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Par Sandra Mézière. Le 7ème art raconté avec passion depuis 2003. 4000 articles. Festivals de cinéma en direct : Deauville, La Baule, Cannes, Dinard...Critiques de films : avant-premières, à l'affiche, classiques. Actualité de romancière. Podcast.
IN THE MOOD FOR NEWS (actualité cinématographique) - Page 96
Une petite bande-annonce (particulièrement réussie d'ailleurs) pour patienter avant d'autres critiques de films à l'affiche et de classiques ce week end, et un nouveau concours (je vous rappelle que trois concours sont en ligne actuellement avec des places à gagner pour "Des hommes et des dieux", pour "Benda Bilili" mais aussi des CD de "Benda Bilili" et des DVD de "Green zone").
Synopsis: Paul Exben a tout pour être heureux: une belle situation professionnelle, une femme et deux enfants magnifiques. Sauf que cette vie n'est pas celle dont il rêvait. Un coup de folie va faire basculer son existence, l'amenant à endosser une nouvelle identité qui va lui permettre de vivre sa vie.
Si cette année encore j'ai opté pour le Festival du Cinéma Américain de Deauville , il n'est pas impossible que ce soit pour la 17ème et dernière année et que l'an prochain je me décide enfin à céder à la tentation vénitienne. Si auparavant les équipes de films américaines faisant le voyage pour Venise passaient également par Deauville, c'est devenu de plus en plus rare avec pour preuve les films américains très attendus qui, cette année encore, seront projetés à Venise et non à Deauville comme ceux de Sofia Coppola , Darren Aronofsky (qui avait pourtant projeté à Deauville le magnifique "The Fountain") sans oublier les présences de Vincent Gallo ou Ben Affleck ( qui présentera son film The Town, hors compétition, aux côtés de son frère Casey qui, lui , viendra présenter son documentaire sur la fausse retraite de Joaquin Phoenix.)
Comme chaque année les festivals de Deauville et Venise se chevauchent puisque le premier se déroulera du 3 au 12 septembre et le second du 1er au 11 septembre.
Je vous rappelle que c'est Quentin Tarantino qui présidera le jury de cette 67ème Mostra (A quand un grand cinéaste américain dans le jury à Deauville?) et notamment composé de Guillermo Arriaga, Ingeborga Dapkunaite, Arnaud Desplechin, Danny Elfman, Luca Guadagnino, Gabriele Salvatores.
La sélection de cette 67ème Mostra est donc encore une fois particulièrement alléchante.
Voici la liste (impressionnante)des films en compétition pour le Lion d'or:
Black Swande Darren Aronofsky (film d’ouverture)
La pecora Nerade Ascanio Celestini
Somewherede Sofia Coppola
Happy Fewde Antony Cordier
La solitude des nombres premiersde Saverio Costanzo
Silent soulsde Aleksei Fedorchenko
Promises writen in waterde Vincent Gallo
Road to nowherede Monte Hellman
Balada triste de trompetade Alex de la Iglesia
Venus noirde Abdellatif Kechiche
Post mortemde Pablo Larrain
Barney's versionde Richard J. Lewis
We believed de Mario Martone
La passionede Carlo Mazzacurati
13 Assassinsde Takashi Miike
Potichede François Ozon
Meek's cutoffde Kelly Reichardt
Miralde Julian Schnabel
Norvegian woodde Tran Anh Hung
Attenbergde Athnia Rachel Tsangari
Detective Dee and the mystery of Phantom Flamede Tsui Hark
Threede Tom Tykwer
Egalement au programme:
- Un hommage à Denis Hopper sera rendu (avec projection de son film The Last Movie (1971).)
- Machete, de Robert Rodriguez en séance de minuit
- Martin Scorsese présentera son documentaire A letter to Elia
-John Turturro présentera son documentaire : Passione
-Catherine Breillat ouvrira Orizzonti, une sélection dédiée aux nouveautés indépendantes, avec La belle endormie
-Oki's movie, d' Hong Sang-Soo clôturera Orizzonti,
- Vincent Gallo présentera Agent
- Nicolas Provost présenterai Stardust (film expérimental réunissant Jack Nicholson , Dennis Hopper et John Voight ).
- Une rétrospective dédiée à la comédie italienne est programmée tout au long du festival
France 2 consacrera une soirée à Romy Schneider, le mardi 7 septembre à partir de 20h35 .
