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Par Sandra Mézière. Le 7ème art raconté avec passion depuis 2003. 4000 articles. Festivals de cinéma en direct : Deauville, La Baule, Cannes, Dinard...Critiques de films : avant-premières, à l'affiche, classiques. Actualité de romancière. Podcast.
41 ans, déjà! Difficile de croire que ce festival qui ne cesse de se renouveler et d'innover (et cette édition ne devrait pas déroger à la règle, je vous le garantis et les premières annonces récapitulées ci-dessous le laissent déjà présager) est un jeune quadragénaire. Et plus difficile encore pour moi de croire que ce sera cette année mon...22ème Festival du Cinéma Américain de Deauville! Je n'étais pas majeure que déjà la magie du festival m'ensorcelait!
Tant de souvenirs (au point de m'en être inspirée pour un roman et surtout plus récemment pour quelques nouvelles de mon un recueil de nouvelles sur le cinéma "Ombres parallèles" sur la couverture duquel figure d'ailleurs... Deauville), tant de découvertes de cinéastes aujourd'hui mondialement reconnus (la compétition initiée en 1995 est aujourd'hui un des temps forts du festival et permet chaque année de découvrir des pépites à l'image de Whiplash de Damien Chazelle, grand lauréat l'an passé) et tant d'hommages, d'avant-premières, d'instants de cinéma et de vie gravés (que vous pouvez retrouver en flânant dans les archives de ce blog "In the mood for Deauville"). Ce festival, c'est une fenêtre qui s'ouvre ou un voile qui se lève (à l'image de la très belle affiche de cette édition 2015) sur le ciel étoilé (de la bannière et pas seulement) ou le ciel plus sombre des USA et qui nous fait découvrir les mille visages de l'Amérique, ses tourments, ses blessures, ses aspirations, ses victoires.
Comme chaque année depuis un certain temps maintenant, j'aurai le plaisir de vous faire gagner vos pass pour cette édition, un plus grand nombre (38!), ce qui me réjouit puisque vous serez ainsi plus nombreux à pouvoir en profiter. Ce festival sera aussi plus que jamais immersif pour moi donc vous pourrez retrouver de très nombreux articles sur In the mood for Deauville (mon blog consacré à Deauville) en amont puis en direct, de l'ouverture à la clôture, et sur mes sites In the mood for film festivals, In the mood for cinema, In the mood le mag et In the mood for luxe qui, tous, se mettront aux couleurs du Festival, dès la fin août.
Dès à présent, et grâce au CID (Centre International de Deauville), la somptueuse et impressionnante salle où se déroule le festival (et pour avoir parcouru tous les plus grands festivals français, je vous garantis que, pour le son comme pour l'image, c'est sans aucun doute la meilleure de France, un véritable écrin pour un festival comme celui-ci), j'ai le plaisir de vous faire gagner un pass permanent (valable pour toute la durée du festival) pour vous et la personne de votre choix. Les 36 pass suivants seront à gagner, également sur mes blogs, après la conférence de presse du festival qui aura lieu le 24 août à 11H et dont vous pourrez bien entendu retrouver ici un compte rendu détaillé.
De cette édition 2015, nous savons pour le moment qu'elle aura lieu du 4 au 13 septembre, que son jury sera présidé par Benoît Jacquot (son magnifique film, "Trois cœurs", passe actuellement sur Canal plus, retrouvez ma critique et mon article à ce sujet, en cliquant ici, ) qui succède ainsi à Costa-Gavras. « Le cinéma est une Amérique qu’on découvre à chaque film, le rêve à chaque fois d’un moment inoubliable: je rêve de découvrir et de faire découvrir à Deauville un film inoubliable », a ainsi déclaré le président du jury de ce 41ème Festival du Cinéma Américain de Deauville.
Nous savons également depuis aujourd'hui que le film d'ouverture sera "EVEREST" de Baltasar Kormákur La projection promet d'être d'autant plus palpitante qu'elle aura lieu en présence de l'équipe du film. Le film sera présenté en 3D et en Dolby Atmos. Interprètes: Jason Clarke, Josh Brolin, John Hawkes, Robin Wright, Michael Kelly, Sam Worthington, Keira Knightley, Emily Watson, Jake Gyllenhaal. Le film sortira en salles le 23 septembre 2015.
Synopsis officiel: Inspiré d'une désastreuse tentative d'ascension de la plus haute montagne du monde, Everest suit deux expéditions distinctes confrontées aux plus violentes tempêtes de neige que l'homme ait connues. Luttant contre l'extrême sévérité des éléments, le courage des grimpeurs est mis à l'épreuve par des obstacles toujours plus difficiles à surmonter alors que leur rêve de toute une vie se transforme en un combat acharné pour leur salut.
Nous avons également appris aujourd'hui le nom du film de clôture et voilà qui promet également un bel événement. Il s'agit ainsi de "Sicario" de Denis Villeneuve avec Emily Blunt, Benicio Del Toro, Josh Brolin, Victor Garber, Jon Bernthal, Daniel Kaluuya. Le film figurait en compétition officielle du dernier Festival de Cannes et sortira en salles le 7 octobre 2015.
Synopsis officiel: La zone frontalière entre les Etats-Unis et le Mexique est devenue un territoire de non-droit. Kate, une jeune recrue idéaliste du FBI, y est enrôlée pour aider un groupe d’intervention d’élite dirigé par un agent du gouvernement dans la lutte contre le trafic de drogues. Menée par un consultant énigmatique, l'équipe se lance dans un périple clandestin, obligeant Kate à remettre en question ses convictions pour pouvoir survivre.
Nous savons également qu’un hommage sera rendu à Terrence Malick. A cette occasion, seront présentés à Deauville, en avant-première, son nouveau film Knight of Cups, avec, notamment, au casting, Christian Bal et Nathalie Portman, ainsi que The Tree of Life – L'Arbre de Vie et À la merveille (To the Wonder).
Un hommage sera également rendu à un autre maître du 7ème art, Orson Welles. À l'occasion du centenaire de la naissance d'Orson Welles, le festival nous propose ainsi de (re)voir trois longs métrages du cinéaste, ainsi qu'un documentaire consacré à cette légende éternelle du cinéma mondial. Dans le cadre de cet hommage, seront présentés : Citizen Kane, La Dame de Shanghai (The Lady from Shanghai), et La Soif du mal (Touch of Evil), ainsi que le documentaire This Is Orson Welles de Clara et Julia Kuperberg (Production I TCM Cinéma & Wichita Films)."
En attendant, aujourd'hui, en partenariat avec le CID, j'ai donc le plaisir de vous faire gagner deux pass invités permanents (un pour le lauréat du concours ci-dessous et un autre pour la personne de son choix). Pour cela, vous devrez d'abord répondre correctement aux 10 questions suivantes.
Le gagnant sera sélectionné parmi les personnes ayant donné toutes les bonnes réponses et en fonction de la réponse à la question 11. Toute personne qui aurait repris les réponses d'un site de concours les répertoriant sera systématiquement éliminée.
Et si vous n'êtes pas l'heureux lauréat ou l'heureuse lauréate, sachez que je remettrai une vingtaine de pass en jeu après la conférence de presse du 24 août et les pass restants pendant le festival (via mes comptes twitter @moodforcinema et @moodfdeauville et ma page Facebook consacrée à Deauville http://facebook.com/inthemoodfordeauville ).
Vous pouvez aussi suivre mon compte instagram (@sandra_meziere ) sur lequel vous trouverez d'ailleurs une réponse à l'une des questions posée ci-dessous.
