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Deauville - Page 8

  • Concours - Gagnez vos pass pour le Festival du Cinéma Américain de Deauville 2018

     

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    Avec le mois de juin retentissent comme chaque année les premières annonces concernant la prochaine édition du Festival du Cinéma Américain de Deauville. Cette 44ème édition aura ainsi lieu du 31 août au 9 septembre. La présidente du jury sera la comédienne Sandrine Kiberlain, voilà déjà une belle promesse pour cette édition 2018 (à cette occasion, je vous propose ma critique de Mademoiselle Chambon de Stéphane Brizé, à lire ici).

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    Comme chaque année depuis une vingtaine d'années, j'aurai le plaisir de suivre le festival de l'ouverture à la clôture. Ce festival du cinéma américain, celui où commença pour moi cette belle histoire d'amour avec les festivals de cinéma, reste mon festival de prédilection. Il reste pour moi incomparable grâce à son atmosphère conviviale et chaleureuse, la diversité de ses projections, subtile alchimie entre cinéma indépendant, hommages, blockbusters américains, Docs de l'oncle Sam, prix littéraire, prix d'Ornano-Valenti (qui récompense un scénario de film français)..., grâce aussi au lieu idyllique dans lequel il se déroule, Deauville la mélancolique majestueuse, et grâce à la somptueuse  salle qui lui sert d'écrin, le CID.

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    Du cinéphile le plus exigeant au « simple » amateur de cinéma, tout le monde peut y trouver son bonheur. Un moment unique pour tous les amoureux de cinéma : telle est d'ailleurs la judicieuse devise du Festival du Cinéma Américain de Deauville qui figure chaque année sur son affiche.

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    Plus que jamais cette année, je vous ferai vivre le festival de l'intérieur, ici, sur mon blog entièrement consacré à Deauville, Inthemoodfordeauville.com, sur Inthemoodforfilmfestivals.com également avec sur ces derniers comme chaque année le compte rendu complet et détaillé du festival et en amont toutes les informations sur celui-ci, mais aussi bien sûr sur mes réseaux sociaux, sur mon compte twitter principal (@Sandra_Meziere), sur mon compte twitter consacré à Deauville (@moodfdeauville), sur mon compte Instagram (@sandra_meziere) et sur la page Facebook d'Inthemoodfordeauville.com (http://facebook.com/inthemoodfordeauville) et sur celle d'Inthemoodforcinema.com (http://facebook.com/inthemoodforcinema). En partenariat avec le CID, j'aurai le plaisir, comme chaque année également, de vous faire gagner 36 pass journaliers et deux invitations pour la cérémonie de clôture.

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    Pour tout savoir sur le festival, je vous encourage ainsi à suivre les réseaux sociaux du CID ( son Instagram, son compte twitter et sa page Facebook) et si vous voulez d'ores et déjà réserver votre pass public, vous pouvez le faire sur le site internet du CID dont la billetterie se trouve ici. Pour avoir toutes les informations sur le festival, vous pouvez aussi suivre son site officiel (et y trouver toutes les informations nécessaires pour vous y accréditer si vous êtes "professionnel de la profession"), son Facebook, son Instagram, son Twitter.

    Comme chaque année, sur la magnifique affiche récemment dévoilée, nous retrouvons les codes habituels que sont les couleurs de la bannière étoilée, pont ici au sens figuré et au sens propre entre la Normandie et les Etats-Unis, l'évocation des planches, le voyage immobile auquel invite le festival, et une belle sensation d'ailleurs, de légèreté, de liberté, d'envol qui en émane.

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    L'édition 2017 avait aussi une saveur toute particulière pour moi puisque j’ai eu le plaisir d’y dédicacer mon premier roman L’amor dans l’âme (dont un chapitre se déroule d’ailleurs dans le cadre du Festival du Cinéma Américain de Deauville) et mon recueil de 16 nouvelles sur les festivals de cinéma Les illusions parallèles (dont deux nouvelles se déroulent dans le cadre du festival en question), une dédicace qui a eu lieu à l’hôtel Barrière Le Normandy, là où furent tourner de mémorables scènes du chef-d’œuvre de Claude Lelouch Un homme et une femme, un lieu et un film dont je parle d’ailleurs aussi dans les livres en question. La mise en abyme était donc parfaite. Etrange, déroutante, réjouissante aussi. L’occasion de belles rencontres (au premier rang desquelles Caroline la libraire de l’incontournable librairie deauvillaise Jusqu’aux lueurs de l’aube,  cet article est pour moi l'occasion de la remercier à nouveau pour son soutien -vous pouvez d’ailleurs toujours y trouver les livres en question-, de même que le CID et la Mairie de Deauville pour l'écho donné à cette dédicace).

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    Comme chaque année, l'an passé, la compétition (14 films étaient en lice) nous permettait de dresser un état des lieux de l’Amérique contemporaine. En 2016, le festival avait récompensé du Grand Prix Brooklyn Village, huitième film d’Ira Sachs. En VO, le film s’intitule Little Men, et s’il désigne les enfants, ces « petits hommes » désignent aussi les adultes du film, tels qu’ils sont dans le regard de leurs enfants, ou tels que chaque adulte reste finalement à jamais, portant simplement le masque de l’adulte mais demeurant aussi perdu, écartelé, et parfois démuni devant les difficultés de l’existence. Un film pudique, délicat, sensible avec des personnages humains, pas des super-héros mais des êtres faillibles et attachants écrits avec une extrême délicatesse, nuancés comme la vie.

