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  • Conférence de presse du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2013

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    C'est le 19 juillet prochain qu'aura lieu la conférence de presse du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2013.

    Vous pourrez alors retrouver le programme détaillé ici et sur mes sites http://inthemoodforfilmfestivals.com (sur lequel le Festival du Cinéma Américain de Deauville est à l'honneur dès à présent et http://inthemoodfordeauville.com  (entièrement consacré aux festivals de Deauville).

    En attendant, suivez le lien suivant pour retrouver tous mes articles consacrés à ce 39ème Festival du Cinéma Américain de Deauville: http://inthemoodforfilmfestivals.com/category/festival-du-cinema-americain-de-deauville/ .

    Pour vous plonger dans l'ambiance dès à présent, vous pouvez aussi lire mon roman "Les Orgueilleux" qui se déroule dans le cadre du festival, et si vous le lisez cet été, vous pourrez même gagner une liseuse électronique. Toutes les infos, ici: http://inthemoodforfilmfestivals.com/concours-decouvrez-mon-roman-ebook-les-orgueilleux-editeur-numeriklivres-et-gagnez-une-liseuse/

     

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  • Critique de BOXES de Jane Birkin - Festival Paris Cinéma 2013 (20H20, Cinéma Grand Action)

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    Deux films à ne pas manquer aujourd'hui au Festival Paris Cinéma : "Grand Central" de Rebecca Zlotowski dont vous pouvez retrouver ma critique en cliquant ici et "Boxes" de Jane Birkin que j'avais découvert en avant-première lors du Festival de Cannes 2007 dans le cadre duquel ce film avait été projeté. La critique ci-dessous est celle que j'avais alors publiée. Le film de Jane Birkin est projeté, ce soir, à 20H20, au Cinéma Grand Action. Retrouvez également cet article sur mon site http://inthemoodlemag.com.

    Dinard. Octobre 1999. Suite à un concours d'écriture, j’avais la chance d’être sélectionnée pour intégrer le jury de professionnels (ce que je n’étais pas:-), alors simple étudiante en droit, déjà follement passionnée de cinéma) du Festival du Film Britannique de Dinard dont la présidente était Mme Jane Birkin qui (avec quelques autres membres du jury comme Daniel Prévost ou Etienne Daho m'avaient accueillie avec une gentillesse rare alors que j'étais à l'époque si intimidée). J’appréhendais cette rencontre : il est parfois difficile de se confronter à la réalité et de rencontrer ceux qu’on admire. A tort cette fois…parce que la réalité était exactement conforme à l’image, plus belle peut-être. Celle d’une femme bouleversante de gentillesse, de simplicité, d’humanité, de sensibilité, de talent rares, magnifiquement fantasque. Bouleversante et fantasque à l’image de  ces « Boxes ». Octobre 1999, je me souviens d’un soir, dans les brumes oniriques du Festival de Dinard, d’une conversation étrange, de l’évocation passionnée d’un projet, tellement personnelle que je m’en voulais presque d’être là, de ne pas savoir trouver les mots, de ne pas savoir ou oser les dire et les questionner.

     Cannes. Mai 2007. Cette conversation magique et étrange qu’elle a certainement oubliée me revient. « Boxes ». Jane Birkin se bat depuis 10 ans pour que ces boîtes prennent vie, « Boxes » était le projet qu’elle évoquait avec tant de passion, de fougue, d’exaltation mystérieuse et presque mystique ce jour-là.  Cannes, Mai 2007, c’est dans la salle du 60ème  qu’a lieu cet hommage à Jane Birkin avec la projection de « Boxes » en avant-première. Thierry Frémaux remercie Maria de Medeiros (une autre personne bouleversante de gentillesse et de simplicité…et de talent, mais là c’est encore une autre histoire que je vous conterai peut-être un jour), membre du jury, de sa présence puis il annonce l’arrivée de l’équipe du film. Puis, Jane Birkin, fébrile, présente ce projet qui lui tient tant à cœur, qu’elle a eu tant de mal à monter. Dix ans donc, dix longues années… La lumière s’éteint. Je retiens mon souffle. J’espère que la salle du 60ème, toute entière, en fait de même. Voilà « Boxes »…

    « Un bord de mer en Bretagne : Anna (Jane Birkin), cinquante ans, anglaise, emménage dans sa nouvelle maison. Les pièces sont envahies de « boxes », les cartons de déménagement qui renferment mille objets…Mille souvenirs, surtout. Anna a vécu beaucoup de vies et son passé surgit des boîtes. Lorsqu’elle les ouvre apparaissent ceux qui ont compté dans sa vie. Ses parents, mais aussi ses enfants, et leurs pères, les morts et les vivants."

