cinéma - Page 165
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J'ai testé le Monte-Carlo Bay Hôtel et Resort où a été tourné "L'Arnacoeur" (qui, en 3 semaines en est à 2 292 796 entrées ) comme vous pourrez le constater sur les photos ci-dessous. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le nouveau blog in the mood: "In the mood for luxe". Vous pouvez également désormais suivre ce nouveau blog sur twitter. Pour recevoir des informations exclusives, vous pouvez également devenir amis avec le blog In the mood for luxe sur Facebook et vous inscrire à sa Fan page.
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Mon interview de Nader T.Homayoun , réalisateur de "Téhéran"
Il y a quelques semaines, on me proposait de rencontrer le réalisateur de "Téhéran", Nader T.Homayoun, pour l'interviewer. A mon grand regret, j'ai dû décliner l'invitation à la dernière minute mais ce dernier a eu la gentillesse de répondre à mes questions par écrit. Je l'en remercie de nouveau vivement et je vous conseille vraiment de lire ses réponses qui apportent un bel éclairage à ce film que je vous recommande d'ailleurs. Je vous rappelle au passage que "Téhéran" figure en compétition du 2ème Festival du Film Policier de Beaune, catégorie "sang-neuf".
Cliquez ici pour lire ma critique du film.
Quel a été l'élément déclencheur de votre projet ? L'envie de faire un film sur Téhéran ? De montrer un autre visage de cette ville ? Ou bien de réaliser un « thriller social » ?
Il est plus facile de répondre à cette question après coup. Au départ, votre projet de film oscille entre plusieurs désirs. Vous allez un peu dans toutes les directions pour trouver le ton et la forme adéquates. Je voulais d'abord faire un film de genre. Je trouvais que le cinéma iranien ne donnait pas assez d'importance au cinéma de genre, et que cette omission devenait même préjudiciable, car elle nous enfermait dans une certaine forme de cinéma qui commençait à sentir le formalisme. Néanmoins, je tenais à ce que le récit se passe à Téhéran. Et pour filmer Téhéran, je souhaitais être au plus proche de la température de la ville. Capter sa fièvre plus exactement, car Téhéran est pour moi une ville malade, elle a une infection. Ces deux approches à la fois sociale - presque sociologique - et urbaine, et en même temps très cinématographique devaient trouver une forme. La veine « thriller social » est donc apparue au fur et à mesure du développement du projet tant à l'écriture qu'au moment des repérages, puis évidemment au tournage.
Votre film comporte aussi un aspect documentaire ? La fiction était-elle votre choix d'emblée ou avez-vous hésité à réaliser un documentaire sur Téhéran ?
Faire un documentaire sur ou à Téhéran ne m'intéressait pas. Je sortais justement d'un documentaire qui m'avait pris 4 ans (Iran, une révolution cinématographique), et j'avais une véritable envie de fiction. Pour moi, il s'agissait de faire un film de genre qui aurait une dimension documentaire. La forme documentaire est presque pour moi dans ce film un exercice de style, dans le sens le plus noble du terme. Une forme qui permet au spectateur de plonger plus aisément dans la chaudière de Téhéran.
J'ai lu que vous étiez parti d'une rumeur selon laquelle des mendiants voleraient des bébés pour les accompagner dans leur mendicité. Avez-vous reçu des témoignages en ce sens depuis la réalisation du film ?
Je n'ai pas fait de recherches particulières dans ce sens-là, car je ne voulais pas brider mon fantasme, qui est aussi un fantasme collectif en Iran. Tout le monde est à peu près sûr en Iran que les bébés que l'on voit dans les bras des mendiants ne leur appartiennent pas. Mes recherches étaient de tout ordre, et elles se sont recentrées sur les ambiances urbaines, les choix des quartiers et des rues, les choix de la figuration, des passants, des « gueules » comme on dit dans le jargon, mais aussi dans le vocabulaire des dialogues.
