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Cinéma - Page 273

  • L'interview de Bernard Blancan sur"In the mood for Cannes"

    medium_indigenes.3.JPGEn attendant mes commentaires en direct du Festival du Film Asiatique de Deauville, retrouvez l'interview de Bernard Blancan, prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes 2006 pour Indigènes de Rachid Bouchareb sur mon nouveau blog In the mood for Cannes.

  • Festival du Film Asiatique de Deauville 2007: le programme complet en attendant mes commentaires en direct!

    medium_deau2.3.JPGMercredi prochain 28 Mars 2007 débutera le 9ème Festival du Film Asiatique de Deauville où « In the mood for cinema » sera présent comme chaque année.

    Cette année le Festival du Film Asiatique vous proposera 47 films dont 34 inédits et 5 premières internationales.

    HOMMAGES

    Il mettra notamment à l’honneur Park Chan-wook, le réalisateur et scénariste sud-coréen. A l’occasion de son hommage ce dernier présentera en ¨Première française « Je suis un cyborg ».

     Le Festival portera également son Regard sur le travail du réalisateur et scénariste malaisien : James Lee qui y  présentera notamment « Things we do when we fall in love ». Pendant le festival, vous pourrez également découvrir d’autres films du cinéaste.

    DOCUMENTAIRES

    Le festival proposera également trois documentaires sur la Corée du Nord réalisés et produits par le britannique Daniel Gordon.

    JURYS

    Le jury longs métrages sera présidé par Benoît Jacquot et composé de Bruno Coulais, Marina de Van, Jean-Pierre Dionnet, Laure Marsac, Mazarine Pingeot, Dominique Pinon, Gilles  Taurand, Gaspard Ulliel. Ce jury décernera, parmi les 9 films de la compétition, le Lotus du meilleur film (grand prix) et le Lotus du jury (Prix du jury).

    Le jury Action Asia sera présidé par Alain de Greef et composé de : Aurore Auteuil, Loo Hui Phang, Jocelyn Quivrin et Gérard Pirès. Ce jury décernera le Lotus Action Asia (Grand prix Action Asia), parmi les 6 films de cette sélection.

    PANORAMA

    De nombreux longs métrages seront également proposés dans la section Panorama, dont certains en première internationale comme « Things we do when we fall in love » de James Lee.

    OUVERTURE ET CLOTURE

    medium_photosordi_1301.jpgLe film d’ouverture (projeté au CID le 28 mars à 20H30) sera le film chinois « Le mariage de Tuya » de Wang Quan’an (ours d'or au Festival de Berlin 2007!) et le film de clôture sera également un film chinois : « The go master » de Tian Zhuangzhuang, projeté après la cérémonie du palmarès qui aura lieu à 18H, le dimanche 1 er Avril.

                                                                                VILLAGE ASIA

    medium_photosordi_1296.jpgCette année, le Village Asia, situé au Centre International de Deauville  ouvrira ses portes dès le mercredi 28 Mars à 14H30. Plus de 3000 m2 seront dédiés aux 4 thématiques suivantes : « Les Arts et la Culture », « La Gastronomie Asiatique », « La Santé et le Bien –être », « L’Economie et la formation ». De nombreuses animations et expositions seront également proposées en accès libre et gratuit au public. Au total, plus de 60 exposants seront présents au village Asia qui sera ouvert tous les jours jusqu’à 20H30 et jusqu’à 17H le dimanche 1er Avril. Le Mercredi 28 Mars de 14H à 19H, au Centre International de Deauville se tiendront des conférences sur le thème « Les défis que l’Asie lance à l’Europe et à la France », ces conférences seront ouvertes au public dans la limite des places disponibles.

