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IN THE MOOD FOR NEWS (actualité cinématographique) - Page 58

  • Avant-premières de " Harry Potter et les reliques de la mort - 2ème partie "

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    En attendant ma critique en avant-première de " Harry Potter et les reliques de la mort - 2ème partie" dès ce week end.

    Pour célébrer la sortie de l’ultime volet de l’aventure Harry Potter, Warner Bros. France organise la plus grande avant-première d’un film en 3D, Mardi 12 juillet au Palais Omnisport de Paris-Bercy,ainsi qu’une série d’événements en salles. Pour le final de la plus grande aventure de l’histoire du cinéma, Warner Bros. France a choisi un lieu à la hauteur de l’événement et organise la plus grande avant-première française d’un film en 3D, mardi 12 juillet au Palais Omnisport de Paris Bercy. Plus de 7 000 fans prendront part à l’événement en présence des membres suivants de l’équipe du film :   -          Jason Isaacs (Lucius Malefoy)-          James & Oliver Phelps (Fred et George Weasley)-          Clémence Poésy (Fleur Delacour)-          Evanna Lynch (Luna Lovegood)-          Mark Williams (Arthur Weasley)-          Natalia Tena (Nymphadora Tonks)-          Domhnall Gleeson (Bill Weasley)

    Par ailleurs, Près de 250 salles de cinéma en France projetteront HARRY POTTER ET LES RELIQUES DE LA MORT, 2ème Partie, mardi 12 juillet à minuit. A cette occasion certaines d’entre elles programmeront également la 1ère Partie du dernier épisode dès 21h. La liste des salles est consultable sur http://www.fnacspectacles.com/harrypotter

    Enfin, Le cinéma Le Grand Rex à Paris adopte les couleurs d’Harry Potter en programmant une rétrospective de tous les épisodes de la saga à partir du lundi 11 juillet. Cette programmation spéciale s’achèvera également le 12 juillet à minuit avec la séance spéciale de HARRY POTTER ET LES RELIQUES DE LA MORT, 2ème Partie.

    Retrouvez mon dossier spécial "Harry Potter et les reliques de la mort - 1ère partie ": http://www.inthemoodforcinema.com/archive/2010/11/22/harry-potter-et-les-reliques-de-la-mort-critique-avant-premi.html

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  • Bande-annonce de "Cheval de guerre" le prochain film de Steven Spielberg

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    En attendant mon prochain compte rendu en direct du Festival Paris Cinéma 2011, une petite bande-annonce, celle de "Cheval de guerre"qui sortira au cinéma le 23 février 2012.

    Synopsis: "Cheval de guerre" est le nouveau film événement des studios DreamWorks réalisé par Steven Spielberg, est une aventure à grand spectacle pour tous, une formidable odyssée où s’entremêlent l’amitié, la découverte et le courage.À la veille de la Première Guerre mondiale, le jeune Albert mène une existence paisible dans une ferme anglaise avec son cheval, Joey, qu’il adore. Mais le père d’Albert décide de vendre Joey à la cavalerie britannique, et le cheval se retrouve bientôt sur le front français. L’animal entame alors une extraordinaire aventure en plein conflit. En dépit des obstacles qu’il rencontre à chaque pas, Joey va changer la vie de ceux dont il croise la route. Incapable d’oublier son ami, Albert quitte la ferme et rejoint à son tour le champ de bataille dans l’espoir de retrouver son cheval et de le ramener chez lui.

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  • Programme du Festival Lumière de Lyon 2011 : le Prix Lumière 2011 pour Gérard Depardieu

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    En 3 ans, le Festival Lumière de Lyon a réussi à s'imposer comme un des grands rendez-vous de l'année professionnelle avec à chaque fois une programmation remarquable... Pas tellement étonnant lorsque l'on sait que le directeur de l'Institut Lumière se nomme... Thierry Frémaux.  Le festival aura lieu du 3 au 9 octobre. Après Clint Eastwood la première année du festival et Milos Forman l'an passé, c'est Gérard Depardieu qui sera à l'honneur pour cette nouvelle édition du festival, il recevra son prix le samedi 8 octobre. Thierry Frémaux a ainsi expliqué ce choix:

    Gérard Depardieu est un homme très populaire, très vu, très aimé mais qui n'a jamais reçu vraiment d'hommage. Il nous a semblé que la place qu'il occupe dans l'histoire du cinéma français et ce que avec lui on peut redire de ce qu'est le cinéma français des années 70, 80, 90 noussemble être un prétexte formidable pour l'acceuillir ici. Il adore Lyon et a accepté très rapidement alors qu'il a souvent refusé d'être honoré. Il faudra que plus qu'un hommage se soit une fête car il a encore beaucoup de choses à faire."