Vous avez choisi de ne jamais montrer les forces de l'ordre mais finalement il me semble que cette absence rend l'Etat encore plus présent et surtout sa responsabilité encore plus présente, la pauvreté en étant une conséquence mais aussi le cynisme qui s'empare d'une partie de la société. Etait-ce un choix délibéré de votre part de ne jamais les montrer ?
Oui, tout à fait, je ne voulais pas mêler l'Etat à ça. Je trouvais que cette absence rendait la société iranienne plus dangereuse, plus inquiétante, « laissée pour compte ». Il y a un coté rassurant dans l'apparition de la police à la fin de certains films. Comme si on essayait de nous dire : « ne vous inquiétez pas, au final, ils sont toujours là pour vous sauver » ; un peu à l'image de l'arrivée de la cavalerie à la fin des westerns. Or, dans Téhéran, vous sentez la présence de la police et des forces de l'ordre, mais elle n'est pas rassurante. Vous ne vous sentez pas à l'aise. Tout est possible avec eux.
Il y avait aussi une autre raison pour laquelle j'ai évité de montrer les forces de l'ordre. Souvent dans les films, cette présence est un gage donné à l'état pour faire passer le film à travers les mailles de la censure. Je veux dire plus précisément que la présence des forces de l'ordre à la fin des films, et la fait que le dénouement de l'histoire passe par eux, est une garantie de la moralité du film. Leur absence dans le film est aussi un acte politique.
Pensez-vous que faire du cinéma en Iran est aujourd'hui une forme de résistance ? Je pense à votre film mais aussi à un autre très beau film « Les chats persans » de Bahman Ghobadi qui s'est également heurté à beaucoup de difficultés.
Faire des films partout dans le monde est devenu un acte de résistance. Face à la montée de la consommation d'images faciles et face à cette espèce de cannibalisme ou plus exactement face à cet aspect fast-food des images, quand un cinéaste essaye de faire un cinéma différent, avec une durée et un style différent, forcément il fait acte de résistance. Faire des films en Iran est difficile, mais je crois qu'on peut dire la même chose pour un cinéaste français ou américain... Les dangers ne sont pas les mêmes, mais il faut prendre des risques.
Ce que l'on peut dire en revanche pour les cinéastes iraniens, c'est qu'ils ont une double mission. La première est de faire des images et raconter des histoires, ils la partagent avec tous les cinéastes du monde. En revanche, un cinéaste iranien a aussi pour mission d'éveiller le regard du monde, même de façon très modeste, sur ce qui se passe dans son pays, car l'image de l'Iran n'appartient plus depuis longtemps aux Iraniens. Et les cinéastes iraniens sont devenus malgré eux les ambassadeurs de leur pays.
Votre film et celui précédemment évoqué ont d'ailleurs en commun d'avoir Téhéran pour protagoniste, une ville bouillonnante, tentaculaire mais aussi victime de ségrégation sociale. Dans quelle mesure cette ville est-elle pour vous différente des autres capitales ?
Téhéran ressemble à beaucoup d'égard aux autres mégapoles du monde, avec les mêmes problématiques connues et reconnues dans ce genre de cité. Mais ce qui change en Iran, c'est qu'en plus des difficultés sociales, les habitants de Téhéran souffrent d'un autoritarisme religieux et politique. Votre liberté individuelle n'est pas la même à Téhéran qu'à Mexico, même si à beaucoup d'égard, ces deux mégapoles endurent des mêmes maux. Un exemple simple : un ouvrier iranien ne peut à la fin de sa journée, se payer une bière pour se détendre.
Téhéran m'intéressait aussi parce que c'est la ville où tous les espoirs sont possibles, ou en tout cas, les gens de province ont ce fantasme. La capitale est devenue une ville très hétéroclite où l'on peut trouver des gens des quatre coins du pays. En somme Téhéran, vues sa dimension et sa population, est un micro-Iran, et devient par conséquent une métaphore du pays.
Finalement le sentiment d'urgence lors des conditions de tournage est le même que celui ressenti par Ebrahim et ces difficiles conditions de tournage donnent aussi l'impression de servir le sujet. Y a-t-il des scènes auxquelles vous avez dû renoncer ? Ou, au contraire, d'autres scènes sont-elles nées de ces contraintes ?
Je suis allé sur le plateau avec un scénario flottant. Je veux dire que rien n'était figé, tout pouvait changer sur le plateau notamment pour faire face aux contraintes du quotidien. J'ai beaucoup d'exemples. Pêle-mêle, il me vient à l'esprit la scène du concessionnaire. J'étais censé tourner la scène dans une boutique de vêtements très chics à Téhéran, mais le propriétaire nous a lâché à la dernière minute. Un ami d'un ami d'un ami connaissait un concessionnaire. Nous avons réécrit les dialogues en fonction du nouveau décor et du nouveau métier. Cerise sur le gâteau, les murs étaient couverts de miroirs. Un bonheur pour moi, un calvaire pour le chef'op. la scène a pris, je trouve plus de poids. Le concessionnaire vend des bébés comme des voitures.
Ce qui m'a aussi frappée, c'est votre vision sombre de l'Iran, « Téhéran » montre un peuple désenchanté qui, à l'image de la dernière scène, suffoque et meurt. La caméra s'éloigne alors comme si on regardait cela de loin, avec une relative indifférence. Partagez-vous ce pessimisme ou votre film reflète-t-il le sentiment général du peuple iranien ?
La dernière scène du film reflète très bien ma vision des choses pendant le tournage et la raison pour laquelle j'ai réalisé ce film : l'impuissance. Le peuple iranien n'est pas indifférent mais reste impuissant face à ce qu'on lui impose et ne réagit pas ou pas assez. Les choses ont beaucoup changé depuis les dernières élections et tant mieux. Il y a eu un sursaut national, une renaissance qui n'a pas l'air de faiblir. Le placement de la caméra dans la dernière scène n'est pas un éloignement par rapport à la réalité de la vie, elle évoque au contraire notre impuissance à prendre notre destinée en main, comme si on nous gardait à distance. Nous restons spectateur et non pas acteur de la pièce dans laquelle nous sommes censés jouer le rôle principal.
Pensez-vous que votre film pourra sortir en Iran ?
Je ne sais toujours pas. J'aimerais beaucoup. Je vais très prochainement envoyer une copie du film, avec un dossier de presse. La balle sera ainsi dans le camp du Ministère de la Culture et de l'Orientation Islamique.
Avez-vous d'autres projets ? Pensez-vous qu'il sera encore plus difficile pour vous de tourner en Iran après ce film ?
J'ai un autre projet que j'aimerais tourner cet hiver en Iran. Une comédie romantique à Téhéran, un film très différent dans la forme et dans le fond. Je vais me battre pour faire ce film en Iran, comme tout le monde. Pour le moment, je me concentre sur l'écriture. À chaque jour suffit sa peine. On ne sait pas de quoi demain est fait.
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Critique de «Gatsby le magnifique » de Jack Clayton avec Robert Redford, Mia Farrow…
Adapté en 1974 du chef d'œuvre de Fizgerald, le film (comme le roman) se déroule dans la haute aristocratie américaine. Une vraie gageure d'adapter ce sublime roman( sans doute un de ceux que j'ai le plus relus) qui évite toujours soigneusement la mièvrerie et assume le romantisme effréné et exalté (mais condamné) de son personnage principal.
Eté 1920. Nick Carraway (Sam Waterston), jeune homme du Middlewest américain se rend à New York pour travailler comme agent de change. C'est dans la zone huppée de Long Island qu'il trouve une maison, juste à côté de la somptueuse demeure du mystérieux Gatsby (Robert Redford) et avec une vue imprenable sur East Egg où vivent sa cousine Daisy (Mia Farrow) et son mari Tom Buchanan (Bruce Dern) . Daisy s'ennuie avec son mari bourru qui la trompe ouvertement et elle tue le temps avec son amie la golfeuse professionnelle Jordan Baker. Tom présente même à Nick sa maîtresse Myrtle Wilson (Karen Black), la femme du garagiste. Tous s'étonnent que Nick ne connaisse pas son voisin Jay Gatsby qui donne des réceptions somptueuses avec des centaines d'invités et sur le compte de qui courent les rumeurs les plus folles. C'est en répondant à une des invitations de son mystérieux voisin que Nick va faire ressurgir le passé liant sa cousine Daisy à l'étrange et séduisant Jay Gatsby.
Dès les premières minutes, ce film exerce la même fascination sur le spectateur que le personnage de Jay Gatsby sur ceux qui le côtoient ou l'imaginent. La magnificence crépusculaire de la photographie et la langueur fiévreuse qui étreint les personnages nous laissent entendre que tout cela s'achèvera dans le drame mais comme Nick nous sommes fascinés par le spectacle auquel nous souhaitons assister jusqu'au dénouement. Jay Gatsby n'apparaît qu'au bout de vingt minutes, nous nous trouvons alors dans la même situation que Nick qui ne le connaît que par sa réputation : on dit qu'il « a tué un homme » et qu'il n'apparaît jamais aux fêtes somptueuses qu'il donne dans une joyeuse décadence.
Comme dans le roman de Fitzgerald, le film de Jack Clayton dépeint brillamment l'ennui de la haute aristocratie américaine grâce à plusieurs éléments : l'élégance romantique et le jeu de Robert Redford ( difficile après avoir vu le film d'imaginer autrement le personnage de Gatsby qu'il incarne à la perfection), le scénario impeccable signé Francis Ford Coppola, une photographie éblouissante qui évoque à la fois la nostalgie et la chaleur éblouissantes, une interprétation de Mia Farrow entre cruauté, ennui, insouciance et même folie, l'atmosphère nostalgique et fiévreuse (la sueur perle en permanence sur le front des personnages comme une menace constante), et puis bien sûr l'adaptation du magnifique texte de Fitzgerald : « La poussière empoisonnée flottant sur ses rêves » ou cette expression de « nuages roses » qui définit si bien le ton du roman et du film. Avec l'amertume dissimulée derrière l'apparente légèreté. La mélancolie et le désenchantement derrière la désinvolture. Il faut aussi souligner l'excellence des seconds rôles et notamment de Karen Black aussi bien dans la futilité que lorsqu'elle raconte sa rencontre avec Tom Buchanan.
« Gatsby le magnifique » est à la fois une critique de l'insouciance cruelle et de la superficialité de l'aristocratie que symbolise Daisy, c'est aussi le portrait fascinant d'un homme au passé troublant, voire trouble et à l'aura romantique dont la seule obsession est de ressusciter le passé et qui ne vit que pour satisfaire son amour inconditionnel et aveugle. (Ah la magnifique scène où Jay et Daisy dansent dans une pièce vide éclairée à la bougie !) Face à lui Daisy, frivole et lâche, qui préfère sa réputation et sa richesse à Gatsby dont la réussite sociale n'avait d'autre but que de l'étonner et de poursuivre son rêve qui pour lui n'avait pas de prix. Gatsby dont par bribes la personnalité se dessine : par sa manie d'appeler tout le monde « vieux frère », par ses relations peu recommandables, par le portrait qu'en dresse son père après sa mort, un père qu'il disait riche et mort. Pour Daisy, la richesse est un but. Pour Jay, un moyen (de la reconquérir). Elle qui ne sait que faire des 30 années à venir où il va falloir tuer le temps.
Les deux êtres pour qui l'argent n'étaient qu'un moyen et non une fin et capables d'éprouver des sentiments seront condamnés par une société pervertie et coupable de désinvolture et d'insouciance. Un film de contrastes. Entre le goût de l'éphémère de Daisy et celui de l'éternité de Gatsby. Entre la réputation sulfureuse de Gatsby et la pureté de ses sentiments. Entre la fragilité apparente de Daisy et sa cruauté. Entre la douce lumière d'été et la violence des sentiments. Entre le luxe dans lequel vit Gatsby et son désarroi. Entre son extravagance apparente et sa simplicité réelle. Entre la magnificence de Gatsby et sa naïveté. Et tant d'autres encore. Des contrastes d'une douloureuse beauté.
C'est à travers le regard sensible et lucide de Nick qui seul semble voir toute l'amertume, la vanité, et la beauté tragique de l'amour, mélancolique, pur et désenchanté, que Gatsby porte à Daisy que nous découvrons cette histoire tragique dont la prégnante sensation ne nous quitte pas et qui nous laisse avec l'irrésistible envie de relire encore et encore le chef d'œuvre de Fitzgerald et de nous laisser dangereusement griser par l'atmosphère de chaleur écrasante, d'extravagance et d'ennui étrangement mêlés dans une confusion finalement criminelle. Un film empreint de la fugace beauté de l'éphémère et de la nostalgie désenchantée qui portent le fascinant et romanesque Gatsby. A (re)voir absolument.
D'autres critiques de classiques du 7ème art à lire sur inthemoodforcinema.com (cliquez sur le titre du film qui vous intéresse pour en lire la critique):
- "Pépé le Moko"de Julien Duvivier (1936)
- "Un homme et une femme" de Claude Lelouch
- "Drôle de drame" de Marcel Carné (1937)
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Programme du 11ème Festival du Film Francophone de Grèce
Je vous ai déjà parlé du 11ème Festival du Film Francophone de Grèce (ici) qui aura lieu du 15 au 25 avril à Athènes et du 22 au 28 avril à Thessalonique et dont le parrain sera Jean-Paul Gaultier. Etant donné ma passion inconditionnelle pour ce pays, je ne pouvais pas ne pas vous en parler à nouveau. Voici quelques informations concernant cette programmation 2010.
La programmation sera cette année encore composée pour la plupart de films inédits en Grèce, soit dix jours d'avant-premières !
Gainsbourg (vie héroïque) de Joann Sfar ouvrira le festival. Egalement au programme: La Journée de la jupe, Rapt de Lucas Belvaux mais aussi les films de la jeune génération comme Christophe Honoré, Emmanuel Mouret, Riad Sattouf (César 2010 du 1er long métrage et révélation du dernier festival de Cannes), des frères Larrieu aussi programmés en avant-premières. Le très beau film d'Hippolyte Girardot Yuki et Nina, la rencontre entre Michel Piccoli et la toute jeune Pauline Étienne dans Le Bel Âge, le prix Louis-Delluc du 1er long métrage pour Qu'un seul tienne et les autres suivront de Léa Fehner seront également au programme.
Un hommage sera rendu à Éric Rohmer avec le Festival International du Film d'Athènes « Nichtes Premieras » pour voir et revoir Le Signe du lion, La Collectionneuse ou la production franco-grecque Triple Agent avec Katerina Didaskalou.
C'est en collaboration avec le Festival International du Film de Thessalonique que vous découvrirez aussi Persécution de Patrice Chéreau, Panique au village de Vincent Patar et Stéphane Aubier ou des sujets plus graves avec le film de Philippe Van Leeuw Le Jour où Dieu est parti en voyage. Ces films, montrés à Thessalonique en novembre dernier, n'ont jamais été présentés à Athènes.
Unifrance, qui soutient activement le festival et son action tout au long de l'année, a relevé une part de marché des films français en Grèce de 8 %, soit une des plus importantes au monde.
Enfin, le festival fait place aux productions sélectionnées par les Ambassades en Grèce des autres pays membres de l'Organisation Internationale de la Francophonie.
Parmi les invités: Jean-Paul Gaultier bien sûr mais aussi Jacques Perrin, Jane Birkin, Stéphane Bern, Daphné Roulier, Antoine de Caunes, François-Xavier Demaison... Nana Mouskouri sera par ailleurs présente lors de la soirée d'ouverture.
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Etudiants parisiens: devenez membres du jury étudiant du festival Paris Cinéma 2010
Je vous parlerai prochainement du Festival Paris Cinéma où "In the mood for cinema" sera plus que jamais cette année même si je ne peux pas vous en dire davantage pour l'instant (mystère...:-)). En attendant, je vous propose d'envoyer votre candidature si vous êtes étudiant parisien et si vivre l'expérience intense, enrichissante et palpitante d'un jury vous tente.