Bonne chance à tous! Les réponses sont à envoyer à inthemoodforfilmfestivals@gmail.com avec, pour intitulé de votre email, "Concours pass permanents Deauville 2015". Fin du concours le 16 août 2015, à minuit. Seul le gagnant (ou la gagnante) sera contacté(e) par email, le 17 août. Avant de participer, merci de vous assurer que vous êtes disponible pour la totalité du festival et que vous pourrez disposer d'un logement sur place.
QUESTIONS
Toutes les questions ont un lien (plus ou moins lointain) avec Deauville, le cinéma américain et/ou avec le Festival du Cinéma Américain de Deauville de cette année et des éditions précédentes.
1. Quel est le titre du film dont est extraite l'image ci-dessous (légèrement modifiée)?
2. De quel grand film américain est extraite l'image ci-dessous?
3. Cette image est extraite du remake d'un classique du cinéma américain. Ce remake fut projeté à Deauville. De quel film s'agit-il et quelle année fut-il projeté à Deauville?
4. En quelle année le film dont l'image figure ci-dessous fut-il primé à Deauville et, évidemment, de quel film s'agit-il?
5. En quelle année la salle du CID fut-elle construite?
6. Quelle est cette voiture (sa marque) et quel est ce film dont est extraite l'image ci-dessous?
7. Un peu partout dans Deauville figurent des plaques célébrant les personnalités du 7ème art y ayant vécu ou ayant tourné à Deauville. Donnez-moi trois noms parmi celles-ci. (Réponse sur mon compte instagram précité)
8.Donnez-moi trois noms de films qui seront cette année projetés dans le cadre du Festival du Cinéma Américain (en naviguant sur ce blog, vous devriez trouver la réponse).
9. En quelle année le Festival du Cinéma Américain de Deauville a-t-il rendu hommage à la personnalité dont la photographie figure ci-dessous?
10. Quel est le film dont figure l'image (rognée) ci-dessous? Pour quelle triste raison (au-delà du fait qu'il s'agit d'un classique) est-il si célèbre?
11. Quel est pour vous le plus grand film de l'Histoire du cinéma américain (en une phrase ou une page). Peu importe que j'aime ce film ou non. L'important est que ces lignes témoigne de votre passion pour le cinéma...
Voilà qui promet une édition étincelante avec cette nouvelle annonce sur la programmation de ce 41ème Festival du Cinéma Américain de Deauville dont je vous rappelle qu'il aura lieu du 4 au 13 septembre au CID, que son jury sera présidé par Benoît Jacquot et que je vous permets actuellement de gagner 2 pass invités permanents pour le festival, ici (36 pass journaliers seront également bientôt à gagner).
Nous avons en effet appris hier que le film EVEREST serait projeté en ouverture du festival et que SICARIO ferait la clôture.
"EVEREST" est un film de Baltasar Kormákur dont projection promet d'être d'autant plus palpitante qu'elle aura lieu en présence de l'équipe du film!
Le film sera présenté en 3D et en Dolby Atmos.
Interprètes: Jason Clarke, Josh Brolin, John Hawkes, Robin Wright, Michael Kelly, Sam Worthington, Keira Knightley, Emily Watson, Jake Gyllenhaal.
Le film sortira en salles le 23 septembre 2015.
Synopsis officiel: Inspiré d'une désastreuse tentative d'ascension de la plus haute montagne du monde, Everest suit deux expéditions distinctes confrontées aux plus violentes tempêtes de neige que l'homme ait connues. Luttant contre l'extrême sévérité des éléments, le courage des grimpeurs est mis à l'épreuve par des obstacles toujours plus difficiles à surmonter alors que leur rêve de toute une vie se transforme en un combat acharné pour leur salut.
"Sicario" de Denis Villeneuve là aussi avec un très beau casting ( Emily Blunt, Benicio Del Toro, Josh Brolin, Victor Garber, Jon Bernthal, Daniel Kaluuya) fera la clôture. Le film figurait en compétition officielle du dernier Festival de Cannes et sortira en salles le 7 octobre 2015.
Synopsis officiel: La zone frontalière entre les Etats-Unis et le Mexique est devenue un territoire de non-droit. Kate, une jeune recrue idéaliste du FBI, y est enrôlée pour aider un groupe d’intervention d’élite dirigé par un agent du gouvernement dans la lutte contre le trafic de drogues. Menée par un consultant énigmatique, l'équipe se lance dans un périple clandestin, obligeant Kate à remettre en question ses convictions pour pouvoir survivre.
Je vous rappelle que la conférence de presse du festival aura lieu le 24 août à 11H.
Sur mon blog "In the mood for Deauville, je vous ai récemment récapitulé (ici), les informations officielles au sujet de ce 41ème Festival du Cinéma Américain de Deauville dont nous savons seulement qu'il aura lieu du 4 au 13 septembre, que son jury sera présidé par le cinéaste Benoît Jacquot et que la conférence de presse aura lieu le 24 août à 11H.
J'en profite aussi pour vous annoncer que, en partenariat avec le CID, je vous ferai très bientôt gagner 36 pass journaliers pour le festival ainsi que deux pass invités pour la totalité de l'événement que je vous ferai bien sûr suivre, comme chaque année, en direct, de l'ouverture à la clôture, pour ce qui sera mon...21ème Festival du Cinéma Américain de Deauville!
Cette édition s'annonce d'ores et déjà réjouissante, et sera aussi synonyme de renouveau notamment grâce à deux beaux nouveaux partenariats officiels, le premier entre le festival et la marque Kiehl's
Le festival vient de l'annoncer: la conférence de presse de cette 41ème édition du Festival du Cinéma Américain de Deauville aura lieu quelques jours avant l'ouverture du festival, le 24 août 2015, à 11H au CID (Centre International de Deauville).
Bien entendu, vous pourrez retrouver le programme complet détaillé ici puis suivre le festival en direct.
En attendant, comme chaque année, je vous ferai prochainement gagner vos pass pour le festival, sur ce blog et sur mon site Inthemoodforfilmfestivals.com et, bien évidemment, je vous tiendrai informés des éventuels éléments de programmation qui seraient annoncés avant la conférence de presse.
Ce que nous savons pour l'instant de cette 41ème édition, récapitulatif:
Vous pouvez retrouver toutes les informations sur le festival sur le site officiel du festival www.deauvilleasia.com, sur la page Facebook officielle et sur les comptes twitter officiels du festival ( @deauvilleasia @lpscinema).
Comme chaque année, je vous ferai vivre le festival en direct de l’ouverture à la clôture sur mes différents sites et principalement sur Inthemoodforfilmfestivals.com, Inthemoodfordeauville.com, Inthemoodlemag.com et Inthemoodforcinema.com mais aussi sur twitter (@moodforcinema, @moodfdeauville, @moodforfilmfest).
Le 16e Festival du Film Asiatique de Deauville rendra hommage au réalisateur japonais Hideo Nakata, en sa présence, réalisateur des films cultes DARK WATER et RING.
A l’occasion de cet hommage, son nouveau film MONSTERZ sera projeté en avant-première mondiale, en sa présence.