    Je pourrais en dire tout autant du magnifique The Rider de Chloé Zhao couronné du Grand Prix 2017 qui illustrait une des thématiques récurrentes de cette édition : la difficulté de remonter en selle après un drame. La plupart des personnages des films en compétition de l'an passé étaient en effet hantés par un drame ou la mort, au propre comme au figuré, et en quête : de leur identité, d’un ailleurs, d’un sursaut. Des personnages en quête de repères.  Ce sont d’ailleurs davantage les personnages de cette édition 2017 qui nous restent en mémoire que les scénarii des films, des personnages qui semblent  reliés par le fil invisible d’une douleur et d’une perte indicibles : l’inconsolable fantôme C (A ghost story), les pères et fils Bill et Wes Palet (The Bachelors) et leur deuil difficilement surmontable, le jeune Frankie (Beach Rats) en quête d’identité alors que son père est à l’agonie, Jerod ( Blueprint) lui aussi en quête d’identité après le décès de son meilleur ami, la naïve et bienveillante Katie (Katie says Goodbye ), la jeune orpheline Mary de Marc Webb, Dayveon dans Stupid things de Amman Abbasi, sans oublier les deux frères de Gook, Eli et Daniel eux aussi rudement éprouvés… Des personnages attachants broyés par la vie qui, au dénouement des films, bien souvent partiront pour prendre un nouveau départ. Comme si la solution était ailleurs. Loin de cette Amérique blessée portant les plaies béantes de la violence, de l’intolérance, du racisme.

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    Plus que des fictions, les films en lice étaient souvent le témoignage d’une réalité âpre. Ainsi, lors de la présentation de Blueprint, le réalisateur nous a expliqué que le film était dédié à Curtis Posey, un des acteurs présent dans le film et décédé quelques mois plus tôt lors d’un règlement de compte entre gangs. «Nous avons tourné ce film dans le South Side de Chicago qui fait aujourd’hui les gros titres à cause du nombre de meurtres. On compte aujourd’hui soixante meurtres par mois. Nous avons tourné dans le ventre de la bête. Et pour vous donner une idée de la situation tragique dans laquelle nous sommes actuellement, depuis que le film a été tourné, nous avons perdu un des acteurs du film», avait-il ainsi déclaré. 

    Ce Festival du Cinéma Américain de Deauville 2017 nous dressait ainsi le portrait d’une Amérique déboussolée, sans doute a fortiori après l’élection à sa tête d’un personnage déroutant (euphémisme). Au programme, ainsi, l'an passé, la violence subie par les différentes communautés ou entre communautés qui se replient sur elles-mêmes. Une Amérique communautaire en proie à la violence.

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    Le Festival de Deauville plus que jamais se revendique et se différencie comme le révélateur et l’éclaireur du cinéma indépendant et des jeunes artistes, nous donnant à voir une autre Amérique, moins flamboyante que ce que laissaient autrefois voir les blockbusters qui y étaient projetés, avec la bannière étoilée flottant fièrement dans l’air au dénouement. Plus que jamais, en 2017, le cinéma nous dévoilait l’envers du décor de l’American dream, et même son échec. Une Amérique qui n’est pas un Eldorado mais au contraire une prison de violence dont les personnages (souvent attachants mais broyés par l’existence) ne rêvent que de s’échapper. Une Amérique pétrie de contrastes et contradictions dont les enfants doivent bien souvent renoncer à leurs rêves pour continuer à avancer. Des enfants confrontés très tôt à des responsabilités d’adultes, délaissés par des parents immatures, à l’image de cette Amérique qui abandonne ceux qu’elle a enfantés, ces rêveurs d’hier confrontés à la rude réalité, à leurs châteaux de verre qui ne sont que mirages ou qui s’écroulent pour reprendre le titre du splendide film de clôture. Si les films présentés en avant-première se distinguaient par leur diversité (de thèmes, de décors, d’époques), ils mettaient souvent en avant le courage face à l’adversité, des destins hors du commun. 

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    Cliquez ici pour lire mon compte rendu complet du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2017 avec le compte rendu de tous les films en compétition, des avant-premières et des hommages dont vous trouverez quelques-uns de mes clichés ci-dessous.

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    Photos ci-dessus ©  Sandra Mézière

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    Photo ci-dessus © Dominique Saint

    Si vous voulez venir à Deauville, retrouvez également, ici, toutes mes bonnes adresses d'hôtels et restaurants. Vous en trouverez également de nombreuses sur mes comptes Instagram @sandra_meziere et @leshotelsdeluxe avec, également, de nombreux clichés de Deauville qui devraient vous inciter à venir découvrir le festival et la ville si vous ne les connaissez pas encore.

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    Dans ma rubrique "bonnes adresses", retrouvez notamment, le compte rendu de mon séjour au Royal Barrière pendant le Festival du Cinéma Américain de Deauville 2017, hôtel partenaire officiel du festival.

    Retrouvez également notamment mon avis sur la résidence premium Pierre et vacances récemment ouverte et inaugurée.

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    Dans la rubrique "bonnes adresses", vous trouverez également de nombreux restaurants comme La Cantine de Deauville, meilleure brasserie de Deauville au sujet de laquelle vous pourrez retrouver mon article détaillé, ici.

    CONCOURS : GAGNEZ VOS PASS POUR LE FESTIVAL DU CINEMA AMERICAIN DE DEAUVILLE 2018

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    Venons-en maintenant à l'édition 2018 pour laquelle je vous propose aujourd'hui de remporter 14 premiers pass, en partenariat avec le CID. Pour cela, comme chaque année, un premier concours  qui nécessitera un peu de temps et de recherches afin que soient gagnants de ces pass les vrais passionnés de cinéma et non les experts en concours en tous genres. 

    Avant de participer, assurez-vous d'être disponibles pendant le festival. Envoyez vos réponses à inthemoodforfilmfestivals@gmail.com avant le 15 juillet 2018 à minuit avec, pour intitulé de votre email, "Concours Festival du Cinéma Américain de Deauville 2018". Merci également d'indiquer votre nom et prénom (pas de pseudo). Un autre concours sera mis en ligne après le 15 juillet pour vous faire gagner d'autres pass. Si vous n'êtes pas disponibles aux dates pour lesquelles vous aurez gagné un pass il ne sera pas possible de changer. Vous pourrez néanmoins tenter votre chance au concours suivant. 22 autres pass seront mis en jeu ultérieurement ainsi que les invitations pour la clôture.

    Si vous voulez savoir à quoi vous donnent accès ces pass journaliers d'une valeur unitaire de 35 euros, rendez-vous ici sur le site officiel du festival.

    Le lot 1 sera décerné à la personne ayant obtenu le maximum de bonnes réponses (voire toutes les réponses si une personne a trouvé toutes les bonnes réponses) et ainsi de suite. Dans le cas où plusieurs personnes auraient trouvé les bonnes réponses, les deux dernières questions me permettront de départager les gagnants.