    Au programme également cette année:

    -190 séances dans 36 cinémas

    -une nuit de la science fiction sur le thème de la Terre à la Lune le vendredi 7 octobre avec : Voyage dans la Lune de Georges Méliès (1902), Blade Runner de Ridley Scott (1983) ou Soleil vert de Richard Fleischer (1973) )

    - une soirée pour les enfants avec la projection de La Guerre des Boutons d'Yves Robert (1962)

    -une rétrospective des films restaurés de Jacques Becker et de Kevin Brownlow, William Wellman

     -une sélection de films de Yakuza

     -le mercredi 5 octobre un ciné-concert avec la projection du film de Rex Ingram Les Quatre Cavaliers de l'Apocalypse (1921) accompagné par l'Orchestre national de Lyon.

    -Des projections de classiques en présence des réalisateurs

    : Le Sucre de Jacques Rouffio (1978)
    La Fiancée du pirate de Nelly Kaplan (1969)
    Le Sauvage de Jean-Paul Rappeneau (1975

    -Présentation de Corman’s World : Exploits of a Hollywood Rebel d’Alex Stapleton (2011)En présence de Roger Corman et Alex Stapleton.
    Vous connaîtrez le programme définitif fin août mais pouvez d'ores et déjà réserver vos places pour la cérémonie d'ouverture et pour la séance jeune public.

    Plus de renseignements sur www.festival-lumiere.org

  • La nouvelle page Facebook d'Inthemoodfordeauville.com

    dea7.jpgAfin de ne pas créer de confusion avec la page Facebook officielle du Festival du Cinéma Américain de Deauville, j'ai supprimé ma propre page qui portait le même nom pour en créer une nouvelle intitulée "In the mood for Deauville" associée à mon blog entièrement consacré aux festivals de Deauville: http://www.inthemoodfordeauville.com sur lequel vous pourrez bien entendu suivre en direct le prochain Festival du Cinéma Américain de Deauville.

    Vous étiez presque 1000 membres inscrits à l'ancienne page. J'espère que vous serez bientôt autant à être abonnés à celle-ci. Je compte sur vous pour la faire connaître.

    Vous y trouverez toutes les informations sur le festival, des concours exclusifs, des liens vers mes articles et ce sera également un lieu de débat sur le Festival de Deauville.

    Voici l'adresse de cette nouvelle page consacrée aussi bien au Festival du Cinéma Américain qu'au Festival du Film Asiatique de Deauville : https://www.facebook.com/#!/inthemoodfordeauville .

    Vous pouvez également vous inscrire à mon compte twitter dédié aux festivals de Deauville : http://twitter.com/moodfdeauville .

     

     
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  • Bande annonce finale de "Harry Potter 7" ("Harry Potter et les reliques de la mort - partie 2")

    Je vous invite à découvrir la bande-annonce de Harry Potter 7 en salles le 13 juillet. A cette occasion, je vous proposerai également dans la journée deux places à gagner ainsi qu'un DVD de la première partie de "Harry Potter et les reliques de la mort". En attendant découvrez la bande-annonce ci-dessus et retrouvez ma critique de "Harry Potter et les reliques de la mort - parite 1" en cliquant ici.

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  • Critique de "Un homme et une femme" de Claude Lelouch, palme d'or du Festival de Cannes 1966

    Claude Lelouch a obtenu (parmi de très nombreux prix) la palme d'or du Festival de Cannes 1966 avec "Un homme et une femme"  ex-aequo avec "Ces messieurs dames" de Pietro Germo, en 1966.  J'en profite pour vous rappeler que le documentaire  sur les 50 ans de carrière de Claude Lelouch "D'un film à l'autre" est actuellement à l'affiche et que vous pouvez en retrouver ma critique, ici.

     

     

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    Je ne sais plus très bien si j'ai vu ce film avant d'aller à Deauville, avant que cette ville soit indissociablement liée à tant d'instants de mon existence, ou bien si je l'ai vu après, après que mon premier séjour à Deauville, il y a 17 ans, ait modifié le cours de mon « destin »... Toujours est-il qu'il est impossible désormais de dissocier Deauville du film de Claude Lelouch qui a tant fait pour sa réputation, « Un homme et une femme » ayant créé la légende du réalisateur comme celle de la ville de Deauville, et notamment sa réputation de ville romantique à tel point qu'il y a 4 ans, pendant le Festival du Cinéma Américain 2006, a été inaugurée une place Claude Lelouch, en sa présence et celle d'Anouk Aimée. J'étais présente ce jour-là et l'émotion et la foule étaient au rendez-vous.

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    Alors sans doute faîtes-vous partie de ceux qui adorent ou détestent Claude Lelouch, ses « instants de vérité », ses hasards et coïncidences. Rares sont ceux qu'il indiffère. Placez son nom dans une conversation et vous verrez. Quelle que soit la catégorie à laquelle vous appartenez, peut-être ce film « d'auteur » vous mettra-t-il d'accord...

    Le 13 septembre 1965, Claude Lelouch est désespéré, son dernier film ayant été un échec. Il prend alors sa voiture, roule jusqu'à épuisement en allant vers Deauville où il s'arrête à 2 heures du matin en dormant dans sa voiture. Réveillé le matin par le soleil, il voit une femme depuis sa voiture, étonné de la voir marcher avec un enfant et un chien. Sa « curiosité est alors plus grande que la tristesse ». Il commence à imaginer ce que peut faire cette femme sur cette plage, avec son enfant, à cette heure matinale. Cela donnera « Un homme et une femme ».

    Synopsis : Anne (Anouk Aimée), scripte, inconsolable depuis la mort de son mari cascadeur Pierre (Pierre Barouh), rencontre à Deauville, en allant chercher sa fille à la pension, un coureur automobile, Jean (Jean-Louis Trintignant), dont la femme s'est suicidée par désespoir. Jean raccompagne Anne à Paris. Tous deux sont endeuillés, et tous deux ont un enfant. C'est l'histoire d'un homme et d'une femme qui s'aiment, se repoussent, se retrouvent et s'aiment encore...

     J'ai vu ce film un grand nombre de fois, tout à l'heure encore et comme à chaque fois, avec le même plaisir, la même émotion, le même sentiment de modernité pour un film qui date de 1966, étonnant pour un cinéaste dont beaucoup de critiques raillent aujourd'hui le classicisme. Cette modernité est bien sûr liée à la méthode Claude Lelouch d'ailleurs en partie la conséquence de contraintes techniques et budgétaires. Ainsi, Lelouch n'ayant pas assez d'argent pour tourner en couleurs tournera les extérieurs en couleurs et les intérieurs en noir et blanc. Le montage et les alternances de noir et blanc et de couleurs jouent alors habilement avec les méandres du temps et de la mémoire émotive, entre le présent et le bonheur passé qui ressurgit sans cesse.

    Je ne sais pas si « le cinéma c'est mieux que la vie » mais en tout cas Claude Lelouch fait partie de ceux dont les films et surtout « Un homme et une femme » nous la font aimer.  Rares sont les films qui donnent à ce point la sensation de voir une histoire d'amour naître et vibrer sous nos yeux, d'en ressentir -partager, presque- le moindre battement de cœur ou le moindre frémissement de ses protagonistes, comme si la caméra scrutait les visages et les âmes. Par une main qui frôle une épaule si subtilement filmée. Par le plan d'un regard qui s'évade et s'égare. Par un sourire qui s'esquisse. Par des mots hésitants ou murmurés. Par la musique éternelle de Francis Lai (enregistrée avant le film) qui nous chavire le cœur. Par une photographie aux accents picturaux qui sublime Deauville filmée avec une lumière nimbée de mélancolie, des paysages qui cristallisent les sentiments de Jean-Louis et d'Anne, fragile et paradoxalement impériale, magistralement (dirigée et) interprétée par Anouk Aimée. Rares sont les films qui procurent cette impression de spontanéité, de vérité presque. Les fameux « instants de vérité » de Lelouch.

    Et puis il y a le charme incomparable du couple Anouk Aimée/ Jean-Louis Trintignant, le charme de leurs voix, notamment quand Jean-Louis Trintignant prononce « Montmartre 1540 ». Le charme et la maladresse des premiers instants cruciaux d'une histoire d'amour quand le moindre geste, la moindre parole peuvent tout briser. Et puis ces plans fixes, de Jean-Louis dans sa Ford Mustang (véritable personnage du film), notamment lorsqu'il prépare ce qu'il dira à Anne après qu'il ait reçu son télégramme. Et puis ces plans qui encerclent les visages et en capturent la moindre émotion. Ce plan de cet homme avec son chien qui marche dans la brume et qui  fait penser à Giacometti (pour Jean-Louis). Tant d'autres encore...

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     Avec « Un homme et une femme » Claude Lelouch a signé une histoire intemporelle, universelle avec un ton très personnel et poétique. La plus simple du monde et la plus difficile à raconter. Celle de la rencontre d'un homme et une femme, de la rencontre de deux solitudes blessées. Il prouve que les plus belles histoires sont les plus simples et que la marque du talent est de les rendre singulières et extraordinaires.