Filmographie sélective (source: site officiel du Festival du Film Asiatique de Deauville) 2014 MONSTERZ 2012 THE COMPLEX 2010 TV SHOW 2010 CHATROOM 2008 DEATH NOTE : L CHANGE THE WORLD 2007 KAIDAN 2005 LE CERCLE – THE RING 2 2002 DARK WATER 2001 SADISTIC AND MASOCHISTIC documentaire 2001 LAST SCENE 2000 SLEEPING BRIDE 2000 CHAOS 1999 RING II 1999 LE CERVEAU DE VERRE
Le Festival du Film Asiatique de Deauville 2014 rendra également hommage à TSAI MING-LIANG. En sa présence, sera projeté le film « Les Chiens errants » Lion d’Argent au Festival de Venise (en collaboration avec La Cinémathèque française ).
Filmographie sélective ( source: site officiel du Festival du Film Asiatique de Deauville) 2014 VOYAGE EN OCCIDENT 2013 LES CHIENS ERRANTS 2009 VISAGE 2007 I DON’T WANT TO SLEEP ALONE 2005 LA SAVEUR DE LA PASTÈQUE 2003 GOOD BYE, DRAGON INN 2001 ET LÀ-BAS, QUELLE HEURE EST-IL ? 1999 THE HOLE 1997 LA RIVIÈRE 1994 VIVE L’AMOUR 1992 LES REBELLES DU DIEU NÉON
La 16e édition du Festival Asiatique de Deauville rendra également hommage à la « Reine du cinéma sri-lankais », la comédienne MALANI FONSEKA, à l’occasion de l’ouverture du Festival, en sa présence.
La 16e édition du Festival du Film Asiatique de Deauville présentera 8 films en compétition, dont trois premiers longs métrages, et proposera dix films hors compétition.
LA COMPÉTITION
HAN GONG-JU de Lee Su-jin (Corée du Sud) 1er film
Han Gong-ju, une jeune lycéenne, se retrouve impliquée malgré elle dans une histoire sordide. Délaissée par ses parents et contrainte de s’inscrire dans un autre établissement, elle emménage chez la mère d’un enseignant. Victime des circonstances et n’ayant rien à se reprocher, Gong-ju doit tout faire pour éviter d’attirer l’attention sur elle… Mais un jour, Eun-hee, une nouvelle camarade de classe qui fait partie du club de chant a capella du lycée, découvre les prédispositions de Gong-ju au chant et décide de lui proposer d’intégrer la chorale.
MATER DOLOROSA d’Adolfo B. Alix Jr. (Philippines)
Lourdes Lagrimas est à la tête d’une organisation criminelle qui sévit dans un petit quartier de la ville. Elle tient, avec ses enfants, les rênes du commerce illégal local : vols de voitures, jeux d’argent et trafics de drogue. A l’aube de la nouvelle année, le maire de la ville lance une campagne anti-corruption qui met en péril les activités de la famille Lagrimas. Lourdes va tout faire pour maintenir sa famille soudée malgré les événements qui vont remettre en cause son statut de mère et de criminelle.
NAGIMA de Zhanna Issabayeva (Kazakhstan)
Nagima est une jeune femme disgracieuse, illettrée et peu diserte qui a été abandonnée à la naissance et placée dans un orphelinat. Elle partage dorénavant un petit studio dans les environs de la ville d’Almaty avec son amie Anya rencontrée à l’orphelinat et qui est enceinte. Mais Anya meurt lors de l’accouchement et le nouveau-né – une fille – se retrouve à son tour placé dans un orphelinat. Afin d’arrêter ce cercle vicieux, Nagima décide de l’adopter…
NO MAN’S LAND de Ning Hao (Chine) Film d’ouverture
Dans un tribunal d’une ville située au beau milieu du désert de Gobi, Xiao Pan, un jeune avocat charismatique, fait innocenter Big Boss, suspecté de meurtre. Il reçoit en guise d’émoluments la Sedan rouge flambant neuve de son client, visiblement contrarié. Au volant de cette voiture, Xiao Pan prend la direction de l’autoroute qui traverse cette région totalement isolée nommée No Man’s Land. Mais un des hommes de main de Big Boss a été dépêché afin de récupérer son bien…
STEEL COLD WINTER de Choi Jin-seong (Corée du Sud) 1er film
Yoon-soo a lancé une rumeur dans son lycée sur un camarade de classe qui a fini par se suicider. Incapable de supporter sa culpabilité, il essaye de se suicider à son tour mais sa tentative échoue. Sa famille décide alors de déménager à la campagne afin de l’aider à se remettre sur pied. Là-bas, le jeune garçon fait la rencontre d’Hae-won, une jeune fille mystérieuse qui a tout le village à dos. Se voyant lui-même en elle, il lui offre réconfort et compassion. Peu à peu, Hae-won s’ouvre à son contact. Mais Yoon-soo se détourne finalement d’elle lorsqu’il entend des rumeurs peu flatteuses la concernant.
TOILET BLUES de Dirmawan Hatta (Indonésie) 1er film
Anjani s’enfuit du foyer familial le jour où elle est accusée d’avoir commis un acte obscène avec ses amis du sexe opposé. Elle décide d’accompagner Anggalih, son amour platonique depuis le collège, qui est en route pour rejoindre une communauté catholique où il doit rentrer dans les ordres et devenir prêtre. Ce voyage ne sera pas seulement l’occasion pour Anggalih de questionner sa vocation, mais également le moyen pour les deux d’échapper à leur vie toute tracée…
TRAPPED de Parviz Shahbazi (Iran)
Nazanin est une étudiante en première année de médecine. Ne trouvant pas de places disponibles dans le dortoir de l’université, elle cherche à louer un studio. Comme Téhéran est une ville chère, Nazanin n’a pas assez d’argent pour payer seule son loyer et se résout à partager un logement avec Sahar, une jeune femme qui travaille dans une parfumerie. Désireuse de quitter l’Iran, Sahar a dû emprunter de l’argent à un commerçant qui décide finalement de porter plainte contre elle. Sahar se retrouve emprisonnée du jour au lendemain. Nazanin va alors tout faire pour la sortir de là…
Rahul et Shalini, les parents de Kali, dix ans, sont divorcés. La fillette vit désormais avec sa mère et son beau-père, Shoumik, responsable d’une brigade de la police de Bombay. Un samedi, alors que Kali passe la journée avec son père Rahul, elle disparaît…
HORS COMPÉTITION
LE PROMENEUR D’OISEAU Film de clôture de Philippe Muyl (Chine & France)
Afin de tenir la promesse qu’il avait faite à sa femme, Zhigen, un vieux paysan chinois, décide de faire le grand voyage de Pékin à Yangshuo et de ramener à son village l’oiseau qui fût son seul compagnon durant toutes ces années passées loin de chez lui. Qianing, sa belle-fille, riche et belle femme d’affaire, lui demande d’emmener Renxing, sa fille unique élevée dans le luxe. Tandis que le grand père et sa petite fille cheminent à travers les magnifiques paysages de la Chine – Zhigen vers ses souvenirs, Renxing vers ses racines familiales – le père et la mère de Renxing se penchent sur le sens de leur vie uniquement axée sur la réussite et l’argent.