     Jane Birkin ne ressemble à personne. Ce film ne ressemble à aucun autre, même s’il porte des influences bien sûr. On songe à Ruiz ou Bergman. Et quelles références. Générique de fin. Quelques timides applaudissements. Quand la lumière reviendra, aveuglante, dérangeante, je suis certaine que la salle se lèvera, se lèvera pour manifester son enthousiasme débordant pour ce film empreint de la personnalité atypique de sa réalisatrice. La lumière revient. Les applaudissements, reprennent, si timides, trop. Trop pour un projet porté depuis 10 ans. Trop pour un film suintant de la grâce de l’existence. Trop timides pour ce film lumineux et sombre, cru(el) et poétique, grave et drôle, loufoque et réaliste à l’image encore de sa réalisatrice (et de la vie) qui filme les êtres qui ont jalonné son existence avec tendresse, tellement, qui se filme sans concession, sans fards, et qui n’en apparaît que plus impériale.

    Chaque personnage est traité avec autant d’intérêt, que ce soit l’impertinence joyeuse de sa mère (Géraldine Chaplin) ou de son père (Michel Piccoli) ou la dérision, et la gravité parfois, mélancoliques d’une de ses filles (interprétée par Lou Doillon dont on se demande ici pourquoi elle ne tourne pas davantage, aussi chanteuse à la voix envoûtante) et par le personnage d’Annie Girardot dont chaque apparition nous fait retrouver la magnifique comédienne, tragiquement drôle. Après sa magie: le miracle du cinéma.

     L’émotion est d’autant plus grande car, même s’il s’agit d’une fiction, il n’est pas difficile de reconnaître les personnes qui ont partagé la vie de la réalisatrice, Maurice Bénichou filmé avec une infinie tendresse ressemble à s’y méprendre à Serge Gainsbourg.

    Ce film ne se contente pas d’être une galerie de portraits, de fantômes du passé de la vie de cette femme à un tournant de sa vie, il reflète un vrai point de vue sur le monde, un vrai regard de cinéaste, l’acuité d’un regard tendre, ironique, qui évoque avec pudeur des moments ou des sujets impudiques. Un regard qui oriente magnifiquement ses acteurs, tous y paraissant plus que jamais éclatants de talent (à commencer par Jane Birkin-actrice), incarnant des personnages brillamment dessinés, interprétés, tous attachants par leurs fêlures davantage encore que par leurs forces.

     

     Ce film ne nous laisse pas le temps de respirer, il nous étreint, nous enlace, nous saisit avec nos peurs, nos regrets, nos espoirs, nos bonheurs et ne nous lâche plus. Les fantômes du passé ressurgissent dans une cavalcade étourdissante filmée avec brio et inventivité avant de s’éclipser pour laisser place à l’avenir. Un nouvel amour. Même si tout le film est empreint de celui qu’elle porte à tous les personnages qui le traversent, l’occupent et l’habitent d’ailleurs plutôt qu’ils ne le traversent. Passé et présent, morts et vivants,  cruauté et tendresse se croisent habilement grâce à une mise en scène particulièrement inspirée. De ces boxes c’est la vie qui surgit, avec ses souvenirs parfois encombrants.

     

     Cannes 2007, minuit et quelques. Les spectateurs, déjà bruyants, déjà là et ailleurs, quittent la salle du 60ème. L’équipe du film se laisse photographier, agripper, ausculter sans ménagement. Je me contente de regarder, de loin, gênée, gênée  par les flashs des appareils qui crépitent, gênée parce que les spectateurs qui bousculent pour approcher l’équipe sont déjà dans l’instant et dans l’après, loin de ce film qui me porte et m’émeut encore, gênée parce que la magie (ou le miracle, si vous voulez) pour eux, s’est déjà éclipsée, n’a peut-être même jamais été, gênée parce que la vie, la vie à travers le prisme d’un appareil, déformée, peut-être moins réelle alors que celle qui était sur l’écran, reprend déjà et trop vite son cours. Je m’éloigne encore un peu. Du haut de la salle du 6Oème, sur le toit du Riviera, je regarde la Croisette scintiller de mille feux, presque irréelle. Les faisceaux lumineux autour du palais des festivals éclairent les mouettes qui le survolent dans leur ballet magique et surréaliste. Les flashs continuent à crépiter, impitoyables, aveuglants, surtout aveugles, presque indécents. Pour eux, les Boxes sont tellement rangées. Pour moi, elles sont encore tellement présentes. Jane, j’aurais aimé vous dire à quel point votre film m’a émue, mais je vous ai laissée dans ce tourbillon imperturbable et presque impudique  de flashs, et je suis repartie en regardant les mouettes et leur ballet poétique pour rester dans le film, le vôtre et un autre, celui de ce Cannes 2007, une autre irréalité dont je ne voudrais pas m’évader de cette évasion cinématographique. Merci Jane, ce que je n'ai pu ni oser vous dire, l'espace de ces quelques jours où j'ai eu la chance de vous croiser, de débattre cinéma avec vous. Merci.

     

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  • FESTIVAL PARIS CINEMA 2013 - ELLE S'EN VA d'Emmanuelle Bercot, ce dimanche, à 21H, au MK2 Bibliothèque

    Demain soir, à 21H, au MK2 Bibliothèque, dans le cadre du Festival Paris Cinéma 2013, ne manquez pas "Elle s'en va" d'Emmanuelle Bercot, un des grands films de cette année dont vous pouvez retrouver ma critique, ci-dessous.

    Un film avec Catherine Deneuve est en soi déjà toujours une belle promesse, une promesse d’autant plus alléchante quand le film est réalisé par Emmanuelle Bercot dont j’avais découvert le cinéma avec « Clément », présenté à Cannes en 2001, dans le cadre de la Section Un Certain Regard, alors récompensé du Prix de la jeunesse dont je faisais justement partie cette année-là, l’histoire poignante et  délicate (et délicatement traitée) de l’amour d’un adolescent pour une femme d’âge plus mûr (d’ailleurs interprétée avec beaucoup de justesse par Emmanuelle Bercot). Une histoire intense dont chaque plan témoignait, transpirait de la ferveur amoureuse qui unissait les deux protagonistes. Puis, il y a eu « Backstage », et l’excellent scénario de « Polisse » dont elle était coscénariste.

    L’idée du road movie avec Catherine Deneuve m’a tout d’abord fait penser au magistral « Je veux voir » de Joana Hadjithomas et Khalil Joreige dans lequel le dernier regard de Catherine Deneuve à la fois décontenancé et ébloui puis passionné, troublé, troublant est un des plus beaux plans qu’il me soit arrivé de voir au cinéma contenant une multitude de possibles et toute la richesse de jeu de l’actrice.  « Elle s’en va » est un road movie centré certes aussi sur Catherine Deneuve mais très différent et né du désir « viscéral » d’Emmanuelle Bercot de la filmer (elle n’est sans doute pas la seule mais nous comprenons rapidement pourquoi l’actrice a accepté ici) comme l’a précisé la réalisatrice avant la projection.

    L’actrice incarne ici Bettie (et non Betty comme celle de Chabrol), restauratrice à Concarneau, veuve (je vous laisse découvrir comment…), vivant avec sa mère (Claude Gensac !) qui la traite encore comme une adolescente. L’amant de Bettie vient de  quitter sa femme… pour une autre qu’elle. Sa mère envahissante, son chagrin d’amour, son restaurant au bord de la faillite vont la faire quitter son restaurant, en plein service du midi, pour aller « faire un tour » en voiture, puis pour acheter des cigarettes. Le tour du pâté de maisons se transforme bientôt en échappée belle. Elle va alors partir sur les routes de France, et rencontrer toute une galerie de personnages dans une France qui pourrait être celle des « sous-préfectures » du « Journal de France » de Depardon. Et surtout, son voyage va la mener sur une voie inattendue…et nous aussi tant ce film est une surprise constante.

    Après un premier plan sur Catherine Deneuve, au bord de la mer, éblouissante dans la lumière du soleil, et dont on se demande si elle va se « jeter à l’eau » (oui, d’ailleurs, d’une certaine manière), se succèdent  des plans montrant des commerces fermées et des rues vides d’une ville de province, un chien à la fenêtre, une poésie décalée du quotidien aux accents de Depardon. Puis Bettie apparaît dans son restaurant. Elle s’affaire, tourbillonne, la caméra ne la lâche pas…comme sa mère, sans cesse après elle. Bettie va ensuite quitter le restaurant pour ne plus y revenir. Sa mère va la lâcher, la caméra aussi, de temps en temps : Emmanuelle Bercot la filme sous tous les angles et dans tous les sens ( sa nuque, sa chevelure lumineuse, même ses pieds, en plongée, en contre-plongée, de dos, de face, et même à l’envers) mais alterne aussi avec des plans plus larges qui la placent dans des situations inattendues dans de « drôle[s] d’endroit[s] pour une rencontre », y compris une aire d’autoroute comme dans le film éponyme.

    Si l’admiration de la réalisatrice pour l’actrice transpire dans chaque plan, en revanche « Elle s’en va » n’est pas un film nostalgique sur le « mythe » Deneuve mais au contraire ancré dans son âge, le présent, sa féminité, la réalité. Emmanuelle Bercot n’a pas signé un hommage empesé mais au contraire un hymne à l’actrice et à la vie. Avec son jogging rouge dans « Potiche », elle avait prouvé (à ceux qui en doutaient encore) qu’elle pouvait tout oser, et surtout jouer avec son image d’icône.  « Elle s’en va » comme aurait pu le faire craindre son titre (le titre anglais est « On my way ») ne signifie ainsi ni une révérence de l’actrice au cinéma (au contraire, ce film montre qu’elle a encore plein de choses à jouer et qu’elle peut encore nous surprendre) ni un film révérencieux, mais au contraire le film d’une femme libre sur une autre femme libre. Porter une perruque improbable, se montrer dure puis attendrissante et s’entendre dire qu’elle a dû être belle quand elle était jeune (dans une scène qui aurait pu être glauque et triste mais que la subtilité de l’écriture et de l’interprétation rendent attendrissante )…mais plus tard qu’elle sera « toujours belle même dans la tombe» : elle semble prendre un malin plaisir à jouer avec son image.

    Elle incarne ici un personnage qui est une fille avant d’être une mère et une grand-mère, et surtout une femme libre, une éternelle amoureuse.  Au cours de son périple, elle va notamment rencontrer un vieil agriculteur (scène absolument irrésistible tout comme sa rencontre d’une nuit -belle découverte que Paul Hamy-). Sa confrontation avec cette galerie de personnages incarnés par des non professionnels pourrait à chaque fois donner lieu à un court-métrage tant ce sont de savoureux moments de cinéma, mais une histoire et un portrait se construisent bel et bien au fil de la route. Le film va ensuite prendre une autre tournure lorsque son petit-fils l’accompagnera dans son périple. En découvrant la vie des autres, et en croyant fuir la sienne, elle va au contraire lui trouver un nouveau chemin, un nouveau sens, la libérer du poids du passé.

    Si le film est essentiellement interprété par des non professionnels (qui apportent là aussi un naturel et un décalage judicieux), nous croisons aussi Mylène Demongeot (trop rare), le peintre  Gérard Garouste et la chanteuse Camille (d’ailleurs l’interprète d’une chanson qui s’intitule « Elle s’en va » mais qui n’est pas présente dans le film) dans le rôle de la fille cyclothymique de Bettie  et enfin  Nemo Schiffman, irréprochable dans le rôle du petit-fils. Ajoutez à cela une remarquable BO et vous obtiendrez un des meilleurs films de l’année 2013.

    Présenté en compétition officielle de la Berlinale 2013 et en compétition du Champs-Elysées Film Festival 20013, « Elle s’en va » a permis à Catherine Deneuve de recevoir le prix coup de cœur du Festival de Cabourg 2013.

    « Elle s’en va » est d’abord un magnifique portrait de femme sublimant l’actrice qui l’incarne en la montrant paradoxalement plus naturelle que jamais, sans artifices, énergique et lumineuse, terriblement vivante surtout.  C’est aussi une bouffée d’air frais et d’optimisme qui montre que soixante ans ou plus peut être l’âge de tous les possibles, celui d’un nouveau départ. En plus d’être tendre (parfois caustique mais jamais cynique ou cruel grâce à la subtilité de l’écriture d’Emmanuelle Bercot et le jeu nuancé de Catherine Deneuve), drôle et émouvant, « Elle s’en va »  montre que, à tout âge, tout peut se (re)construire, y compris une famille et un nouvel amour.  « Elle s’en va » est de ces films dont vous ressortez émus et le sourire aux lèvres avec l’envie d’embrasser la vie. Un bonheur ! Et un bonheur rare. Le film sort en salles le 18 septembre. Ne le manquez pas.

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  • 39ème Festival du Cinéma Américain de Deauville:Soderbergh, Douglas, Damon, Lindon...de premières annonces prometteuses!

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    Comme chaque année, je vous ferai partager ici ma passion pour le Festival du Cinéma Américain de Deauville dont cette 39ème édition (la 20ème pour moi!)  s'annonce particulièrement exceptionnelle au regard des premières annonces la concernant:

    -C'est le comédien Vincent Lindon qui sera le Président du jury.

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    - "Ma vie avec Liberace" de Steven Soderbergh fera l'ouverture du festival,  vendredi 30 août 2013, en présence de ses interprètes exceptionnels, Michael Douglas et Matt Damon. Ayant eu le plaisir de découvrir ce film à Cannes (le grand oublié du palmarès), et même si je vous vous en reparlerai plus longuement, je vous le recommande d'ores et déjà, pour la réalisation inspirée de Soderbergh mais aussi et surtout pour les prestations exceptionnelles de Michael Douglas et Matt Damon.

    Synopsis:  Avant Elvis, Elton John et Madonna, il y a eu Liberace : pianiste virtuose, artiste exubérant, bête de scène et des plateaux télévisés. Liberace affectionnait la démesure et cultivait l'excès, sur scène et hors scène. Un jour de l'été 1977, le bel et jeune Scott Thorson pénétra dans sa loge et, malgré la différence d'âge et de milieu social, les deux hommes entamèrent une liaison secrète qui allait durer cinq ans. Ma Vie avec Liberace narre les coulisses de cette relation orageuse, de leur rencontre au Las Vegas Hilton à leur douloureuse rupture publique.

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    -Steven Soderbergh donnera une master class (qui s'annonce passionnante!) le samedi 31 août

    Je vous rappelle que le hashtag officiel du festival est #Deauville2013, le site officiel http://festival-deauville.com, la page Facebook officielle https://www.facebook.com/Festival.Cinema.Americain.Deauvi... et le compte twitter officiel @DeauvilleUS et @lpscinema

    Pour me suivre en direct du festival, comme chaque année, ce sera sur mes différents sites et blogs, et sur twitter (compte principal  @moodforcinema et compte dédié au Festival  @moodfdeauville ) ainsi que sur ma page Facebook consacrée à ce festival http://facebook.com/inthemoodfordeauville .

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    Je partage aussi ma passion pour ce festival dans un roman publié chez Numeriklivres "Les Orgueilleux" (disponible partout: Numeriklivres, Fnac.com, chapitre.com etc) et pour la sortie duquel je vous fais gagner une liseuse électronique, ici. Par ailleurs, un peu avant le festival, en août prochain, chez ce même éditeur sortira mon recueil de nouvelles romantiques et cruelles sur les festivals de cinéma intitulé "Ombres parallèles" dont plusieurs se déroulent dans le cadre de ce festival.

  • Festival de Cannes 2013 : en route pour mon 13ème Festival de Cannes. Comment me suivre en direct du 66ème Festival de Cannes ?

    Dans quelques heures, je sera à Cannes pour mon 13ème   Festival de Cannes déjà depuis ma participation au prix de la jeunesse qui m’avait permis d’y assister la première fois (un concours destiné aux jeunes européens, leur permettant d’être invités au Festival de Cannes), un 13ème festival, celui pour lequel ma présence fut la plus incertaine, pour des raisons totalement extérieures au cinéma mais la vie malheureusement ne ressemble pas toujours à un film, du moins pas à un film joyeux, même si j’ai souvent trop tendance à souhaiter le croire, des raisons qui font aussi que, cette année plus que jamais, je me laisserai guider par mes envies cinématographiques du jour, totalement libre de mes choix. Bien sûr, il y a les séances que j’attends avec beaucoup d’impatience : « The Immigrant » de James Gray, "A touch of sin" de Jia Zhang Ke, la projection de « Plein soleil » de René Clément, « La Vénus à la fourrure » de Roman Polanski, "La Grande Bellezza" de Paolo Sorrentino, "Jeune et jolie" de François Ozon…et puis, surtout, tous ces films que je n’attends pas par lesquels je me réjouis déjà de me laisser surprendre, souvent aussi dans les sections parallèles (même si je ne vous ai cité ici que la compétition officielle à l'exception de "Plein soleil" évidemment", dans la section Cannes Classics).

     Un bon festival c’est souvent comme un grand film, il vous laisse heureux et exténué, joyeusement nostalgique et doucement mélancolique, riche d’émotions et de réflexions, souvent contradictoires , et il faut souvent un peu de recul pour appréhender ces multiples réflexions et émotions qu’il a suscitées, pour découvrir quelles images auront résisté à l’écoulement du temps, aux caprices de la mémoire, à ce flux et flot d’informations ininterrompues, c’est aussi pourquoi je vous parlerai de certains films en direct de Cannes et de certains autres ensuite, même si Cannes est aussi une course à l’information à laquelle j'essaierai de ne pas céder.

     «Je ne me souviens plus du film, mais je me souviens des sentiments» dit Jean-Louis Trintignant en racontant une anecdote à son épouse dans le sublime film « Amour » de Michael Haneke. C’est aussi ce que j’espère à nouveau me dire de mon film du Festival de Cannes 2013, qu’il me fasse vivre des émotions cinématographiques exaltantes, qu’il m’emporte dans son tourbillon d’images, qu’il me laisse avec de beaux sentiments.

     13 ans et même si (ou même parce que) je connais les pièges et revers de ce théâtre des vanités, cette comédie humaine fascinante et terrifiante, la versatilité des personnalités et avis pour un sursaut de vanité, même si je sais que tant d’illusions s’y fracassent, que Cannes peut encenser, broyer, magnifier, dévaster et en a perdu certains et tant à force de les éblouir, les fasciner, les aliéner, oui, malgré tout cela, j’aime ce festival et tous les cinémas qu’il propose avec autant de folie douce que lors de mon premier Festival de Cannes.

     L’an passé, lors de la clôture Bérénice Béjo parlait d’une « bulle au milieu du monde dans laquelle on se réfugie, on se cache blottie contre un siège rouge dans le noir d’une grande salle », un abri salutaire que je suis impatiente de retrouver même si  cet abri nous confronte aussi paradoxalement à ce monde, ses doutes, ses désespoirs, une parenthèse enchantée qui met souvent en lumière les ombres d’un monde désenchanté, en tout cas l’an passé puisque les films projetés étaient surtout des films dans lesquels les sursauts de l’histoire (« Après la bataille ») mais surtout la crise étaient présents au premier plan ou en arrière-plan (« Killing them softly ») avec des personnages anesthésiés en quête d’une ivresse (« L’ivresse de l’argent »), de désirs (« Cosmopolis »), d’un rêve (« Reality ») ou parfois simplement d’un quotidien meilleur mais surtout d’amour(s). Un monde enragé « à en perdre la raison », avide d’amour(s), qui avait du mal à communiquer, symboliquement enfermé dans l’habitacle aseptisé et clinique d’une voiture (« Holy motors », « Cosmopolis »). Des œuvres pessimistes dont la mort était bien souvent la seule issue et paradoxale respiration. Des œuvres qui s’opposaient aussi dépeignant tantôt un monde sur papier glacé, glaçant, glacial, tantôt des êtres de chair et de sang, ou « de rouille et d’os ». Tantôt des œuvres formellement radicales et des œuvres plus classiques (« Sur la route », « Mud »…). Ou des œuvres qui montraient des mondes qui s’opposaient : deux Egypte dans « Après la bataille », « Trois mondes » dans le film éponyme de Catherine Corsini. Subtile alliance et confrontation de force et de fragilité, de glamour et de cinéma d’auteur que résumait si bien l’affiche de cette 65ème édition. Marilyn, les yeux baissés, comme une invitation douce et langoureuse au rêve. A la fois sophistiquée et simple. Fragile et complexe. Moderne et intemporelle. Elégante et à fleur de peau. Le symbole idéal pour le Festival de Cannes qui concilie si bien ces beaux paradoxes. Tout comme l’est l’affiche de cette année.

     Joanne Woodward et Paul Newman sont ainsi à l’honneur, sur l’affiche de cette 66ème édition, avec une photo, d’une beauté étourdissante, prise sur le tournage de « A New Kind of Love » de Melville Shavelson, et qui, cette fois nous invitent à un tourbillon de cinéma, à un désir infini de pellicule, le désir infini…comme celui (de cinéma) que suscite Cannes.  Une affiche qui donne l’illusion du mouvement, de la profondeur, du cinéma donc. Une affiche moderne et intemporelle, d’un noir et blanc joyeusement nostalgique, paradoxale à l’image de tous ces cinémas qui se côtoient à Cannes. Une affiche qui, une fois de plus, nous donne envie de ce tourbillon de (la) vie, d’envies, de cinéma, d’envies de cinéma, un vertig(o)e (presque hitchcockien) troublant et envoûtant qu’est le Festival de Cannes (le tout dans un tendre et parfait équilibre) et que sera indubitablement cette 66ème édition que je me réjouis de vous faire vivre  ici.

     L’an passé, le festival a primé un film sur l’Amour absolu, un cri d’amour ultime et désespéré qui montre ce qui est « caché » avec une infinie pudeur et délicatesse alors que tant, à Cannes, s’enivrent de rencontres et plaisirs éphémères.  Un film tragique, bouleversant, universel qui nous ravage, un film lucide, d’une justesse et d’une simplicité remarquables, tout en retenue. Un film éprouvant et sublime, d’une beauté tragique et ravageuse que vous hante et vous habite longtemps après la projection, après ce dernier plan d’une femme seule dans un appartement douloureusement vide.

     

    Je me souviens aussi du vertige sensoriel devant le film d’Alain Resnais « Vous n’avez encore rien vu » dont je ne peux m’empêcher de vous parler  à nouveau, un film qui avait suscité ce qui arrive parfois au théâtre, cette émotion presque irrationnelle, lorsqu’il y a ce supplément d’âme, de magie, lorsque ce pouvoir des mots vous embarque ailleurs, vous hypnotise, vous fait oublier la réalité, tout en vous ancrant plus que jamais dans la réalité, vous faisant ressentir les palpitations de la vie. Chaque phrase prononcée, d’une manière presque onirique, magique, est d’une intensité sidérante de beauté et de force et exalte la force de l’amour. Mais surtout Alain Resnais nous livre  un film inventif et ludique. Il joue avec. C’est une des plus belles déclarations d’amour au théâtre et aux acteurs qui soit. Ce film est d’ailleurs au-delà des mots auquel il rend pourtant un si bel hommage.

     Mais revenons à cette 66ème édition qui nous réservera sans aucun doute d'aussi belles surprises. Cannes  est aussi la vie en concentré. Plus belle et plus violente. Plus déconcertante et exaltante. Plus dérisoire et urgente. Comme sur l’écran, tout y est plus triste, plus tragique, plus intense, tellement excessif. Chacun se pare d’un masque, souvent de vanité, parfois d’hypocrisie, me faisant songer à cette citation de Molière tellement à propos à Cannes « L’hypocrisie est un vice à la mode et tous les vices à la mode passent pour vertu ».

     Cannes, « c’est une joie et une souffrance » , pourrais-je dire en paraphrasant Truffaut. La joie de vivre au rythme de sa passion. La souffrance de voir des passions moins nobles l’emporter. La joie de faire taire la réalité. La joie de voir la vie ressembler à du cinéma. La joie d’être immergée dans un monde de cinéma et de se plonger dans des regards et des univers de cinéastes captivants, dérangeants, en tout cas éminemment talentueux. La joie de partager sa passion, de passer ses journées au rythme du cinéma. Oui, vous voyez, la joie l’emporte forcément et largement.

     Une certitude subsiste : que j’aime ce Festival de Cannes et le cinéma à la folie (j’y consacre d’ailleurs quelques unes des nouvelles de mon recueil de nouvelles romantiques et cruelles sur les festivals de cinéma « Ombres parallèles » qui sortira en août prochain), toujours et encore et malgré tout, ce vertige émotionnel et cinématographique qui vous enivre, beaucoup moins ceux qui piétinent les autres et leur orgueil pas même pour un quart d’heure cher à Warhol.

     Qu'importe...Dans quelques heures, je serai à Cannes pour la treizième fois, revenant à mes premières amours, à cette émotion qui ne manque pas de m’étreindre quand je pénètre chaque année pour la première fois dans le Grand Théâtre Lumière, comme une douce et violente réminiscence de ma première émotion cannoise, 13 ans après.

     

    POUR ME SUIVRE EN DIRECT DU 66ème FESTIVAL DE CANNES :

     

    -       Sur http://intemoodforfilmfestivals.com, mon nouveau blog sur lequel vous trouverez d’ores et déjà de nombreuses informations sur le festival, de nombreuses critiques des précédents films des cinéastes en compétition, et des articles quotidiens en direct jusqu’à la clôture, des conférences de presse, des critiques, et de nombreuses informations pratiques.

    - Pour les archives, rendez-vous sur mon ancien blog cannois http://inthemoodforcannes.com sur lequel je publierai les articles en parallèle.

     

    -Sur twitter, sur mon compte dédié au Festival de Cannes @moodforcannes (http://twitter.com/moodforcannes ) et sur mon compte principal @moodforcinema (http://twitter.com/moodforcinema )

     -Sur Facebook (sur ma page principale http://facebook.com/inthemoodforcinema et sur la nouvelle consacrée aux festivals de cinéma http://facebook.com/inthemoodforfilmfestivals .

    -J'aurai également le plaisir d'être partenaire de l'émission cannoise de France Culture "Un autre jour est possible" à retrouver ici.

    ROMAN ET CONCOURS

    Je vous rappelle également que je vous fais gagner une liseuse avec mon roman "Les Orgueilleux" sorti il y a quelques jours. Cliquez ici pour connaître le règlement du concours et pour tout savoir sur le roman, vous retrouverez également mon interview à propos de celui-ci. ici..., un roman qui se déroule d'ailleurs entièrement dans un festival de cinéma et à propos duquel vos avis sont les bienvenus et d'ailleurs récompensés par mon éditeur comme vous le lirez dans l'article précité!

     

    Enfin, si vous avez décidément l'âme joueuse, cliquez sur l'image ci-dessous pour vous rendre sur la page du concours "Trophées influenceurs" puis cliquez sur "Voter pour Sandra Mézière et tenter de remporter un ipad Mini" pour...tenter de remporter un ipad mini!

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    A très bientôt "in the mood for Cannes"!

     

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  • Toute l'actualité du Festival de Cannes 2013 en direct et en amont sur http://inthemoodforfilmfestivals.com

    cinéma,cannes,festival,film

    Il va falloir changer vos habitudes pour cette 66ème édition qui représente aussi mon 13ème Festival de Cannes (déjà...j'ai du mal à le croire). Cette année pour connaître toute l'actualité du Festival de Cannes, c'est sur http://inthemoodforfilmfestivals.com qu'il faudra vous rendre. Même si je reprendrai quelques articles ici et sur http://inthemoodforcannes.com , c'est néanmoins inthemoodforfilmfestivals.com qui y est désormais entièrement consacré. Cliquez sur l'image ci-dessus pour y accéder directement. Vous y retrouverez mon compte-rendu de la conférence de presse d'annonce de sélection de ce Festival de Cannes 2013, les compléments de programmation, la composition du jury, de nombreuses critiques de films de cinéastes en compétition officielle cette année mais aussi de nombreux bons plans sur le festival et, évidemment, mes critiques et articles en direct de Cannes très prochainement.

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  • Le Festival de Cannes 2013 en direct ( 66ème Festival de Cannes) sur mes blogs

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    Pour ce qui sera mon 13ème Festival de Cannes depuis ma sélection au prix de la jeunesse (concours sur critiques de films, lettres de motivation et CV organisé par le Ministère de la jeunesse et des sports permettant à de jeunes cinéphiles d'être invités et accrédités au Festival de Cannes) , en 2001, j'aspire plus que jamais, pour cette 66ème édition, à vous fournir un contenu de qualité ET le plus exhaustif possible afin de vous faire partager au mieux ma passion pour ce Festival de Cannes qui a tant exacerbé et, je le crains, rendue incurable mon autre passion, déjà vivace, pour le cinéma.

    Accréditée professionnelle depuis 13 ans et presse depuis plusieurs années (comme cette année), mes blogs cinéma ont aussi été les premiers à être accrédités presse à ce titre, il y a plusieurs années déjà. Ce blog a par ailleurs reçu le prix du meilleur blog du Festival de Cannes attribué par L'Oréal en 2008 et le prix Off Cannes du meilleur blog du Festival de Cannes en 2010.

    Comme chaque année, vous pourrez donc retrouvez ici toute l'actualité du festival, en amont, en direct et même après le Festival de Cannes. Cette année, par ailleurs, en plus de ce blog et de mon blog habituel consacré au Festival de Cannes (http://inthemoodforcannes.com ), dès à présent, mon site Inthemoodforfilmfestivals.com a été entièrement remodelé pour être consacré au Festival de Cannes 2013 afin de mieux mettre en valeur l'actualité du Festival de Cannes: interviews, critiques de films, programme détaillé, nombreux bons plans, archives etc. Vous y trouverez déjà de nombreux articles sur ce Festival de Cannes 2013.

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    Bien entendu, je vous engage à suivre mon compte twitter dédié au Festival de Cannes http://twitter.com/moodforcannes (@moodforcannes) ainsi que mon compte twitter principal http://twitter.com/moodforcinema  (@moodforcinema ) pour toutes les informations ainsi que la page Facebook d'Inthemoodforcinema http://facebook.com/inthemoodforcinema et la toute nouvelle page Facebook d'Inthemoodforfilmfestivals, entièrement consacrée au Festival de Cannes à partir d'aujourd'hui (http://facebook.com/inthemoodforfilmfestivals ) .

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    Afin de vous fournir le meilleur contenu possible sur ce Festival de Cannes 2013, je recherche également des partenariats pour ce Festival de Cannes   que, comme chaque année, je couvrirai de l'ouverture à la clôture. Sites web ou autres médias souhaitant une couverture en direct du Festival? Hôtels, marques etc, un partenariat vous intéresse pour ce site et éventuellement un ou plusieurs de mes 6 autres que sont http://inthemoodlemag.com , http://inthemoodforfilmfestivals.com , http://www.inthemoodforcinema.com , http://www.inthemoodfordeauville.com , http://www.inthemoodforluxe.com, http://inthemoodforhotelsdeluxe.com? Alors, que vous soyez intéressés par des articles en direct du festival ou par un simple partenariat publicitaire, vous pouvez me contacter à inthemoodforcinema@gmail.com et si vous voulez en savoir plus sur mon parcours en rapport avec ce festival en particulier et les festivals de cinéma en général, cliquez sur le lien suivant: http://inthemoodforfilmfestivals.com/about/  .

    J'en profite enfin pour vous dire que, quelques jours avant le Festival de Cannes, les Editions Numériklivres publieront mon roman "Les Orgueilleux" qui, justement, se déroule dans le cadre d'un Festival de cinéma. si cela vous intéresse, recevez les premières informations sur ce projet en suivant son compte twitter (@LesOrgueilleux ) et sa page Facebook : http://facebook.com/LesOrgueilleux  .

    En attendant l’édition 2013 du Festival de Cannes, retrouvez également mon bilan de l’édition 2012, en cliquant ici.

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