En première partie de soirée sera diffusé un numéro inédit de "Un jour, un destin" présenté par Laurent Delahousse et à 22h25, France 2 rediffusera "La piscine" de Jacques Deray, un film que je vous recommande à nouveau et dont vous pourrez lire ma critique ci-dessous.
CRITIQUE DE LA PISCINE DE JACQUES DERAY
Ce film date de 1968, c’est déjà tout un programme. Il réunit Maurice Ronet, Alain Delon, Romy Schneider, Jane Birkin dans un huis-clos sensuel et palpitant, ce quatuor est déjà une belle promesse.
Marianne (Romy Schneider) et Jean-Paul (Alain Delon) passent en effet des vacances en amoureux dans la magnifique villa qui leur a été prêtée sur les hauteurs de Saint-Tropez. L’harmonie est rompue lorsqu’arrive Harry (Maurice Ronet), ami de Jean-Paul et de Marianne chez lequel ils se sont d’ailleurs rencontrés, cette dernière entretenant le trouble sur la nature de ses relations passées avec Harry. Il arrive accompagné de sa fille de 18 ans, la gracile et nonchalante Pénélope (Jane Birkin).
« La piscine » fait partie de ces films que l’on peut revoir un nombre incalculable de fois (du moins que je peux revoir un nombre incalculable de fois) avec le même plaisir pour de nombreuses raisons mais surtout pour son caractère intelligemment elliptique et son exceptionnelle distribution et direction d’acteurs.
Dès les premières secondes la sensualité trouble et la beauté magnétique qui émane du couple formé par Romy Schneider et Alain Delon, la langueur que chaque plan exhale plonge le spectateur dans une atmosphère particulière, captivante. La tension monte avec l’arrivée d’Harry et de sa fille, menaces insidieuses dans le ciel imperturbablement bleu de Saint-Tropez. Le malaise est palpable entre Jean-Paul et Harry qui rabaisse sans cesse le premier, par une parole cinglante ou un geste méprisant, s’impose comme si tout et tout le monde lui appartenait, comme si rien ni personne ne lui résistait.
Pour tromper le langoureux ennui de l’été, un jeu périlleusement jubilatoire de désirs et de jalousies va alors commencer, entretenu par chacun des personnages, au péril du fragile équilibre de cet été en apparence si parfait et de leur propre fragile équilibre, surtout celui de Jean-Paul, interprété par Alain Delon qui, comme rarement, incarne un personnage vulnérable à la sensualité non moins troublante. L’ambiguïté est distillée par touches subtiles : un regard fuyant ou trop insistant, une posture enjôleuse, une main effleurée, une allusion assassine. Tout semble pouvoir basculer dans le drame d’un instant à l’autre. La menace plane. L’atmosphère devient de plus en plus suffocante.
Dès le début tout tourne autour de la piscine : cette eau bleutée trompeusement limpide et cristalline autour de laquelle ils s’effleurent, se défient, s’ignorent, s’esquivent, se séduisent autour de laquelle la caméra virevolte, enserre, comme une menace constante, inéluctable, attirante et périlleuse comme les relations qui unissent ces 4 personnages. Harry alimente constamment la jalousie et la susceptibilité de Jean-Paul par son arrogance, par des allusions à sa relation passée avec Marianne que cette dernière a pourtant toujours niée devant Jean-Paul. Penelope va alors devenir l’instrument innocent de ce désir vengeur et ambigu puisqu’on ne sait jamais vraiment si Jean-Paul la désire réellement, s’il désire atteindre Harry par son biais, s’il désire attiser la jalousie de Marianne, probablement un peu tout à la fois, et probablement aussi se raccrochent-ils l’un à l’autre, victimes de l’arrogance, la misanthropie masquée et de la désinvolture de Harry. C’est d’ailleurs là que réside tout l’intérêt du film : tout insinuer et ne jamais rien proclamer, démontrer. Un dialogue en apparence anodin autour de la cuisine asiatique et de la cuisson du riz alors que Jean-Paul et Penelope reviennent d’un bain nocturne ne laissant guère planer de doutes sur la nature de ce bain, Penelope (dé)vêtue de la veste de Jean-Paul dans laquelle elle l’admirait de dos, enlacer Marianne, quelques jours auparavant, est particulièrement symptomatique de cet aspect du film, cette façon d’insinuer, cette sensualité trouble et troublante, ce jeu qui les dépasse. Cette scène entremêle savoureusement désirs et haines latents. Les regards de chacun : respectivement frondeurs, évasifs, provocants, dignes, déroutés… font que l’attention du spectateur est suspendue à chaque geste, chaque ton, chaque froncement de sourcil, accroissant l’impression de malaise et de fatalité inévitable.