    FLASH-BACK SUR LES EDITIONS 2005 ET 2006

    Le Festival du Film Asiatique de Deauville que je connais bien pour y avoir fait partie d’un jury de cinéphiles en 2005 et pour y assister depuis plusieurs années est un festival  dont les films projetés sont aussi divers que de grande qualité. Je le recommande vivement. Si vous voulez en savoir plus, je vous invite à lire mes comptes-rendus des années passées :

    -Compte-rendu du Festival du Film Asiatique de Deauville 2005

    -Compte-rendu du Festival du Film Asiatique de Deauville 2006

    INFORMATIONS  PRATIQUES

                                                                      Tarifs des accréditations public :

    Jeudi 29 Mars et Vendredi 30 mars : 9€ la journée

    Samedi 31 Mars et Dimanche 1er Avril : 11 €

    Forfait permanent : 33€

    Gratuit pour les étudiants et les chômeurs (sur présentation d’une carte en cours de validité)

    Vous pouvez entrer à la projection d’ouverture avec les badges des 29, 30, 31 et 1er.

    medium_photosordi_1303.jpgAccréditations public : sur place ou sur http://www.badgecid.com

    Accréditations presse ou professionnels : http://www.lepublicsystemecinema.com

    Site officiel du festival: http://www.deauvilleasia.com

     

    Programmation du Festival : http://www.congres-deauville.com:81//programme.pdf

     

    En attendant mes commentaires en direct du Festival du Film Asiatique de Deauville dès mercredi prochain, je vous invite à découvrir mon nouveau blog entièrement consacré au Festival de Cannes 2007 intitulé « In the mood for Cannes » !

    Sandra.M

  • Festival du Film Asiatique de Deauville 2007: premières informations!

    medium_deau2.2.JPGDu 28 Mars au 2 Avril prochain aura lieu le Festival du Film Asiatique de Deauville où « In the mood for cinema » sera présent comme chaque année, pour vous le relater en direct.

    Nous savons d’ores et déjà que Benoît Jacquot sera le président du jury et succédera ainsi à Jacques Weber. Quant au jury Action Asia, c’est à Alain de Greef qu’il reviendra de le présider.

    Comme chaque année le Festival proposera une quarantaine de films parmi ses 3 sections : Compétition, Panorama, Action Asia. 

    Le village du festival  situé au CID sera ouvert dès le mercredi après-midi et vous proposera de nombreux débats et animations.

    Très bientôt de nouvelles informations sur le festival sur « In the mood for cinema ». En attendant, pour en savoir plus sur ce Festival, vous pouvez relire mes comptes-rendus du Festival du Film Asiatique de Deauville 2005 et du Festival du Film Asiatique de Deauville 2006 ou flâner sur le site officiel du Festival.

    Accréditations: http://www.badgecid.com

    Sandra.M

  • "In the mood for Cannes", mon nouveau blog, est désormais en ligne!

    medium_photosordi_1470bis.JPGMon nouveau blog intitulé “In the mood for Cannesentièrement consacré au Festival de Cannes et à ses 60 ans est désormais en ligne !

    « In the mood for cinema » continue bien entendu plus que jamais d’exister et vous pourrez  prochainement y retrouver mon compte-rendu du prochain Festival du Film Asiatique de Deauville, qui se déroulera du 28 Mars au 1er Avril, ainsi que toutes les informations sur ce festival, et évidemment les habituelles critiques de films.

     En attendant, pour en savoir plus sur le Festival de Cannes et sur les objectifs de ce nouveau blog, rendez-vous sur « In the  mood for Cannes ».

    Lien  "In the mood for Cannes": http://inthemoodforcannes.hautetfort.com

    medium_deau2.JPGSandra.M

     

    Lien permanent Imprimer Catégories : FESTIVAL DE CANNES 2007 Pin it! 2 commentaires
  • Palmarès des César 2007

    medium_chatterley.jpgAprès l’atmosphère pesante de l’an passé (voir mon récit  ici) cette 32ème cérémonie des César fut plus rythmée et festive malgré les revendications interminables de Pascale Ferran en recevant son premier César, qui a néanmoins souligné, à juste titre, (reconnaissons à Pascale ce qui fut à César)  à quel point le mot culture était malheureusement occulté des programmes et des débats présidentiels. (A bons entendeurs…) "La fête, c’est maintenant" comme l’a dit avec tellement de conviction et d’enthousiasme (hum) Pascale Ferran puisqu’elle en avait été privée en fin de tournage, faute de moyens.