LES CHIENS ERRANTS de Tsai Ming-Liang (France & Taiwan)
Un père et ses deux enfants vivent en marge de Taipei, entre les bois et les rivières de la banlieue et les rues pluvieuses de la capitale. Le jour, le père gagne chichement sa vie en faisant l’homme sandwich pour des appartements de luxe pendant que son fils et sa fille hantent les centres commerciaux à la recherche d’échantillons gratuits de nourriture. Chaque nuit, la famille trouve refuge dans un immeuble abandonné…
MONSTERZ de Hideo Nakata (Japon)
Un homme qui a la capacité de contrôler les gens par la seule force de son regard préfère mener une vie solitaire au lieu de faire plier l’humanité à son bon vouloir. Lorsqu’il fait usage, avec parcimonie, de son pouvoir, il s’assure que personne ne se souvienne d’avoir été manipulé. Sa petite vie sans saveur prend une tournure particulière lorsqu’il croise le chemin de Shuichi Tanaka. Ce dernier semble être le seul à pouvoir résister à ses pouvoirs télékinétiques. Troublé et furieux de ne pouvoir contrôler Shuichi, il décide de le faire disparaître coûte que coûte…
OUR SUNHI de Hong Sangsoo (Corée du Sud)
Sunhi, diplômée en cinéma, vient chercher auprès de son ancien professeur une lettre de recommandation pour partir étudier aux États-Unis. Enfin épanouie après une longue période d’introspection, elle rencontre alors au même moment deux anciennes relations : Munsu, son ancien petit ami, et Jaehak, un réalisateur diplômé de la même école qu’elle. Le temps passé ensemble, les trois hommes vont prodiguer à Sunhi leurs conseils sur la vie, pleins de bonnes intentions.
PATEMA ET LE MONDE INVERSÉ Séance enfants
de Yasuhiro Yoshiura (Japon)
Après une catastrophe écologique, la terre se trouve séparée en deux mondes inversés ignorant tout l’un de l’autre. Dans le monde souterrain, Patéma, une jeune fille de quatorze ans espiègle et aventurière, rêve d’ailleurs. Sur la terre ferme, Age, un lycéen mélancolique, a du mal à s’adapter à son monde totalitaire. Le hasard va provoquer la rencontre des deux adolescents en défiant les lois de la gravité.
PRESENT FOR YOU de Yoshihiko Dai (Japon)
Lorsque les employés d’une entreprise véreuse, vantant les mérites d’une alimentation diététique, partent avec l’argent de la caisse, Kajiwara, un employé à temps partiel, se retrouve seul à devoir remettre l’entreprise à flot et à rendre des comptes au Boss, le président de la maison-mère. En un temps record, il parvient à faire rentrer dans les comptes de la société un demi-milliard de yen et à s’attirer les faveurs du Boss. Ce dernier le nomme alors président d’une autre entreprise, Present For You…
REAL de Kiyoshi Kurosawa (Japon)
Atsumi, talentueuse dessinatrice de mangas, se retrouve plongée dans le coma après avoir tenté de mettre fin à ses jours. Son petit-ami Koichi ne comprend pas cet acte insensé, d’autant qu’ils s’aimaient passionnément. Afin de la ramener dans le réel, il rejoint un programme novateur permettant de pénétrer dans l’inconscient de sa compagne. Mais le système l’envoie-t-il vraiment là où il croit ?
RUIN de Michael Cody & Amiel Courtin-Wilson (Australie & Cambodge)
Phirun et Sovanna, deux jeunes amants liés par un meurtre, décident de s’enfuir ensemble de Phnom Penh, la capitale cambodgienne gangrénée par la violence et la corruption. Inexplicablement attirés l’un vers l’autre, ils s’aventurent dans les profondeurs de la jungle. Au fil de leur errance, leur fragile amour se délie et fait ressurgir les traumatismes de leur vie passée et leur haine envers le monde…
Yujin, élève de terminale promis à un avenir brillant, est retrouvé assassiné. Très rapidement, les soupçons se portent sur June, l’un de ses camarades de classe. Mais en remontant le fil des événements, c’est un univers d’ultra-compétition et de cruauté qui se fait jour au sein de ce lycée d’élite, où la réussite au Suneung, l’examen final qui conditionne l’entrée des élèves dans les meilleures universités, est une obsession. Pour obtenir la première place, certains sont prêts à tout, et même au pire…
THE FAKE de Yeon Sangho (Corée du Sud) Film d’animation
Les habitants d’un village qui sera bientôt englouti par les flots suite à la construction d’un barrage deviennent les victimes d’un escroc prénommé Choi. Se faisant passer pour un prophète, Choi sermonne ses ouilles à longueur de journée, aidé dans sa tâche par le pasteur Chung, et parvient à convaincre les villageois de verser leurs indemnités de relogement à cette religion d’un nouveau genre. Mais Min-chul, un bon-à-rien méprisé de tous, découvre le pot aux roses…
Après cet aperçu sur l’édition 2014, je vous propose un petit retour sur l’édition 2013, l’occasion aussi pour moi de vous parler de mon amour inconditionnel pour ce festival et la ville qui l’accueille.
L’an passé, un soleil insolent irradiait les planches tandis que, au CID, les spectateurs effectuaient une plongée dans la noirceur d’une société asiatique souvent oppressée par une crise décidément bel et bien mondiale, du moins pour ce qui concernait les films en compétition qui ne furent pas moins passionnants justement parce qu’ils mettaient en lumière cette face sombre et souvent ignorée ou en tout cas masquée par d’autres (ir)réalités.
Parmi ces films qui mettaient en lumière une face sombre de l’Asie à l’image des trois exemples très différents cités ci-dessous, il y eut notamment le film philippin « APPARITION » de Vincent SANDOVAL qui a reçu le prix du public, un film qui se déroule dans un lieu en apparence hors du temps, un récit tragiquement universel sur la barbarie, la lâcheté, l’oppression. Un cri dans le silence, vibrant, notamment grâce à des interprètes exceptionnelles et une réalisation maîtrisée qui joue habilement du clair obscur, de la blancheur et de la noirceur, un défi relevé en 8 jours seulement.
Le grand prix décerné à « I.D » de Kamal K.M était une plongée dans l’envers du décor de Bollywood et de l’Inde mais surtout le reflet pertinent d’une société mondialisée (et car mondialisée) individualiste.
Le prix de la Critique, décerné à TABOOR de Vahid VAKILIFAR (Iran) était non moins sombre et passionnant même s’il avait décontenancé les spectateurs. Je me souviens encore de son premier (long) plan d’une beauté et d’une singularité étranges et marquantes : un homme revêt une combinaison métallique dans une roulotte tapissée d’aluminium. La scène s’étire en longueur et nous laisse le temps d’appréhender la composition de l’image, d’une fascinante étrangeté, une fascinante étrangeté qui ne cessera ensuite de croître. Tout semble rare, dans ce film : les dialogues, les personnages…et même le scénario. Malgré tout, la fascination opère pour cet univers et ce personnage entre la science-fiction et une réalité métaphorique bien sûr impossible à traiter frontalement dans un pays soumis à la censure, la surveillance et l’oppression. Tout est à la fois banal et étrange, quotidien et irréel comme cette viande qui cuit longuement filmée (et qui aura fait fuir plus d’un spectateur) qui prend soudain un tout autre sens. Un film radical et « absurde » dans un pays dont l’Etat l’est lui-même au point sans doute de ne pas se reconnaître dans cet univers carcéral, répétitif, cloisonné, oppressant, dans cette société qui étouffe, déshumanise, condamne à l’isolement, au silence, à se protéger des « radiations », d’un ennemi invisible mais bel et bien là. Le temps s’étire (longs couloirs, tunnels, longs plans fixes) quand il est dicté par une force supérieure qui « irradie », invisible et redoutable, et réduit l’être humain à être cette machine silencieuse et désincarnée. Un film qui s’achève par un plan splendide d’un homme dans la lumière qui se détache de la ville et la surplombe loin de « la violence du monde extérieure » rappelant ainsi le beau discours du réalisateur avant la projection qui avait dédié le film à son père « qui a toujours su préserver sa belle nature de la violence du monde extérieur ». Un film qui ne peut laisser indifférent, une qualité en soi. Un prix de la critique prévisible pour le film visuellement le plus inventif, opaque et radical, et malin.
