En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Par Sandra Mézière. Le 7ème art raconté avec passion depuis 2003. 4000 articles. Festivals de cinéma en direct : Deauville, La Baule, Cannes, Dinard...Critiques de films : avant-premières, à l'affiche, classiques. Actualité de romancière. Podcast.
Comme je vous le disais il y a quelques jours, mon recueil de nouvelles "Les illusions parallèles" sortira le 22 août prochain. Pour les impatients, sachez qu'il peut d'ores et déjà être précommandé directement chez mon éditeur Les Editions du 38, en papier ou numérique, en attendant d'être disponible à la commande dans toutes les librairies ou directement sur internet sur les sites habituels (Amazon etc) ...
Dans un peu moins d'un mois aura lieu le 42ème Festival du Cinéma Américain de Deauville dont la conférence de presse aura lieu le 23 août à 11H. J’ai assisté à plus de la moitié de ces 41 éditions passées et pourtant ma curiosité et mon enthousiasme pour ce festival demeurent intacts. C’est même le seul pour lequel la question ne se pose même pas. Quoiqu’il arrive, chaque année, le rendez-vous est en effet pour moi immuable et incontournable. Je n’ai ainsi jamais cessé d’y retourner sur toute sa durée après ma découverte du festival. Quoiqu’il arrive, chaque année, c’est comme une douce réminiscence de mon premier Festival du Cinéma Américain (qui fut aussi mon premier festival de cinéma auquel en succédèrent tant). La beauté incendiaire, mélancolique et changeante de Deauville me fascine toujours autant que la première fois que j’ai foulé ses célèbres planches et je ne me lasse d’ailleurs toujours pas de la photographier.
Et lorsque j’entre dans la majestueuse salle du CID, un mélange de nostalgie joyeuse et de fascination émue devant cet écrin synonyme de tant d’instants de vie et de cinéma indélébiles m’étreint toujours. Vous l’aurez compris: j’aime ce festival. Passionnément. Indéfectiblement. Au point d’avoir fait partie de son jury de cinéphiles en 2000. Au point d’y consacrer un blog entier (Inthemoodfordeauville.com). Au point d’avoir réussi à y placer une scène clef de mon premier roman publié en papier L’amor dans l’âme ( paru en avril 2016 aux Editions du 38) …qui se déroule pourtant au Festival de Cannes et deux nouvelles de mon recueil « Les illusions parallèles » (publié le 22 août 2016). Comme chaque année, je serai donc, forcément, fidèle au rendez-vous. Et je me réjouis d’avance de vous le faire vivre en direct et, comme chaque année également, en partenariat avec le CID, de vous permettre de remporter vos pass pour vivre pleinement ce festival avec, en plus, un bonus exceptionnel cette année puisque je vous ferai gagner deux invitations pour la cérémonie de clôture et le film de clôture!
Ci-dessus, Keanu Reeves lors de l’hommage qui lui a rendu le Festival du Cinéma Américain de Deauville l’an passé
Le Festival du Cinéma Américain de Deauville se caractérise et se distingue par sa judicieuse alliance de blockbusters et de films indépendants grâce à la compétition mise en place en 1995 mais aussi par les hommages à des personnalités du cinéma américain dont les noms, pour la plupart, ornent les cabines des planches. Un générique éclectique et impressionnant! Malgré cela, le festival a su rester un événement très accessible et ouvert à tous, destiné à la fois aux cinéphiles autant qu’aux « simples amateurs » de cinéma. « Un moment précieux pour tous les amoureux du cinéma », comme le spécifie le juste et beau slogan du festival…
Les Docs de l’oncle Sam nous réservent aussi chaque année d’excellentes surprises comme l’électrisant Janis d’Amy Berg l’an passé. Mais Deauville, ce sont aussi: le prix Michel d’Ornano (qui récompense un scénario de film français, l’an dernier l’excellent Les Cowboys de Thomas Bidegain), un prix littéraire, des séries, des classiques du cinéma, des conférences de presse…
Malgré leur diversité de styles, d’époques, de points de vue (14 films l’an passé), des thématiques communes se dégagent ainsi chaque année des films en compétition comme un état des lieux de l’Amérique. En 2015, les films en lice pour le Grand Prix mettaient en scène des personnages avides de liberté, emprisonnés dans un quotidien étouffant, une vie qu’ils n’avaient pas choisie à laquelle ils désiraient échapper, englués dans les difficultés économiques, des personnages marqués par l’absence du père et/ou le deuil comme la métaphore d’un monde en quête de (re)pères et d’un nouveau souffle de liberté. Comme chaque année, cette compétition nous donnait à voir une autre Amérique, l’envers de l’American dream, les failles et blessures qui se cachent derrière l’étincelante bannière étoilée, la réalité souvent crue que le cinéma américain préfère habituellement dissimuler et édulcorer. En cela, ce fut une plongée passionnante dans une autre Amérique. Qu’en sera-t-il cette année? Pour cela, il faudra attendre la fin août et la conférence de presse du festival même si de nombreux éléments du programme nous seront révélés d’ici là. Je ne manquerai pas de vous les annoncer au fur et à mesure.