Aucun des 4 personnages n’est délaissé, la richesse de leurs psychologies, de la direction d’acteurs font que chacune de leurs notes est indispensable à la partition. La musique discrète et subtile de Michel Legrand renforce encore cette atmosphère trouble. Chacun des 4 acteurs est parfait dans son rôle : Delon dans celui de l’amoureux jaloux, fragile, hanté par de vieux démons, d’une sensualité à fleur de peau, mal dans sa peau même, Romy Schneider dans celui de la femme sublime séductrice dévouée, forte, provocante et maternelle, Jane Birkin dont c’est le premier film français dans celui de la fausse ingénue et Maurice Ronet dans celui de l’ « ami » séduisant et détestable, transpirant de suffisance et d’arrogance…et la piscine, incandescente à souhait, véritable « acteur ». Je ne vous en dirai pas plus pour ne pas lever le voile sur les mystères qui entourent ce film et son dénouement.
Deray retrouvera ensuite Delon à 8 reprises notamment dans « Borsalino », « Flic story », « Trois hommes à abattre »… mais « La piscine » reste un film à part dans la carrière du réalisateur qui mettra en scène surtout un cinéma de genre.
Neuf ans après « Plein soleil » de René Clément (que je vous recommande également), la piscine réunit donc de nouveau Ronet et Delon, les similitudes entres les personnages de ces deux films sont d’ailleurs nombreuses et le duel fonctionne de nouveau à merveille.
Un chef d’œuvre dont le « Swimming pool » de François Ozon apparaît comme une copie détournée, certes réussie mais moins que l’original. En lisant récemment « UV » de Serge Joncour je me dis que cette piscine-là n’a pas fini d’inspirer écrivains, scénaristes et réalisateurs mais qu’aucune encore n’a réussi à susciter la même incandescence trouble.
Un film sensuel porté par des acteurs magistraux, aussi fascinants que cette eau bleutée fatale, un film qui se termine par une des plus belles preuves d’amour que le cinéma ait inventé. A voir et à revoir. Plongez dans les eaux troubles de cette « piscine » sans attendre une seconde !
Encore un peu en vacances, une petite bande-annonce (en vo et vf) pour vous faire patienter en attendant le retour des critiques des films à l'affiche, avec, aujourd'hui un autre film que j'attends avec impatience "The American" de Anton Corbijn avec George Clooney qui sortira en salles le 27 octobre et dont voici le synopsis officiel:
Jack est un tueur à gages habile et expérimenté. Toujours en alerte, il n’a aucune attache. Quand une mission tourne mal et lui coûte la vie de la femme qu’il aime, il se fait la promesse que son prochain contrat sera le dernier. Cette ultime mission le conduit dans un pittoresque village italien niché dans de hautes collines. Mais pour Jack, chaque lieu peut se révéler un piège et chaque personne une menace. Toutefois, il prend goût aux confidences échangées autour d’un armagnac avec le prêtre du village, et se laisse entraîner dans une liaison avec une belle italienne. Mais en baissant la garde, Jack prend peut-être des risques. Une menace semble se rapprocher, et la mystérieuse femme qui l’a engagé n’est peut-être pas ce qu’elle prétend. Alors que Jack, de plus en plus méfiant, envisage de vivre, aimer et mourir en Italie, la tension monte jusqu’à la confrontation ultime, dans le dédale des ruelles escarpées du village.
Créé par le célèbre agent devenu producteur Dominique Besnehard, le Festival du Film francophone d'Angoulême se déroulera cette année du 25 au 29 aôut avec, au programme: 10 films en compétition (parmi lesquels "Belle Epine", "Le nom des gens", "Pieds nus sur des limaces"...), un focus Coline Serreau, des avant-premières (avec notamment le dernier Claude Lelouch "Ces amours-là", le très beau film de Xavier Beauvois "Des hommes et des dieux", "Le bruit des glaçons" de Bertrand Blier...) , 5 bijoux Pathé ( "L'ours", "La dolce vita"...), des films montrant l'influence de la BD sur le cinéma (comme "Gainsbourg, vie héroïque"), des séances spéciales avec notamment la projection de "Sweet Valentine" d'Emma Luchini.