9 films étaient ainsi l’an passé projetés dans le cadre de la compétition et autant de regards, d’univers différents que de nationalités malgré cette noirceur commune et un instructif voyage dans la société, la culture et le cinéma asiatiques. Seuls, égarés, broyés par la crise, la solitude, oppressés, perdus dans la multitude, les personnages des films de cette compétition étaient tous en errance sous ou en quête d’ une identité et d’un ailleurs souvent inaccessible.
L’édition 2013 fut aussi marquée par deux hommages et par la venue de deux grands cinéastes: Wong Kar Wai et Sono Sion (comme vous le verrez sur mes vidéos ci-dessous).
Le plus beau film de cette édition 2013 fut pour moi « The Land of hope » de Sono Sion, d’ailleurs même pour moi le plus beau film de l’année 2013 toutes nationalités et catégories confondues, un film dont la beauté mélancolique et poétique fait écho à celle de Deauville qui ne cessera jamais de me surprendre et ravir. Un film porté par un cri de révolte et l’énergie du désespoir, plus efficace que n’importe quelle campagne anti-nucléaire et surtout l’œuvre d’un poète, un nouveau cri d’espoir vibrant et déchirant qui s’achève sur un seul espoir, l’amour entre deux êtres, et une lancinante litanie d’un pas, qui, comme l’Histoire, les erreurs et la détermination de l’Homme, se répètent, inlassablement. Un film d’une beauté désenchantée, d’un romantisme désespéré (cette scène où le couple de vieux paysans danse au milieu du chaos est à la fois terriblement douce et violente, sublime et horrible, en tout cas bouleversante), d’un lyrisme et d’une poésie tragiques avec des paraboles magnifiquement dramatiques comme cet arbre -et donc la vie- qui s’embrasent mais aussi un travail sur le son d’une précision et efficacité redoutables. Vous pourrez retrouver la critique complète de ce film que je vous recommande plus que vivement dans le compte rendu précité.
Si j’aime le cinéma asiatique, j’aime aussi passionnément la ville qui lui sert de décor et sa douce mélancolie qui lui fait judicieusement écho. Je ne connais pas d’endroits, ou si peu, dont la beauté soit aussi agréablement versatile, dont les couleurs et la luminosité lui procurent une telle hétérogénéité de visages. Oui, Deauville a mille visages. Loin de l’image de 21ème arrondissement de Paris à laquelle on tendrait à la réduire (qu’elle est aussi, certes), ce qui m’y enchante et ensorcelle se situe ailleurs : dans ce sentiment exaltant que procurent sa mélancolie étrangement éclatante et sa nostalgie paradoxalement joyeuse. Mélange finalement harmonieux de discrétion et de tonitruance. Tant de couleurs, de visages, de sentiments que j’éprouve la sensation de la redécouvrir à chaque fois. Bien sûr, je la préfère très tôt le matin, mystérieuse, presque déserte, qui émerge peu à peu des brumes et de l’obscurité nocturnes, dans une âpre luminosité qui se fait de plus en plus évidente, incontestable et enfin éblouissante. Ou le soir, quand le soleil décline et la teinte de couleurs rougeoyantes, d’un ciel incendiaire d’une beauté insaisissable et improbable et que je m’y laisse aller à des rêveries et des espoirs insensés. A l’image des êtres les plus intéressants, Deauville ne se découvre pas forcément au premier regard mais se mérite et se dévoile récompensant le promeneur de sa beauté incendiaire et ravageuse aux heures les plus solitaires, avec des couleurs aux frontières de l’abstraction, tantôt oniriques, tantôt presque inquiétantes.
Mais plutôt que d’effectuer une nouvelle déclaration d’amour à Deauville je vous propose quelques liens à ce sujet:
Le roman et le recueil de nouvelles font partie de la collection e-LIRE de mon éditeur Numeriklivres défini par celui-ci comme « un écrin pour des bijoux littéraires » et j’en profite pour vous annoncer que j’aurai l’honneur d’être sur le stand de mon éditeur au Salon du Livre de Paris 2014 avec ces deux ouvrages.
Le Festival du Film Asiatique de Deauville 2014 se déroulera comme chaque année au CID de Deauville (cf photo ci-dessous).
CONCOURS- REPONSES
Cette année comme les années précédentes, 16 pass étaient en jeu.
Les gagnants ont été contactés par email. Je vous remercie pour vos nombreuses participations.
1. Donnez-moi le titre du film dont est extraite l’image ci-dessous.
« Tel père, tel fils » de Hirokazu Kore-eda
2. Citez le précèdent film du réalisateur du film dont est extraite l’image ci-dessous.
L’image est extraite de « Snowpiercer » de Bong Joon-Ho dont le film précèdent était « Mother ».
3. Quel est le rapport entre le film dont est extraite l’image ci-dessous et un des films primés au Festival du Film Asiatique de Deauville 2013.
Il s’agit d’une image d’ « Old boy » dont un des acteurs (Yoo Ji-tae) est le réalisateur de « Mai Ratima » primé dans le cadre du Festival du Film Asiatique de Deauville 2013.
4. De l’affiche de quelle édition du Festival du Film Asiatique de Deauville est découpée l’image ci-dessous?
Il s’agissait de l’affiche du Festival du Film Asiatique de Deauville 2001.
5. De quel film est extraite l’image ci-dessous?
Cette image est extraite de « Himizu » de Sono Sion.
6. Comment se nomme le film dont est extraite l’image ci-dessous?
« Le secret des poignards volants » de Yang Zhimou.
7. 2 indices pour découvrir un film. Quel est ce film?
-Primé au Festival du Film Asiatique de Deauville.
-En se référant au titre du film, Woody Allen aurait pu dire, pour paraphraser une citation qu’il affectionne… « …, c’est long, surtout vers la fin ».
Il s’agit d’ »Eternity » de Sivaroj Kongsakul qui a remporté le lotus du meilleur film au Festival du Film Asiatique de Deauville en 2011.
8. Qui a reçu le nouveau prix créé lors du Festival du Film Asiatique de Deauville de l’an passé?
Vincent Sandoval a reçu le prix crée en 2013 ( Prix du public de la ville de Deauville) pour « Apparition ».
9. En quelle année le Festival de Deauville a-t-il rendu hommage à ce cinéaste?
Le 10ème Festival du Film Asiatique de Deaville a rendu hommage au cinéaste coréen Im Kwon-Taek.
10. Que représente le Festival du Film Asiatique de Deauville pour vous?
Cette 16ème édition du Festival du Film Asiatique de Deauville aura lieu du 5 au 9 mars 2014. La présidente de son jury sera la réalisatrice Claire Denis.
Vous pouvez retrouver toutes les informations sur le festival sur le site officiel du festival www.deauvilleasia.com, sur la page Facebook officielle et sur les comptes twitter officiels du festival ( @deauvilleasia @lpscinema). Vous pouvez par ailleurs d’ores et déjà acquérir vos pass, ici: http://badgecid.com .
Comme chaque année, je vous ferai vivre le festival en direct de l’ouverture à la clôture sur mes différents sites et principalement sur Inthemoodforfilmfestivals.com, Inthemoodfordeauville.com, Inthemoodlemag.com et Inthemoodforcinema.com mais aussi sur twitter (@moodforcinema, @moodfdeauville, @moodforfilmfest). Je vous informerai bien entendu de la programmation ici dès qu’elle sera dévoilée.