Nous savons pour l’instant que cette 42ème édition aura lieu du 2 au 11 septembre 2016 et que le jury sera présidé par Frédéric Mitterrand. Avec ce cinéphile érudit, amoureux passionné et passionnant du cinéma, à n’en pas douter les débats seront brillants et les films seront regardés avec bienveillance. Il n’est pas seulement cette voix lyrique et inimitable. En plus d’être désormais écrivain, il a surtout défendu ardemment le cinéma comme exploitant de cinéma, réalisateur, producteur, mais aussi en tant qu’ancien Ministre de la Culture. Le cinéma n’a plus de secrets pour lui et son regard sur les films en lice sera sans doute aucun aiguisé.
Nous connaissons désormais aussi le nom d’une des personnalités à qui le festival rendra hommage: le cinéaste Michael Moore, en sa présence. À cette occasion, le Festival présentera en avant-première son nouveau film « Where to Invade Next », avant sa sortie en salles le 7 septembre.
Voici le pitch de son nouveau film: Dans son nouveau documentaire, Michael Moore décide de s’amuser à envahir le monde pour déterminer ce que les États-Unis peuvent apprendre des autres pays.
Alors que les organisateurs du Festival du Cinéma Américain de Deauville avaient déjà annoncé, pour cette édition 2016, un hommage à Michael Moore, ils viennent également de confirmer un autre hommage qui sera décerné à l’acteur, réalisateur, scénariste, producteur, écrivain, professeur James Franco.
Le Festival du Cinéma Américain lui rendra hommage en sa présence. À cette occasion, le Festival présentera en avant-première son nouveau film en tant que réalisateur, In Dubious Battle, un film avec James Franco, Ed Harris, Selena Gomez, Bryan Cranston… une projection à laquelle je ne manquerai pas d’assister et dont vous pourrez bien entendu retrouver ma critique, ici.
Au programme vient de s’ajouter un nouvel hommage décerné à l’acteur, réalisateur, producteur et scénariste Stanley Tucci.
Stanley Tucci a fait ses débuts avec John Houston (« L’honneur des Prizzi »). Il a désormais plus de quatre-vingts films à son actif. Comme le précise le site officiel du Festival du Cinéma Américain de Deauville, « il est passé maître dans l’art d’incarner les personnages les plus sombres, tantôt assassin dans L’Affaire Pélican de Alan J. Pakula, tantôt tueur en série dans Lovely Bones de Peter Jackson, mais aussi procureur véreux dans Kiss of Death de Barbet Schroeder ou encore gangster dans Les Sentiers de la perdition de Sam Mendes. Tout récemment, on a pu le voir interpréter avec brio un avocat en quête de vérité dans Spotlight de Tom McCarthy. Loin de se cantonner aux drames, il explore aussi des registres plus légers et révèle son potentiel comique dans des films comme Le Terminal de Steven Spielberg ou Harry dans tous ses états de Woody Allen. «
Le Festival du Cinéma Américain lui rendra hommage, en sa présence.
Nous connaissons aussi désormais les films d’ouverture et de clôture (le dernier vous intéressera certainement d’autant plus que je vous ferai ici prochainement gagner des places pour découvrir celui-ci lors de la clôture et donc aussi pour assister à la cérémonie de clôture du festival).
C’est le film INFILTRATOR de Brad Furman qui fera l’ouverture du festival, un film avec Bryan Cranston, Diane Kruger, John Leguizamo, Benjamin Bratt, Yul Vasquez … distribué par ARP Sélection. Et surtout un beau divertissement en perspective, idéal pour l’ouverture.