Comme chaque année, le Festival Paris Cinéma invite ainsi les étudiants parisiens à devenir membre du Jury des étudiants, et à décerner le Prix des étudiants à l'un des longs métrages de la Compétition internationale.
Avant de vous inscrire, vérifiez que vous êtes disponible toute la durée du festival qui aura lieu cette année du 3 au 13 juillet 2010.
Un lauréat, une responsabilité
Les étudiants du Jury doivent décerner le Prix des étudiants à l'un des longs métrages de la Compétition internationale du Festival Paris Cinéma, véritable laboratoire du cinéma de demain. Cette responsabilité requiert de la part des étudiants une maîtrise des fondements du discours cinématographique.
Une expérience enrichissante au contact d'une personnalité du cinéma
Chaque année une personnalité reconnue du monde du cinéma est conviée à tenir le rôle de médiateur lors de la délibération des membres du Jury des étudiants : une occasion pour les étudiants d'échanger librement leurs opinions, dans un débat constructif et passionnant.
Exercices critiques
Les étudiants sont invités à rédiger de courtes critiques qui seront publiées sur le site Internet du festival.
L'étudiant qui rédigera la meilleure critique sera invité par l'Office Franco Québécois pour la Jeunesse à participer aux Rendez-vous du Cinéma Québécois qui se dérouleront en février prochain à Montréal.
Vous souhaitez devenir membre du Jury des étudiants ?
Rien de plus simple, télécharge la fiche disponible ici:
http://www.pariscinema.org/data/document/fiche-participation-2010-site-jury-etudiants.doc
et faîtes la parvenir par courrier avant le 28 mai 2010 à :
FESTIVAL PARIS CINÉMA
Jury des étudiants
155 rue de Charonne
75011 Paris -
Etudiants parisiens: devenez membres du jury étudiant du festival Paris Cinéma 2010
Je vous parlerai prochainement du Festival Paris Cinéma où "In the mood for cinema" sera plus que jamais cette année même si je ne peux pas vous en dire davantage pour l'instant (mystère...:-)). En attendant, je vous propose d'envoyer votre candidature si vous êtes étudiant parisien et si vivre l'expérience intense, enrichissante et palpitante d'un jury vous tente.
Comme chaque année, le Festival Paris Cinéma invite ainsi les étudiants parisiens à devenir membre du Jury des étudiants, et à décerner le Prix des étudiants à l'un des longs métrages de la Compétition internationale.
Avant de vous inscrire, vérifiez que vous êtes disponible toute la durée du festival qui aura lieu cette année du 3 au 13 juillet 2010.
Un lauréat, une responsabilité
Les étudiants du Jury doivent décerner le Prix des étudiants à l'un des longs métrages de la Compétition internationale du Festival Paris Cinéma, véritable laboratoire du cinéma de demain. Cette responsabilité requiert de la part des étudiants une maîtrise des fondements du discours cinématographique.
Une expérience enrichissante au contact d'une personnalité du cinéma
Chaque année une personnalité reconnue du monde du cinéma est conviée à tenir le rôle de médiateur lors de la délibération des membres du Jury des étudiants : une occasion pour les étudiants d'échanger librement leurs opinions, dans un débat constructif et passionnant.
Exercices critiques
Les étudiants sont invités à rédiger de courtes critiques qui seront publiées sur le site Internet du festival.
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Evasion "in the mood for cinema"...
Pendant quelques jours "In the mood for cinema" fonctionnera un peu au ralenti après 6 mois sans une seule journée sans notes sur ce blog et parfois jusqu'à 6 notes par jour mais ces quelques jours d'évasion seront d'une certaine manière très "in the mood for cinema" et donneront lieu à de nouvelles notes ici ou ailleurs. Le point commun entre les deux films ci-dessous vous donnera une idée de l'endroit où je me trouve... L'actualité reviendra à son rythme normal à partir du 7 Avril sur "In the mood for cinema", "In the mood for Cannes" (avec les dernières informations et rumeurs sur la programmation du Festival de Cannes 2010), "In the mood for Deauville" et "In the mood for luxe".