Le 16e Festival du Film Asiatique de Deauville rendra hommage au réalisateur japonais Hideo Nakata, en sa présence, réalisateur des films cultes DARK WATER et RING.
A l’occasion de cet hommage, son nouveau film MONSTERZ sera projeté en avant-première mondiale, en sa présence.
Filmographie sélective (source: site officiel du Festival du Film Asiatique de Deauville) 2014 MONSTERZ 2012 THE COMPLEX 2010 TV SHOW 2010 CHATROOM 2008 DEATH NOTE : L CHANGE THE WORLD 2007 KAIDAN 2005 LE CERCLE – THE RING 2 2002 DARK WATER 2001 SADISTIC AND MASOCHISTIC documentaire 2001 LAST SCENE 2000 SLEEPING BRIDE 2000 CHAOS 1999 RING II 1999 LE CERVEAU DE VERRE
Le Festival du Film Asiatique de Deauville 2014 rendra également hommage à TSAI MING-LIANG. En sa présence, sera projeté le film « Les Chiens errants » Lion d’Argent au Festival de Venise (en collaboration avec La Cinémathèque française ).
Filmographie sélective ( source: site officiel du Festival du Film Asiatique de Deauville) 2014 VOYAGE EN OCCIDENT 2013 LES CHIENS ERRANTS 2009 VISAGE 2007 I DON’T WANT TO SLEEP ALONE 2005 LA SAVEUR DE LA PASTÈQUE 2003 GOOD BYE, DRAGON INN 2001 ET LÀ-BAS, QUELLE HEURE EST-IL ? 1999 THE HOLE 1997 LA RIVIÈRE 1994 VIVE L’AMOUR 1992 LES REBELLES DU DIEU NÉON
La 16e édition du Festival Asiatique de Deauville rendra également hommage à la « Reine du cinéma sri-lankais », la comédienne MALANI FONSEKA, à l’occasion de l’ouverture du Festival, en sa présence.
La 16e édition du Festival du Film Asiatique de Deauville présentera 8 films en compétition, dont trois premiers longs métrages, et proposera dix films hors compétition.
LA COMPÉTITION
HAN GONG-JU de Lee Su-jin (Corée du Sud) 1er film
Han Gong-ju, une jeune lycéenne, se retrouve impliquée malgré elle dans une histoire sordide. Délaissée par ses parents et contrainte de s’inscrire dans un autre établissement, elle emménage chez la mère d’un enseignant. Victime des circonstances et n’ayant rien à se reprocher, Gong-ju doit tout faire pour éviter d’attirer l’attention sur elle… Mais un jour, Eun-hee, une nouvelle camarade de classe qui fait partie du club de chant a capella du lycée, découvre les prédispositions de Gong-ju au chant et décide de lui proposer d’intégrer la chorale.
MATER DOLOROSA d’Adolfo B. Alix Jr. (Philippines)
Lourdes Lagrimas est à la tête d’une organisation criminelle qui sévit dans un petit quartier de la ville. Elle tient, avec ses enfants, les rênes du commerce illégal local : vols de voitures, jeux d’argent et trafics de drogue. A l’aube de la nouvelle année, le maire de la ville lance une campagne anti-corruption qui met en péril les activités de la famille Lagrimas. Lourdes va tout faire pour maintenir sa famille soudée malgré les événements qui vont remettre en cause son statut de mère et de criminelle.
NAGIMA de Zhanna Issabayeva (Kazakhstan)
Nagima est une jeune femme disgracieuse, illettrée et peu diserte qui a été abandonnée à la naissance et placée dans un orphelinat. Elle partage dorénavant un petit studio dans les environs de la ville d’Almaty avec son amie Anya rencontrée à l’orphelinat et qui est enceinte. Mais Anya meurt lors de l’accouchement et le nouveau-né – une fille – se retrouve à son tour placé dans un orphelinat. Afin d’arrêter ce cercle vicieux, Nagima décide de l’adopter…
NO MAN’S LAND de Ning Hao (Chine) Film d’ouverture
Dans un tribunal d’une ville située au beau milieu du désert de Gobi, Xiao Pan, un jeune avocat charismatique, fait innocenter Big Boss, suspecté de meurtre. Il reçoit en guise d’émoluments la Sedan rouge flambant neuve de son client, visiblement contrarié. Au volant de cette voiture, Xiao Pan prend la direction de l’autoroute qui traverse cette région totalement isolée nommée No Man’s Land. Mais un des hommes de main de Big Boss a été dépêché afin de récupérer son bien…
STEEL COLD WINTER de Choi Jin-seong (Corée du Sud) 1er film
Yoon-soo a lancé une rumeur dans son lycée sur un camarade de classe qui a fini par se suicider. Incapable de supporter sa culpabilité, il essaye de se suicider à son tour mais sa tentative échoue. Sa famille décide alors de déménager à la campagne afin de l’aider à se remettre sur pied. Là-bas, le jeune garçon fait la rencontre d’Hae-won, une jeune fille mystérieuse qui a tout le village à dos. Se voyant lui-même en elle, il lui offre réconfort et compassion. Peu à peu, Hae-won s’ouvre à son contact. Mais Yoon-soo se détourne finalement d’elle lorsqu’il entend des rumeurs peu flatteuses la concernant.
TOILET BLUES de Dirmawan Hatta (Indonésie) 1er film
Anjani s’enfuit du foyer familial le jour où elle est accusée d’avoir commis un acte obscène avec ses amis du sexe opposé. Elle décide d’accompagner Anggalih, son amour platonique depuis le collège, qui est en route pour rejoindre une communauté catholique où il doit rentrer dans les ordres et devenir prêtre. Ce voyage ne sera pas seulement l’occasion pour Anggalih de questionner sa vocation, mais également le moyen pour les deux d’échapper à leur vie toute tracée…
TRAPPED de Parviz Shahbazi (Iran)
Nazanin est une étudiante en première année de médecine. Ne trouvant pas de places disponibles dans le dortoir de l’université, elle cherche à louer un studio. Comme Téhéran est une ville chère, Nazanin n’a pas assez d’argent pour payer seule son loyer et se résout à partager un logement avec Sahar, une jeune femme qui travaille dans une parfumerie. Désireuse de quitter l’Iran, Sahar a dû emprunter de l’argent à un commerçant qui décide finalement de porter plainte contre elle. Sahar se retrouve emprisonnée du jour au lendemain. Nazanin va alors tout faire pour la sortir de là…
Rahul et Shalini, les parents de Kali, dix ans, sont divorcés. La fillette vit désormais avec sa mère et son beau-père, Shoumik, responsable d’une brigade de la police de Bombay. Un samedi, alors que Kali passe la journée avec son père Rahul, elle disparaît…
HORS COMPÉTITION
LE PROMENEUR D’OISEAU Film de clôture
de Philippe Muyl (Chine & France)
Afin de tenir la promesse qu’il avait faite à sa femme, Zhigen, un vieux paysan chinois, décide de faire le grand voyage de Pékin à Yangshuo et de ramener à son village l’oiseau qui fût son seul compagnon durant toutes ces années passées loin de chez lui. Qianing, sa belle-fille, riche et belle femme d’affaire, lui demande d’emmener Renxing, sa fille unique élevée dans le luxe. Tandis que le grand père et sa petite fille cheminent à travers les magnifiques paysages de la Chine – Zhigen vers ses souvenirs, Renxing vers ses racines familiales – le père et la mère de Renxing se penchent sur le sens de leur vie uniquement axée sur la réussite et l’argent.