    1er lot 

    3 pass pour le premier week-end du festival et le premier lundi : 1 pour le samedi 1er septembre, 1 pour le dimanche 2 septembre, 1 pour le lundi 3 septembre

    2ème lot

    3 pass pour le deuxième week-end du festival : 1 pour le vendredi 7 septembre, 1 pour le samedi 8 septembre, 1 pour le dimanche 9 septembre

    3ème lot

    3 pass : 1 pour le lundi 3 septembre, 1 pour le mardi 4 septembre, 1 pour le mercredi 5 septembre

    4ème lot 

    2 pass : un pass pour le jeudi 6 et un pour le vendredi 7 septembre

    5ème lot

    1 pass pour le samedi 1er septembre

    6ème lot

    1 pass pour le dimanche 2 septembre

    7ème lot

    1 pass pour le mardi 4 septembre

    QUESTIONS

    Des indices supplémentaires vous seront donnés sur mes comptes Instagram @sandra_meziere et sur la page Facebook d'Inthemoodfordeauville.com.

    Question n°1 : 

    Laquelle ou lesquelles parmi ces quatre personnalités a/ont son/leurs nom(s) immortalisé(s) sur les célèbres planches de Deauville ?

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    Question n°2 :

    Quelques initiales et des chiffres pour deviner le nom d'un classique du cinéma américain :

    C.C/ H.H/JJ/0.6.9.1

    Quel est le film auquel font référence ces lettres et chiffres ?

    Question n°3 : 

    Quel est le titre de ce film (lié à l'histoire du Festival du Cinéma Américain de Deauville ) ?

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    Question n °4 :

    En quelle année ce film fut-il présenté au Festival du Cinéma Américain de Deauville et quel est le titre de ce film ?

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    Question n°5 :

    Quel prix ce film a-t-il obtenu au Festival du Cinéma Américain de Deauville, en quelle année et quel est son titre ?

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    Question n°6 :

    Qui est-ce ? Quel prix a-t-il reçu au Festival du Cinéma Américain de Deauville et en quelle année ?

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    Question n°7 : 

    En quelle année le Festival du Cinéma Américain de Deauville eut-il lieu pour la première fois au CID et combien de spectateurs la salle peut-elle contenir ?

    Question n°8 :

    De quel excellent film américain cette image est-elle extraite ?

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    Question n°9 :

    Pourquoi souhaitez-vous assister au Festival du Cinéma Américain de Deauville ? (Cette question est obligatoire même si vous n'avez pas réussi à répondre à toutes les questions précédentes et est simplement destinée à départager d'éventuels gagnants ayant toutes les bonnes réponses ou le même nombre de bonnes réponses et d'éviter les réponses automatiques de sites de concours. )

    Question n°10 : 

    Quel est votre film (américain) préféré ? (Cette question est obligatoire même si vous n'avez pas réussi à répondre à toutes les questions précédentes et est simplement destinée à départager d'éventuels gagnants ayant toutes les bonnes réponses ou le même nombre de bonnes réponses et d'éviter les réponses automatiques de sites de concours. Bien sûr, vos goûts ne seront pas jugés. Seule compte la passion du cinéma... ).

    Amusez-vous bien ! Prenez votre temps pour répondre : vous avez jusqu'au 15 juillet à minuit avant que 22 autres pass soient mis en jeu. Et si vous ne trouvez pas toutes les bonnes réponses, rassurez-vous, chaque année, rares sont ceux qui font un carton plein. Bonne chance !

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  • Sandrine Kiberlain : présidente du jury du 44ème Festival du Cinéma Américain de Deauville

     

    affiche du 44ème Festival du Cinéma Américain de Deauville 2018.jpg

    En même temps que nous découvrons la sublime affiche du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2018 (avec toujours les codes habituels que sont les couleurs de la bannière étoilée, pont ici au sens figuré et au sens propre entre la Normandie et les Etats-Unis, l'évocation des planches, le voyage immobile auquel invite le festival, et une belle sensation d'ailleurs, de légèreté, de liberté, d'envol qui en émane), nous apprenons ainsi le nom de la présidente du jury qui sera donc la comédienne, réalisatrice et chanteuse Sandrine Kiberlain (quel judicieux choix !). Ainsi est-elle présentée dans l'annonce du festival : 

    "Comédienne plébiscitée par des réalisateurs tels que Jacques Audiard, Stéphane Brizé, Alain Resnais, Claude Miller, André Téchiné, Benoît Jacquot, Jean-Paul Rappeneau, Nicole Garcia, Eric Rochant, Pascal Bonitzer, Pierre Salvadori ou encore Philippe Le Guay,
    Sandrine Kiberlain remporte le César du Meilleur espoir féminin en 1996 pour En avoir (ou pas) de Laetitia Masson, avant d’être distinguée en 2014 par le César de la Meilleure actrice pour son rôle dans 9 mois ferme d’Albert Dupontel.
    Après avoir dirigé le Jury de la Caméra d’Or du Festival de Cannes en 2017, elle présidera le Jury de la 44e édition du Festival du Cinéma Américain de Deauville."

    Plus que jamais cette année, je vous ferai vivre le Festival en direct ici, sur http://inthemoodfordeauville.com et http://inthemoodforfilmfestivals.com et sur mes réseaux sociaux, sur twitter (@Sandra_Meziere et @moodfdeauville), sur Facebook (http://facebook.com/inthemoodfordeauville et http://facebook.com/inthemoodforcinema) et sur Instagram (@sandra_meziere). Très bientôt, en partenariat avec le CID, je vous ferai également gagner ici pass et invitations pour le festival.

    En attendant, en bonus, je vous propose ma critique d'un de mes films préférés avec Sandrine Kiberlain, Mademoiselle Chambon de Stéphane Brizé tandis que son remarquable En guerre est actuellement à l'affiche. Je vous en parlerai très bientôt dans mon compte rendu du Festival de Cannes.

    Le Festival du Cinéma Américain de Deauville 2018 aura lieu du 31 août au 9 septembre, au CID. En attendant, retrouvez mon compte rendu du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2017, ici.