    Lady Chatterley et  Ne le dis à personne sont donc les grands vainqueurs de cette soirée, respectivement avec 5 et 4 César. Malgré ses 9 nominations (et étrangement aucune pour ses acteurs qui –parce qu’ils ?- avaient obtenu le prix d’interprétation collectif au dernier festival de Cannes), Indigènes n’a eu « que » le César du meilleur scénario original, mais peut-être seront-ils plus chanceux aux Oscars où le film est nommé pour l’Oscar du meilleur film étranger (cette fois medium_indigenes.2.JPGsous les couleurs de l’Algérie).

    Le poignant Je vais bien ne t’en fais pas a été récompensé  par le biais de ses acteurs, il est vrai remarquables,  Kad Merad (meilleur second rôle) et Mélanie Laurent (meilleure actrice).

     On regrettera que Je vous trouve très beau ait obtenu le César du meilleur premier film face à  Mauvaise foi, et que Quand j'étais chanteur ne reparte qu'avec le César du meilleur son malgré ses 7 nominations. Little miss sunshine (déjà lauréat du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2006, succès inattendu aux box-office américain et 5 fois nommé aux Oscars) continue son formidable parcours en obtenant le César du meilleur film étranger. Nous ne savons pas si Pedro Almodovar, présent, a été aussi déçu qu’à Cannes où ses actrices avaient pourtant obtenu un prix d’interprétation collectif.

    medium_photosordi_1451.JPG On peut s’interroger sur les 5 César de « Lady Chatterley », les votants ayant certainement voulu davantage récompenser un système de production (je sais à quel point, également producteur du sublime Ca brûle de Claire Simon, Gilles Sandoz s’y est investi, avec passion et obstination, et rien que pour cela finalement probablement ces César étaient-ils mérités) qu’un film qui, malgré ses qualités certaines, de jeu, de photographie, souffre de longueurs et d’un montage approximatif (ceci expliquant peut-être cela...)

    Resteront de ces César : l’enthousiasme communicatif de Guillaume Canet, Kad Merad et François Cluzet, l’émotion de Mélanie Laurent, l’humour décalé et l’énergie de Valérie Lemercier, pétillant(e)  Rabbi Jacob d’un soir,  quelques sourires figés et faussement fair-play, le charisme de Jude Law, le trac attendrissant de Vincent Lindon,le discours balbutiant de Claude Brasseur à la voix de Pierre, l’émotion du « clan Oury » dont une Michèle Morgan sublimement fragile et émue, et l’ombre lumineuse de Philippe Noiret.  Et puis l’envie de courir dans les salles obscures.  medium_photosordi_1500.2.JPGEvidemment…

    PALMARES DES CESAR 2007

    César du meilleur acteur :   François Cluzet pour  Ne le dis à personne

    César de la meilleure actrice   : Marina Hands pour  Lady Chatterley

    César du meilleur acteur dans un second rôle   : Kad Merad pour  Je vais bien, ne t'en fais pas

    César de la meilleure actrice dans un second rôle :  Valérie Lemercier pour  Fauteuils d'orchestre

    César du meilleur espoir masculin :  Malik Zidi pour  Les amitiés maléfiques

    César du meilleur espoir féminin :   Mélanie Laurent pour  Je vais bien, ne t'en fais pas

    César du meilleur réalisateur : Guillaume Canet  pour Ne le dis à personne

    César du meilleur film français   : Lady Chatterley  de Pascale Ferran

    César du meilleur premier film   : Je vous trouve très beau de Isabelle Mergault

    César du meilleur film documentaire : Dans la peau de Jacques Chirac de  Karl Zéro et  Michel Royer

    César du meilleur scénario original   : Olivier Lorelle et Rachid Bouchareb pour  Indigènes

    César de la meilleure adaptation   : Pascale Ferran et Roger Bohbot et Pierre Trividic pour  Lady Chatterley

    César de la meilleure musique écrite pour un film  : M (Mathieu Chedid) pour  Ne le dis à personne

    César du meilleur court-métrage   : Fais de beaux rêves de  Marilyne Canto

    César de la meilleure photo : Julien Hirsch pour  Lady Chatterley

    César des meilleurs décors  :  Maamar Ech Cheikh pour  OSS 117 pour Le Caire nid d'espions