LES CHIENS ERRANTS de Tsai Ming-Liang (France & Taiwan)
Un père et ses deux enfants vivent en marge de Taipei, entre les bois et les rivières de la banlieue et les rues pluvieuses de la capitale. Le jour, le père gagne chichement sa vie en faisant l’homme sandwich pour des appartements de luxe pendant que son fils et sa fille hantent les centres commerciaux à la recherche d’échantillons gratuits de nourriture. Chaque nuit, la famille trouve refuge dans un immeuble abandonné…
MONSTERZ de Hideo Nakata (Japon)
Un homme qui a la capacité de contrôler les gens par la seule force de son regard préfère mener une vie solitaire au lieu de faire plier l’humanité à son bon vouloir. Lorsqu’il fait usage, avec parcimonie, de son pouvoir, il s’assure que personne ne se souvienne d’avoir été manipulé. Sa petite vie sans saveur prend une tournure particulière lorsqu’il croise le chemin de Shuichi Tanaka. Ce dernier semble être le seul à pouvoir résister à ses pouvoirs télékinétiques. Troublé et furieux de ne pouvoir contrôler Shuichi, il décide de le faire disparaître coûte que coûte…
OUR SUNHI de Hong Sangsoo (Corée du Sud)
Sunhi, diplômée en cinéma, vient chercher auprès de son ancien professeur une lettre de recommandation pour partir étudier aux États-Unis. Enfin épanouie après une longue période d’introspection, elle rencontre alors au même moment deux anciennes relations : Munsu, son ancien petit ami, et Jaehak, un réalisateur diplômé de la même école qu’elle. Le temps passé ensemble, les trois hommes vont prodiguer à Sunhi leurs conseils sur la vie, pleins de bonnes intentions.
PATEMA ET LE MONDE INVERSÉ Séance enfants
de Yasuhiro Yoshiura (Japon)
Après une catastrophe écologique, la terre se trouve séparée en deux mondes inversés ignorant tout l’un de l’autre. Dans le monde souterrain, Patéma, une jeune fille de quatorze ans espiègle et aventurière, rêve d’ailleurs. Sur la terre ferme, Age, un lycéen mélancolique, a du mal à s’adapter à son monde totalitaire. Le hasard va provoquer la rencontre des deux adolescents en défiant les lois de la gravité.
PRESENT FOR YOU de Yoshihiko Dai (Japon)
Lorsque les employés d’une entreprise véreuse, vantant les mérites d’une alimentation diététique, partent avec l’argent de la caisse, Kajiwara, un employé à temps partiel, se retrouve seul à devoir remettre l’entreprise à flot et à rendre des comptes au Boss, le président de la maison-mère. En un temps record, il parvient à faire rentrer dans les comptes de la société un demi-milliard de yen et à s’attirer les faveurs du Boss. Ce dernier le nomme alors président d’une autre entreprise, Present For You…
REAL de Kiyoshi Kurosawa (Japon)
Atsumi, talentueuse dessinatrice de mangas, se retrouve plongée dans le coma après avoir tenté de mettre fin à ses jours. Son petit-ami Koichi ne comprend pas cet acte insensé, d’autant qu’ils s’aimaient passionnément. Afin de la ramener dans le réel, il rejoint un programme novateur permettant de pénétrer dans l’inconscient de sa compagne. Mais le système l’envoie-t-il vraiment là où il croit ?
RUIN de Michael Cody & Amiel Courtin-Wilson (Australie & Cambodge)
Phirun et Sovanna, deux jeunes amants liés par un meurtre, décident de s’enfuir ensemble de Phnom Penh, la capitale cambodgienne gangrénée par la violence et la corruption. Inexplicablement attirés l’un vers l’autre, ils s’aventurent dans les profondeurs de la jungle. Au fil de leur errance, leur fragile amour se délie et fait ressurgir les traumatismes de leur vie passée et leur haine envers le monde…
Yujin, élève de terminale promis à un avenir brillant, est retrouvé assassiné. Très rapidement, les soupçons se portent sur June, l’un de ses camarades de classe. Mais en remontant le fil des événements, c’est un univers d’ultra-compétition et de cruauté qui se fait jour au sein de ce lycée d’élite, où la réussite au Suneung, l’examen final qui conditionne l’entrée des élèves dans les meilleures universités, est une obsession. Pour obtenir la première place, certains sont prêts à tout, et même au pire…
THE FAKE de Yeon Sangho (Corée du Sud) Film d’animation
Les habitants d’un village qui sera bientôt englouti par les flots suite à la construction d’un barrage deviennent les victimes d’un escroc prénommé Choi. Se faisant passer pour un prophète, Choi sermonne ses ouilles à longueur de journée, aidé dans sa tâche par le pasteur Chung, et parvient à convaincre les villageois de verser leurs indemnités de relogement à cette religion d’un nouveau genre. Mais Min-chul, un bon-à-rien méprisé de tous, découvre le pot aux roses…
Après cet aperçu sur l’édition 2014, je vous propose un petit retour sur l’édition 2013, l’occasion aussi pour moi de vous parler de mon amour inconditionnel pour ce festival et la ville qui l’accueille.
En bas de page, vous trouverez également le concours qui vous permettra de remporter vos pass pour le Festival. Quelques réponses aux questions du concours pourraient bien se trouver parmi les lignes à venir…
L’an passé, un soleil insolent irradiait les planches tandis que, au CID, les spectateurs effectuaient une plongée dans la noirceur d’une société asiatique souvent oppressée par une crise décidément bel et bien mondiale, du moins pour ce qui concernait les films en compétition qui ne furent pas moins passionnants justement parce qu’ils mettaient en lumière cette face sombre et souvent ignorée ou en tout cas masquée par d’autres (ir)réalités.
Parmi ces films qui mettaient en lumière une face sombre de l’Asie à l’image des trois exemples très différents cités ci-dessous, il y eut notamment le film philippin « APPARITION » de Vincent SANDOVAL qui a reçu le prix du public, un film qui se déroule dans un lieu en apparence hors du temps, un récit tragiquement universel sur la barbarie, la lâcheté, l’oppression. Un cri dans le silence, vibrant, notamment grâce à des interprètes exceptionnelles et une réalisation maîtrisée qui joue habilement du clair obscur, de la blancheur et de la noirceur, un défi relevé en 8 jours seulement.
Le grand prix décerné à « I.D » de Kamal K.M était une plongée dans l’envers du décor de Bollywood et de l’Inde mais surtout le reflet pertinent d’une société mondialisée (et car mondialisée) individualiste.