    Critique de MADEMOISELLE CHAMBON

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    Cela pourrait se résumer en une phrase : Jean (Vincent Lindon), maçon, bon mari et père de famille, croise la route de la maîtresse d'école de son fils, Mademoiselle Chambon (Sandrine Kiberlain) ;  leurs sentiments réciproques vont s'imposer à eux. Enfin non, justement, cela ne se résume pas en une phrase parce que tout ce qui importe ici réside ailleurs que dans les mots, même si ce film est inspiré de ceux du roman d'Eric Holder.

    Les mots sont impuissants à exprimer cette indicible évidence. Celle d'un regard qui affronte, esquive, tremble, vacille imperceptiblement. Celle d'une lèvre dont un rictus trahit un trouble ou une blessure. Celle d'une rencontre improbable mais impérieuse. Entre un homme qui ne sait pas manier les mots (la preuve, c'est son fils qui lui apprend ce qu'est le complément d'objet direct) et vit du travail de ses mains et une femme dont c'est le métier que de manier les mots, les apprendre. Lui construit des maisons, elle déménage sans cesse. Lui est ancré dans la terre, elle est évanescente. Il a un prénom, elle est avant tout mademoiselle. Lui a un lien douloureux et charnel avec son père, ses parents à elle ne lui parlent que par téléphone interposé et pour lui faire l'éloge de sa sœur. Et pourtant, et justement : l'évidence.  La musique va alors devenir le langage qui va cristalliser leurs émotions, et les sanglots longs des violons (pas de l'automne, comme ceux de Verlaine, mais ici du printemps, avec une langueur plus mélancolique que monotone) exprimer la violence de leurs irrépressibles sentiments.

    Comme dans le magnifique « Je ne suis pas là pour être aimé »,  on retrouve cette tendre cruauté et cette description de la province, glaciale et intemporelle. Ces douloureux silences. Cette sensualité dans les gestes chorégraphiés, déterminés et maladroits. Cette révolte contre la lancinance de l'existence. Et ce choix face au destin. Cruel. Courageux ou lâche. (Magnifique scène de la gare dont la tension exprime le combat entre ces deux notions, la vérité étant finalement, sans doute, au-delà, et par un astucieux montage, Stéphane Brizé en exprime toute l'ambivalence, sans jamais juger ses personnages...). On retrouve aussi cet humour caustique et cette mélancolie grave, notamment dans la scène des pompes funèbres qui résume toute la tendresse et la douleur sourdes d'une existence et qui fait écho à celle de la maison de retraite dans « Je ne suis pas là pour être aimé. »

     Mais ce film ne serait pas ce petit bijou de délicatesse sans l'incroyable présence de ses acteurs principaux, Vincent Lindon d'abord, encore une fois phénoménal, aussi crédible en maçon ici qu'en avocat ailleurs. Son mélange de force et de fragilité, de certitudes et de fêlures, sa façon maladroite et presque animale de marcher, de manier les mots, avec parcimonie, sa manière gauche de tourner les pages ou la manière dont son dos même se courbe et s'impose, dont son regard évite ou affronte : tout en lui nous faisant oublier l'acteur pour nous mettre face à l'évidence de ce personnage.  Et puis Sandrine Kiberlain, rayonnante, lumineuse, mais blessée qui parvient à faire passer l'émotion sans jamais la forcer. Aure Atika, qui interprète ici l'épouse de Vincent Lindon, est, quant à elle, absolument méconnaissable, et d'une sobriété remarquable et étonnante. Sans doute faut-il aussi une direction d'acteurs d'une précision, d'une sensibilité rares pour arriver à une telle impression d'évidence et de perfection ( la preuve, les seconds rôles sont d'ailleurs tout aussi parfaits).

    Une histoire simple sur des gens simples que Stéphane Brizé (avec la complicité de Florence Vignon, déjà co-scénariste du très beau « Le bleu des villes ») compose avec dignité  dans un film épuré, sensible qui fait de ses personnages des héros du quotidien emprisonnés dans un fier et douloureux silence (résumé par le dernier plan d'une belle luminosité derrière les barreaux d'une fenêtre ). Un film qui, encore une fois, rappelle le cinéma de Claude Sautet (notamment par l'utilisation du violon et de la musique comme éléments cristallisateurs qui rappellent « Un cœur en hiver » mais aussi par la sublimation d'une « histoire simple ») qui, tout en « faisant aimer la vie » et la poésie des silences, en souligne toute la quotidienne et silencieuse beauté, cruelle et dévastatrice.

  • J'ai testé pour vous la brasserie LES VAPEURS à Trouville : mon avis

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    Il y a des restaurants, brasseries ou parfois cafés dont la renommée est telle que, dès l’énoncé de leur nom, vous les associez à la localité dans laquelle ils se trouvent, à l’attractivité de laquelle ils contribuent d’ailleurs aussi. C’est le cas, par exemple, de Sénequier à Saint-Tropez.

    C’est aussi le cas des Vapeurs à Trouville. Pour moi les Vapeurs, c’est d’abord cette brasserie où, dès mes premiers festivals du cinéma américain de Deauville, j’entendais dire que Spielberg ou d’autres aux noms aussi prestigieux, à chacune de leur escale au festival, s’y faisaient emmener après une séance. C’est aussi le souvenir d’un mémorable déjeuner avec ma grand-mère, lors d’un de mes tout premiers festivals du cinéma américain de Deauville il y a une vingtaine d’années (cf In the mood for Deauville, le blog que je consacre à Deauville et principalement au Festival du Cinéma Américain).

    Pour une raison que j’ignore, je n’y suis jamais retournée depuis. Peut-être parce que, parfois, je préfère ne pas toucher aux souvenirs de crainte de les ternir. Peut-être parce que j’ai mes habitudes de l’autre côté de la Touques.

    Toujours est-il que ce midi de mars 2018, de passage à Deauville (photo ci-dessus devant l’hôtel Barrière Le Normandy), notamment pour Normandes en tête mais aussi pour renouveler mon partenariat avec le CID pour le prochain Festival du Cinéma Américain (je vous l’annonce en avant-première, à nouveau, je vous ferai gagner des pass pour le festival sur In the mood for Deauville, In the mood for cinema et In the mood for film festivals) je l’ai franchie, la Touques, et j’ai même franchi le seuil des Vapeurs.

