tombe sur une annonce  d’emploi d’un cabinet d’avocats, celui de Samuel Bleistein (Michel Blanc), qu’elle a connu  dans sa jeunesse. Jeanne ne sera pas embauchée mais le terrible mensonge qu’elle va échafauder va la faire rencontrer de nouveau Bleistein, et sa famille : son fils Alex (Mathieu Demy), sa belle-fille Judith (Ronit Elkabetz), et son petit-fils Nathan (Jérémy Quaegebeur ).

    Le film est une adaptation de la pièce de Jean-Marie Besset, «  RER », lequel a également signé les dialogues du film de Téchiné. Le scénario, signé André Téchiné, a aussi été adapté par Odile Barski.

    Comme souvent chez Téchiné, il y a cette troublante lumière d’été (magnifique photographie de Julien Hirsch) qui inquiète plus qu’elle ne rassure, qui intrigue autant qu’elle fascine. Ici, elle reflète le mystère de l’insaisissable Jeanne. Sa fragilité aussi. Téchiné ne justifie pas son acte mais chaque seconde du film, tout en douceur, sans gros plans didactiques ou tapageurs, esquisse le portrait de cette jeune femme et les circonstances qui vont la conduire à un terrible mensonge dont les conséquences vont dépasser tout ce qu’elle aurait pu imaginer. D’ailleurs elle n’a probablement rien imaginé ou vraiment planifié. Jeanne ment comme elle respire. Souvent sur ce qu’elle est. Pour qu’on la regarde, pour qu’on la considère, pour se sentir exister. Dans le regard de cet avocat et sa belle-fille qui la regardent avec un certain dédain. Dans le regard de sa mère qui désapprouve sa liaison avec Franck et voudrait qu’elle trouve un travail digne de ce nom. Dans le regard de Franck qui va violemment se détourner d’elle. Et puis Jeanne agit aussi sur un coup de folie, réagissant à la violence de ce désamour, sans vraiment réfléchir, comme lorsqu’elle déambule à rollers, et glisse sur le temps qui passe, et ses mensonges qui défilent. La caméra fébrile d’André Téchiné accompagne judicieusement son glissement et son chaos intérieurs, portés par une bande originale aussi envoûtante qu’inquiétante (musique originale de Philippe Sarde, musique de Bob Dylan –voir extrait ci-dessous-).

    Et puis ce fait divers n’est finalement qu’un prétexte. Un prétexte pour de nouveau évoquer des rendez-vous manqués, des  êtres égarés dans ces "temps qui changent", aussi socialement installés semblent-ils (comme Samuel) ou aussi libres semblent-ils (Catherine Deneuve, de nouveau étonnante, et parfaitement crédible, magnifique scène où elle observe Samuel sans oser le rejoindre). Des êtres en quête d’amour et  d’identité (parallèle entre Nathan qui refuse une identité juive que Jeanne a endossée et s’est inventée). Des êtres en quête de repères dans une société où on communique sur msn, où la vie va aussi vite qu’une déambulation à rollers, où on voit sans regarder.

    Dans le regard, tellement sensible et empathique de Téchiné, Jeanne est une victime de l’emballement médiatique, de la politique qui cherche des justifications, même fallacieuses, à son action, d’une société intransigeante et impatiente qui broie les êtres égarés et plus fragiles. Reste ce terrible mensonge qui risque de banaliser les actes similaires qui, malheureusement, continuent d’exister. En témoigne la triste et périlleuse  banalisation des propos d’un « homme politique » qui, il y a quelques jours encore, dans la consternante quasi indifférence générale  assimilait à un « détail » l’horreur absolue du 20ème siècle. Cela témoigne aussi de cette société que Téchiné montre ici et qui qui zappe d’une information à une autre, sans forcément prendre le temps de s’arrêter, voire de s’indigner.

    En cinquante jours, André Téchiné a signé un film, à nouveau, d’une étonnante modernité portée par des acteurs dont il souligne une nouvelle fois le talent : Emilie Dequenne absolument sidérante qui nous emmène dans sa folie ordinaire et d’autant plus troublante, Nicolas Duvauchelle, qui excelle toujours dans ces rôles à vif, Michel Blanc qui retrouve Téchiné après son admirable dernier film « Les Témoins », et l’impériale Catherine Deneuve, qui retrouve le cinéaste pour la sixième fois, aussi crédible en mère aimante et libre vivant dans un pavillon de banlieue que dans n’importe quel rôle. (Voir ici mon article consacré à la rencontre avec Catherine Deneuve à SciencesPo).

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  • Molières 2010 : les nominations

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    La 24ème Nuit des Molières aura cette année lieu à la Maison des arts et de la culture de Créteil, le dimanche 25 avril 2010 et elle sera retransmise, à 20H35, en direct, sur France 2 et présentée par Marie Drucker et Michel Drucker. Line Renaud en sera la présidente d'honneur.

    Molière du Théâtre Public

    «La Cerisaie», Anton Tchékhov / Alain Françon - Théâtre National de la Colline

    «Les Naufragés du Fol Espoir», Hélène Cixous, Ariane Mnouchkine / Ariane Mnouchkine -Théâtre du Soleil       

    «Notre Terreur», D'ores et Déjà / Sylvain Creuzevault - Cie D'Ores et Déjà   

    «Ode Maritime», Fernando Pessoa / Claude Régy - Les Ateliers contemporains 

    Molière du Théâtre Privé

    «L'Habilleur», Ronald Harwood / Laurent Terzieff - Théâtre Rive Gauche

    «L'Illusion Conjugale», Eric Assous / Jean-Luc Moreau - Théâtre de l'Oeuvre, Théâtre Tristan Bernard

    «La Nuit des Rois», William Shakespeare / Nicolas Briançon, Théâtre Comédia

    «La Serva Amorosa»,    Carlo Goldoni Christophe Lidon - Théâtre Hébertot

    Molière des Compagnies

    «Cercles / Fictions», Joël Pommerat : Compagnie Louis Brouillard

    «Les Estivants», Eric Lacascade : Compagnie Eric Lacascade

    «La Ménagerie de verre», Jacques Nichet : Compagnie de l'Inattendu

    «Le Père Tralalère», Sylvain Creuzevault : Compagnie D'Ores et Déjà  

    Molière de la pièce comique

    «Les 39 marches», John Buchan, Alfred Hitchcock / Eric Métayer - Théâtre La Bruyère

    «La Cage aux Folles», Jean Poiret / Didier Caron - Théâtre de la Porte Saint-Martin

    «Miam Miam», Edouard Baer - Théâtre Marigny

    «Mission Florimont», Sacha Danino / Sébastien Azzopardi -  Théâtre Tristan Bernard

    «Thé à la menthe ou t'es citron ?» Danielle Navarro-Haudecoeur, Patrick Haudecoeur / P. Haudecoeur - Théâtre Fontaine 

    Molière du Théâtre Musical

    «Les Douze Pianos d'Hercule» - Jean-Paul Farré / Jean-Claude Cotillard - Cie des Claviers

    «Tatouage», Alfredo Arias - Groupe TSE - Théâtre du Rond-Point

    «Une Diva à Sarcelles», Virginie Lemoine - Théâtre de la Huchette

    «La Vie parisienne», Jacques Offenbach / Alain Sachs - Théâtre Antoine - Simone Berriau - Héléna Bossis 

    Molière du Comédien

    Jean-Quentin Châtelain dans «Ode Maritime»

    Jean-Claude Dreyfus dans «Le Mardi à Monoprix»

    Robert Hirsch dans «La Serva Amorosa»

    Daniel Russo dans «Les Autres»

    Laurent Terzieff dans «l'Habilleur» et «Philoctète» 

    Molière de la Comédienne

    Dominique Blanc dans «La Douleur»

    Anny Duperey dans «Colombe»

    Isabelle Gélinas dans «L'Illusion Conjugale»

    Anouk Grinberg dans «Les Fausses Confidences»

    Norah Krief dans «La Dame de chez Maxim»

    Hélène Vincent dans «Alexandra David-Néel»

    Molière du Comédien dans un Second Rôle

    Henri Courseaux dans «La Nuit des Rois»

    Xavier Gallais dans «Ordet»

    José Paul dans «L'Illusion Conjugale»

    Yves Pignot dans «La Nuit des Rois»

    Gilles Privat dans «La Dame de chez Maxim»

    Hugues Quester dans «Casimir et Caroline»  

    Molière de la Comédienne dans un Second Rôle

    Fabienne Chaudat dans «Colombe»

    Claire Nadeau dans «La Serva Amorosa»

    Julie Pilod dans «La Cerisaie»

    Isabelle Sadoyan dans «Les Fausses Confidences»

    Josiane Stoleru dans «Le Démon de Hannah»

    Dominique Valadié dans «La Nuit des Rois»  

    Molière de la Révélation théâtrale féminine

    Alice Belaïdi dans «Confidences à Allah»

    Andrea Bescond dans «Les 39 marches»

    Mélanie Laurent dans «Promenade de santé»

    Agnès Pontier dans «Yaacobi et Leidental» 

    Nominations Révélation théâtrale masculine

    Maxime d'Aboville dans «Journal d'un curé de campagne»

    Sylvain Creuzevault dans «Notre Terreur»

    Guillaume Gallienne dans «Les garçons et Guillaume, à table!»

    Alexandre Zambeaux dans «Parole et guérison» 

    Molière du Metteur en Scène

    Nicolas Briançon pour «La Nuit des Rois»

    Alain Françon pour «La Cerisaie»

    Eric Métayer pour «Les 39 marches»

    Jean-Luc Moreau pour «L'Illusion Conjugale»

    Claude Régy pour «Ode Maritime»

    Jean-François Sivadier pour «La Dame de chez Maxim»

    Molière de l'Auteur Francophone Vivant

    Eric Assous pour «L'Illusion Conjugale»

    Daniel Danis pour «Terre Océane»

    Emmanuel Darley pour «Le Mardi à Monoprix»

    Pierre Notte pour «Les Couteaux dans le dos»

    Joël Pommerat pour «Cercles / Fictions»

    Sébastien Thiéry pour «Qui est monsieur Schmitt ?» 

    Molière de l'Adaptateur

    François Berreur pour «Ebauche d'un portrait»

    Huguette Hatem pour «La Grande Magie»

    Dominique Hollier pour «L'Habilleur»

    Gérald Sibleyras pour «Les 39 marches»

    Molière du Créateur Costumes

    Pascale Bordet pour «Colombe»

    Nathalie Thomas / Marie-Hélène Bouvet / Annie Tran pour «Les Naufragés du Fol Espoir»

    Patrice Cauchetier pour «La Cerisaie»

    Michel Dussarrat pour «La Nuit des Rois» 

    Molière du Créateur Lumière

    Laurent Béal pour «Colombe»

    Joël Hourbeigt pour «La Cerisaie»

    Gaëlle de Malglaive pour «La Nuit des Rois»

    Eric Soyer / Jean-Gabriel Valot pour «Cercles / Fictions»     

    Molière du Décorateur - Scénographe

    Catherine Bluwal pour «La Serva Amorosa»

    Pierre-Yves Leprince pour «La Nuit des Rois»

    Philippe Quesne pour «La Mélancolie des Dragons»

    Eric Soyer pour «Cercles / Fictions»

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  • Ce soir, ne manquez pas "César et Rosalie" de Claude Sautet, à 20H40 sur Direct 8: critique du film

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    Si vous avez Direct 8 alors ne cherchez plus, ce soir, à 20H40, regardez (ou rereregardez) "César et Rosalie" de Claude Sautet. La critique du film ci-dessous en espérant vous convaincre si vous n'avez pas encore vu ce sublime film de 1972.

    "César et Rosalie" n'est peut-être pas le film celui que je préfère du cinéaste, Un cœur en hiver ayant à jamais décroché ma palme d’or, mais un film qui n’a néanmoins pas pris une ride, et arrive toujours à me dérider justement. Claude Beylie parlait de « drame gai » à propos de César et Rosalie, terme en général adopté pour la Règle du jeu de Renoir, qui lui sied également parfaitement. Derrière l’exubérance et la truculence de César, on ressent en effet la mélancolie sous-jacente. César donc c’est Yves Montand, un ferrailleur qui a réussi, mariée à Rosalie (Romy Schneider) divorcée d’Antoine (Umberto Orsini), et qui aime toujours David (Sami Frey), un dessinateur de bandes dessinées, sans cesser d’aimer César. Ce dernier se fâche puis réfléchit et abandonne Rosalie à David. Des liens de complicité et même d’amitié se tissent entre les deux hommes si bien que Rosalie, qui veut être aimée séparément par l’un et par l’autre, va tenter de s’interposer entre eux, puis va partir...

    Dans ce film de 1972, qui fut souvent comparé à Jules et Jim de Truffaut, on retrouve ce qui caractérise les films de Claude Sautet : les scènes de café, de groupe et la solitude dans le groupe, la fugacité du bonheur immortalisée, l’implicite dans ce qui n’est pas- les ellipses- comme dans ce qui est-les regards- (Ah, ces derniers regards entre les trois personnages principaux! Ah, le regard de David lorsque l’enfant passe des bras de Rosalie à ceux de César, scène triangulaire parfaitement construite!).

     « Les films de Claude Sautet touchent tous ceux qui privilégient les personnages par rapport aux situations, tous ceux qui pensent que les hommes sont plus importants que ce qu’ils font (..). Claude Sautet c’est la vitalité. », disait Truffaut. Ainsi, personne mieux que Claude Sautet ne savait  et n’a su dépeindre des personnages attachants, fragiles mais si vivants (à l’exception de Stephan interprété par Daniel Auteuil dans Un cœur en hiver, personnage aux émotions anesthésiées quoique...,). Ici au contraire ce n’est pas un cœur en hiver, mais un cœur qui bat la chamade et qui hésite, celui de Rosalie, qui virevolte avec sincérité, et qui emporte le spectateur dans ses battements effrénés. Et effectivement on retrouve cette vitalité, celle de la mise en scène qui épouse le rythme trépidant de César face au taciturne David. César qui pourrait agacer, flambeur, gouailleur, lâche parfois face à la fragilité et la discrétion de l’artiste David. Deux hommes si différents, voire opposés, dans leur caractérisation comme dans leur relation à Rosalie que Sautet dépeint avec tendresse, parfois plutôt une tendre cruauté concernant César. Là se trouve la fantaisie, dans ce personnage interprété magistralement par Yves Montand, ou dans la relation singulière des trois personnages, si moderne.

     

    Un film qui n’est pas conventionnel jusque dans sa magnifique fin, ambiguë à souhait. Sans effets spéciaux. Simplement par la caractérisation ciselée de personnages avec leurs fêlures et leur déraison si humaines.

     

    Un film à l’image de son personnage principal qui insuffle ce rythme précis et exalté : truculent et émouvant, mélancolique et joyeux, exubérant et secret. Un film intemporel et libre, qui oscille entre le rire et les larmes, dans lequel tout est grave et rien n’est sérieux (devise crétoise, un peu la mienne aussi). Un film délicieusement amoral que vous devez absolument voir ou revoir…

     

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  • Palmarès du Festival International des Scénaristes 2010

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    Les organisteurs du Festival International des Scénaristes 2010 avaient eu la gentillesse de m'inviter à passer deux jours à Bourges pour découvrir leur festival. J'ai malheureusement finalement dû  décliner l'invitation. J'espère néanmoins avoir le plaisir de découvrir ce festival l'an prochain. En attendant, je vous livre donc le palmarès de cette édition 2010.

    Le palmarès 2010 

    Grand Jury

    Grand prix

    « L'homme qui en connaissait un rayon » d'Alice Vial
    Parrains : Vincent Solignac (scénariste) et Olivier Rechou (Les films de la plume)
    Résidence écriture Centre Images
    Lecture du scénario à la soirée de clôture par les comédiens
    Livres Dixit, Adhésion Séquence 7, master classe de Robert Mc Kee (Thriller/comédie/love story)

    Mention

    « Le lâcher de nez » de Christophe Lemoine
    Parrains : Louis Charles Sirjacq (scénariste) et Isabelle Grellat (Mandarin Cinéma)
    LNF post production pour une valeur de 3000 €
    Livres Dixit, Adhésion Séquence 7, master classe de Robert Mc Kee (Thriller/comédie/love story)

    Jury de la création

    Premier prix

    « Les heures blanches » de Sébastien Baril
    Parrains : Emmanuelle Bercot (réalisatrice) et Christophe Audeguis (Love Streams)
    Résidence écriture Centre Images
    Livre Dixit, Adhésion Séquence 7, master classe de Robert Mc Kee (Thriller/comédie/love story)