Le prix de la Critique, décerné à TABOOR de Vahid VAKILIFAR (Iran) était non moins sombre et passionnant même s’il avait décontenancé les spectateurs. Je me souviens encore de son premier (long) plan d’une beauté et d’une singularité étranges et marquantes : un homme revêt une combinaison métallique dans une roulotte tapissée d’aluminium. La scène s’étire en longueur et nous laisse le temps d’appréhender la composition de l’image, d’une fascinante étrangeté, une fascinante étrangeté qui ne cessera ensuite de croître. Tout semble rare, dans ce film : les dialogues, les personnages…et même le scénario. Malgré tout, la fascination opère pour cet univers et ce personnage entre la science-fiction et une réalité métaphorique bien sûr impossible à traiter frontalement dans un pays soumis à la censure, la surveillance et l’oppression. Tout est à la fois banal et étrange, quotidien et irréel comme cette viande qui cuit longuement filmée (et qui aura fait fuir plus d’un spectateur) qui prend soudain un tout autre sens. Un film radical et « absurde » dans un pays dont l’Etat l’est lui-même au point sans doute de ne pas se reconnaître dans cet univers carcéral, répétitif, cloisonné, oppressant, dans cette société qui étouffe, déshumanise, condamne à l’isolement, au silence, à se protéger des « radiations », d’un ennemi invisible mais bel et bien là. Le temps s’étire (longs couloirs, tunnels, longs plans fixes) quand il est dicté par une force supérieure qui « irradie », invisible et redoutable, et réduit l’être humain à être cette machine silencieuse et désincarnée. Un film qui s’achève par un plan splendide d’un homme dans la lumière qui se détache de la ville et la surplombe loin de « la violence du monde extérieure » rappelant ainsi le beau discours du réalisateur avant la projection qui avait dédié le film à son père « qui a toujours su préserver sa belle nature de la violence du monde extérieur ». Un film qui ne peut laisser indifférent, une qualité en soi. Un prix de la critique prévisible pour le film visuellement le plus inventif, opaque et radical, et malin.
9 films étaient ainsi l’an passé projetés dans le cadre de la compétition et autant de regards, d’univers différents que de nationalités malgré cette noirceur commune et un instructif voyage dans la société, la culture et le cinéma asiatiques. Seuls, égarés, broyés par la crise, la solitude, oppressés, perdus dans la multitude, les personnages des films de cette compétition étaient tous en errance sous ou en quête d’ une identité et d’un ailleurs souvent inaccessible.
L’édition 2013 fut aussi marquée par deux hommages et par la venue de deux grands cinéastes: Wong Kar Wai et Sono Sion (comme vous le verrez sur mes vidéos ci-dessous).
Le plus beau film de cette édition 2013 fut pour moi « The Land of hope » de Sono Sion, d’ailleurs même pour moi le plus beau film de l’année 2013 toutes nationalités et catégories confondues, un film dont la beauté mélancolique et poétique fait écho à celle de Deauville qui ne cessera jamais de me surprendre et ravir. Un film porté par un cri de révolte et l’énergie du désespoir, plus efficace que n’importe quelle campagne anti-nucléaire et surtout l’œuvre d’un poète, un nouveau cri d’espoir vibrant et déchirant qui s’achève sur un seul espoir, l’amour entre deux êtres, et une lancinante litanie d’un pas, qui, comme l’Histoire, les erreurs et la détermination de l’Homme, se répètent, inlassablement. Un film d’une beauté désenchantée, d’un romantisme désespéré (cette scène où le couple de vieux paysans danse au milieu du chaos est à la fois terriblement douce et violente, sublime et horrible, en tout cas bouleversante), d’un lyrisme et d’une poésie tragiques avec des paraboles magnifiquement dramatiques comme cet arbre -et donc la vie- qui s’embrasent mais aussi un travail sur le son d’une précision et efficacité redoutables. Vous pourrez retrouver la critique complète de ce film que je vous recommande plus que vivement dans le compte rendu précité.
Si j’aime le cinéma asiatique, j’aime aussi passionnément la ville qui lui sert de décor et sa douce mélancolie qui lui fait judicieusement écho. Je ne connais pas d’endroits, ou si peu, dont la beauté soit aussi agréablement versatile, dont les couleurs et la luminosité lui procurent une telle hétérogénéité de visages. Oui, Deauville a mille visages. Loin de l’image de 21ème arrondissement de Paris à laquelle on tendrait à la réduire (qu’elle est aussi, certes), ce qui m’y enchante et ensorcelle se situe ailleurs : dans ce sentiment exaltant que procurent sa mélancolie étrangement éclatante et sa nostalgie paradoxalement joyeuse. Mélange finalement harmonieux de discrétion et de tonitruance. Tant de couleurs, de visages, de sentiments que j’éprouve la sensation de la redécouvrir à chaque fois. Bien sûr, je la préfère très tôt le matin, mystérieuse, presque déserte, qui émerge peu à peu des brumes et de l’obscurité nocturnes, dans une âpre luminosité qui se fait de plus en plus évidente, incontestable et enfin éblouissante. Ou le soir, quand le soleil décline et la teinte de couleurs rougeoyantes, d’un ciel incendiaire d’une beauté insaisissable et improbable et que je m’y laisse aller à des rêveries et des espoirs insensés. A l’image des êtres les plus intéressants, Deauville ne se découvre pas forcément au premier regard mais se mérite et se dévoile récompensant le promeneur de sa beauté incendiaire et ravageuse aux heures les plus solitaires, avec des couleurs aux frontières de l’abstraction, tantôt oniriques, tantôt presque inquiétantes.
Mais plutôt que d’effectuer une nouvelle déclaration d’amour à Deauville je vous propose quelques liens à ce sujet:
Le roman et le recueil de nouvelles font partie de la collection e-LIRE de mon éditeur Numeriklivres défini par celui-ci comme « un écrin pour des bijoux littéraires » et j’en profite pour vous annoncer que j’aurai l’honneur d’être sur le stand de mon éditeur au Salon du Livre de Paris 2014 avec ces deux ouvrages.
Le Festival du Film Asiatique de Deauville 2014 se déroulera comme chaque année au CID de Deauville (cf photo ci-dessous).
CONCOURS
Cette année comme les années précédentes, 16 pass sont en jeu. Ils seront ainsi répartis
1er et 2ème prix: 4 pass (1 pour le 6, 1 pour le 7, 1 pour le 8, 1 pour le 9)
3ème et 4ème prix: 2 pass (1 pour le 8, 1 pour le 9)
5ème et 6ème prix : 2 pass (1 pour le 6, 1 pour le 7)
soit 6 gagnants qui se répartiront les 16 pass.
Vous pouvez participer jusqu’au 25 février 2014 à minuit. Vos réponses sont à envoyer à inthemoodforfilmfestivals@gmail.com avec, pour intitulé de votre email « Concours Festival du Film Asiatique de Deauville 2014″. N’oubliez pas de me communiquer vos coordonnées (nom, prénom, email, numéro de téléphone). Les gagnants seuls seront contactés, par email après le 25 février. Pour faire partie des heureux gagnants, répondez correctement aux 10 questions suivantes. Les réponses ont toutes un lien avec Deauville et/ou le cinéma asiatique et/ou le Festival du Film Asiatique de Deauville. Bonne chance à tous!
1. Donnez-moi le titre du film dont est extraite l’image ci-dessous.
2. Citez le précèdent film du réalisateur du film dont est extraite l’image ci-dessous.
3. Quel est le rapport entre le film dont est extraite l’image ci-dessous et un des films primés au Festival du Film Asiatique de Deauville 2013.
4. De l’affiche de quelle édition du Festival du Film Asiatique de Deauville est découpée l’image ci-dessous?
5. De quel film est extraite l’image ci-dessous?
6. Comment se nomme le film dont est extraite l’image ci-dessous?
7. 2 indices pour découvrir un film. Quel est ce film?
-Primé au Festival du Film Asiatique de Deauville.
-En se référant au titre du film, Woody Allen aurait pu dire, pour paraphraser une citation qu’il affectionne… « …, c’est long, surtout vers la fin ».
8. Qui a reçu le nouveau prix créé lors du Festival du Film Asiatique de Deauville de l’an passé?
9. En quelle année le Festival de Deauville a-t-il rendu hommage à ce cinéaste?
10. Que représente le Festival du Film Asiatique de Deauville pour vous?