Nathalie Baye est la présidente du jury composé de : Dora Bouchoucha, Bruno Cras, Emilie Dequenne, Léa Fazer, Michel Ouédraogo, Luc Plamondon, Micheline Presle, Nicolas Steil.
Un festival qui se veut populaire, découvreur de jeunes talents tout en faisant venir des stars du cinéma francophone et qui présente une belle programmation. Si vous êtes dans la région, je vous encourage donc à en profiter.
En ce mois d'août, encore sous l'effet des bienfaits balnéaires et en quête frénétique de grand air, j'ai décidé de fréquenter les salles obscures avec parcimonie (mais rassurez-vous, dès septembre, de retour du Festival du Cinéma Américain de Deauville, je reprendrai mes critiques des films à l'affiche) et d'ailleurs sans regrets (le mois d'août est toujours très calme en sorties cinématographiques) et de privilégier l'actualité liée aux festivals et aux classiques du cinéma. Cela tombe bien puisque ma chaîne fétiche, TCM, dans le cadre de "Un été sous les étoiles", pour rendre hommage à 60 stars du cinéma, diffuse actuellement de nombreux grands classiques, l'occasion pour moi de découvrir hier soir "Yakuza", un film de 1975 de Sydney Pollack qui n'a pas très bien vieilli (contrairement à son acteur principal, Robert Mitchum) mais non dénué d'un certain charme désuet mais surtout l'occasion de revoir de nombreux classiques dont je vous laisse découvrir le passionnant programme pour ces prochains jours, ci-dessous:
VENDREDI 13 AOUT 2010 > ALFRED HITCHCOCK
A l’occasion de l’anniversaire de sa naissance
20:40Mais qui a tué Harry ? (The Trouble with Harry, 1956, d’Alfred Hitchcock, avec Edmund Gwenn, John Forsythe, Shirley MacLaine, Mildred Natwick)
22:15L’Inconnu du Nord Express (Strangers on a Train, 1951, d’Alfred Hitchcock, de Farley Granger, Ruth Roman, Robert Walker, Patricia Hitchcock)
23:55L’Ombre d’un doute (Shadow of a Doubt, 1943, d’Alfred Hitchcock, de Teresa Wright, Joseph Cotten, Macdonald Carey, Henry Travers, Patricia Collinge)
01:45Frenzy (1972, d’Alfred Hitchcock, avec Jon Finch, Barry Foster, Barbara Leigh-Hunt, Anna Massey)
SAMEDI 14 AOUT 2010 > MICHAEL CAINE
20:40Ipcress - Danger immédiat (The Ipcress File, 1965, de Sidney J. Furie, de Michael Caine, Nigel Green, Guy Doleman, Sue Lloyd)
22:30La main du cauchemar (The Hand, 1981, d’Oliver Stone, avec Michael Caine, Andrea Marcovicci, Annie McEnroe
DIMANCHE 15 AOUT 2010 > CATHERINE DENEUVE
20:40Belle de jour (1967, de Luis Buñuel, avec Catherine Deneuve, Jean Sorel, Michel Piccoli, Geneviève Page)
22:25Mayerling (1968, de Terence Young, avec Omar Sharif, Catherine Deneuve, Ava Gardner, James Mason
LUNDI 16 AOUT 2010 > BURT LANCASTER
20:40Airport (1970, de George Seaton, avec Burt Lancaster, Dean Martin, Jean Seberg, Jacqueline Bisset)
22:50La Furie du désert (Desert Fury, 1947, de Lewis Allen, avec Burt Lancaster, Lizabeth Scott, John Hodiak, Wendell Corey)
20:40Mars Attacks! (Mars Attacks! 1996 Tim Burton avec Jack Nicholson, Glenn Close, Annette Bening, Pierce Brosnan, Danny DeVito, Sarah Jessica Parker, Michael J. Fox, Natalie Portman)
MERCREDI 18 AOUT 2010 > LIZ TAYLOR
2
0:40La Vénus au vison (Butterfield 8, 1960, de Daniel Mann, avec Elizabeth Taylor, Laurence Harvey, Eddie Fisher, Dina Merrill)
