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IN THE MOOD FOR NEWS (actualité cinématographique) - Page 55

  • Critique - "La Délicatesse" de David Foenkinos: le livre, en attendant le film...

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    Retrouvez ma critique du film "La Délicatess" de David et Stéphane Foenkinos en cliquant ici

    Le 21 décembre prochain, sortira en salles, "La Délicatesse" de David et Stéphane Foenkinos, un film avec Audrey Tautou, François Damiens, Bruno Todeschini, l'adaptation du roman éponyme du premier qui faisait partie de la sélection du prix des lectrices de Elle 2010 dont je faisais partie du jury et qui était alors mon favori. Je me réjouis donc de cette adaptation. En attendant, retrouvez ci-dessous mes commentaires sur le livre publiés alors.

    delicatesse.jpgJe poursuis mes lectures des livres qui me sont envoyés par le magazine Elle dans le cadre de ma participation à son jury de lectrices du prix littéraire 2010, avec ce mois-ci, 7 livres à lire. J'ai décidé de commencer mes lectures par « La Délicatesse » de David Foenkinos dont je me souvenais de la louable discrétion (là où d'autres cherchaient grossièrement à accaparer l'attention...non, non, je ne citerai pas de noms...) au Forum International Cinéma et Littérature de Monaco (une raison qui en vaut bien une autre :-)).

    « La Délicatesse » est le huitième roman de David Foenkinos. Ce pourrait être un premier. Pour la fraîcheur. Pour son apparente légèreté. Pour le plaisir inédit que sa lecture procure.  

     C'est l'histoire d'une femme qui va être surprise par un homme. Réellement surprise.

     Un livre dont l'auteur ose l'intituler « La délicatesse » dans une société (pas seulement littéraire) souvent brutale, cela force déjà le respect. Un livre qui nous parle des hasards des rencontres, de celles qui vous font d'autant plus chavirer qu'elles sont inattendues voire improbables, cela force l'attention. Et un livre qui nous parle des surprises du destin, cela (ren)force mon intérêt.

     Et puis, surtout, au-delà de la thématique, il y a la délicatesse avec laquelle David Foenkinos décrit ses personnages, ses situations, et avec laquelle son écriture, à la fois pudique et sensuelle, nous charme, progressivement, là et quand on ne l'attend pas comme ce Markus qui, dans le roman, charme Nathalie. Il pourrait aussi être un double de l'auteur puisque c'est avec le langage que Markus charme Nathalie. Avant tout.

     Son écriture sensible émaillée d'une réjouissante fantaisie (aphorismes, digressions aussi savoureuses que décalées) fait de ce roman une passionnante histoire autant qu'une aventure ludique pour le lecteur que Foenkinos, avec, décidément, une délicatesse quasiment amoureuse, n'oublie jamais, ce qui n'est finalement pas si courant...

     Et même s'il est aussi question de deuil, le second degré est là pour dédramatiser, sans pour autant effacer  l'émotion, bel et bien présente, qui nous fait accompagner Nathalie dans sa renaissance amoureuse.

     On se dit que Stéphane Brizé pourrait en faire un très beau film sur le deuil et l'espoir, avec une ironie salutaire qui ne nous touche pas moins en plein cœur, avec douceur, sincérité et humour ... tout en délicatesse donc. Et que ce livre a aussi quelque chose de truffaldien. Finalement intemporel. Il a aussi le charme incomparable des rencontres impromptues.

     Avec Foenkinos, la littérature n'est pas sinistre mais joyeuse car lucide, ludique, romantique, anticonformiste. Et il nous fait croire (ou nous conforte dans l'idée, selon notre degré d'optimisme) que la vie peut agréablement nous surprendre au moment où on s'y attend le moins. Pouvoir inestimable de certains (rares) auteurs...  Je vous le recommande vivement !

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  • Assistez en direct à la conférence de presse de France Télévisions, ce 31 août

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    Une petite information qui pourrait intéresser les plus téléphages d’entre vous, ou tout simplement ceux qui, comme moi, s’intéressent à l’actualité médiatique. Une belle preuve d'ouverture sur l'extérieur et de transparence de la part des chaînes du service public mais aussi d'ancrage dans leur époque, celle de l'interactivité et des réseaux sociaux. A ne pas manquer!

    Ainsi, vous pourrez assister de chez vous à la conférence de presse de France Télévisions qui aura lieu ce mercredi 31 août 2011, une grande première cette année.  Elle sera en effet, et pour la première fois, accessible à tous grâce à un livestream !  Vous pourrez ainsi suivre la conférence  en direct  dès 11h.