    L’accueil est affable. Le décor est délicieusement intemporel et me donne l’impression de remonter le temps. Au mur, des lithographies ou des affiches joyeusement absurdes, décalées. L’ambiance est celle de ces brasseries d’antan où le temps semble s’écouler avec plus de douceur et de légèreté et cela me procure l’impression d’être plongée dans cette atmosphère des brasseries que j’aime tant, celle qui me rappelle le film Garçon de Claude Sautet, comme si l’ombre d’Yves Montand, si vivante et facétieuse, planait là aussi.

    La carte est une autre agréable surprise : du fait maison, des produits dont la traçabilité est clairement indiquée, un approvisionnement seulement en poissons frais et sauvages, des viandes de bœuf certifiées de race Normande et d’origine Normande.

     

    En plat, j’ai choisi la Suggestion du Chef, les St-Jacques grillées beurre blanc, légères, onctueuses, délicieuses.

    Pour le dessert, le choix était cornélien devant toutes ces pâtisseries maison toutes plus tentantes les unes que les autres !

    J’avoue avoir longuement hésité entre les profiteroles et leur chocolat maison et la tarte Normande aux pommes servie chaude avec de la crème de Normandie avant d’opter pour le Paris Brest tandis que mon acolyte a choisi la tarte au citron. Des desserts gourmands et là aussi délicieux !

    Le restaurant Les Vapeurs propose tout ce qu’on attend d’une excellente brasserie, de la qualité dans les produits sélectionnés, de la variété, de la générosité dans l’atmosphère et dans l’assiette. En plus d’un excellent déjeuner, j’ai passé un moment savoureux hors du temps, comme une Madeleine de Proust… Je vous recommande donc vivement Les Vapeurs. Et c’est certain, désormais je m’aventurerai plus souvent de l’autre côté de la Touques et j’y retournerai !

    (Photos ci-dessous prises à Trouville, aux Cures Marines de Trouville ou depuis les Cures Marines de Trouville, je vous en parle bientôt à nouveau…)

    Retrouvez également cet article sur Inthemoodforhotelsdeluxe.com, Inthemoodfordeauville.com, et Inthemoodforluxe.com.

  • CONCOURS - 10 invitations pour 2 à gagner à Art Shopping, le salon international de l'art contemporain à Deauville

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    Je vous parle ici chaque année du CID (Centre International de Deauville) à l'occasion du Festival du Cinéma Américain.

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    Petite parenthèse d'ailleurs pour vous annoncer le partenariat renouvelé pour le prochain festival. Ainsi, comme chaque année, de nombreux pass pour le Festival du Cinéma Américain de Deauville seront à gagner ici, sur Inthemoodforcinema.com et Inthemoodforfilmfestivals.com, en partenariat avec le CID. Cette 44ème édition que je couvrirai dans son intégralité comme chaque année aura ainsi lieu du 31 août au 9 septembre 2018.

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    Cette somptueuse salle (pour avoir fréquenté les principales salles similaires en France à l'occasion de divers festivals de cinéma, je peux vous garantir qu'elle est unique et exceptionnelle à tous points de vue) sert d'écrin à des évènements prestigieux toute l'année comme le Women's forum lorsqu'il se déroulait à Deauville (que vous avez d'ailleurs pu voir dans le remarquable film Numéro une de Tonie Marshall) et plus récemment Normandes en tête, une belle manifestation à laquelle j'ai eu le plaisir de participer (Depuis 2011 « Normandes en Tête » rassemble, une fois par an, pour la Journée internationale des droits des femmes, les femmes à Deauville pour parler vie professionnelle, épanouissement et responsabilités.)

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    Mais c'est d'une autre prestigieuse manifestation qui aura également lieu au CID dont je viens vous parler aujourd'hui et pour laquelle je vous fais gagner 10 invitations pour 2 en partenariat avec le CID (concours en bas de cet article). Pour la première fois Art Shopping (Art Shopping se tient 2 fois par an à Paris, dans le lieu prestigieux du Carrousel du Louvre et se positionne comme un des  événements incontournable de la scène d’art contemporain parisienne et internationale ), salon international d’Art Contemporain, s’installe en effet du 31 mars au 2 avril au Centre International de Deauville !  De quoi débuter le mois d'avril en beauté !
     

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    Cette première édition deauvillaise du rendez-vous international grand public d’art contemporain s’inscrit à la suite de dix années d’exposition au Carrousel du Louvre à Paris, une nouvelle date sous le signe de la créativité, de l’audace et de l’engagement.
     
    Une fois encore, le salon affirmera son ADN : l’Art à la portée de tous. Art Shopping facilité l’accès du grand public à l’art contemporain qui pourra acquérir des œuvres d’art uniques, authentiques et certifiées. Artistes et galeries sont au contact direct du public pour présenter leur travail de manière plus personnelle et leur parcours de vie artistique. La singularité du salon est de proposer des œuvres d’art uniques, authentiques et certifiées. Sur le salon, artistes et galeries sont au contact direct du public. Un lien s’établit entre l’œuvre et son auteur permettant de mieux en appréhender les codes.  
     
    Près de 80 artistes et galeries français et internationaux sélectionnés avec soin sont attendus pour ce premier rendez-vous. Peinture, sculpture, art numérique, photographie ; autant de disciplines au programme d’une édition qui devrait attirer plusieurs milliers de visiteurs, amateurs d’art et collectionneurs avertis.
     
    Le weekend end de pâques 2018, la ville se mettra aux couleurs de l’art contemporain, du 31 mars au 2 avril 2018 au Centre International de Deauville.  
     
    « Comme j’aime souvent le dire, le monde et les cultures se rencontrent à Deauville, ainsi depuis de nombreuses années, la Ville encourage par sa politique culturelle de nombreuses initiatives artistiques et favorise l’échange avec les publics les plus divers. Aujourd’hui Deauville se réjouit d’accueillir et de soutenir ART  Shopping, salon International d’Art Contemporain qui place l’Art à la portée de tous.» Déclare Philippe Augier - Maire de Deauville
     
      « Parce qu’elle est en mouvement, parce qu’elle est événementielle parce qu’elle renouvelle les codes et donne à voir sous un angle différent, la création contemporaine présentée par ART Shopping apporte une nouvelle dynamique au C.I.D Deauville dans son implication culturelle. » ajoute Carine Fouquier - Directrice générale C.I.D Deauville. 
     
    A cette occasion, d'autres évènements "hors les murs" sont organisés, la ville vibrant à l'unisson de cette belle manifestation : 
     
    1/ ART Shopping « hors les murs » au Casino Barriere Resort Deauville !
     
     2 artistes coup de cœur du Barriere Resort Deauville : ZED / sculpteur et Flow/ peintre du 24 mars au 2 avril  Toutes les œuvres sont à vendre ! 
     
    2/ Street Art !  Les artistes d’Art urbain font le mur sur ART Shopping Deauville. 
     
    3/ Expo Photo de Philippe Ledru  - photographe de Festivals :  

    Enfant du Pays, Philippe Ledru est né à Lisieux. Après des études artistique (Art Déco Paris), il travaille pour les agences photos prestigieuses : SYGMA, GLMR, Photographe et Edition et devient un incontournable des photos de tournages et de festivals.

    L'exposition présentée sur ART Shopping Deauville est la sélection de photos uniques et exclusives, réalisées soit pendant le festival de Cannes, de Deauville ou de Venise. Toutes faites pour l'Agence SYGMA entre 1974 et 1990. Les photos exposées sont des tirages uniques, sur papier Barité et montées sur plaques aluminium dans des boîtes américaines. Toutes les photos sont à vendre.  Une belle occasion de s'offrir une œuvre photographique de jolis moments de cinéma. Les photos de Philippe LEDRU seront exposées pendant les 3 jours d'u salon  au VIP d'ART Shopping. 
     
    4/ Un parcours SPÉCIAL Jeune Public la “Chasse à l’oeuvre’ qui permettra au jeune public de se familiariser avec le monde artistique et rencontrer les artistes, avec un Arty Quizz ! En partenariat avec le Géant des Beaux Art.  
     
    Pour en savoir plus :
     
     
     
     
     
    Informations pratiques 

    Qui ? 80 exposants artistes et galeries – Sculpteurs, peintres, photographes, artistes numérique

    Quand ?  31 mars, 1er et 2 avril 2018 – week end de Pâques  
    Samedi 31 mars : 10 - 19h –  Inauguration par Philippe Augier – Maire de Deauville à 11h30
     dimanche 1er avril : 10h- 19h  
    Lundi 2 avril – lundi de pâques : 10h- 17h 
     
    Où ?  Centre International de Deauville - 1 Rue Lucien Barrière, 14800 Deauville Entrée : 5 euros  / moins de 18 ans  - entrée gratuite 
     
    Les prochains rendez-vous ART Shopping
    25 au 27 mai 2018  au Carrousel du Louvre
    19 au 21 octobre  au Carrousel du Louvre
     
    ART Shopping est organisé par GEM Art et a été créé en 2007 
    15, rue de l’abbé Grégoire 75006 Paris  www.artshopping-expo.com
     
    CONCOURS EXPRESS :
     
    10 INVITATIONS à gagner pour Art Shopping 
     
    Pour figurer parmi les heureux gagnants et comme le délai est court, pour une fois un concours "facile" :
     
    1/ Retweetez le tweet de ce matin sur @moodfdeauville dans lequel je présente cet article et art shopping ou, si vous n'avez pas twitter, likez la publication Facebook concernant le concours sur Facebook.com/inthemoodfordeauville.
     
    2/ Citez un des évènements "hors les murs" organisé à l'occasion d'Art Shopping à Deauville
     
    3/ Citez un autre grand évènement organisé au CID
     
    Les 10 premières réponses remporteront une invitation pour 2.
     
    Réponses à envoyer à sandrameziere@gmail.com avec pour intitulé de votre email "Art shopping concours". Fin du concours mercredi 28 mars à minuit. Merci de me donner vos nom et prénom pour le retrait de l'invitation (pas de pseudo). Seuls les gagnants seront contactés par email.
    Lien permanent Imprimer Catégories : CONCOURS Pin it! 0 commentaire
  • Festival du Cinéma Américain de Deauville 2018 : premières informations

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    Le festival cinématographique qui est pour moi l'incontournable et le plus cher à mon cœur, le Festival du Cinéma Américain de Deauville, en 2018, aura lieu du 31 août au 9 septembre au CID de Deauville. Ce sera sa 44ème édition.

    En attendant de partager ici les premières annonces concernant cette édition, retrouvez :

    Mon compte rendu de l'édition 2017 du Festival du Cinéma Américain de Deauville :

     

    Festival du Cinéma Américain de Deauville 2017 compte rendu.png

     

    Le récit de mon séjour à l'hôtel Barrière Le Royal de Deauville pendant le 43ème Festival du Cinéma Américain :

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     Retrouvez ce même article sur mes autres blogs http://inthemoodfordeauville.com et http://inthemoodforfilmfestivals.com. 

  • Mon recueil de nouvelles noté 5/5 et coup de coeur d'un blog littéraire

     

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    Voici une nouvelle critique de mon recueil de 16 nouvelles sur les festivals de cinéma "Les illusions parallèles" publiée ce jour sur un blog littéraire (cliquez sur l'image ci-dessus pour y accéder). Merci à sa rédactrice pour ce coup de cœur et ce 5/5 sur son blog "Des plumes et des livres !"
     
     
     
    Et pour ceux qui ne l'auraient pas encore, il est toujours disponible : chez mon éditeur Les éditions du 38, en librairie directement ou à la commande, chez Amazon, Fnac...
     
     
    Et bien sûr n'hésitez pas à laisser votre avis sur Amazon, Fnac, Babelio etc.
  • Mon avis sur l'Hôtel Barrière Le Royal de Deauville : séjour de rêve pour le Festival du Cinéma Américain de Deauville 2017

    Photo ci-dessus © Dominique Saint

    Je vous ai souvent parlé ici de l’Hôtel Barrière Le Royal de Deauville, mon adresse deauvillaise de prédilection, où j’ai eu l’occasion de séjourner à plusieurs reprises mais toujours seulement trois ou quatre jours. Si je vous en parle à nouveau aujourd’hui, c’est parce que, en septembre dernier, à l’occasion du Festival du Cinéma Américain de Deauville (dont vous trouverez mon compte rendu cinématographique complet et détaillé, ici), mais aussi à l’occasion de la dédicace de mes livres Les illusions parallèles et L’amor dans l’âme (Editions du 38) à l’hôtel Barrière Le Normandy  voisin (mon article sur l’hôtel Normandy est à retrouver ici), en partenariat avec la formidable librairie de Deauville Jusqu’aux lueurs de l’aube, également pendant le festival ( hôtel et festival qui sont le cadre de plusieurs passages des livres en question ), j’ai eu l’immense plaisir d'être invitée 15 jours au Royal. Petite parenthèse pour vous annoncer que ma prochaine séance de dédicaces aura lieu au prestigieux Salon du Livre de Paris en mars 2018.

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    Dire que ce séjour à l’Hôtel Royal fut idyllique est un euphémisme tant tout fut absolument parfait ! Une véritable parenthèse de sérénité. Rarement un hôtel a aussi bien porté son nom tant j’ai été reçue comme une véritable princesse. Et c’est la raison pour laquelle j’ai décidé de vous en parler à nouveau aujourd’hui pour partager avec vous ce séjour inoubliable qui vous donnera peut-être envie à votre tour de découvrir cet hôtel mythique et d’y vivre une expérience hors du temps. Peut-être cela vous donnera-t-il aussi une idée pour la Saint-Sylvestre si vous n’avez encore rien de prévu ou bien une idée de cadeau de Noël comme un séjour ou un soin dans son splendide nouveau Spa Diane Barrière.

     

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    J’avais aussi envie de partager avec vous les nombreux clichés que j’ai réalisés pendant mon séjour  qui fut un joyeux tourbillon et ceux réalisés par le photographe Dominique Saint (également auteur des photos des quatrièmes de couverture de mes livres) qui a eu la gentillesse de me proposer une séance photos dans l’hôtel.

    Photos ci-dessus © Dominique Saint

    Après mon article consacré à l’hôtel Royal Barrière de La Baule (à retrouver ici), le mois dernier, c’est donc au Royal de Deauville que je vous emmène cette fois-ci. En préambule, je tiens à remercier tout particulièrement le Directeur de l’hôtel Cyril Casabo qui est pour beaucoup dans le caractère convivial et chaleureux des lieux (et qui vous parlera avec passion de cet hôtel où il a depuis toujours rêvé de travailler) et qui contribue à ce que cet hôtel ait tant d’habitués qui le choisissent plutôt qu’un autre. Je remercie aussi tout particulièrement les chefs de réception adjoints, M.Sagot  et Mme Matter pour leur accueil ainsi que le Directeur d’exploitation M.Franck Louâpre et toute l’équipe du Royal qui a été aux petits soins…

     

    Deauville (ville à laquelle je consacre un autre blog, Inthemoodfordeauville.com) est à jamais pour moi le lieu où fut exacerbée ma passion pour le cinéma et le lieu qui changea le cours de ma vie, lors de mon premier Festival du Cinéma Américain de Deauville, il y a …25 ans déjà. Je n’ai jamais cessé d’y retourner depuis. L’hôtel Royal, lié pour moi a tant de souvenirs, représente la quintessence de Deauville.  Et c’était indéniablement l’endroit idéal pour profiter au mieux du 43ème Festival du Cinéma Américain de Deauville (mon 25ème donc !).

    C’est Nathalie Ryan, architecte d’intérieur et décoratrice, qui a notamment créé la somptueuse suite Dior à l’Hôtel Majestic à Cannes, qui s’est chargée de la décoration avec pour credo de « respecter et conserver l’âme historique des bâtiments, avec  leurs codes, leurs caractères, en insufflant un décor d’aujourd’hui, authentique. » La décoration du lobby, d’un rouge là aussi chaleureux et étincelant, vous donne envie de ne plus le quitter, surtout que la luminosité et l’atmosphère varient au gré des heures, entre cocooning et ambiance lounge, élégante et romantique le soir avec, en plus, une excellente bande sonore.

    L’hôtel 5 étoiles a tout du palace qu’il incarne et qu’il avait vocation à être dès sa construction, la preuve: il fait aussi partie de la chaîne Leading Hotels of the World qui compte ce qu’il y a de mieux dans l’hôtellerie mondiale.

    L’hôtel compte 217 chambres et 30 suites et dispose d’un restaurant, le Coté Royal  mais aussi d’un bar où vous pourrez vous restaurer, L’Etrier.

    Bâti il y a plus de cent ans, le Royal a ainsi su s’adapter au fil du temps, se moderniser tout en conservant son luxe et son charme d’antan, bien loin des hôtels standardisés sans âme qui fleurissent un peu partout.

    Au Royal rien ne manque et avec le rythme trépidant du festival, je n’ai même pas eu le temps de profiter de tout et notamment pas de son  nouveau Spa Diane Barrière. Le centre de yoga Tigre Yoga club propose ainsi des cours de yogas, méditation de pleine conscience, arts énergétiques et cours de Pilates. Le Tigre Yoga Club est un concept unique; à la fois club de bien-être, institut de soins et concept store dédié au wellness. Y sont pratiqués techniques de pointe de soins et massages du concept Aerial Wellbeing for the Future™ . Ce lieu réunit des soins raffinés, efficaces, consacrés à la beauté et au bien-être : manucures et pédicures, épilations à la cire douce et endermologie corps et visage .

    Au Royal, vous trouverez aussi hammam, sauna, solarium, piscine privée (extérieure mais chauffée à 28 degrés et très agréable) et centre de fitness… Vous pouvez même y louer gratuitement des vélos et profiter du magnifique salon Jacques Dessange situé au deuxième étage ! Les beaux jours, vous pourrez aussi profiter des buffets autour de la piscine.

    A proximité immédiate de l’hôtel, Deauville et ses environs proposent aussi de nombreuses activités sportives et de plein air : golf, thalassothérapie (de l’autre côté de la rue), tennis, équitation, sports nautiques, casino (juste à côté)… et bien sûr, les planches où vous pourrez profiter de la beauté lunatique et du cadre revigorant et enchanteur de ce lieu deauvillais emblématique  sans compter les nombreuses activités à Deauville, toute l’année. Vous pourrez aussi aller à pied à l’hippodrome.