    Alors pour reprendre l'interrogation de Jean-Louis dans le film citant Giacometti « Qu'est-ce que vous choisiriez : l'art ou la vie » Lelouch, n'a certainement pas choisi, ayant réussi a insufflé de l'art dans la vie de ses personnages et de la vie dans son art. Voilà c'est de l'art qui transpire la vie.

    Alors que Claude Lelouch a tourné sans avoir de distributeur, sans même savoir si son film sortirait un jour, il obtint la palme d'or à Cannes en 1966, l'oscar du meilleur film étranger et celui du meilleur scénario et 42 récompenses au total et aujourd'hui encore de nombreux touristes viennent à Deauville grâce à « Un homme et une femme », le film, mais aussi sa musique mondialement célèbre. Vingt ans après, Claude Lelouch tourna une suite « Un homme et une femme 20 ans déjà » réunissant à nouveau les deux protagonistes. Je vous en parle très bientôt.

     Retrouvez le DVD du film sur Price Minister: http://www.priceminister.com/offer/buy/1495439/Un-Homme-Et-Une-Femme-DVD-Zone-2.html 

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  • Critique - "Eyes of war" de Danis Tanovic demain à 20H50 sur Canal+

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    Huit ans après le succès (mérité) de “No man’s land” qui mêlait habilement humour noir et gravité (prix du scénario au Festival de Cannes et Oscar du meilleur film étranger en 2002), Danis Tanovic revient au sujet qui l’a fait connaître, la guerre, cette fois plus en Bosnie mais au Kurdistan où Mark (Colin Farrell) et David (Jamie Sives), photographes de guerre, sont envoyés en mission. Le premier recherche avec obsession et avidité le cliché qui le rendra célèbre; le second dont la femme, Diane (Kelly Reilly) est enceinte, est las de toute cette violence et souhaite que cette mission soit la dernière…

    Ayant débuté comme documentariste en Bosnie dont il est originaire, Danis Tanovic connaît ce dont il parle : cette soif insatiable et irrépressible d’images, plus forte que le dégoût inspiré par le désespoir et la violence. Cette trompeuse sensation que l’appareil photo protège de la périlleuse réalité. Et sans doute ce sentiment de culpabilité qui ronge et rend si âpre le retour à la vie « normale ».

    « Eyes of war » n’est pourtant pas un documentaire mais bel et bien une fiction dont cette plongée dans les yeux de la guerre et de l’horreur ne constitue que la première demi-heure même si des flashbacks nous y ramèneront, la suite se déroulant dans la grisâtre ville de Dublin, comme un écho à l’état d’esprit tourmenté de Mark.  De la Bosnie où un médecin aux frontières de la folie est obligé de tuer pour sauver des vies après une sélection des survivants d’une cruauté innommable, à l’Afrique où Mark se retrouve confronté à des charniers humains en passant par le Liban où un enfant meurt en partie par sa faute et sous ses yeux, la guerre apparaît dans toute son horreur dramatiquement universelle. Une guerre qui ne quitte jamais tout à fait ceux qui l’ont eue devant les yeux, et qui ne s’arrête surtout pas à la porte de leur domicile.  Mark et le personnage de Joaquin Morales (Christopher Lee) incarnent deux visages de cette guerre, complexes et à jamais marqués, et dont les effets ne s’arrêtent pas  au temps et au terrain du déroulement des conflits.

    Ces yeux de la guerre, ce sont ceux de Colin Farrell, décharné, amaigri de 20 kgs, portant en lui les stigmates psychiques indélébiles des conflits auxquels il a assisté et que son regard reflète de manière saisissante.  Il porte le film sur ses épaules accablées et malgré certaines lourdeurs scénaristiques et malgré certains inutiles effets de mise en scène en contradiction avec la dureté du sujet (sans doute aussi là pour l’atténuer), par l’intensité de son jeu, il le rend terriblement touchant.

    Dommage que Danis Tanovic s’interroge sur les motivations de Mark sans vraiment y répondre, préférant s’attarder sur les conséquences et le poids de la culpabilité (comme Jim Sheridan dans l’excellent « Brothers » il y a quelques mois). Un hommage aux meurtris de la guerre à travers le portrait émouvant et lucide des reporters de guerre et de  celles qui partagent leurs vies (ici interprétées par Paz Vega et Kelly Reilly toutes deux très justes ) dont les faiblesses scénaristiques et de mise en scène sont occultées par l’interprétation magistrale de l’acteur principal qui dans son regard si expressif reflète toute l’horreur ineffable d’images ineffaçables.

     
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