Ce film raconte l’histoire de l’agent fédéral Bob Mazur qui a pour mission d’infiltrer le cartel de drogue de Pablo Escobar. Son but : faire tomber 85 barons et une banque internationale. Son plan : s’inventer un passé, une identité, une fiancée. Son risque : le moindre faux pas lui serait fatal.
Le film de clôture sera WAR DOGS de Todd Phillips, un film avec Jonah Hill, Miles Teller, Ana de Armas, Bradley Cooper.
Le film sera distribué par Warner Bros et raconte l’histoire de deux copains âgés d’une vingtaine d’années, vivant à Miami Beach à l’époque de la guerre en Irak et qui profitent d’un dispositif méconnu du gouvernement fédéral, permettant à de petites entreprises de répondre à des appels d’offres de l’armée américaine. Si leurs débuts sont modestes, ils ne tardent pas à empocher de grosses sommes d’argent et à mener la grande vie. Mais les deux amis sont totalement dépassés par les événements lorsqu’ils décrochent un contrat de 300 millions de dollars destiné à armer les soldats afghans. Car, pour honorer leurs obligations, ils doivent entrer en contact avec des individus très peu recommandables… dont certains font partie du gouvernement américain…
Nous savons également que la marque de cosmétiques Kiehl’s sera à nouveau partenaire officiel cette année après avoir fait de sa « Villa Kiehl’s » LE lieu convivial et élégant de l’édition passée qui a aussi indéniablement contribué à la réussite de cette 41ème édition. Je me réjouis donc de retrouver la villa et son affable équipe cette année.
Quelle affiche que celle de cette 42ème édition! Sans doute est-ce la plus belle depuis la création du festival, même si certaines furent particulièrement mémorables. Mais j’avoue que ce magnifique hommage à Chaplin et à la scène finale du chef-d’œuvre que sont Les Temps modernes me réjouit tout particulièrement.
Outre cette référence, on retrouve bien sûr les célèbres planches et les étoiles échappées de la bannière étoilée. « Deauville surfe sur les Temps Modernes. L’amour, la lumière & l’avenir. »
Vous pouvez bien sûr d’ores et déjà acheter vos pass pour ce 42ème Festival du Cinéma Américain de Deauville auprès du CID, directement sur internet, ici. Les prix demeurent très raisonnables pour le nombre de séances auxquelles un pass permet d’assister. Les entreprises peuvent également acheter leurs pass VIP (avec de nombreuses formules) auprès du CID (renseignements, ici).
Et vous pouvez aussi bien sûr tenter votre chance au concours ci-dessous. Sur les 36 pass que je peux vous faire gagner, j’en conserve 6 et les 2 invitations pour la clôture que je mettrai en jeu en septembre pendant le festival. Deux d’entre vous pourront ainsi gagner trois pass (pour le vendredi 9, le samedi 10 et le dimanche 11 septembre) et chacun une invitation exceptionnelle pour la cérémonie et le film de clôture le 10 septembre.
En attendant, tentez votre chance pour gagner un ou plusieurs des 30 pass restants mis en jeu dès aujourd’hui! Bonne chance et bon festival à tous!
En complément, quelques liens utiles concernant le Festival du Cinéma Américain de Deauville:
Pour me suivre en direct pendant le festival: sur mes blogs (Inthemoodforfilmfestivals.com, Inthemoodforcinema.com, Inthemoodfordeauville.com et Inthemoodforhotelsdeluxe.com), sur twitter (@moodforcinema-compte principal- et @moodfdeauville), sur Facebook (Facebook In the mood for cinema et Facebook In the mood for Deauville) et sur Instagram (@sandra_meziere).
CONCOURS
Règlement
Pour participer, envoyez vos réponses à inthemoodforfilmfestivals@gmail.com en n’oubliant pas de spécifier vos nom et prénom (pas de pseudo). L’intitulé de votre email devra être « Concours Deauville 2016 ». Seuls les gagnants seront contactés, par email après la fin du concours qui s’achève le 26 août 2016, à minuit. Les 6 pass restants et les invitations pour la cérémonie et le film de clôture seront mis en jeu pendant le festival (2 gagnants avec chacun 1 pass pour le vendredi 9, 1 pass pour le samedi 10, 1 pass pour le dimanche 11 et une invitation pour la clôture). Les questions portent sur Deauville et/ou le cinéma américain et/ou le Festival du Cinéma Américain de Deauville. A gagner pour cette première partie: 30 pass ainsi répartis en 11 lots:
Répartition des lots:
1er prix (6 pass pour le gagnant : 3 pour lui et 3 pour un accompagnant) : 2 pass pour le samedi 3, 2 pass pour le dimanche 4, 2 pass pour le lundi 5
2ème prix (3 pass pour le gagnant) : 1 pass pour le vendredi 9, 1 pass pour le samedi 10, 1 pass pour le dimanche 11
3ème Prix (4 pass pour le gagnant) : 1 pass pour le lundi 5, 1 pass pour le mardi 6, 1 pass pour le mercredi 7, 1 pass pour le jeudi 8,
4ème prix (3 pass pour le gagnant) : 1 pass samedi 3, 1 pass pour le dimanche 4, 1 pass pour le lundi 5
5ème prix (2 pass pour le gagnant) : 1 pass pour le samedi 3, 1 pass pour le dimanche 4
6ème prix (2 pass pour le gagnant) : 1 pass pour le samedi 10 et 1 pass pour le dimanche 11
7ème prix (3 pass pour le gagnant) : 1 pass pour le mardi 6, 1 pass pour le mercredi 7, 1 pass pour le jeudi 8
8ème prix (2 pass pour le gagnant, 1 pour lui et 1 pour un accompagnant) Prix : 2 pass pour le mardi 6,
9ème prix (2 pass pour le gagnant) : 1 pass pour le mercredi 7 et 1 pass pour le jeudi 8
10ème prix (2 pass pour le gagnant) : 1 pass pour le mercredi 7 et 1 pass pour le jeudi 8
11ème prix (1 pass pour le gagnant) : 1 pass pour le vendredi 9
Questions:
1. Une plaque au nom de son auteur se situe sur les planches de Deauville. O. l’a adapté (dans un film américain). De quel livre s’agit-il?
2. Citez 4 films dans lesquels au moins une scène a été tournée à Deauville, au moins un des 4 cités devant être sorti en 2015 ou 2016.
3. Quel est le titre du film dont l’image figure ci-dessous et quel est son rapport avec le Festival du Cinéma Américain de Deauville?
4. Quel est le lien principal entre les deux films dont sont extraites les images ci-dessous? Donnez-moi les titres de ces deux films.
5. Combien la salle de cinéma du CID peut-elle contenir de personnes?
6. Parmi ces personnalités, laquelle n’a pas son nom sur les planches de Deauville: James Ivory, James Dean, Danny Kaye, Arnon Milchan, Steven Spielberg, Jessica Chastain, Abel Ferrara, Eli Kazan, James Coburn.
7. De quelle affiche cette image est-elle extraite?
8. Qui a récemment présidé le jury du Festival du Cinéma Américain de Deauville avant de revenir rendre hommage à une actrice l’an passé?
9. Quel est le rapport entre le cinéaste qui a réalisé ce film et le Festival du Cinéma Américain de Deauville ?
10. Afin de départager les questionnaires dont toutes les réponses seraient exactes et afin d’éviter les réponses provenant de sites de concours les répertoriant, pouvez-vous me dire quel fut pour vous le meilleur film américain de l’année 2015 (et pourquoi) et ce que représente le Festival du Cinéma Américain de Deauville pour vous (que vous soyez déjà venu-e- ou non).
Au programme vient de s'ajouter un nouvel hommage décerné à l'acteur, réalisateur, producteur et scénariste Stanley Tucci.
Stanley Tucci a fait ses débuts avec John Houston ("L'honneur des Prizzi"). Il a désormais plus de quatre-vingts films à son actif. Comme le précise le site officiel du Festival du Cinéma Américain de Deauville, "il est passé maître dans l'art d'incarner les personnages les plus sombres, tantôt assassin dans L'Affaire Pélican de Alan J. Pakula, tantôt tueur en série dans Lovely Bones de Peter Jackson, mais aussi procureur véreux dans Kiss of Death de Barbet Schroeder ou encore gangster dans Les Sentiers de la perdition de Sam Mendes. Tout récemment, on a pu le voir interpréter avec brio un avocat en quête de vérité dans Spotlight de Tom McCarthy. Loin de se cantonner aux drames, il explore aussi des registres plus légers et révèle son potentiel comique dans des films comme Le Terminal de Steven Spielberg ou Harry dans tous ses états de Woody Allen. "
Le Festival du Cinéma Américain lui rendra hommage, en sa présence.
FILMOGRAPHIE SÉLECTIVE I SELECTED FILMOGRAPHY
Comédien | Actor
2016 BLUE ANGEL Richard Levine
PATIENT ZERO Stefan Ruzowitzky
LA BELLE ET LA BÊTE (Beauty and the Beast) Bill Condon
2015 SPOTLIGHT Tom McCarthy
2015 LARRY GAYE : HOTESSE DE L'AIR (Larry Gaye : Renegade Male Flight Attendant) Sam Friedlander
2015 JOKER (Wild Card) Simon West
2015 HUNGER GAMES : LA REVOLTE – 2ÈME PARTIE (The Hunger Games : Mockingjay – Part 2) Francis Lawrence
2014 TRANSFORMERS : L'ÂGE DE L'EXTINCTION (Transformers : Age of Extinction) Michael Bay
2014 OPÉRATION MUPPETS (Muppets Most Wanted) James Bobin
2014 M. PEABODY ET SHERMAN : LES VOYAGES DANS LE TEMPS (Mr. Peabody & Sherman) Rob Minkoff – animation, voix/voice
2014 LES JARDINS DU ROI (A Little Chaos) Alan Rickman
2014 HUNGER GAMES : LA REVOLTE – 1ÈRE PARTIE (The Hunger Games : Mockingjay – Part 1) Francis Lawrence
2013 SOME VELVET MORNING Neil LaBute
2013 PERCY JACKSON : LA MER DES MONSTRES (Percy Jackson : Sea of Monsters) Thor Freudenthal
2013 LE VENT SE LÈVE (The Wind Rises - Kaze tachinu) Hayao Miyazaki – animation, voix/voice
2013 LE CINQUIEME POUVOIR (The Fifth Estate) Bill Condon
2013 JACK LE CHASSEUR DE GÉANTS (Jack the Giant Slayer) Bryan Singer
2013 HUNGER GAMES : L'EMBRASEMENT (The Hunger Games : Catching Fire) Francis Lawrence
2012 SOUS SURVEILLANCE (The Company You Keep) Robert Redford
2012 HUNGER GAMES (The Hunger Games) Gary Ross
2012 GAMBIT : ARNAQUE À L'ANGLAISE (Gambit) Michael Hoffman
2011 MARGIN CALL J.C. Chandor
2011 CAPTAIN AMERICA : FIRST AVENGER (Captain America : The First Avenger) Joe Johnston
2010 LES CHIMPANZÉS DE L'ESPACE 2 (Space Chimps 2 : Zartog Strikes Back) John H. Williams – animation, voix/voice
2010 EASY GIRL (Easy A) Will Gluck
2010 BURLESQUE Steve Antin
2009 LOVELY BONES (The Lovely Bones) Peter Jackson
2009 JULIE & JULIA Nora Ephron
2008 SWING VOTE – LA VOIX DU CŒUR (Swing Vote) Joshua Michael Stern
2008 PANIQUE À HOLLYWOOD (What Just Happened) Barry Levinson
2008 LES CHIMPANZÉS DE L'ESPACE (Space Chimps) Kirk De Micco – animation, voix/voice
2008 LA LÉGENDE DE DESPEREAUX (The Tale of Despereaux) Sam Fell & Robert Stevenhagen – animation, voix/voice
2008 KIT KITTREDGE : UNE JOURNALISTE EN HERBE (Kit Kittredge : An American Girl) Patricia Rozema
2007 FOUR LAST SONGS Francesca Joseph
2006 SLEVIN (Lucky Number Slevin) Paul McGuigan
2006 LE DIABLE S'HABILLE EN PRADA (The Devil Wears Prada) David Frankel
2006 FAUSSAIRE (The Hoax) Lasse Hallström
2005 ROBOTS Chris Wedge & Carlos Saldanha – animation, voix/voice
2004 SHALL WE DANCE ? LA NOUVELLE VIE DE MONSIEUR CLARK (Shall We Dance) Peter Chelsom
2004 MOI, PETER SELLERS (The Life and Death of Peter Sellers) Stephen Hopkins
2004 LE TERMINAL (The Terminal) Steven Spielberg
2003 SPIN James Redford
2003 FUSION (The Core) Jon Amiel
2002 LES SENTIERS DE LA PERDITION (Road to Perdition) Sam Mendes
2002 COUP DE FOUDRE À MANHATTAN (Maid in Manhattan) Wayne Wang
2002 BIG TROUBLE Barry Sonnenfeld
2001 THE WHOLE SHEBANG George Zaloom
2001 RENCONTRES À MANHATTAN (Sidewalks of New York) Edward Burns
2001 COUPLE DE STARS (America's Sweethearts) Joe Roth
1999 LE SONGE D'UNE NUIT D'ÉTÉ (A Midsummer Night's Dream) Michael Hoffman
1999 GANGSTA COP (In Too Deep) Michael Rymer
1998 MONTANA Jennifer Leitzes
1997 UNE VIE MOINS ORDINAIRE (A Life Less Ordinary) Danny Boyle
1997 LIFE DURING WARTIME Evan Dunsky
1997 HARRY DANS TOUS SES ÉTATS (Deconstructing Harry) Woody Allen
1996 EN ROUTE VERS MANHATTAN (The Daytrippers) Greg Mottola
1995 SEX & THE OTHER MAN Karl Slovin
1995 KISS OF DEATH Barbet Schroeder
1995 JURY DUTY John Fortenberry
1995 A MODERN AFFAIR Vern Oakley
1994 SOMEBODY TO LOVE Alexandre Rockwell
1994 MRS PARKER ET LE CERCLE VICIEUX (Mrs. Parker and the Vicious Circle) Alan Rudolph
1994 MILLIARDAIRE MALGRÉ LUI (It Could Happen to You) Andrew Bergman
1993 PAS DE VACANCES POUR LES BLUES (Undercover Blues) Herbert Ross
1993 L'AFFAIRE PÉLICAN (The Pelican Brief) Alan J. Pakula
1992 THE GUN IN BETTY LOU'S HANDBAG Allan Moyle
1992 PRELUDE TO A KISS Norman René
1992 L'ŒIL PUBLIC (The Public Eye) Howard Franklin
1992 IN THE SOUP Alexandre Rockwell
1992 BEETHOVEN Brian Levant
1991 BILLY BATHGATE Robert Benton
1990 UN HOMME RESPECTABLE (Men of Respect) William Reilly
1990 QUICK CHANGE Howard Franklin & Bill Murray
1989 THE FEUD Bill D'Elia
1989 FEAR, ANXIETY & DEPRESSION Todd Solondz
1989 ESCLAVES DE NEW YORK (Slaves of New York) James Ivory
1988 INCIDENTS DE PARCOURS (Monkey Shines) George A. Romero
1987 WHO'S THAT GIRL James Foley
1985 L'HONNEUR DES PRIZZI (Prizzi's Honor) John Huston
Alors que les premières séances de dédicaces en festivals de cinéma commencent à se mettre en place (je vous en dirai bientôt plus, mais je suis impatiente!), après avoir dévoilé en avant-première la couverture , voici aujourd'hui la quatrième de couverture de mon recueil de nouvelles "Les illusions parallèles", prochainement publié.
Pour le commander en librairie ou en ligne, je vous rappelle qu'il faudra attendre la sortie, le 22 août.
En attendant, l'aventure de mon roman "L'amor dans l'âme" continue. Toutes les informations sur le roman sont ici: http://www.editionsdu38.com/catalogue/littérature-page-38/l-amor-dans-l-âme/
Alors que les organisateurs du Festival du Cinéma Américain de Deauville avaient déjà annoncé, pour cette édition 2016, un hommage à Michael Moore, ils viennent également de confirmer un autre hommage qui sera décerné à l'acteur, réalisateur, scénariste, producteur, écrivain, professeur James Franco.
Le Festival du Cinéma Américain lui rendra hommage en sa présence. À cette occasion, le Festival présentera en avant-première son nouveau film en tant que réalisateur, In Dubious Battle, un film avec James Franco, Ed Harris, Selena Gomez, Bryan Cranston... une projection à laquelle je ne manquerai pas d'assister et dont vous pourrez bien entendu retrouver ma critique, ici.
