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  • Les 20 films de la décennie 2000-2009

    Puisque nous sommes dans les questionnaires et les listes en ce moment (cliquez ici pour lire mes réponses au "questionnaire Libé pour Soderbergh"), je réponds à la question qu'on m'a envoyée récemment via Facebook sur la liste de mes 20 films de la décennie.

    Je suis certaine qu'une fois cette liste fois publiée, je vais en trouver plein d'autres mais en tout cas, ce sont les 20 qui me sont venus immédiatement à l'esprit (même si ma liste initiale était de 22, j'ai donc dû enlever "Les Infiltrés" de Scorsese et "Munich" de Spielberg.)

    Comme je sais que certain(e)s n'aiment pas trop être "linké(e)s", je ne nomme personne mais si d'autres ont envie de s'y atteler dans les commentaires ou sur leurs blogs j'irai lire leurs réponses avec plaisir...

    S'il  fallait en retenir un seul:

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    Mes 20 films de la décennie 2000-2009 (sans ordre particulier):

    « Le Goût des Autres » d’Agnès Jaoui

    « L’assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford » d’Andrew Dominik

    « Match point » de Woody Allen

    « Les Noces Rebelles » de Sam Mendès

    “In the mood for love” de Wong Kar Wai

    “Elephant” de Gus Van Sant

    « Le Fabuleux destin d’Amélie Poulain » de Jean-Pierre Jeunet

    « Valse avec Bachir” d’Ari Folman

    « Two lovers » de  James Gray

    « Inglourious Basterds » de Quentin Tarantino

    « Sur mes lèvres » de Jacques Audiard

    « Le Pianiste » de Roman Polanski

    « Lost in translation » de Sofia Coppola

    “La Vie des autres” de Florian Henckel von Donnersmarck

    “Les Etreintes brisées ” de Pedro Almodovar

    « Printemps, été, automne, hiver et printemps » de Kim Ki Duk

     « Good bye Lenin » de Wolfgang Becker

    « Memento » de Christopher Nolan

    « Babel » d’Alejandro Gonzales Inarritu

    « L’Enfant » de Jean-Pierre et Luc Dardenne

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  • Les films à voir cette semaine du 11 novembre

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    4 films recommandés par inthemoodforcinema.com cette semaine, d'abord "A l'origine" par le réalisateur de "Quand j'étais chanteur"  Xavier Giannoli dans lequel François Cluzet excelle à nouveau (le seul défaut du film vu à Cannes était sa longueur excessive, le montage a été entièrement revu et corrigé depuis, j'espère donc avoir le temps d'aller voir cette nouvelle version pour vous en parler).
    Ensuite, je vous recommande "Les vies privées de Pippa Lee" de Rebecca Miller pour l'incroyable prestation de Robin Wright Penn (à qui le 35ème Festival du Cinéma Américain de Deauville a rendu hommage) qui, dans ce film plus que tout autre révèle quelle actrice incroyable et sans artifices elle est, à voir, ne serait-ce que pour elle.
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    Photos ci-dessus et ci-dessous: Robin Wright Penn et Rebecca Miller lors de la conférence de presse au Festival du Cinéma Américain de Deauville, lors de l'hommage à Robin Wright Penn et lors de l'avant-première du film à Deauville (photo : inthemoodforcinema.com )
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    Ensuite, ne manquez pas "L'Imaginarium du Docteur Parnassus", la bouillonnante dernière folie de Terry Gilliam.

    Cliquez ici pour lire ma critique de "L'Imaginarium du Docteur Parnassus" de Terry Gilliam

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    Ci-dessus, Terry Gilliam lors de sa master class, photo inthemoodforcinema.com

    Cliquez ici pour voir mes vidéos de la master class de Terry Gilliam

    Enfin et surtout ne manquez sous aucun prétexte "L'Enfer" d'Henri-Georges Clouzot, véritable chef d'oeuvre inachevé, une oeuvre d'art avant-gardiste et unique que l'on redécouvre des années après son tumultueux tournage.

    Cliquez ici pour lire ma critique de "L'Enfer" d'Henri Georges Clouzot.

  • « Mademoiselle Chambon » de Stéphane Brizé avec Sandrine Kiberlain, Vincent Lindon, Aure Atika…

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    Cela pourrait se résumer en une phrase : Jean (Vincent Lindon), maçon, bon mari et père de famille, croise la route de la maîtresse d'école de son fils, Mademoiselle Chambon (Sandrine Kiberlain) ;  leurs sentiments réciproques vont s'imposer à eux. Enfin non, justement, cela ne se résume pas en une phrase parce que tout ce qui importe ici réside ailleurs que dans les mots, même si ce film est inspiré de ceux du roman d'Eric Holder.