22:25Le Père de la mariée (Father of the Bride, 1950, de Vincente Minnelli, avec Spencer Tracy, Elizabeth Taylor, Joan Bennett, Don Taylor)
23:55Cérémonie secrete (Secret Ceremony, 1968, de Joseph Losey, avec Elizabeth Taylor, Robert Mitchum, Mia Farrow)
01:45Ivanhoe (1953, de Richard Thorpe, avec Elizabeth Taylor, Robert Taylor, Joan Fontaine, George Sanders)
JEUDI 19 AOUT 2010 > KEN LOACH
20:40Kes (1969, de Ken Loach, avec David Bradley, Freddie Fletcher, Lynne Perrie, Colin Welland)
VENDREDI 20 AOUT 2010 > ROBERT MITCHUM
20:40Massacre pour un fauve (Rampage, 1963, de Phil Karlson avec Robert Mitchum, Jack Hawkins, Elsa Martinelli, Sabu)
22:15 Yakuza (1975, de Sydney Pollack, avec Robert Mitchum, Ken Takakura, Brian Keith
SAMEDI 21 AOUT 2010 > CLINT EASTWOOD
20:40L’Epreuve de force (The Gauntlet, 1977, de Clint Eastwood, avec Clint Eastwood, Sondra Locke, Pat Hingle, William Prince, Bill McKinney, Michael Cavanaugh)
22:35Un frisson dans la nuit (Play Misty for Me, 1971, de Clint Eastwood, avec Clint Eastwood, Jessica Walter, Donna Mills, John Larch)
DIMANCHE 22 AOUT 2010 > CYD CHARISSE
20:40Quinze jours ailleurs (Two Weeks in Another Town, 1962 Vincente Minnelli Kirk Douglas, Cyd Charisse, Edward G. Robinson, George Hamilton)
22:30Traquenard (Party Girl, 1958, de Nicholas Ray , avec Robert Taylor, Cyd Charisse, Lee J. Cobb, John Ireland, Kent Smith)
LUNDI 23 AOUT 2010 > CHARLES BRONSON
20:40La Bataille des Ardennes (Battle of the Bulge, 1965, de Ken Annakin, avec Henry Fonda, Robert Shaw, James Mac Arthur, Robert Ryan, Charles Bronson)
23:05Le Chevalier des sables (The Sandpiper, 1965, de Vincente Minnelli, avec Elizabeth Taylor, Richard Burton, Eva Marie Saint, Charles Bronson)
MARDI 24 AOUT 2010 > BEN AFFLECK
20:40Les Glandeurs (Mallrats, 1995, de Kevin Smith, avec Shannen Doherty, Ben Affleck, Jeremy London, Jason Lee)
MERCREDI 25 AOUT 2010 > FRITZ LANG
20:40Les Contrebandiers de Moonfleet (Moonfleet, 1955, de Fritz Lang, avec Stewart Granger, George Sanders, Joan Greenwood, Viveca Lindfors)
22:05Espions sur la Tamise (Ministry of Fear, 1944, de Fritz Lang, avec Ray Milland, Marjorie Reynolds, Carl Esmond, Hillary Brooke)
JEUDI 26 AOUT 2010 > DENNIS HOPPER
20:40Johnny Guitare (Johnny Guitar, 1954, de Nicholas Ray, avec Joan Crawford, Sterling Hayden, Mercedes McCambridge, Scott Brady et Dennis Hopper)
VENDREDI 27 AOUT 2010 > STEVEN SPIELBERG
20:40Always (1989, de Steven Spielberg, avec Richard Dreyfuss, Audrey Hepburn, Holly Hunter, John Goodman)
SAMEDI 28 AOUT 2010 > STEVE MC QUEEN
20:40Bullitt (1968, de Peter Yates, avec Steve Mc Queen, Robert Vaughn, Jacqueline Bisset)
DIMANCHE 29 AOUT 2010 > MONTGOMERY CLIFT
20:40Soudain l’été dernier (Suddenly Last Summer, 1959, de Joseph L. Mankiewicz, avec Elizabeth Taylor, Katharine Hepburn, Montgomery Clift)
22:30Les Anges marqués (The Search, 1948, de Fred Zinnemann, avec Montgomery Clift, Wendell Corey, Aline MacMahon, Ivan Jandl)
En attendant de reprendre le chemin des salles obscures, après vous avoir proposé le synopsis, la bande-annonce et l'affiche des "Petits mouchoirs" de Guillaume Canet, hier, voici maintenant une nouvelle vidéo du making-of: