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deauville - Page 22

  • Critique de « The Town » de Ben Affleck : l’étau de Charlestown

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    Il y a deux ans, Ben Affleck présentait son premier film en tant que réalisateur, en avant-première, à Deauville :« Gone baby gone »  inspiré du roman éponyme de Denis Lehane relatant l’enquête après la disparition d’une petite fille de 4 ans dans une banlieue pauvre de Boston, plus exactement à Dorchester, le plus grand et le plus hétéroclite des quartiers de Boston, à travers le regard de deux jeunes détectives privés interprétés par Casey Affleck et Michelle Monaghan. Avec ce premier film, Ben Affleck avait choisi d’explorer les bas-fonds voire les tréfonds obscurs et secrets de ce quartier de Boston.

    Etrangement, malgré un passage à Paris, ce n’est pas à Deauville mais à Venise et uniquement que son deuxième film en tant que réalisateur, le très attendu « The town » a été présenté (hors compétition), malgré l’accueil chaleureux qui avait été réservé au premier en Normandie en 2007 et malgré le thème de ce second film parfaitement en adéquation avec ceux de cette édition 2010 du Festival de Deauville : des films  relevant souvent de l’étude sociologique. Par ailleurs, « The town » aurait amené cette petite touche événementielle qui faisait cruellement défaut à cette 36ème édition du Festival du Cinéma Américain.

    C’est de nouveau à Boston que nous entraîne Ben Affleck, plus précisément dans le quartier de « Charlestown » surnommé « The town », un quartier réputé pour son nombre record de braquages de banques et dans lequel la population se divise entre ceux qui y contribuent et ceux qui font régner la loi. Doug MacRay (Ben Affleck), comme beaucoup d’habitants du quartier a été choisi par le crime plus qu’il ne l’a choisi, son père étant lui-même un ancien braqueur.  Lors d’un casse, Doug et sa bande prennent en otage la directrice de la banque, Claire Keesey (Rebecca Hall, découverte dans « Vicky Cristina Barcelona » de Woody Allen.)
    Relâchée indemne mais profondément marquée, Claire sait qu’elle risque des représailles mais elle ignore que le jeune Doug qu’elle rencontre à la laverie automatique est un de ses ravisseurs…. Pendant que le FBI mène l’enquête et se rapproche de plus en plus de la piste de Doug et sa bande, ce dernier et Claire se rapprochent aussi de plus en plus.

    The Town est adapté du best-seller de Chuck Hogan, Prince of the thieves.

    Dès les premiers plans, la camera tourne autour du quartier de Charlestown l’emprisonnant dans son cadre comme les protagonistes le sont par  ce lieu qui les a vu naitre et grandir et qui les condamne à y mourir, souvent prématurément. Condamnés à une vie plus subie que choisie qui les dédouane d’une part de responsabilité, Charlestown incarne le déterminisme social et Doug la possibilité d’y échapper. C’est sa rencontre avec Claire qui va le conduire sur le chemin de la rédemption après une première chance avortée et une carrière de hockeyeur brisée par la violence. James (Jeremy Renner) incarne (brillamment) son double, celui qui choisira l’autre route et pour qui il n’en existe aucune autre.

     Des thèmes que l’on retrouve notamment dans le cinéma de James Gray même si Ben Affleck n’atteint pas toujours la même subtilité dans les scènes les plus intimistes, notamment dans l’histoire d’amour qui manque parfois de subtilité mais dont l’impossibilité apparente et la tension (il semble impossible qu’elle puisse être amoureuse de celui qui est la cause de la terreur de sa vie) apportent piment et originalité.  Lorsqu’il s’agit de courses poursuites ou de susciter le sentiment d’urgence, l’adrénaline, le danger, la maîtrise du réalisateur est en revanche flagrante et la tension palpable.

     « The town » est certes moins âpre et angoissant que « Gone baby gone » mais on retrouve cette  réalisation sobre et parfaitement maîtrisée et ce même souci de réalisme. Ben Affleck confirme être un des réalisateurs de polars avec qui il va falloir compter, avec une mise en scène de facture certes classique mais respectant les codes du genre et bien ancrée dans un lieu et son époque.  On retrouve cette même étanchéité entre le bien et le mal, le crime et l’innocence que dans « Gone baby gone » qui écarte pareillement « the town » du classique thriller manichéen.

    Comme dans « Gone baby gone », Ben Affleck soigne ses rôles secondaires aux visages marqués par la violence, la souffrance, l’aigreur. On pourrait lui reprocher quelques baisses de rythme qui sont néanmoins davantage la marque de son style (la mise en relief des personnages et intrigues secondaires) que de réelles lacunes.

    Gageons qu’avec son prochain film «  Arizona », Ben Affleck parviendra lui aussi à s’échapper de Boston, prendre son envol, et tirer profit d’un horizon riche de possibles que laisse entrevoir ce deuxième film plus que prometteur.

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  • Annette Bening au Festival de Deauville: photos et vidéos de la conférence de presse

     

    Annette Bening est à Deauville pour l'hommage que lui rendra le festival ce soir et  pour deux films  dont le premier, en compétition, "Mother and child" de Rodrigo Garcia était projeté hier.  Je vous ferai un nouveau bilan de la compétition demain et à cette occasion, je vous parlerai bien sûr de ce film mais en attendant je vous laisse découvrir les vidéos de l'arrivée d'Annette Bening au CID et de sa conférence de presse.

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  • Compétition officielle Deauville 2010 : critiques de « Buried » de Rodrigo Cortes et « The dry land » de Ryan Piers Williams

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    Je vous parlais hier des thématiques communes aux quatre premiers films en compétition de cette édition 2010 du Festival de Deauville (cliquez ici pour lire l’article) avec notamment pour thèmes récurrents une Amérique, terre hostile, et des orphelins (enfants ou adolescents) en manque de (re)père ou de mère. Des thèmes sans doute révélateurs d’un pays en quête de modèles et de repères et finalement pas si éloignés de ceux des deux films en compétition du jour qui ont tous deux traits à la guerre en Irak. Deux variations très différentes sur le même thème. Deux façons (en apparence) presque opposées d’aborder le sujet, sujet désormais inévitable du festival, après l’excellent « American son » de Neil Abramson en 2008 et « The messenger » d’Oren Moverman, grand prix du Festival de Deauville 2010.

    Alors qu’il y a quelques jours seulement (le 19 août) les troupes américaines ont quitté l’Irak, le conflit est certainement loin d’être terminé pour ceux qui l’ont vécu. Ainsi en est-il de James (Ryan O’Nan) dans « The dry land », premier film de Ryan Piers Williams. Ce jeune soldat américain rentre d’Irak dans sa petite ville du Texas. A son retour toute sa  famille l’accueille et notamment sa femme Sarah (America Ferrara –« Ugly Betty »…), sa mère mais aussi son meilleur ami. Rongé par la douleur morale, une violence inextinguible et incontrôlable et par l’oubli de ce qui s’est passé là-bas, il décide de reprendre contact avec un compagnon d’armes pour reconstituer ce douloureux passé.

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     Le réalisateur, Ryan Piers Williams, n’a pas cherché à révolutionner le cinéma et le revendique. Non, son but est de témoigner, et d’adresser un message d’espoir à tous ces soldats ravagés qui reviennent d’Irak détruits, incompris, hantés par leurs souvenirs. Il n’a pas souhaité faire un film politique mais traité un sujet à auteur d’homme, incarner ces soldats,  leur donner un visage, les sortir de leur solitude et leur désarroi. Si l’intrigue est très prévisible, elle n’en résonne pas moins avec justesse (et pour cause Ryan Piers Williams a travaillé sept ans dessus et a rencontré de nombreux soldats et leurs familles). Savoir, comme il l’a expliqué en conférence de presse, que « plus de soldats sont morts suicidés à leur retour aux Etats-Unis que morts au combat en Irak » suffit à justifier l’existence de ce film qui, à défaut d’être original, apporte un nouvel éclairage, qui a le mérite d’être documenté, sur un conflit qui n’a pas fini de faire des ravages. Je vous laisse entendre les explications du réalisateur et de l’actrice principale également coproductrice, sur la genèse du projet (article suivant).

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    A priori pas grand-chose à voir avec le film de Rodrigo Cortes, « Buried » dans lequel un Américain est pris en otage et enfermé dans un cercueil, en Irak. Muni d’un téléphone portable, il a 90 minutes pour trouver la rançon qui lui réclame ses ravisseurs irakiens. Un homme. Un cercueil. Une lampe. Un téléphone. Peu de possibilités.

     Deux partis pris puisque l’un est aussi crédible (the dry land) que l’autre ne l’est pas (Comment parvient-il à respirer ? Comment son téléphone capte-t-il ? Pourquoi n’essaie-t-il pas réellement de s’échapper ?). L’un relève d’un minutieux travail de documentation, l’autre est aux frontières du thriller (comme quelque chose me paraissait sonner faux dès le départ, j’ai cru que c’était délibéré, que le but était d’instiller le doute dans l’esprit du spectateur quant à l’identité des preneurs d’otage, et que nous découvririons qu’il s’agissait d’une manipulation ou d’un coup monté de ses collègues ou autres mais la seule manipulation est celle ici d’une Administration américaine velléitaire quand il s’agit de venir en aide à ses concitoyens, l’idée n’en est d’ailleurs pas moins intéressante), voire du fantastique sans jamais quitter ces quatre planches en bois, ni voir d’autre visage que celui de Paul.

     L’idée est sans aucun doute originale et novatrice et c’est avant tout par la force du jeu  de Ryan Reynolds (qui incarne l’Américain l’otage Paul Conroy) que notre attention reste soutenue du début à la fin car le dispositif n’est pas toujours convaincant, ainsi ces artificiels plans en plongée, sans doute pour montrer son impuissance qui nous font sortir du sentiment de claustrophobie qui ne cesse de croître pourtant pour Paul. La bande son et les rebondissements sont pourtant là et judicieusement utilisés pour susciter et raviver constamment le sentiment de suffocation, de claustrophobie, d’impuissance. Davantage que la manière ( contestable) c’est l’idée qui m’a séduite, celle  de montrer l’inertie de l’Administration Américaine qui, au propre comme au figuré, enterre vivants (« buried » signifie enterré) ces Américains partis pour la défendre ou travailler pour leur pays.

     Si « the dry land » n’est pas politique et ne souhaite pas l’être, « Buried » l’est donc malignement.  Les 94 minutes (soit 4 de plus que celles imparties à Paul pour trouver la rançon) s’écoulent sans que nous les voyions passer, entre tension et humour acerbe sur l’abstraction et la cruauté de l’Administration ( celle avec un petit a et celle avec un A majuscule d’ailleurs). Le pari est donc partiellement réussi même s’il est dommage que Rodrigo Cortes ait recouru à des ficelles -in-dignes de blockbusters (par exemple la scène du testament ou de la mère atteinte d’Alzheimer) et n’ait pas cherché à cultiver sa différence jusqu’au bout nous laissant le goût amer d’un sujet fort et d’un procédé original qui ne tiennent pas forcément toutes leurs promesses, en revanche c’est sans doute la manière la plus habile de nous inscrire dans l’intimité de ce drame et d’en désigner les responsables.

    Malgré leurs différences, dans les deux cas à nouveau une terre hostile (d’ailleurs désignée dans l’un des titres) des êtres qui suffoquent, enterrés vivants, qui crient leur désespoir, rongés par l’incompréhension et en quête d’écoute et d’espoir.

    Ces deux films ont été présentés à Sundance . « Buried » sort en salles en France le 3 novembre 2010  

     

     

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  • Le 36ème Festival du Cinéma Américain de Deauville en direct à partir de demain

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    Dès demain, retrouvez-moi en direct de Deauville et jusqu'au 13 septembre.

     Vous pourrez suivre ici et sur "In the mood for Deauville", les avant-premières, les films en compétition, les conférences de presse et vous retrouverez également toutes les informations pratiques et les astuces (concours...) concernant le Festival que j'ai accumulés en 17 ans de pérégrinations deauvillaises.

    N'oubliez pas non plus de suivre mon nouveau compte twitter dédié pour suivre le festival en temps réel: http://twitter.com/moodfdeauville  .

    Vous pourrez également retrouver certains de mes articles sur le blog de 20 minutes spécial Deauville.

    Enfin, je vous invite à vous inscrire à la page Facebook d'In the mood for Deauville pour commenter le festival.

    Bon festival à tous et rendez-vous dès demain sur mes blogs pour les premières photos et infos en direct de Deauville, avant l'ouverture, vendredi soir.

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  • Gagnez votre pass journalier ou vip pour le 36ème Festival du Cinéma Américain de Deauville

    code3.jpg Je vous ai déjà permis de remporter 80 pass pour le Festival du Cinéma Américain de Deauville et un séjour vip à l'Hôtel du Golf ( et il n'est pas exclu que je vous propose d'autres pass prochainement donc restez connectés!).

    Si vous ne faîtes pas partie des heureux gagnants, vous pouvez encore tenter votre chance sur le site Orange Video Party ou sur le site SNCF intercités qui vous permet de gagner 500 pass vip journée et 15 pass vip week end.  Pour jouer, cliquez ici!  Il vous suffira alors de trouver le bon code. Vous avez droit à 7 essais par jour, jusqu'au 8 septenbre, et c'est plutôt ludique, donc aucune raison de vous en priver. Regardez aussi la vidéo personnalisée particulièrement réussie pour une publicité, judicieux et ironique patchwork et détournement des blockbusters américains. J'en profite enfin pour vous signaler que vous pouvez bénéficier d'un tarif Loisir Week-end, jusqu'à 35% de réduction sur le tarif Normal pour l'achat d'un aller-retour Paris-Deauville dans la journée du samedi, la journée du dimanche, ou comprenant la nuit du samedi au dimanche.


    Je vous rappelle que, comme chaque année, et cela dès jeudi, vous pourrez suivre le Festival en direct sur In the mood for cinema et In the mood for Deauville ainsi que sur mon compte twitter spécifiquement créé http://twitter.com/moodfdeauville .

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  • Festival du Cinéma américain de Deauville 2010: programme, nouveautés, concours, informations pratiques

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    Alors que dans quelques jours aura lieu l'ouverture du 36ème Festival du Cinéma Américain de Deauville et que la grille de programmation ne devrait pas tarder à être dévoilée, je vous propose, pour un récapitulatif de tous les articles publiés à ce sujet, de vous rendre sur In the mood for Deauville, mon blog entièrement consacré au Festival.  Ci-dessous un résumé de la programmation, des concours, des nouveautés et des informations pratiques de cette édition 2010.

     Entre les documentaires, les séries, les hommages, les master-class, les concerts, les avant-premières, la compétition...il serait vraiment difficile de ne pas trouver son bonheur tant cette programmation 2010 est diversifiée. Pour ma part, bien que ce soit mon 17ème festival,  je l'aborde toujours avec enthousiasme et impatience. Pour me suivre en direct n'oubliez donc pas de vous abonner à mon compte twitter dédié créé spécialement pour l'occasion et à la page Facebook d'In the mood for Deauville (qui compte déjà 635 membres).  

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     Le Festival aura lieu du 3 au 12 septembre. Le jury longs-métrages sera présidé par la comédienne Emmanuelle Béart et composé de : la comédienne Jeanne Balibar, le réalisateur scénariste et comédien Lucas Belvaux, le réalisateur et scénariste Faoudi Bensaidi, la réalisatrice, scénariste, comédienne et metteur en scène de théâtre Christine Citti, le réalisateur et scénariste Fabrice Du Welz, le réalisateur et scénariste Tony Gatlif, le comédien Denis Lavant, le réalisateur et scénariste Abderrahmane Sissako, l'auteur, compositeur, interprète écrivain Nilda Fernandez. Le 11 septembre 2010 ce jury remettra le Grand Prix et le Prix du Jury. 

    Le jury Révèlations Cartier sera présidé par le cinéaste Manuel Pradal. Il sera accompagné de :le comédien Jonathan Lambert, la réalisatrice et scénariste Emma Luchini, la comédienne Roxane Mesquida, l'auteur et comédien Sébastien Thiery.

    Cette année au programme: 17 longs-métrages en avant-première parmi lesquels le dernier Woody Allen "Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu" dont je vous ai déjà parlé et dont vous pouvez lire ma critique  ici et que je vous recommande, ou encore "Kaboom" de Gregg Araki , "The Debt" de John Madden en première mondiale, "The Runaways" de Floria Sigismondi, "Twelve" de Joel Schumacher...,  12 films en compétition (dont 8 premiers films), 7 docs de l'Oncle Sam.

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    Comme année au programme également des hommages, comme toujours un des temps forts du festival: à Annette Bening, Greg Araki, Terry Gilliam avec également une master class de ce dernier (le 5 septembre, salle Lexington, au CID) qui succède ainsi à Andy Garcia.
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    En 2010, Deauville innove en s'intéressant aux séries avec "Deauville saison 1" proposant aux festivaliers de découvrir ou de redécouvrir des séries et d'assister à d'instructives master class sur l'écriture scénaristique de ces dernières, aspirant à devenir le nouveau rendez-vous incontournable dans ce domaine, destiné à encourager l'innovation avec surtout, le week end d'ouverture (les 4 et 5 septembre), des master class avec des auteurs de séries. Une nuit des séries vous sera également proposée au Casino.

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     Autre innovation: la modification du planning de programmation puisque la compétition commencera cette année un jour plus tôt (le dimanche 5) et puisque la clôture aura également lieu un jour plus tôt (le samedi 11), ce qui permettra de revoir les films déjà projetés le dernier dimanche (à l'image de ce que fait le Festival de Cannes depuis de nombreuses années) proclamé ainsi "jour de fête".

     Certains regrettaient que la village du festival ait été un peu moins animé ces derniers années. Il semblerait qu'ils aient été entendus puisque les partenaires seront plus nombreux cette année. Vous pourrez par ailleurs y entendre des concerts comme l'excellent "Edward pour les intimes". 

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    Autre nouveauté: après un site internet officiel entièrement remanié le festival a également eu la bonne idée de s'inscrire sur les réseaux sociaux avec désormais une page Facebook et un compte twitter.
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     A ne pas manquer également: les Nuits Américaines , en partenariat avec la Cinémathèque Française, dont ce sera cette année la 4ème édition avec pour thème de cette édition 2010 des "portraits de femmes" et des classiques du cinéma comme "Rebecca", "Laura", "Eve" "Boulevard du crépuscule"... ou encore des films des 3 personnalités auxquelles il sera rendu hommage.
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    Autre projection incontournable: celle du prix Michel D'Ornano , décerné à un premier film français, cette année décerné à Alix Delaporte pour "Angèle et Tony".

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    Parmi les moments phares également la remise du prix Lucien Barrière qui revient cette année à Joyce Carol Oates pour "Blonde".

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    Sur In the mood for Deauville, vous trouverez également toutes les informations pratiques pour vous acheter un pass, pour venir au festival mais aussi tous les concours répertoriés pour gagner des invitations et toutes mes astuces engrangés en 17 ans de festival. Les 80 pass que je vous proposais ont été remportés. Vous pouvez néanmoins encore en gagner sur: le site des 150 ans de la ville de Deauville, la page Facebook officiel du festival, Virgin radio (pour la première fois partenaire du festival), intercités sncf , la page Facebook Orange Vidéo Party ou encore sur les blogs Cinémaniac et le blog du cinéma. Tous les nouveaux concours vous seront annoncés et détaillés sur In the mood for Deauville.

    Le Festival de Deauville reste dans tous les cas très accessible. Vous pouvez d'ores et déjà réserver votre pass en cliquant ici (150€ pour un pass permanent, 30€ pour un pass journalier, 12€ pour un pass journalier si vous êtes étudiant, âgé de - de 26 ans ou demandeur d'emploi) et sachez également que si les séances du soir sont sur invitation au CID, les films passent parfois en même temps au casino et vous pouvez, si vous êtes détenteurs d'un pass permanent, obtenir ces invitations sur les terrasses du festival, à 14H30, ou obtenir des last minute tickets à 19H.

    Par ailleurs si vous rêvez d'un séjour vip c'est aussi possible. Rendez-vous sur In the mood for Deauville et sur In the mood for luxe pour en savoir plus également à ce sujet.

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    Nous ne connaissons pas encore les films d'ouverture et de clôture. Je ne manquerai pas de vous les communiquer dès que ce sera le cas ainsi que les éventuels ajouts au programme. Je publierai également la grille de programmation. Je vous communiquerai également la liste des personnalités attendues. En attendant,  pour tous les détails rendez-vous sur In the mood for Deauville.

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  • Concours 80 pass pour le 36ème Festival du Cinéma Américain de Deauville : les résultats

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    Comme promis, voici les résultats du concours vous permettant de remporter des pass pour le Festival du Cinéma Américain de Deauville 2010. Les participations  on été très nombreuses et j'aurais aimé pouvoir offrir des pass à tout le monde, ce qui n'était malheureusement pas possible. Certains ont trouvé le questionnaire difficile, le nombre de participants ayant trouvé la totalité des bonnes réponses a pourtant été largement supérieur au nombre de pass. 

    Je contacterai les gagnants par email dans le courant de la semaine prochaine. Les pass leur seront envoyés directement par Orange (merci de me confirmer que vous les aurez bien reçus). Merci à tous les autres d'avoir participé, ce qui leur a sans doute demandé pas mal de temps, j'en suis parfaitement consciente... Au plaisir néanmoins de vous croiser pendant le festival. N'hésitez pas à vous manifester.Quant au gagnant du séjour à l'hôtel du Golf, il sera également contacté dans le courant de la semaine prochaine.

     D'autres concours vous seront prochainement proposés sur le blog avec bientôt des romans, des places de cinéma ou encore des dvds à gagner. J'en profite pour vous rappeler que vous pourrez suivre ce qui sera mon 17ème Festival du Cinéma Américain en direct, du premier au dernier jour, sur In the mood for Deauville et sur In the mood for cinema. Je vous invite également à découvrir mes deux autres blogs "In the mood for Cannes" et le petit dernier "In the mood for luxe".

    Pour avoir toutes les informations en direct je vous invite également à me suivre sur twitter, sur le compte http://twitter.com/moodfdeauville (@moodfdeauville ) et à vous inscrire sur la page Facebook d'In the mood for Deauville.

    N'hésitez pas non plus à me faire part, dans les commentaires ou par email, de vos attentes quant aux sujets que vous souhaitez voir traités sur mes blogs pendant le festival.

    Bon festival à tous!

    Question n°1: Donnez-moi les titres des 5 films suivants dont des morceaux d’affiches ont été découpés (tous ces films ont un lien plus ou moins proche avec l’édition 2010 du Festival)

    Affiche n°1:

    “Couvre-feu” avec Annette Bening (à qui le Festival rend hommage cette année) de Edward Zwick

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    Affiche n°2:
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    Affiche n°3:

    « Les Egarés » d’André Téchiné avec Emmanuelle Béart (présidente du jury longs-métrages du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2010)

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    Affiche n°4:

    Réponse 4 : « Brazil » de Terry Gilliam à qui le Festival 2010 rend hommage, lequel Terry Gilliam donnera également une master class

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    Affiche n°5:

    « Twelve » de Joel Schumacher présenté en avant-première dans le cadre du Festival 2010

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    Question n°2: Trouvez les titres des 5 films américains dont les photos ci-dessous sont extraites (des films que j’apprécie donc il est possible qu’il en soit question sur le blog)

    Photo n°1:

    « Bienvenue à Gattaca » d’Andrew Niccol

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    Photo n°2:
    Réponse 2 : « Eve » de Joseph L. Mankiewicz

    Question n°3: Trouvez les titres des 5 films suivants ET leur point commun grâce aux indices (c’est très facile si vous trouvez le point commun).

    Le point commun à trouver était Emmanuelle Béart, présidente du jury longs-métrages du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2010 qui a tourné dans tous ces films.

    Film n°1. Indices: Ravel-Daniel-Claude  "Un coeur en hiver" de Claude Sautet

    Film n°2. Indices : Pagnol-Claude pas Richard- la deuxième partie "Manon des Sources" de Claude Berri

    Film n°3. Indices : Encore un Claude (comme le premier) et un titre avec un prénom en guise de nom "Nelly et Monsieur Arnaud" de Claude Sautet

    Film n°4. Indices Régis-Nationalité "Une femme française" de Régis Wargnier

    Film n°5 Indice  Bois-pâtisserie "La Bûche" de Danièle Thompson

     Question n°4: En quelle année ai-je fait partie d’un jury de cinéphiles dans le cadre du Festival du Cinéma Américain de Deauville?

    En 2000 j'ai fait partie du jury CinéLive du Festival du Cinéma Américain de Deauville.

    Question n°5: En quelle année a eu lieu le 35ème anniversaire du Festival ?

    Le festival fêtera cette année sa 36ème édition. Le 35ème anniversaire a donc eu lieu l'an passé, en 2009.

    Question n°6: Citez une des nouveautés dans l'organisation du Festival 2010.

    Les nouveautés sont assez nombreuses cette année. Parmi celles-ci, l'instauration de la section "Deauville saison 1" consacrée au série ou encore un changement de planning puisque la compétition commencera un jour plus tôt.

     

    Question n°7: Ci-dessous une affiche du Festival du Cinéma Américain de Deauville a été découpée. De quelle édition s’agit-il ?

    Il s'agissait de l'affiche de 1982.

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    Question n°8 (facultative): Afin de départager les gagnants en cas d’égalités, dîtes-moi en 500 caractères maximum pourquoi vous souhaitez assister au Festival et/ou ce que représente le Festival du Cinéma Américain de Deauville pour vous.

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