Voici sa biographie (source: site officiel du Festival du Cinéma Américain de Deauville):
James Franco est acteur, réalisateur, scénariste, producteur, professeur et écrivain. Il débute sa carrière de comédien dans la série télévisée Freaks and Geeks avant de recevoir un Golden Globe pour son rôle dans le film Il était une fois James Dean consacré à la biographie de James Dean. Il joue dans Le Monde fantastique d'Oz et Spring Breakers, il incarne Harry Osborn dans la trilogie des Spider-Man, et son immense talent est particulièrement remarqué dans Harvey Milk, C'est la fin, Délire Express – pour lequel il est nommé au Golden Globe du Meilleur Acteur – et 127 Heures – pour lequel il est nommé en tant que Meilleur Acteur aux Oscars, à la Screen Actors Guild et aux Golden Globes. Il est également le réalisateur et le producteur de plusieurs films, dont Child of God, Tandis que j'agonise, Zeroville, Saturday Night et In Dubious Battle. Il participe pour la télévision à 11.22.63 et au très attendu The Deuce. Au théâtre, il recueille des critiques élogieuses pour ses débuts à Broadway dans Des souris et des hommes et il met en scène off-Broadway la pièce The Long Shrift. Il écrit régulièrement des articles et nouvelles pour différents magazines, il est l'auteur de plusieurs livres et romans, il enseigne à UCLA, USC et Cal Arts et donne des cours de comédie au Studio 4.
Nous savions déjà que le Festival du Cinéma Américain de Deauville aurait pour président de son jury Frédéric Mitterrand et qu'un hommage serait rendu à Michael Moore. Nous connaissons aussi désormais les films d'ouverture et de clôture (le dernier vous intéressera certainement d'autant plus que je vous ferai ici prochainement gagner des places pour découvrir celui-ci lors de la clôture et donc aussi pour assister à la cérémonie de clôture du festival).
C'est le film INFILTRATOR de Brad Furman qui fera l'ouverture du festival, un film avec Bryan Cranston, Diane Kruger, John Leguizamo, Benjamin Bratt, Yul Vasquez ... distribué par ARP Sélection. Et surtout un beau divertissement en perspective, idéal pour l'ouverture.
Ce film raconte l'histoire de l'agent fédéral Bob Mazur qui a pour mission d'infiltrer le cartel de drogue de Pablo Escobar. Son but : faire tomber 85 barons et une banque internationale. Son plan : s'inventer un passé, une identité, une fiancée. Son risque : le moindre faux pas lui serait fatal.
Le film de clôture sera WAR DOGS de Todd Phillips, un film avec Jonah Hill, Miles Teller, Ana de Armas, Bradley Cooper.
Le film sera distribué par Warner Bros et raconte l'histoire de deux copains âgés d'une vingtaine d'années, vivant à Miami Beach à l'époque de la guerre en Irak et qui profitent d'un dispositif méconnu du gouvernement fédéral, permettant à de petites entreprises de répondre à des appels d'offres de l'armée américaine. Si leurs débuts sont modestes, ils ne tardent pas à empocher de grosses sommes d'argent et à mener la grande vie. Mais les deux amis sont totalement dépassés par les événements lorsqu'ils décrochent un contrat de 300 millions de dollars destiné à armer les soldats afghans. Car, pour honorer leurs obligations, ils doivent entrer en contact avec des individus très peu recommandables… dont certains font partie du gouvernement américain…
Suite à l’article du magazine ELLE de la semaine du 24 juillet 2015 dans lequel je vous livrais mes bonnes adresses à Deauville et comme je n’avais malheureusement pas pu toutes les y faire figurer, j’avais décidé, en août 2015, de vous livrer ici à nouveau un article complet avec mes bonnes adresses deauvillaises (restaurants, cafés, terrasses, hôtels, boutiques, salons de thé etc). Comme il y a constamment beaucoup de nouveautés et de rénovations à Deauville (a fortiori cette année 2016!), j’ai décidé de compléter chaque année cet article. En voici donc la version 2016 avec quelques nouveautés comme Les Manoirs de Tourgéville ou mon avis sur le Normandy suite à ses rénovations, les anciens commentaires ont également été mis à jour. De nouvelles photos viennent également les compléter. De quoi vous aider à passer le meilleur week-end possible à Deauville ou même un séjour plus long, par exemple pour le 42ème Festival du Cinéma Américain que je vous ferai bien entendu suivre ici en direct comme chaque année du 2 au 11 septembre et pour lequel je vous fais d’ores et déjà gagner vos pass ainsi que vos invitations pour la cérémonie de clôture, ici.