    Les mots sont impuissants à exprimer cette indicible évidence. Celle d'un regard qui affronte, esquive, tremble, vacille imperceptiblement. Celle d'une lèvre dont un rictus trahit un trouble ou une blessure. Celle d'une rencontre improbable mais impérieuse. Entre un homme qui ne sait pas manier les mots (la preuve, c'est son fils qui lui apprend ce qu'est le complément d'objet direct) et vit du travail de ses mains et une femme dont c'est le métier que de manier les mots, les apprendre. Lui construit des maisons, elle déménage sans cesse. Lui est ancré dans la terre, elle est évanescente. Il a un prénom, elle est avant tout mademoiselle. Lui a un lien douloureux et charnel avec son père, ses parents à elle ne lui parlent que par téléphone interposé et pour lui faire l'éloge de sa sœur. Et pourtant, et justement : l'évidence.  La musique va alors devenir le langage qui va cristalliser leurs émotions, et les sanglots longs des violons (pas de l'automne, comme ceux de Verlaine, mais ici du printemps, avec une langueur plus mélancolique que monotone) exprimer la violence de leurs irrépressibles sentiments.

    Comme dans le magnifique « Je ne suis pas là pour être aimé »,  on retrouve cette tendre cruauté et cette description de la province, glaciale et intemporelle. Ces douloureux silences. Cette sensualité dans les gestes chorégraphiés, déterminés et maladroits. Cette révolte contre la lancinance de l'existence. Et ce choix face au destin. Cruel. Courageux ou lâche. (Magnifique scène de la gare dont la tension exprime le combat entre ces deux notions, la vérité étant finalement, sans doute, au-delà, et par un astucieux montage, Stéphane Brizé en exprime toute l'ambivalence, sans jamais juger ses personnages...). On retrouve aussi cet humour caustique et cette mélancolie grave, notamment dans la scène des pompes funèbres qui résume toute la tendresse et la douleur sourdes d'une existence et qui fait écho à celle de la maison de retraite dans « Je ne suis pas là pour être aimé. »

     Mais ce film ne serait pas ce petit bijou de délicatesse sans l'incroyable présence de ses acteurs principaux, Vincent Lindon (récemment déjà magistral dans "Welcome" et "Pour elle") d'abord, encore une fois phénoménal, aussi crédible en maçon ici qu'en avocat ailleurs. Son mélange de force et de fragilité, de certitudes et de fêlures, sa façon maladroite et presque animale de marcher, de manier les mots, avec parcimonie, sa manière gauche de tourner les pages ou la manière dont son dos même se courbe et s'impose, dont son regard évite ou affronte : tout en lui nous faisant oublier l'acteur pour nous mettre face à l'évidence de ce personnage.  Et puis Sandrine Kiberlain, rayonnante, lumineuse, mais blessée qui parvient à faire passer l'émotion sans jamais la forcer. Aure Atika, qui interprète ici l'épouse de Vincent Lindon, est, quant à elle, absolument méconnaissable, et d'une sobriété remarquable et étonnante. Sans doute faut-il aussi une direction d'acteurs d'une précision, d'une sensibilité rares pour arriver à une telle impression d'évidence et de perfection ( la preuve, les seconds rôles sont d'ailleurs tout aussi parfaits).

    Une histoire simple sur des gens simples que Stéphane Brizé (avec la complicité de Florence Vignon, déjà co-scénariste du très beau « Le bleu des villes ») compose avec dignité  dans un film épuré, sensible qui fait de ses personnages des héros du quotidien emprisonnés dans un fier et douloureux silence (résumé par le dernier plan d'une belle luminosité derrière les barreaux d'une fenêtre ). Un film qui, encore une fois, rappelle le cinéma de Claude Sautet (notamment par l'utilisation du violon et de la musique comme éléments cristallisateurs qui rappellent « Un cœur en hiver » mais aussi par la sublimation d'une « histoire simple ») qui, tout en « faisant aimer la vie » et la poésie des silences, en souligne toute la quotidienne et silencieuse beauté, cruelle et dévastatrice.

     Un film, vous l'aurez compris, vivement recommandé par Inthemoodforcinema.com .

  • Les films à ne pas manquer: critiques

    Comme vous l'aurez remarqué, il n'y a pas eu de critiques de films récents depuis une semaine sur "In the mood for cinema" , pour cause de festivals (Deauville et Monaco) et il n'y en aura pas avant lundi de la semaine prochaine puisque je serai à Monaco du 18 au 22 mars. Vous pourrez donc  dès demain soir, retrouver mes articles en direct de la Principauté.

    Vous pourrez néanmoins lire des critiques de films en avant-première puisque j'y verrai "Chéri" de Stephen Frears, "Je l'aimais" de Zabou Breitman et "Frost/Nixon" de Ron Howard. Vous pourrez également me lire, en début de semaine prochaine, sur Commeaucinema.com qui, avec Rumeur Publique, a choisi ce blog et me permet ainsi de partir à Monaco.

    Vendredi de la semaine prochaine, retrouvez également la critique en avant-première de "OSS 117: Rio ne répond plus" de Michel Hazanavicius.

    En attendant de nouvelles critiques de films actuellement à l'affiche (et notamment "Welcome" de Philippe Lioret que je n'ai pas encore vu et que j'irai voir dès mon retour, ainsi que "Séraphine" de Martin Provost que j'avoue honteusement n'avoir toujours pas vu), je vous propose donc, ci-dessous, quelques critiques de films encore à l'affiche que je vous recommande.

    Et si aucun de ces films ne vous tente, vous pouvez toujours revoir des classiques du cinéma dont vous pourrez trouver de nombreuses critiques dans la rubrique "Gros plan sur des classiques du septième art".

    Je vous recommande également le film -évènement  de John Woo "Les trois royaumes", dont vous pouvez  également lire la critique en avant-première sur "In the mood for cinema".

    Rendez-vous demain "in the mood for Monaco"!

    CLIQUEZ SUR LES TITRES DES FILMS, CI-DESSOUS, POUR LIRE MES CRITIQUES DE CEUX-CI:

    "Les Trois Royaumes" de John Woo (Sortie en salles: le 25 mars prochain)

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    "Les Noces Rebelles" de Sam Mendes

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  • "In the mood for news" 23: les sorties cinéma de la semaine du 26 Avril

    1914391729.jpgEn attendant le retour des critiques de films sur "In the mood for cinema", dès demain, voici les films à l'affiche cette semaine:

     « Beaufort » de Joseph Cedar, avec Alon Abutbul, Eli Eltonio...

    Genre : Historique - Duree : 2H00 mn

    Pitch : Le Liban en 2000. Non loin du château de Beaufort, une forteresse des Croisés, l’armée israélienne occupe une base militaire du même nom, créée à son arrivée dans le pays en 1982. Symbole de la campagne militaire la plus contestée d’Israël, la place forte est pilonnée en permanence, malgré sa position en altitude.

    « 3h10 Pour Yuma »  de James Mangold, avec Russell Crowe, Christian Bale, Peter Fonda

    Genre : Western - Duree : 2H02 mn

    Pitch : Revenu blessé de la guerre de Sécession, Dan Evans a établi sa famille dans un ranch. La sécheresse a ravagé ses terres, décimé son troupeau et miné la considération que lui portent sa femme et ses enfants, en particulier son aîné Will, âgé de 14 ans. A la suite d’une attaque de diligence, le célèbre bandit Ben Wade passe par la ville de Bisbee où il est arrêté avec le concours fortuit de Evans.

    «  Chasseurs De Dragons »   d'Arthur Qwak et Guillaume Ivernel

    (France) Genre : Animation - Duree : 1H20 mn

    Pitch : Pour débarrasser son oncle, le Seigneur Arnold, d’un terrible dragon dont la peur le hante, la petite Zoé se met en quête de héros, des vrais, pareils à ceux des contes qu’elle passe sa vie à lire. Pas de chance, elle tombe sur Gwizdo et Lian-Chu, chasseurs de dragons de seconde zone, dont les faits d’armes consistent à trucider des monstres minables pour des paysans bas de plafond et dont la plus haute ambition est de se payer un jour une petite ferme pépère.

    «  J’ai Toujours Rêvé D'Être Un Gangster » de Samuel Benchetrit avec Anna Mouglalis, Edouard Baer...

