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IN THE MOOD FOR NEWS (actualité cinématographique) - Page 111

  • "Inglourious basterds" de Quentin Tarantino: mon favori pour les Oscars 2010

    Même si je doute fort qu'il l'emporte lors de cette 82ème cérémonie des Oscars, "Inglourious basterds" de Quentin Tarantino reste mon favori, un véritable chef d'oeuvre, très loin devant le très commercial "Avatar" de James Cameron qui risque cependant d'emporter l'adhésion de l'Académie. "Inglourious basterds" est ainsi nommé dans les catégories meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur acteur dans un second rôle, meilleur scénario original, meilleure photographie et meilleur son. J'espère aussi évidemment qu' "Un Prophète" de Jacques Audiard sera récompensé (de l'Oscar du meilleur film étranger), ainsi que "A single man", le très beau premier film du couturier Tom Ford et que "In the air" recevra également au moins un prix, pourquoi pas celui du scénario. Résultats à suivre demain sur inthemoodforcinema.com  ! En attendant, retrouvez ci-dessous, ma critique d' "Inglourious basterds" écrite lors du Festival de Cannes 2009 à l'occasion duquel j'ai découvert ce film.

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    Photos ci-dessus: Quentin Tarantino, Brad Pitt, Mélanie Laurent (photos inthemoodforcannes.com ).
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    Bien sûr, j’ai été envoûtée par la poésie et la mélancolie sensuelles des « Etreintes brisées » de Pedro Almodovar ( sur lequel je reviendrai et avec lequel le film de Tarantino présente d’ailleurs quelques similitudes), bien sûr j’ai été enthousiasmée par la précision remarquable de la réalisation de Jacques Audiard mais le film de Quentin Tarantino est le premier de ce festival et peut-être même le premier film depuis un moment à m’avoir ainsi hypnotisée, captivée, étonnée de la première à la dernière seconde. Le premier film depuis longtemps que j’avais envie de revoir à peine le générique achevé.

     

    Pitch : Dans la France occupée de 1940, Shosanna Dreyfus assiste à l’exécution de sa famille tombée entre les mains du colonel nazi Hans Landa ( Christoph Waltz). Shosanna (Mélanie Laurent) s’échappe de justesse et s’enfuit à Paris où elle se construit une nouvelle identité en devenant exploitante d’une salle de cinéma. Quelque part, ailleurs en Europe, le lieutenant Aldo Raine (Brad Pitt) forme un groupe de soldats juifs américains pour mener des actions punitives particulièrement  sanglantes contre les nazis. « Les bâtards », nom sous lequel leurs ennemis vont apprendre à les connaître, se joignent à l’actrice allemande et agent secret Bridget von Hammersmark (Diane Krüger) pour tenter d’éliminer les dignitaires du troisième Reich. Leurs destins vont se jouer à l’entrer du cinéma où Shosanna est décidée à mettre à exécution une vengeance très personnelle.

     

    De ce film, très attendu et seul film américain de cette compétition officielle 2009, je n’avais pas lu le pitch, tout juste vu la bande-annonce qui me faisait craindre une grandiloquence maladroite, un humour douteux, voire indécent sur un sujet délicat. Je redoutais, je pensais même détester ce film et ne m’attendais donc pas à ce que la première séquence (le film est divisé en 5 chapitres qui correspondent aux parcours de 5 personnages) me scotche littéralement à l’écran dès la première seconde, à ne plus pouvoir m’en détacher jusqu’à la dernière ligne du générique.

     

    L’un des premiers plans nous montre une hache dans un univers bucolique que la caméra de Tarantino caresse, effleure, esquisse et esquive : finalement ce simple plan pourrait résumer le ton de ce film, où la menace plane constamment, où le décalage est permanent, où toujours le spectateur est sur le qui-vive, la hache pouvant à chaque instant venir briser la sérénité. Cette première séquence dont nous ne savons jamais si nous devons en rire, ou en frissonner  de plaisir (parce qu’elle est jubilatoire à l’image de tout ce film, une première séquence au sujet de laquelle je ne vous en dirai pas plus pour maintenir le suspense et la tension incroyables qui y règne) ou de peur, est sans nul doute une des plus réussies qu’il m’ait été donné de voir au cinéma.

     

     Chaque séquence au premier rang desquelles la première donc recèle d’ailleurs cette même ironie tragique et ce suspense hitchcockien, le tout avec des plans d’une beauté, d’une inventivité sidérantes, des plans qui sont ceux d’un grand cinéaste mais aussi d’un vrai cinéphile (je vous laisse notamment découvrir ce plan magnifique qui est un hommage à « La Prisonnière du désert » de John Ford )  et d’un amoureux transi du cinéma. Rien que la multitude  de références cinématographiques mériterait une deuxième vision tant l’admiration et la surprise lors de la première empêchent de toutes les distinguer.

     

     Oui, parce que « Inglourious Basterds » est aussi un western. « Inglourious Basterds » appartient en réalité à plusieurs genres… et à aucun : western, film de guerre, tragédie antique, fable, farce, comédie, film spaghetti aussi. En fait un film de Quentin Tarantino .  (« Inglourious Basterds » est inspiré d’un film italien réalisé par Enzo G.Castellari). Un genre, un univers qui n’appartiennent qu’à lui seul et auxquels il parvient à nous faire adhérer, quels qu’en soient les excès, même celui de réécrire l’Histoire, même celui de se proclamer chef d’œuvre avec une audace et une effronterie  incroyables. Cela commence ainsi comme un conte  (« il était une fois »), se termine comme une farce.

     

    Avec quelle facilité il semble passer d’un ton à l’autre, nous faire passer d’une émotion à une autre, comme dans cette scène entre Mélanie Laurent et Daniel Brühl, dans la cabine de projection, une scène  qui, en quelques secondes, impose un souffle tragique poignant, époustouflant, d’un rouge éblouissant. Une scène digne d’une tragédie antique.

     

    Il y a du Hitchcock dans ce film mais aussi du Chaplin pour le côté burlesque et poétique et du Sergio Leone pour la magnificence des plans, et pour cet humour ravageur, voire du Melville aussi pour la réalisation, Meville à qui un autre cinéaste (Johnnie To) de cette compétition se référait d’ailleurs. Voilà, en un endroit tenu secret, Tarantino, après les avoir fait kidnapper et fait croire à leurs disparitions au monde entier, a réuni Chaplin,  Leone, et Hitchcock et même Melville et Ford, que l’on croyait morts depuis si longtemps et leur a fait réaliser ce film qui mêle avec brio poésie et sauvagerie, humour et tragédie.

     

    Et puis, il y a en effet le cinéma. Le cinéma auquel ce film est un hommage permanent, une déclaration d’amour passionnée, un hymne vibrant à tel point que c’est le cinéma qui, ici, va sauver le monde, réécrire la page la plus tragique de l’Histoire, mais Tarantino peut bien se permettre : on pardonne tout au talent lorsqu’il est aussi flagrant. Plus qu’un hommage au cinéma c’est même une leçon de cinéma, même dans les dialogues : « J’ai toujours préféré Linder à Chaplin. Si ce n’est que Linder n’a jamais fait un film aussi bon que « Le Kid ».  Le grand moment de la poursuite du « Kid ». Superbe . »  Le cinéma qui ravage, qui submerge, qui éblouit, qui enflamme (au propre comme au figuré, ici). Comment ne pas aimer un film dont l’art sort vainqueur, dans lequel l’art vainc la guerre, dans lequel le cinéma sauve le monde ?

     

     

    Comment ne pas non plus évoquer les acteurs : Mélanie Laurent, Brad Pitt, Diane Krüger, Christoph Waltz, Daniel Brühl y sont magistraux, leur jeu trouble et troublant procure à toutes les scènes et à tous les dialogues (particulièrement réussis) un double sens, jouant en permanence avec le spectateur et son attente. Mélanie Laurent qui a ici le rôle principal excelle dans ce genre, de même que Daniel Brühl et Brad Pitt qui, depuis « L’assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford », le chef d’œuvre d’Andrew Dominik ne cesse de prendre de l’épaisseur et nous surprendre.

     

    Que dire de la BO (signée Ennio Morricone) incroyable qui, comme toujours chez Tarantino, apporte un supplément de folie, d’âme, de poésie, de lyrisme et nous achève…

     

    Si Quentin Tarantino a déjà remporté la palme d’or en 1994 (et a notamment présidé le jury en 2004, remettant la palme d’or à Michael Moore pour « Fahrenheit 9/11 », il a également donné une leçon de cinéma l’an passé), il pourrait bien renouveler l’exploit. A défaut, il mériterait le prix de la mise en scène auquel pourraient également prétendre Jacques Audiard et Pedro Almodovar, deux films de ce point vue également parfaits... Il est en tout cas impossible qu’il ne figure pas au palmarès, même si les dissensions avec Isabelle Huppert qui avait effectué le casting pour « Inglourious Basterds » pourraient compliquer encore la tâche.

     

    Quentin Tarantino avec ce septième long-métrage a signé un film audacieux, brillant, insolent, tragique, comique, lyrique, exaltant, décalé, fascinant, irrésistible, cynique, ludique, jubilatoire, dantesque, magistral. Une leçon et une déclaration d’amour fou et d’un fou magnifique, au cinéma.  Ce n’est pas que du cinéma d’ailleurs : c’est un opéra baroque et rock. C’est une chevauchée fantastique. C’est un ouragan d’émotions. C’est une explosion visuelle et un ravissement permanent et qui font passer ces 2H40 pour une seconde !

     

     Bref, il se pourrait bien qu’il s’agisse d’un chef d’œuvre… Je vous laisse en juger par vous-mêmes lors de sa sortie en salles le 21 août et lors de la proclamation du palmarès de ce festival de Cannes 2009 dont il est impossible qu’il ne l’honore pas… A contrario de ses « bâtards sans gloire », Tarantino mérite indéniablement d’en être auréolé ! « Inglourious Basters » était le film le plus attendu de ce festival 2009. A juste titre.

  • Oscar du meilleur film étranger pour "Un Prophète" de Jacques Audiard ou "Le Ruban blanc" de Michael Haneke ?

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    3-1-2010_005.jpgDans quelques heures aura lieu la 82ème cérémonie des Oscars et pour "Un Prophète" de Jacques Audiard, peut-être le couronnement d'une formidable aventure et une revanche face au "Ruban Blanc" de Michael Haneke qui, au dernier Festival de Cannes, lui avait ravi la palme d'or, "Un Prophète" ayant obtenu le Grand Prix, de même qu'aux European awards où il lui avait ravi le prix de meilleur film européen, Tahar Rahim ayant néanmoins reçu le prix du meilleur acteur européen. Aux Golden Globes qui préfigurent souvent les Oscars c'est Michael Haneke qui avait eu la préfèrence des votants. "Un Prophète" avait néanmoins remporté le Bafta du meilleur film étranger, une nouvelle fois face au "Ruban blanc".

     

     

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    Après  9 César dont deux pour Tahar Rahim (meilleur jeune espoir masculin et meilleur acteur), cette cérémonie des Oscars marquera-t-elle l'apothéose de cette pluie de récompenses avec un Oscar du meilleur film étranger? A suivre dans quelques heures. A moins que l'Académie ne crée la surprise en récompensant l'un des autres nommés: Ajami (Israël), El secreto de sus ojos (Argentine), Fausta (La Teta Asustada) (Pérou).

    En attendant et en souhaitant bonne chance à l'équipe de Jacques Audiard, revoyez ci-dessous mes vidéos inédites de Tahar Rahim et de l'équipe des César, en salle presse des César 2010.

    Liens:

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    Critique du "Ruban Blanc" de Michael Haneke

    Souvenirs de la projection cannoise d' "Un Prophète"

    Rencontre autour d' "Un Prophète" au cinéma le Saint-Germain-des-Prés

  • « La Rafle du Vel d’Hiv, une histoire française » : une émission spéciale, le 9/03 à 20h35 sur France 2

    Je vous parlais avant-hier encore de "La Rafle" (cliquez ici pour lire ma critique du film, le témoignage de Joseph Weismann, et voir mes vidéos de la réalisatrice Rose Bosch).

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    A l'occasion de la sortie de ce film évènement,  France 2 consacre ainsi une émission spéciale à la « rafle du Vel d'Hiv ».
    Au cours de l'été 1942, l'opération menée par la police française, sur ordre des autorités de Vichy, conduit plus de 13000 juifs vers les camps d'extermination. Reportages, archives, extraits du film, témoignages des survivants et des acteurs qui ont joué leurs rôles, analyses et expertises de spécialistes et d'historiens : deux heures d'émission pour comprendre et expliquer l'une des pages les plus sombres de l'histoire de France. L'émission s'articulera autour de moments forts avec la présence notamment sur le plateau de :
    Joseph Weismann et Anna Traube, deux survivants de la rafle dont le film retrace l'histoire,

    Rose Bosch, réalisatrice du film « La Rafle »,
    Serge Klarsfeld, conseiller historique du film,
    Jean Reno, Mélanie Laurent, Thierry Frémont, Raphaëlle Agogué et Hugo Leverdez, acteurs du film « La Rafle ».

    Je regarderai cette émission et vous en reparlerai...

    En bonus, la bande annonce du film:

  • Les Oscars en live sur Allociné

    oscars4.jpgJe vous parlais hier à nouveau des différents nommés aux Oscars et des différents moyens pour les suivre en direct.

    J'y ajoute aujourd'hui Allociné qui propose de vivre la cérémonie en direct avec la rédaction et le club 300 d'Allociné.

    Bien que membre dudit club, pour ma part, je préfère le commentaire a posteriori aux réactions "à chaud".

    Vous retrouverez donc dès demain mes commentaires sur cette cérémonie des Oscars 2010 ainsi que le palmarès complet.

     Pour suivre et commenter la cérémonie sur Allociné, c'est ici. (ainsi que sur le Twitter et le Facebook d'Allociné)

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  • Palmarès des Victoires de la musique 2010

    victoires.jpgAvant de revenir au cinéma cet après-midi avec la critique de "The Ghost-Writer" de Roman Polanski et les Oscars demain (je vous rappelle d'ailleurs que vous pouvez trouver toutes les informations pour les suivre en direct ainsi que la liste des nommés en cliquant ici), voici le palmarès des Victoires de la musique 2010, ci-dessous, dont Archimède est malheureusement reparti bredouille. Grand vainqueur de cette année: Benjamin Biolay qui était d'ailleurs favori. Il a ainsi remporté deux trophées. Chez les interprètes féminines, Charlotte Gainsbourg était favorite mais c'est Olivia Ruiz qui a emporté, une deuxième fois, la Victoire de l'artiste féminine de l'année,  en plus de celle du vidéo-clip.   La fille de Jacques Higelin. Izia emporte également deux Victoires dont celle de la Révélation scène .  Pony Pony Run Run a remporté la Victoire des artistes révélation de l'année.

    Je vous laisse découvrir le reste du palmarès ci-dessous.

    Lire la suite

  • Victoires de la musique 2010: bonne chance à Archimède!

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    archimède.jpgUne fois n'est pas coutume: un peu de chauvinisme pour souhaiter bonne chance à l'excellent groupe Archimède (originaire de ma ville natale) et nommé dans la catégorie "Album révèlation de l'année".

    Les Victoires de la musique : à suivre ce soir sur France 2, à 20H50, et sur France Info.

    Les nommés aux Victoires de la musique 2010:

    - L'artiste interprète masculin de l'année

    Bénabar

    Benjamin Biolay

    Johnny Hallyday

    Marc Lavoine

     

    - L'artiste interprète féminine de l'année

    Charlotte Gainsbourg

    Emily Loizeau

    Maurane

    Olivia Ruiz

     

    - Le groupe ou l'artiste révélation du public de l'année

    Coeur de pirate

    Grégoire

    La Fouine

    Pony Pony Run Run

     

    - Le groupe ou l'artiste révélation scène de l'année

    Izïa

    Ariane Moffatt

    Revolver

    Shaka Ponk

     

    -L'album révélation de l'année

    Archimède d'Archimède

    Music For A While de Revolver

    Paint Your Face de Sliimy

    Tree Of Life de Yodelice

     

    - L'album de l'année

    La Superbe Benjamin Biolay

    I.R.M Charlotte Gainsbourg

    Mister Mystère M

    Welcome To The Magic World Of Captain Samouraï Flower Pascal Obispo

     

    - L'album rock de l'année

    Nico Teen Love B.B. Brunes

    La Musique-la matière Dominique A

    La République des Météors Indochine

    Izia Izïa

     

    - L'album de musiques urbaines de l'année

    Réel Kery James

    Crise de conscience Kool Shen

    Mes repères La Fouine

    L'Arme de paix Oxmo Puccino

     

    - L'album de musiques du monde de l'année

    Welcome To Mali Amadou et Mariam

    Nha Sentimento Cesaria Evora

    La différence Salif Keita

    Bonjour Rachid Taha

     

    - L'enregistrement de musiques électroniques ou dance de l'année

    Love 2 AIR

    Manual For A Successful Rioting Birdy Nam Nam

    One Love David Guetta

    In The Mood For Live Wax Tailor

     

    - La chanson originale de l'année

    La superbe Benjamin Biolay

    C'est dit Calogero

    Comme des enfants Coeur de Pirate

    Ca m'énerve Helmut Fritz

     

    - Le spectacle musical/la tournée/le concert de l'année

    Vincent Delerm à la Cigale, au Bataclan et en tournée

    Tour 66 Johnny Hallyday

    Meteor Tour Indochine

    M à la Cigale

     

    - Le vidéo-clip de l'année

    Les Affranchis Alexis HK

    Heaven Can Wait Charlotte Gainsbourg

    Elle panique Olivia Ruiz

    Ce que l'on s'aime Tryo

     

    - Le DVD musical de l'année

    Alain Bashung à l'Olympia Alain Bashung

    La tournée des roses et des orties Francis Cabrel

    Daho Pleyel Paris Etienne Daho

    23 janvier-18 juillet 2009 Vincent Delerm

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  • Vidéos: Marion Cotillard aux César et en Lady Dior

    3-1-2010_011.jpgMarion Cotillard, égérie de la marque Dior, est l'heroïne de ce clip réalisé par Jonas Akerlund.  Elle y chante une composition du groupe de rock Franz Ferdinand, The Eyes Of Mars. Après La Môme et Nine, Marion Cotillard et la musique semblent désormais indissociales. Que pensez-vous de ce clip?

    En bonus, sous le clip, mes vidéos inédites de Marion Cotillard aux César 2010.

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