     Vous pourrez également poser vos propres questions en laissant  un commentaire sur le Blog Plateautele et(http://plateautele.francetv.fr/com/2011/08/24/la-conference-de-presse-de-rentree-de-france-televisions-ouverte-a-tous/#comments  ) . Deux questions seront ainsi sélectionnées pour être posées le 31 août. Pour celles qui ne pourront être posées en direct, France Télévisions reviendra vers vous vers vous pour vous apporter les réponses. Si toutefois vous ne pouviez pas suivre le livestream, l’équipe de la Com Online live-tweetera également l’événement sur le compte Twitter @francetvdirect avec le hashtag #cfpresseftv et sur la page Facebook de France Télévisions afin de vous livrer des infos et du contenu exclusif et cela dès 10H30.

    En ce qui concerne les conférences de presse respectives de chaque chaine, l’équipe de la Com Online sera présente pour vous faire partager des infos et du contenu inédit. Vous retrouverez ainsi un live-tweet sur le compte Twitter de chaque chaine, même principe pour chaque page Facebook, ainsi que des vidéos et des photos exclusives.

    A ne pas manquer en ce moment sur France Télévisions : "Apocalypse". Retrouvez ma critique ici.

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  • Critique - "The social network" de David Fincher (ce soir, à 20H50, sur canal plus)

    La programmation de "The social network" de David Fincher, ce soir, à 20H50, sur Canal plus, est pour moi l'occasion de vous en proposer à nouveau la critique, ci-dessous.

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    Comment rendre cinématographique un sujet qui ne l’est a priori pas ? Telle est la question que je m’étais posée quand, pour la première fois, j’avais entendu parler du sujet de ce film dont j’avoue qu’il m’avait laissée pour le moins sceptique, un scepticisme toutefois amoindri par le nom du cinéaste à la manœuvre : le talentueux David Fincher par lequel, par le passé, j’ai été plus (« L’étrange histoire de Benjamin Button », « Seven», « The game ») ou moins (« Zodiac ») enthousiasmée.

    Le sujet, c’est donc le site communautaire Facebook ou plutôt l’histoire de sa création et de son créateur Mark Zuckerberg (Jesse Eisenberg), un soir d’octobre 2003 bien arrosé, pour cause de déception sentimentale. Ce dernier pirate alors le système informatique de Harvard pour créer une base de données de toutes les filles du campus. Il est alors accusé d’avoir intentionnellement porté atteinte à la sécurité, aux droits de reproduction et au respect de la vie privée. Son exploit retentissant arrive jusqu’aux oreilles de trois autres étudiants qui avaient un projet similaire à ce qui deviendra Facebook. Mark leur apporte son soutien technique mais surtout s’empare de l’idée et la perfectionne évinçant complètement les trois autres du projet. Ce nouveau site prend une ampleur considérable et inattendue, d’abord à Harvard puis dans les autres universités américaines et finalement dans le monde entier.

     Le film est adapté du livre de Ben Mezrich "The accidental Billionaires ( "La revanche d'un solitaire").

    « The social network » est passionnant à plus d’un titre et cela dès la première scène, un dialogue dont la brillante vivacité accroche immédiatement le spectateur et nous donne la clé de la réussite de Mark Zuckerberg, ou plutôt de sa soif de réussite : une quête éperdue de reconnaissance sociale. Un échange à la vitesse de l’éclair avec sa petite amie qui aboutira à leur rupture et dans lequel il fait preuve d’une sorte de fascination obsessionnelle pour les clubs qui pullulent à Harvard, marque d’ascension sociale aux rites souvent puérils. D’une fascinante intelligence, et d’une saisissante arrogance, son esprit et ses motivations deviennent plus palpitants à suivre que bien des thrillers notamment grâce au montage d’une limpidité virtuose qui mêle plusieurs histoires liées à Mark Zuckerberg et plusieurs temporalités: la création de Facebook et les procès suscités par celle-ci.  

    C’est pour moi avant tout le montage, ingénieusement elliptique, et le scénario (signé Aaron Zorkin) qui font la grande richesse du film, en ce qu’ils apportent un rythme soutenu mais aussi en ce qu’ils illustrent la création de Mark Zuckerberg : Facebook où les informations fusent et s’entrecroisent. Le film, à l’image du créateur et de sa création, passe d’une idée à une autre à une rythme frénétique. Génération Facebook où tout doit aller vite, une idée ( ou un-e- ami-e-) en remplacer un(e) autre.