J’ai personnellement testé toutes les adresses figurant dans cet article, la grande majorité à Deauville et deux ou trois à Trouville. Il en manque quelques-unes que je n’ai pas encore eu le temps de tester et au sujet desquelles je ne manquerai pas de vous donner mon avis suite à mes prochains tests. Il y a notamment la Folie Douce qui remplace l’ancien restaurant « Les 3 mages » repris par le Groupe Barrière mais aussi le restaurant « Le Bougnat », le restaurant « La Villa Gabrielle », le restaurant « Au Bureau », et le restaurant gastronomique de la rue Gambetta, parmi d’autres. Ci-dessous, vous ne trouverez que les établissements que je vous recommande. Je ne vous recommande en revanche pas la Pizzeria Santa Lucia ni le salon de thé Yvonne, les deux pour une propreté et une amabilité relatives, et des goûts pas forcément au rendez-vous…, mettre des photos de personnalités au mur ne suffit pas à garantir la qualité d’un établissement et à excuser d’être désagréable avec le client (sans compter une bouteille d’eau renversée). Les bonnes adresses sont suffisamment nombreuses à Deauville pour ne pas perdre votre temps dans des établissements qui ne méritent pas le déplacement…
Ma rencontre avec Deauville et son Festival du Cinéma Américain il y a…23 ans a été un vrai coup de foudre qui a changé le cours de mon existence… Un recueil de nouvelles sur le cinéma dont deux se déroulent au Festival du Cinéma Américain de Deauville (qui sera publié aux Editions du 38 en septembre 2016, le même éditeur qui a publié mon roman « L’amor dans l’âme » qui comprend d’ailleurs un chapitre clef à Deauville), après 7 blogs dont un sur Deauville, Inthemoodfordeauville.com, après 3 participations à ses jurys de festivals (un presse et deux de cinéphiles ), et 23 festivals du cinéma américain et une bonne dizaine du Festival du Film Asiatique plus tard, je crois suffisamment bien connaître les lieux pour vous livrer mes bons plans (vous pouvez aussi suivre ma page Facebook consacrée à Deauville, ici).
Deauville est une ville à la fois calme et (très) animée (je suis chaque jour impressionnée par les multiples activités qui y sont proposées tout au long de l’année sans parler d’évènements nationaux ou internationaux comme le G8 en 2011), une ville idéale autant pour se distraire que pour se reposer. Bien que la connaissant par cœur le charme opère. A chaque fois.
Je ne connais pas d’endroits, ou si peu, dont la beauté soit aussi agréablement versatile, dont les couleurs et la luminosité lui procurent une telle hétérogénéité de visages. Loin de l’image de 21ème arrondissement de Paris à laquelle on tendrait à la réduire (qu’elle est aussi, certes), ce qui m’y enchante et ensorcelle se situe ailleurs : dans ce sentiment exaltant que procurent sa mélancolie étrangement éclatante et sa nostalgie paradoxalement joyeuse. Mélange finalement harmonieux de discrétion et de tonitruance. Tant de couleurs, de visages, de sentiments que j’éprouve la sensation de la redécouvrir à chaque fois. Bien sûr, je la préfère très tôt le matin, mystérieuse, presque déserte, qui émerge peu à peu des brumes et de l’obscurité nocturnes, dans une âpre luminosité qui se fait de plus en plus évidente, incontestable et enfin éblouissante. Ou le soir, quand le soleil décline et la teinte de couleurs rougeoyantes, d’un ciel incendiaire d’une beauté insaisissable et improbable et que je m’y laisse aller à des rêveries et des espoirs insensés.
A l’image des êtres les plus intéressants, Deauville ne se découvre pas forcément au premier regard mais se mérite et se dévoile récompensant le promeneur de sa beauté incendiaire et ravageuse aux heures les plus solitaires, avec des couleurs aux frontières de l’abstraction, tantôt oniriques, tantôt presque inquiétantes.
Alors, pour en profiter pleinement, je vous conseille donc de loger sur place. Voici mes conseils pour les hôtels pour différents budgets et toutes mes bonnes adresses pour profiter au mieux de votre séjour.
Les photos de cet article sont issues de mon compte Instagram @sandra_meziere sur lequel vous pourrez retrouver d’autres photos de Deauville et notamment de la Solitaire du Figaro qui partait de Deauville dimanche dernier.