    Mention

    « L'homme qui en connaissait un rayon » d'Alice Vial
    Parrains : Vincent Solignac (scénariste) et Olivier Rechou (Les films de la plume)
    Une semaine de formation au CIFAP (écriture ou autre spécialité)
    Livre Dixit, Adhésion Séquence 7, master classe de Robert Mc Kee (Thriller/comédie/love story) 

    Jury jeune

    Grand prix

    « La France aux français » de Lionel Meta
    Parrains : Charlotte Silvéra (réalisatrice) et Laurent Thiry (Magnificat Films)
    « Du court au long », script doctoring de 2A Développement, atelier en 8 séances (3h par séance), Livres Dixit, Adhésion Séquence 7, master classe de Robert Mc Kee (Thriller/comédie/love story)

    Mention

    « Le lâcher de nez » de Christophe Lemoine
    Parrains : Louis Charles Sirjacq (scénariste) et Isabelle Grellat (Mandarin Cinéma)
    Accréditation pro pour 2011 au festival, Livres Dixit, Adhésion Séquence 7, master classe de Robert Mc Kee (Thriller/comédie/love story)

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  • "Téhéran" de Nader T.Homayoun en compétition du Festival International du Film Policier de Beaune 2010

    teheran.jpgDu 8 au 11 avril prochain aura lieu la 2ème édition du Festival International du Film Policier de Beaune dont je vous ai déjà parlé à plusieurs reprises (je vous rappelle d'ailleurs que vous pouvez encore gagner des pass permanents pour le festival, cliquez ici pour voir le règlement du concours).

     Parmi les films de la compétition Sang neuf figure un film dont je vous ai parlé il y a quelques jours et donc vous pouvez retrouvez ma critique en cliquant ici: "Téhéran" de Nader T.Homayoun.

    Cliquez ici pour voir le reste de la compétition sang neuf.

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  • Aujourd'hui ne manquez pas "Alice au Pays des merveilles" de Tim Burton

    Cliquez ici pour lire ma critique d' "Alice au pays des merveilles" de Tim Burton

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    Et toujours à l'affiche (autres films recommandés par inthemoodforcinema.com, cliquez sur le titre pour lire ma critique du film concerné):

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    Le reste de l'actualité, c'est sur : "In the mood for Cannes" , "In the mood for Deauville " et "In the mood for luxe ".

     

  • Les classiques du cinéma recommandés par Inthemoodforcinema.com

    Un peu débordée (mais je vous promets, ces prochains mois, beaucoup de beaux et grands événements à suivre sur mes différents blogs inthemood. Suspense...), je vous propose donc aujourd'hui un petit flashback sur toutes mes critiques de classiques du cinéma. Je vous recommande tous les films cités ci-dessous, sans réserves. Pour lire mes critiques de ces films, cliquer sur leurs titres sous l'affiche.

    "Avant le déluge" -André Cayatte (1954)

     

    "Baisers volés" de François Truffaut(1968)

     

    "Casablanca" de Michael Curtiz

    "Casino royale" de Martin Campbell (2006)

    "César et Rosalie" de Claude Sautet(1972)

    "In the mood for love" de Wong Kar Waï

    "L'armée des ombres" de Jean-Pierre Melville(1969)

    "L'homme qui en savait trop" - Alfred Hitchcock

    "La belle équipe" de Julien Duvivier(1936)

    "La Femme d'à côté" de François Truffaut (1981)

    "La Grande illusion" de Jean Renoir(1937)

    "La piscine" de Jacques Deray (1968)

    "La règle du jeu" de Jean Renoir(1939)

    "La Sirène du Mississippi" de François Truffaut

    "La Strada" de Federico Fellini(1954)

    "Le Cercle rouge" de Jean-Pierre Melville

    "Le jour se lève"de Marcel Carné

    "Le Professeur" de Zurlini

    "Le Quai des Brumes"de Marcel Carné (1938)

    "Les feux de la rampe" de Charles Chaplin (1953)

    "Monsieur Klein" de Joseph Losey (1976)

    "Pépé le Moko"de Julien Duvivier (1936)

    "Un homme et une femme" de Claude Lelouch

    "Drôle de drame" de Marcel Carné (1937)

    "La fièvre dans le sang" -Elia Kazan-1961

    "Le Guépard" de Luchino Visconti (1963)

    "Quand la ville dort" de John Huston

    "Sur la route de Madison" de Clint Eastwood

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