    Montage, scénario, interprétation (Jesse Eisenberg mais aussi Justin Timberlake dans le rôle du fondateur de Napster, ou encore Andrew Garfield dans le rôle d’Eduardo, l’ami jalousé-jaloux et trahi) sont la grande réussite de ce film au sujet a priori improbable, un film sur un sujet générationnel dont c’est d’ailleurs peut-être la limite même si les autres thèmes qu’il illustre ( trahison, prix et moteurs de la réussite ) restent universels.

    L’idée brillante est certainement d’avoir réalisé un film à l’image de son sujet (Marck Zuckerberg) et de son objet (Facebook),  égocentrique, centré sur lui-même  et qui redoute l’ennui, le temps mort, plus que tout et n’en laisse donc aucun  plongeant le spectateur dans un flux hypnotisant (plus que captivant, à l’image de Facebook, là encore) d’informations. La forme judicieuse fait apparaître la confusion significative entre le créateur et sa création,  Mark Zuckerberg et Facebook.  Milliardaire solitaire dont la réussite s’apparente  à un échec (qui n’est pas sans rappeler le héros d’un autre film de David Fincher) et qu’illustre parfaitement la redoutable dernière scène. Le créateur est alors à l’image de la création phénomène qu’il a engendrée : l’outil d’une communication à outrance qui finalement isole plus qu’elle ne rassemble et qui n’est qu’un voile flatteur mais illusoire sur une criante solitude.

    Un brillant film générationnel qui est aussi une ingénieuse parabole et qui témoigne une nouvelle fois de l’éclectisme du talent de David Fincher et qui aura même sans doute valeur sociologique mais qui, en revanche, ne mérite pas l’appellation de « film de l’année » qui me laisse perplexe… sans doute l’aspect très narcissique qui flatte l’ego d’une génération qui se reconnait dans cet entrepreneur certes brillant mais effroyablement, cyniquement et sinistrement avide de reconnaissance.

    Précisons enfin que Mark Zuckerberg a désavoué le film qui, s’il nuit au créateur de Facebook, devrait encore davantage populariser sa création.

     Ci-dessous, le vrai Mark Zuckerberg évoque "The social network".


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  • Palmarès du Festival du Film Francophone d'Angoulême 2011

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    Je vous parlais il y a quelques jours du programme de ce festival créé en 2008 à l’initiative de Marie-France Brière, Dominique Besnehard et Patrick Mardikian. C'est (une fois de plus!) "La guerre est déclarée" de Valérie Donzelli qui reçoit la principale récompense du festival (le Valois d'or) après son couronnement à Cabourg puis à Paris Cinéma.

    Valois du Public

    Présumé coupable de Vincent Garenq

     Valois Magelis (désigné par le jury d’étudiants des écoles de l’image d’Angoulême)

    Pour l’amour de Dieu de Micheline Lanctôt

     Valois René Laloux

    Pour La détente de Bertrand Bey

     Valois de l’actrice

    Nadine Labaki pour son rôle dans Balle perdue de Georges Hachem

    Madeleine Peloquin pour son rôle dans Pour l’amour de Dieu de Micheline Lanctôt

     Valois de l’acteur

    Philippe Torreton pour son rôle dans Présumé coupable

     Valois de la mise en scène

    Pierre Shoeller pour son film L’exercice de l’Etat

     Valois d’Or

    La guerre est déclarée de Valérie Donzelli

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  • Critique de "Whatever works" de Woody Allen (ce soir sur Ciné+ premier/20H40)

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    Après des films aussi divers et réussis que « Match point », « Scoop », « Le rêve de Cassandre », « Vicky Cristina Barcelona » qui se sont enchaînés au rythme frénétique d’une réalisation par an, comment Woody Allen pouvait-il encore nous étonner ? Tout simplement en revenant à New York après la magistrale trilogie londonienne (« Match point » restant pour moi la perfection scénaristique, encore inégalée) et après son escapade espagnole.

    Boris Yellnikoff (Larry David), double woody allenien ( que le réalisateur n’incarne pas cette fois laissant donc la place à  Larry David) est un presque Prix Nobel, il a en effet  raté  sa carrière comme son mariage et son suicide. Un soir, une jeune fugueuse répondant au doux nom de Melody (Evan Rachel Wood), affamée et frigorifiée, lui demande de l’héberger. Alors qu’elle ne devait rester que quelques nuits, elle s’installe pour finalement former un étrange couple avec ce Boris aussi futé et misanthrope qu’elle est ingénue et joyeuse.  Le génie de la physique finira même par épouser la pétulante jeune femme.  Tout se complique quand Marietta (Patricia Clarkson), la mère de la jeune femme, débarque à l’improviste…

     A 73 ans, Woody Allen semble plus que jamais peu soucieux des conventions, qu’elles soient morales ou cinématographiques, et fait preuve d’une liberté toujours aussi étonnante et réjouissante pour le spectateur.