    César du meilleur son : François Musy et Gabriel Hafner pour  Quand j'étais chanteur

    César du meilleur montage   :  Hervé de Luze pour  Ne le dis à personne

    César des meilleurs costumes : Marie-Claude Altot pour  Lady Chatterley

    César du meilleur film étranger   : Little Miss Sunshine de  Jonathan Dayton et  Valerie Faris

    César d’honneur : Jude Law et Marlène Jobert

    Sandra.M

    Lien permanent Imprimer Catégories : CESAR (2005 à 2009) Pin it! 5 commentaires
  • "La vie des autres" de Florian Henckel von Donnersmarck

    medium_vie2.JPG1984. RDA. La STASI, les services secrets de la RDA, depuis 1950,  espionne quiconque est soupçonné du moindre murmure contre le régime à l’exemple du  dramaturge George Dreymann, à leurs yeux (ou leurs œillères), trop irréprochable pour l’être réellement, ainsi  que sa compagne, l’actrice Crista-Maria Sieland. Le Ministre de la Culture charge un agent secret de les surveiller, officiellement parce que Dreymann est ami d’un metteur en scène interdit de travailler, officieusement parce que ledit ministre est épris de Crista-Maria Sieland à qui il fait subir un odieux chantage. C’est à Wiesler,  fonctionnaire zélé, apparemment irréprochable selon les critères du régime, c’est-à-dire d’une déférence inconditionnelle et aveugle au régime, irréprochable lui aussi donc, qu’incombe cette tâche obscure par laquelle il accèdera, pourtant, aux Lumières : de la raison, de l’art et de la liberté de penser…

    Pas de générique. Dès le premier plan, nous voilà emprisonnés dans l’univers glacial de la vie de Wiesler (pas encore celle des autres) par un long couloir, impersonnel, verdâtre, angoissant. Puis, nous le retrouvons,  dans son bureau aussi austère, impassible, inhumain que celui qui mène l’interrogatoire. Immergés et captivés, déjà. Par la tension et l’enjeu de l’interrogatoire.  Dès les premiers plans, un univers s’impose à nous. Celui du, d’un vrai cinéaste. Avec ses couleurs, ternes, maussades,  vertes et oranges en réalité. Avec ses lignes horizontales et verticales qui rappellent Playtime de Tati(et notamment la première scène  qui rappelle celle du long couloir), son univers kafkaïen et fantomatique. Des lignes à l’image du régime. Obtus. Rigide. Cadenassé. Carcéral. Celui de ces sombres années aussi. Puis,  en guise de générique, juste le titre : La vie des autres. Ouverture sur le regard de Wiesler  qui regarde la pièce de théâtre écrite par Dreymann et dans laquelle joue Crista-Maria Sieland. Ouverture, pour lui, sur la vie des autres. Une lueur dans son regard. De curiosité. De suspicion. De fascination ? Non pas encore. Qu’importe, une lueur. Ses gestes sont mécaniques : il agit, marche, s’exécute comme un robot sans âme auquel son mutisme, sa tenue, ses attitudes, sa démarche le font ressembler, un parfait exécutant du régime. Les hommes ne changent pas assène le Ministre de la Culture. Le film est la démonstration, implacable, subtile, magnifique, que, si, les hommes peuvent changer. Dreymann va changer. Wiesler, surtout, va changer.  Il va s’éveiller, se réveiller. Il va lire Brecht en cachette, s’émouvoir en écoutant Beethoven, ou en écoutant l’histoire d’amour dont il doit violer l’intimité sous de fallacieux prétextes. Pendant 2H17, si courtes finalement, nous sommes suspendus aux lèvres, aux silences, aux gestes, à la naissance de l’émotion  (à l’art, à l’amour) de Wiesler. Il va revivre par procuration, s’humaniser surtout. Cela donne lieu a des scènes d’une intensité hitchcockienne : scène de la cantine, scène de la feuille ou telle encore cette scène dans l’ascenseur avec l’enfant, jouant avec son ballon, rappelant une jeune proie d’un M. Le Maudit d’un autre temps. W. le Maudit. Et puis, non… il ne va pas dénoncer son père. Premier acte de l’homme libre qu’il n’est pas encore. Le spectateur est dans la même situation vis-à-vis de Wiesler, dans sa salle obscure, que Wiesler vis-à-vis de ceux qu’il espionne, dans son sombre sous-sol, à la différence qu’il peut intervenir en véritable démiurge et artiste-metteur en scène de la vie des autres. Fascinés nous aussi, nous certainement.

