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IN THE MOOD FOR NEWS (actualité cinématographique) - Page 32

  • Livre - « Marilyn la légende » par Henry-Jean Servat

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    Cinquante ans après sa mort, Marilyn continue à fasciner, plus que jamais même,  et son visage étincelant à la beauté diaphane et fragile, continue à éblouir, immortel. Des aspects de sa personnalité ou de sa vie continuent à être découverts, prouvant qu’elle était une femme encore bien plus complexe que ce à quoi certains ont longtemps voulu la réduire, une image sur papier glacé, et surtout très intelligente et lucide. Velléitaire et déterminée, forte et si fragile, éblouissante et égarée, entourée et si seule, tellement observée et incomprise, orgueilleuse et doutant d’elle-même, enfantine et incarnation suprême de la féminité, manipulatrice et manipulée : Marilyn réunit tous les (fascinants) paradoxes des artistes et les porte à leur paroxysme. Femme « irréelle et aérienne », aussi, comme la définit Henry-Jean Servat.

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    Journaliste et écrivain, Henry-Jean Servat défend toujours avec un enthousiasme communicatif ses passions, ses justes révoltes même (contre la corrida notamment) mais aussi et surtout sa passion du cinéma et des actrices de légende. Après « Bardot, la légende », en 2009 et « Romy, la légende » en 2011, place à « Marilyn la légende ». Le livre est d’ailleurs préfacé par une autre légende, Brigitte Bardot qui y raconte son admiration pour Marilyn et sa rencontre avec celle dont elle loue la  « fragilité gracieuse ».

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    A l’image de Romy et Brigitte, Marilyn est la star mythique que seul son prénom suffit à désigner à l’image du titre du film qui lui a cette année été consacré « My week with Marilyn » de Simon Curtis. Quel plus beau et à la fois plus impossible personnage de cinéma que Marilyn qui était elle-même, déjà, un personnage dans la vie puisqu’elle interprétait constamment un rôle, se mettant en scène, maquillant son vrai visage (dans tous les sens du terme) ? Le film commence et s’achève sur une image de Marilyn sur l’écran…et ne s’en détachera d’ailleurs guère. Si c’est bien à celle qui se dissimulait derrière ce masque que le film s’attache, il ne parvient pourtant jamais à s’éloigner des clichés se contentant au contraire de les aligner (dans les deux sens du terme, des clichés sur sa personnalité à ceux, visuels, qui l'ont immortalisée).

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    Contrairement au film précité qui ne se concentre que sur une semaine durant le tournage du « Prince et la danseuse » de Laurence Olivier, Henry-Jean Servat,  avec ce livre à la (dé)mesure du mythe, réalise une sorte de kaléidoscope de sa vie aussi tumultueuse, tragique que passionnante, en une centaine de questions et plus de 300 images dont certaines particulièrement rares, un livre qui ravira donc autant ceux qui sont des inconditionnels que ceux qui souhaitent la (re)découvrir.

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    Marilyn ce sont des clichés (dans les deux sens du terme) qui l’ont parfois enfermée ou révélée comme celui de la plus célèbre scène de toute sa carrière, lorsque sa robe blanche se soulève dans le très beau « Sept ans de réflexion » de Billy Wilder, un de ses plus beaux films avec son dernier film achevé « Les Désaxés » (film d’une modernité étonnante dans lequel son rôle a été écrit pour elle par Arthur Miller, et si j'aime tant ce film c'est sans doute parce que sa belle, touchante et troublante fragilité y affleure tant) mais aussi avec « Certains l’aiment chaud », et un film dans lequel elle n’a qu’un petit rôle mais qui définit si bien la cruauté insatiable de cet univers qui la révèlera et la broiera :  « Eve » de Mankiewicz.

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    Le livre évoque aussi bien sa vie privée que sa vie publique, est jalonné de photos de ses films, mais aussi des photos où elle prend la pose, certaines connues (comme celle à  l’Ambassador hotel à New York en 1955) ou beaucoup plus rares, mais aussi de passionnants témoignages comme celui  de son amie Jane Russel, de sa demi-sœur, de Tony Curtis, de Jack Lemmon, de Gina Lollobrigida,  de Carole Amiel, la dernière compagne d’Yves Montand qui raconte la rencontre de Marilyn  et Yves Montand etc.

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     Le livre contient aussi de nombreuses citations de Marilyn qui éclaire sa personnalité complexe, sa fragilité poignante, sa lucidité mélancolique : « J’ai toujours pensé que je n’étais personne. Et la seule façon pour moi de devenir quelqu’un…et bien c’est d’être quelqu’un d’autre. », « Les hommes ne me regardent pas, ils jettent leurs yeux sur moi. »

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     Ce livre est avant tout un sublime hommage à une femme mythique, à une actrice admirable terriblement belle, désespérément malheureuse, indéniablement talentueuse qui est et restera grâce et à cause de cela : une légende. Une très belle idée de dernière minute pour un beau cadeau de noël !

     

    Marilyn la légende

    Henry-Jean Servat

    Hors Collection

    www.horscollection.com

    35 euros 

    Découvrez les 6 sites "in the mood ": http://inthemoodlemag.com , http://inthemoodforfilmfestivals.com, http://www.inthemoodforcannes.com , http://www.inthemoodforcinema.com  , http://www.inthemoodforluxe.com  . Retrouvez également cet article sur http://inthemoodlemag.com .

  • Le 25 décembre, aidez Les Toiles enchantées et les enfants hospitalisés en allant au cinéma: quelques suggestions de films...

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    Je vous parle de cette excellente initiative depuis 2010 parce que j'aime beaucoup cette association (qui amène le cinéma aux enfants malades) mais aussi parce que je trouve que c'est un moyen d'autant plus agréable (et particulièrement simple) de faire une bonne action.

    En effet, le mardi 25 décembre, en vous rendant dans une salle de cinéma, vous soutiendrez l'association Les Toiles Enchantées. Uniquement le 25 décembre, sur chaque billet d'entrée, quel que soit le film, la salle ou la séance, ou le mode de paiement, une partie du billet sera reversée aux Toiles enchantées. 

     Cela ne change donc rien pour le spectateur mais évidemment si vous hésitiez quant à la date à choisir pour aller au cinéma, choisissez le 25 décembre!

    Pour plus de renseignements, vous avez aussi le site internet des Toiles enchantéesleur page Facebook et leur compte twitter. 

    Voici quelques films que je vous recommande pour l'occasion. Cliquez sur le titre du film qui vous intéresse pour en lire ma critique.

    "L'Odyssée de Pi" d'Ang Lee

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    "Les Bêtes du Sud Sauvage" de Benh Zeitlin

    "L'Homme qui rit" de Jean-Pierre Améris ( en salles seulement mercredi mais avant-première mardi dans certaines salles)

     

     

     

    "Skyfall" de SAm Mendes

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    "Royal Affair" de Nikolaj Arcel

    "Amour" de Michael Haneke

    "Dans la maison" de François Ozon

    "Comme des frères" de Hugo Gélin

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    "Au-delà des collines" de Cristian Mungiu

  • Critique - "Inglourious basterds" de Quentin Tarantino...en attendant "Django unchained"

    Vous pourrez retrouver ce samedi, ma critique de "Django unchained". En attendant, retrouvez ci-dessous la critique de mon film de Tarantino préféré!

    Je vous ai déjà maintes fois parlé d' "Inglourious Basterds" de Quentin Tarantino depuis sa projection cannoise de 2009 qui m'a permis de le découvrir. C'est un euphémisme de dire que ce film m'a enthousiasmée. Si son acteur principal, Christoph Waltz, s'est vu (à juste titre) remettre le prix d'interprétation masculine, une palme d'or aurait également été amplement méritée même si le jury a préfèré à la flamboyance tanrantinesque l'austérité du "Ruban blanc" de Michael Haneke qui, malgré ses nombreuses qualités, aurait peut-être davantage mérité un grand prix ou un prix du jury. En bas de cet article, retrouvez mes photos exclusives de l'équipe du film prises au Festival de Cannes, en 2009, notamment dans les coulisses de l'émission du Grand Journal de Canal plus.

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    Bien sûr, j’ai été envoûtée par la poésie et la mélancolie sensuelles des « Etreintes brisées » de Pedro Almodovar, bien sûr j’ai été enthousiasmée par la précision remarquable de la réalisation de Jacques Audiard avec "Un Prophète" mais le film de Quentin Tarantino est le premier de ce Festival de Cannes 2009 et peut-être même le premier film depuis un moment à m’avoir ainsi hypnotisée, captivée, étonnée de la première à la dernière seconde. Le premier film depuis longtemps que j’avais envie de revoir à peine le générique achevé.

    Pitch : Dans la France occupée de 1940, Shosanna Dreyfus assiste à l’exécution de sa famille tombée entre les mains du colonel nazi Hans Landa ( Christoph Waltz). Shosanna (Mélanie Laurent) s’échappe de justesse et s’enfuit à Paris où elle se construit une nouvelle identité en devenant exploitante d’une salle de cinéma. Quelque part, ailleurs en Europe, le lieutenant Aldo Raine (Brad Pitt) forme un groupe de soldats juifs américains pour mener des actions punitives particulièrement sanglantes contre les nazis. « Les bâtards », nom sous lequel leurs ennemis vont apprendre à les connaître, se joignent à l’actrice allemande et agent secret Bridget von Hammersmark (Diane Krüger) pour tenter d’éliminer les dignitaires du troisième Reich. Leurs destins vont se jouer à l’entrer du cinéma où Shosanna est décidée à mettre à exécution une vengeance très personnelle.

    De ce film, très attendu et seul film américain de cette compétition officielle 2009 du Festival de Cannes, je n’avais pas lu le pitch, tout juste avais-je vu la bande-annonce qui me faisait craindre une grandiloquence maladroite, un humour douteux, voire indécent sur un sujet délicat. Je redoutais, je pensais même détester ce film et ne m’attendais donc pas à ce que la première séquence (le film est divisé en 5 chapitres qui correspondent aux parcours de 5 personnages) me scotche littéralement à l’écran dès la première seconde, à ne plus pouvoir m’en détacher jusqu’à la dernière ligne du générique.

    L’un des premiers plans nous montre une hache dans un univers bucolique que la caméra de Tarantino caresse, effleure, esquisse et esquive : finalement ce simple plan pourrait résumer le ton de ce film, où la menace plane constamment, où le décalage est permanent, où toujours le spectateur est sur le qui-vive, la hache pouvant à chaque instant venir briser la sérénité. Cette première séquence dont nous ne savons jamais si nous devons en rire, ou en frissonner de plaisir (parce qu’elle est jubilatoire à l’image de tout ce film, une première séquence au sujet de laquelle je ne vous en dirai pas plus pour maintenir le suspense et la tension incroyables qui y règnent) ou de peur, est sans nul doute une des plus réussies qu’il m’ait été donné de voir au cinéma.

    Chaque séquence, au premier rang desquelles la première donc, recèle d’ailleurs cette même ironie tragique et ce suspense hitchcockien, le tout avec des plans d’une beauté, d’une inventivité sidérantes, des plans qui sont ceux d’un grand cinéaste mais aussi d’un vrai cinéphile (je vous laisse notamment découvrir ce plan magnifique qui est un hommage à « La Prisonnière du désert » de John Ford ) et d’un amoureux transi du cinéma. Rien que la multitude de références cinématographiques mériterait une deuxième vision tant l’admiration et la surprise lors de la première empêchent de toutes les distinguer.

    Oui, parce que « Inglourious Basterds » est aussi un western. « Inglourious Basterds » appartient en réalité à plusieurs genres… et à aucun : western, film de guerre, tragédie antique, fable, farce, comédie, film spaghetti aussi. En fait un film de Quentin Tarantino . (« Inglourious Basterds » est inspiré d’un film italien réalisé par Enzo G.Castellari). Un genre, un univers qui n’appartiennent qu’à lui seul et auxquels il parvient à nous faire adhérer, quels qu’en soient les excès, même celui de réécrire l’Histoire, même celui de se proclamer chef d’œuvre avec une audace et une effronterie incroyables. Cela commence ainsi comme un conte (« il était une fois »), se termine comme une farce.

    Avec quelle facilité il semble passer d’un ton à l’autre, nous faire passer d’une émotion à une autre, comme dans cette scène entre Mélanie Laurent et Daniel Brühl, dans la cabine de projection, une scène qui, en quelques secondes, impose un souffle tragique poignant, époustouflant, d’un rouge éblouissant. Une scène digne d’une tragédie antique.

    Il y a du Hitchcock dans ce film mais aussi du Chaplin pour le côté burlesque et poétique et du Sergio Leone pour la magnificence des plans, et pour cet humour ravageur, voire du Melville aussi pour la réalisation, Melville à qui un autre cinéaste (Johnnie To) de cette compétition du Festival de Cannes 2009 se référait d’ailleurs. Voilà, en un endroit tenu secret, Tarantino, après les avoir fait kidnapper et fait croire à leurs disparitions au monde entier, a réuni Chaplin, Leone, et Hitchcock et même Melville et Ford, que l’on croyait morts depuis si longtemps et leur a fait réaliser ce film qui mêle avec brio poésie et sauvagerie, humour et tragédie.

    Et puis, il y a en effet le cinéma. Le cinéma auquel ce film est un hommage permanent, une déclaration d’amour passionnée, un hymne vibrant à tel point que c’est le cinéma qui, ici, va sauver le monde, réécrire la page la plus tragique de l’Histoire, mais Tarantino peut bien se permettre : on pardonne tout au talent lorsqu’il est aussi flagrant. Plus qu’un hommage au cinéma c’est même une leçon de cinéma, même dans les dialogues : « J’ai toujours préféré Linder à Chaplin. Si ce n’est que Linder n’a jamais fait un film aussi bon que « Le Kid ». Le grand moment de la poursuite du « Kid ». Superbe . » Le cinéma qui ravage, qui submerge, qui éblouit, qui enflamme (au propre comme au figuré, ici). Comment ne pas aimer un film dont l’art sort vainqueur, dans lequel l’art vainc la guerre, dans lequel le cinéma sauve le monde ?

    Comment ne pas non plus évoquer les acteurs : Mélanie Laurent, Brad Pitt, Diane Krüger, Christoph Waltz, Daniel Brühl y sont magistraux, leur jeu trouble et troublant procure à toutes les scènes et à tous les dialogues (particulièrement réussis) un double sens, jouant en permanence avec le spectateur et son attente. Mélanie Laurent qui a ici le rôle principal excelle dans ce genre, de même que Daniel Brühl et Brad Pitt qui, depuis « L’assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford », le chef d’œuvre d’Andrew Dominik ne cesse de prendre de l’épaisseur et nous surprendre.

    Que dire de la BO incroyable qui, comme toujours chez Tarantino, apporte un supplément de folie, d’âme, de poésie, de lyrisme et nous achève…

    Si Quentin Tarantino a déjà remporté la palme d’or en 1994 (et a notamment présidé le jury en 2004, remettant la palme d’or à Michael Moore pour « Fahrenheit 9/11 », il a également donné une leçon de cinéma en 2008), il aurait bien pu renouveler l’exploit. A défaut, il aurait mérité le prix de la mise en scène.

    Quentin Tarantino avec ce septième long-métrage a signé un film audacieux, brillant, insolent, tragique, comique, lyrique, exaltant, décalé, fascinant, irrésistible, cynique, ludique, jubilatoire, dantesque, magistral. Une leçon et une déclaration d’amour fou et d’un fou magnifique, au cinéma. Ce n’est pas que du cinéma d’ailleurs : c’est un opéra baroque et rock. C’est une chevauchée fantastique. C’est un ouragan d’émotions. C’est une explosion visuelle et un ravissement permanent et qui font passer ces 2H40 pour une seconde !

    Bref, il se pourrait bien qu’il s’agisse d’un chef d’œuvre… Je vous laisse en juger par vous-mêmes si vous ne l'avez pas encore vu. A contrario de ses « bâtards sans gloire », Tarantino mérite indéniablement d’en être auréolé !

    Qu’a pensé Pedro Almodovar, également présent à la séance à laquelle j’ai vu ce film ? Sans doute que tous deux aiment passionnément le cinéma, et lui rendent un vibrant hommage (la dernière réplique du film de Tarantino fait ainsi écho à celle de celui d’Almodovar).

     

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    Brad Pitt, Quentin Tarantino, Mélanie Laurent à la sortie de la conférence de presse cannoise

     

    (©Inthemoodforcinema.com)

     

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    (©Inthemoodforcinema.com)

     

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    Dans les coulisses du Grand Journal- Festival de Cannes 2009 - Diane Krüger et Quentin Tarantino

    (©Inthemoodforcinema.com)

     

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    Dans les coulisses du Grand Journal de Canal Plus, plage du Martinez- Festival de Cannes 2009- Christoph Waltz et Diane Krüger

    (©Inthemoodforcinema.com)

  • Prix Lumières 2013 : les nominations complètes

    Cliquez sur l'affiche ci-dessous pour retrouver les nominations aux prix Lumières 2013 sur mon blog http://inthemoodforfilmfestivals.com avec de très belles surprises...

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  • Participez au Jour le plus court au cinéma Etoile Saint-Germain-des-Prés

    Ne pouvant y assister, c’est avec regret que j’ai dû céder ma place au sein du jury du Jour le plus court au cinéma Etoile Saint-Germain-des-Prés, un jury qui sera également composé de Stéphane Foenkinos, Julien Rappeneau et Keren Ann (sous réserve). Vous pouvez vous aussi participer à ce bel évènement qui se déroule de surcroît dans mon cinéma de prédilection, en votant pour le prix du public. Ce blog est d’ailleurs partenaire des « Soirées Ciné » du cinéma Etoile Saint-Germain-des-Prés et je vous ferai prochainement à nouveau gagner des places ici pour celui-ci, pour la séance d’ « Un coupable idéal », le 7 janvier.

    Mais revenons au « Jour le plus court »: parmi 7 courts -métrages sélectionnés, vous pourrez ainsi découvrir les talents de demain sur grand écran. Les occasions de voir des courts-métrages dans un tel cadre sont trop rares pour vous en priver…
    A l’issue des projections, vous pourrez assister à la remise de 2 prix : le Prix du Jury, composé de Stéphane FOENKINOS, Julien RAPPENEAU et Keren ANN (sous réserve), et le Prix du Public.

    SOYEZ ACTEUR de la soirée : VOTEZ pour le meilleur court métrage et remettez le Prix du Public ! Chaque film sera programmé une semaine au cinéma Étoile Saint-Germain des Prés !
    Les délibérations seront célèbrées autour d’une coupe de champagne qui clôturera cette soirée.
    PENSEZ À RÉSERVER DÈS MAINTENANT VOTRE PLACE à l’adresse reservations@etoile-cinemas.com
    Les courts métrages programmés :
    - Ce n’est pas un film de cow-boys de Benjamin Parent

    - Chacun sa nuit de Marina Diaby

    - Dans la jungle des villes de Stéphane Démoustier

    - Fais croquer de Yassine Qnia

    - Le pays qui n’existe pas de Cécile Ducrocq

    - Sac de noeuds de Eve Duchemin

    - Trois secondes et demie de Edouard Beaucamp

    Vous pouvez aussi suivre le Saint-Germain-des-Prés sur twitter ( @Cine_StGermain ), et sur Facebook ( https://www.facebook.com/#!/etoilestgermain?fref=ts ).

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  • Nominations pour les Golden Globes 2013: Marion Cotillard, Audiard et Intouchables nommés

    Retrouvez les nominations complètes pour les Golden Globes 2013, catégorie cinéma, sur mon site In the mood for film festivals, en cliquant sur l'image ci-dessous.

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  • Critique "Les Bêtes du sud sauvage" de Benh Zeitlin: le film du mois

    Aujourd'hui vous pourrez découvrir en salles "Les Bêtes du sud sauvage" de Benh Zeitlin qui, parmi une pluie de récompenses, a reçu la caméra d'or du dernier Festival de Cannes , le Grand Prix et le Prix Cartier du dernier Festival du Cinéma Américain de Deauville. Retrouvez ma critique de ce poème universel d'une beauté âpre et flamboyante en cliquant sur l'affiche ci-dessous.

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