     Dès la première séquence dans laquelle Boris quitte les amis avec lesquels il était attablé pour s’adresser directement au spectateur face caméra, on retrouve sa verve inimitable dans un monologue qui brasse avec brio, ironie, mordant et lucidité les préoccupations existentielles récurrentes et universelles du réalisateur toujours aussi hypocondriaque et savoureusement cynique.

     Même si jamais personne, à commencer par lui-même, ne sublimera autant Manhattan qu’il y est parvenu dans le film éponyme, il parvient encore à nous faire découvrir New York sous un angle différent et enchanteur, sa caméra incisive en épousant la bouillonnante et frémissante vitalité.

    Les personnalités excentriques des deux personnages principaux (mais aussi des personnages secondaires) sont pour beaucoup dans cette réussite : Larry David joue comme Woody Allen à s’y méprendre, un être boiteux dans tous les sens du terme, aussi exécrable qu’attendrissant et Evan Rachel Wood joue à merveille la sympathique écervelée, succédant à Scarlett Johansson, sans démériter.

     Les dialogues et les monologues de Larry David sont une réjouissance perpétuelle et un air de Beethoven nous montre une nouvelle fois avec quelle maestria il sait fait valser magie et ironie de l’existence.

    Hymne à la liberté, qu’elle soit amoureuse ou artistique, qui n’est pas sans faire écho à son film précèdent, le sensuel (et à mon avis néanmoins plus réussi que celui-ci)  « Vicky Cristina Barcelona », ce « Whatever works »  est aussi  un hymne à la vie et à ses « hasards dénués de sens » que Woody Allen manie et célèbre avec subtilité pour faire basculer le cynisme en optimisme, et si la religion est ici, à nouveau, une cible délectable , il croit au moins en une chose et nous y fait croire avec talent : le pouvoir de la liberté et des hasards qui font que « ça marche », peu importe comment…  Le hasard peut, aussi, bien faire les choses et l’incertitude existentielle n’est pas forcément source de tourments semble admettre et nous faire admettre Woody Allen dans un accès communicatif d’optimisme, voire d’insolente liberté.

     Et même s’il s’agit là d’un Woody Allen mineur, comme le répète Larry David « l’important c’est que ça marche ».  Woody Allen fait, encore une fois, preuve d’une impertinence et d’une énergie débordante que bien des jeunes cinéastes pourraient lui envier et qui nous font attendre le prochain avec une impatience toujours grandissante.

    Et cliquez ici pour retrouver mon dossier complet consacré à Woody Allen

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  • 4ème édition du Festival du Film Francophone d'Angoulême du 24 au 28 août 2011

    Créé en 2008 à l’initiative de Marie-France Brière, Dominique Besnehard et Patrick Mardikian , le Festival du Film Francophone d’Angoulême lancera, pour la 4ème année, la « rentrée cinématographique » avec au programme : la promotion du cinéma francophone et l’émergence de nouveaux talents notamment par le biais de la compétition, un focus Pierre Salvadori, un hommage à la Tunisie et de nombreux autres rendez-vous que je vous invite à découvrir sur le site officiel du festival : http://www.filmfrancophone.fr , vous y verrez aussi les prix des entrées vraiment attractifs...donc aucune raison de vous en priver.

     Parmi les films en avant-première "Et maintenant on va où" de Nadine Labaki dont je vous avais parlé lors du dernier Festival du Film de Cabourg, et que je vous recommande.

    Le jury sera cette année présidé par Vincent Perez (retrouvez ici mon compte rendu de mon interview de celui-ci pour la sortie de « Un baiser papillon »),

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  • Mission Paris Deauville : une campagne vidéo originale de Intercités SNCF

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    mission3.jpgJe vous ai déjà parlé du concours organisé par Intercités SNCF pour remporter votre pass pour le festival.

     Aujourd'hui, je vous conseille vivement de découvrir la vidéo mise en ligne sur la page "Mission Deauville", une vidéo interactive et ludique qui reprend avec humour et malice les codes du cinéma américain...bref une publicité réussie.

    Sur cette même page, vous pourrez aussi gagner vos pass pour le festival et réserver votre train pour Deauville ou simplement consulter les horaires.

    N'attendez plus pour prendre votre billet pour ce site, là: http://www.missionparisdeauville.com/#/fr/accueil et retrouvez également Intercités sur Facebook pour de nombreuses informations sur le festival et d'autres pass à gagner: https://www.facebook.com/#!/SNCFIntercites

    Et n'oubliez pas de me suivre en direct de Deauville sur:

    http://www.inthemoodfordeauville.com

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