    Faut-il se vendre pour l’art ? Peut-on tout faire pour l’amour de l’art? Chacun à leur manière: Dreymann, Crista-Maria, Wiesler, et même le metteur en scène vont répondre à cette passionnante question, Wiesler devenant lui-même artiste en recréant la réalité de ceux qu’il espionne.    Sous nos yeux Wiesler va passer de l’état de robot à celui d’homme. De l’ombre à la lumière. De l’obéissance à la résistance. De l’inhumanité à l’humanité. Jusqu’au sourire final, esquissé et si sublime. Le sien, le nôtre. Et cette dernière phrase « C’est pour moi » : il s’assume, s’affirme, existe enfin et la vie des autres rencontre la sienne, par le biais de l’art, toujours. Libre enfin comme ce pays dont le mur est tombé. Son sourire comme une musique ou une sonate pour un homme bon, un visage enfin mélodieux. Et les applaudissements dans la salle. Spontanés. Rares. Du grand art.

    La mise en scène est d’une rigueur et d’une efficacité remarquables pour un premier film, jamais gratuite.  Sans jamais tomber dans le manichéisme simplificateur et si facile. Sans jamais forcer l’émotion. Sans gros plans sur les larmes, les cris, sans violons pour souligner. Plus efficace qu’un film didactiquement historique. Un film riche aux personnages complexes (Ah ! Merci !), à la fois film d’amour, thriller, documentaire, film politique… auquel Costa-Gavras aurait même à envier. Film Z donc au sens costagavrassien et donc très noble du terme. Scénario ciselé, acteurs remarquables ( au premier rang desquels Ulrich Mühe –Wiesler-  ), réalisation irréprochable, musique sans grandiloquence mais toujours à propos de Gabriel Yared et de Stéphane Moucha, tout concourt à faire de ce premier  film une belle leçon d’Histoire et d’histoire, bref de cinéma. Du cinéma. Après Ping pong, La vie des autres ( qui persiste magnifiquement à l’affiche, fait notable pour un premier film et de surcroît allemand) prouve la vivacité et l’inventivité du cinéma allemand. Un prétendant sérieux à l’Oscar du meilleur film étranger. A suivre ce 25 février… Et surtout à courir épier en salles !

    Sandra.M

  • In the mood for Cannes

    medium_ans.JPGAlors que nous venons d’apprendre que Diane Krüger présentera les cérémonies d’ouverture et de clôture du prochain Festival de Cannes qui se déroulera du 16 au 27 Mai prochain,  mon accréditation professionnelle pour cette très attendue 60ème édition vient de m’être confirmée.

    Je serai donc de nouveau à Cannes, pour vous livrer mes impressions sur ce festival, sur les films en compétition,  mais aussi sur les sélections parallèles, les avant-premières et autres leçons de cinéma  avec une grande nouveauté cette année puisque à cette occasion je vais créer un blog uniquement consacré à ce festival dont j’ai l’intention de faire une véritable plate-forme collaborative et unique consacrée au festival, une véritable mine d’informations à ce sujet aussi, mais je vous en reparlerai plus longuement prochainement.

    medium_asia.2.JPGAvant Cannes, ce sera le Festival du Film Asiatique de Deauville qui se déroulera du 28 Mars ou 1er Avril prochain où je serai également pour vous le relater.

    En attendant vous pouvez toujours vous plonger dans mon compte-rendu du Festival d’ Annonay ou dans mes comptes-rendus des précédentes éditions des Festivals de Cannes et Deauville. Par ailleurs toutes les suggestions seront les bienvenues quant à vos attentes au sujet de ce futur blog.

    LIENS

    Site officiel du Festival de Cannes

    Site officiel du Festival du Film Asiatique de Deauville

    Lien permanent Imprimer Catégories : FESTIVAL DE CANNES 2007 Pin it! 15 commentaires