    La chambre, réellement splendide qui m’a été attribuée (au 4ème étage les deux premiers jours puis la 612 au 6ème étage le reste du séjour, je vous la recommande !) bénéficiait d’une vue à couper le souffle sur Deauville (je n’ai pas été avare de photographies de cette vue tant elle est sublimement changeante au gré du temps et des heures de la journée) et d’un décor princier avec, pour agrémenter le séjour, toutes les petites attentions qui distinguent un bel hôtel d’un hôtel de luxe et, pour couronner le tout, une splendide salle de bain (avec douche et baignoire), véritable havre de bien-être et de luxe.

    Ma photo ci-dessous a eu le deuxième prix du concours Instagram Barrière de cet été.

    Petit souvenir du room service avant la dédicace… Là aussi service et présentation absolument parfaits.

    L’accueil et le service ont d’ailleurs été irréprochables de l’arrivée au départ. A tous les niveaux, des femmes de chambre à la direction en passant par le bar, la conciergerie et la réception, l’amabilité était remarquable. J’ai réellement eu l’impression d’être à la maison pendant 15 jours.

     

    Chaque matin, avant d’aller aux projections,  le petit déjeuner était un moment précieux avec un large choix de produits frais mais aussi des crêpes, pancakes,  et tout ce dont vous rêvez pour le petit déjeuner. Là aussi, l’accueil et le service ont été (pardon pour la redondance) parfaits.

     

    Que vous soyez clients ou non de l’hôtel, vous pourrez bien sûr aussi profiter du bar et de sa carte, riche en produits de qualité et qui vous permettra de vous restaurer dans un cadre agréable.

    A noter: les amis à quatre pattes des clients sont particulièrement bien reçus et choyés avec, là aussi, de délicates attentions.

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    Vous l’aurez compris, je vous recommande le Royal, fastueux et majestueux hôtel, sans la moindre réserve. Un hôtel qui a une âme et qui est le lieu idéal qui vous permet de profiter de celle de Deauville dans des conditions de rêve. Ci-dessous, ma notation détaillée de l’hôtel et d’autres conseils pour profiter au mieux de l’hôtel avec des photos de mes précédents séjours.

    A noter : le Royal est actuellement fermé. L’Hôtel Barrière Le Royal Deauville réouvrira ses portes les week-ends à partir du 31 mars jusqu’à la réouverture totale le 27 avril 2018.
    L’Hôtel sera ouvert pour la Saint-Sylvestre du 29 décembre 2017 au 1er janvier 2018.

    Notation de l’hôtel Royal Barrière par Inthemoodforhotelsdeluxe.com

     

    Situation de l’hôtel: Idéale, en plein cœur de Deauville, à deux pas du centre, du casino, de la plage, du centre de thalassothérapie, juste en face du CID où se déroule le festival, bref, le meilleur emplacement de la ville.

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    Classification officielle de l’hôtel: 5 étoiles

    Classification de l’hôtel par la rédaction d’Inthemoodforhotelsdeluxe.com : Label inthemoodforluxe

    Nombre de chambres: 217 chambres et 30 suites

    Chaînes hôtelières auxquelles appartient l’hôtel:  Barrière,Leading Hotels of the World

    Adresse de l’hôtel:

    Boulevard Cornuché – BP 74400 – 14804 Deauville

    Pour contacter l’hôtel – service Réservation:

    +33(0)970 809 555

    Site internet de l’hôtel

    Page Facebook de l’hôtel

    -Dates de séjour:

    Septembre 2017

    -Service (1M à 5M):

    5M. Rien à redire. Service digne d’un palace, parfait du début à la fin du séjour.

    -Amabilité (1M à 5M):

    5M. Service affable et personnalisé que ce soit à la réception, ou dans le restaurant, au bar, dans les étages. Là aussi amabilité « palace ».

    -Propreté (1M à 5M):

    5M. Rien à redire.

    -Loisirs/Animations (1M à 5M):

    5M. Comme précisé plus haut, en plus des services que propose l’hôtel, l’hôtel est situé au cœur de toutes les activités de la ville. Vous n’aurez que l’embarras du choix.

    -Situation (1M à 5M):

    5M. Idéale.

    -Décoration (1M à 5M):

    5M. Joliment sobre et élégante dans les chambres rénovées, particulièrement chaleureuse dans les parties communes, le tout créant une atmosphère cosy propice à la détente.

     

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    Photos ci-dessus prises dans la suite Johnny Hallyday.

     

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    Photos ci-dessus prises dans la suite Amicalement vôtre.

    -Confort de la chambre (1M à 5M):

    5M. Rien ne manque. Salle de bain particulièrement agréable et vue exceptionnelle et idyllique pour les chambres vues mer au décor somptueux, élégant, cosy, chaleureux.

    -Equipements de l’hôtel (1M à 5M):

    5M. Rien ou presque ne manque.

    -Originalité- Le(s) plus qui fait/font de cet hôtel un établissement   « in the mood for luxe » (1M à 5M):

    5M.

    Son emplacement

    L’accueil, irréprochable, remarquable, personnalisé.

    La gastronomie

    Sa piscine extérieure

    Rapport qualité/prix (1M à 5M) : 4M

    -Inconvénient(s) de cet hôtel :

    Je n’en vois pas…

    Atouts de cet hôtel:

    – l’amabilité

    – l’emplacement

    -la décoration

    -la piscine extérieure

    -le buffet de petit déjeuner

    -la vue depuis les chambres côté mer

    -le bar très agréable

    -Recommanderiez-vous cet hôtel (Oui ou Non):

    Oui. Sans hésiter.

    -Conseil(s) aux futurs clients :

    Avant la rénovation complète de l’hôtel, choisissez plutôt une chambre rénovée, vue mer et à un étage élevée si vous voulez bénéficier de la vue à couper le souffle immortalisée sur mes photos. De l’autre côté, la vue sur Deauville et la campagne n’en est pas moins très belle aussi, seulement moins spectaculaire.

    -Bilan et appréciation globale (1M à Label intemoodforluxe):

    Label inthemoodforluxe