    (France) Genre : Comedie Dramatique - Duree : 1H48 mn

    Pitch : L’histoire d’un braqueur amateur dont la victime est elle-même une apprentie braqueuse, deux kidnappeurs qui enlèvent une adolescente si suicidaire qu’elle les supplie sans cesse de l’exécuter, un chanteur en panne d’inspiration qui vole à un collègue ses dernières compositions et enfin cinq septuagénaires qui quittent leur retraite pour goûter à nouveau aux joies du braquage.

    « Petits Héros » de Itai Lev, avec Avigail Ariely et Dana Ivgy ...

    (Israël)Genre : Jeunesse - Duree : 1H16 mn

    Pitch : Au coeur d'une terre aride, Alicia, une fillette russe immigrée dotée d'un pouvoir surnaturel pressent un danger imminent. Sur son chemin, elle rencontre Erez, un jeune écorché vif en quête de reconnaissance. Ce dernier, sous le charme mais dans le doute, décide de la suivre. Accompagnés de Lev, un adolescent drôle et attachant, nos petits héros embarquent en secret dans cette aventure où bien des obstacles les attendent.

    « Un Coeur Simple »  de Marion Lainé avec Sandrine Bonnaire et Marina Foïs 

     (France) Genre : Drame - Duree : 1H45 mn

    Pitch : Félicité est une femme qui consacre sa vie aux autres. Sans abnégation, sans sacrifice mais avec l’amour immense dont elle est dotée et qu’elle offre à ceux qui ont la chance de la croiser et de la comprendre. Elle aimera successivement et avec une même intensité Théodore qui la trahira, Clémence dont l’affection lui est interdite, Victor qui va disparaître, Dieu qu’elle découvre tardivement et pour finir Loulou, un perroquet. Au centre de cet univers se tient Mathilde, sa maîtresse, la clé de voûte d’une vie qu’elle se construit avec détermination.

    «  Opera Jawa »  de Garin Nugroho, avec Artika Sari Devi et Eko Supriyanto

    (Indonésie) Genre : Drame - Duree : 2H00 mn

    Pitch : Setio et sa femme Siti gèrent une poterie traditionnelle. Dans leur jeunesse, ils fréquentaient Ludiro, un homme riche et despotique de la région. Celui-ci, amoureux de Siti depuis toujours, veut profiter d’un voyage de Setio pour tenter de séduire la jeune femme, qui ne peut résister à ses assauts. nProfondément touché, Setio prépare sa vengeance.

    « La Zona »  de Rodrigo Pla, avec Daniel Giménez Cacho, Carlos Bardem, Daniel Tovar... 

     (Mexique) Genre : Fiction, Drame - Duree : 1H38 mn

    Pitch : Alejandro, un adolescent, vit dans la Zone, une cité résidentielle murée, un havre de richesses et de privilèges, située au centre de la ville de Mexico, protégée par un service de sécurité privé. Tout autour, c'est la pauvreté la plus choquante. Aux petites heures de son anniversaire, 3 enfants des bidons villes alentours pénètrent à l'intérieur de l'enceinte, s'introduisent dans une des maisons de la Zone. 

      « Les Larmes De Madame Wang » de Liu Bingjian, avec Liao Qin et Wei Xingkun

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    (Chine) Genre : Comedie Dramatique - Duree : 1H30 mn

    Pitch : Artiste au chômage, Madame Wang, vend des cd et dvd au marché noir. Mais elle doit quitter Pékin, lorsque son mari est arrêté afin de renflouer ses dettes de jeu. Accompagnée d’une enfant abandonnée, elle retourne dans sa ville natale située dans la province de Guizhou. Elle demande alors de l’aide à son ancien petit ami, Youming, qui lui conseille de devenir pleureuse professionnelle lors des cérémonies funéraires. Après un mauvais départ, elle devient bientôt la pleureuse la plus populaire de la région.

    «  Crimes à Oxford » d'Alex De La Iglesia avec Elijah Wood, John Hurt, Leonor Watling, Julie Cox et Dominique Pinon. 

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     (Grande-Bretagne) Genre : Thriller - Duree : 1H40 mn

    Pitch : Oxford. Une vieille dame est assassinée. Le premier meurtre d’une série qui semble obéir à une logique mathématique : chaque crime est annoncé par un symbole dont la signification échappe aux enquêteurs. De leur côté, un jeune étudiant et un éminent professeur de mathématiques qui ne se connaissent pas se trouvent eux aussi plongés au coeur de cette énigme et font équipe pour la résoudre. Mais la raison humaine peut-elle être mise en équation ?

    « Berlin »  de Julian Schnabel, avec Emmanuelle Seigner et la participation de Lou Reed

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    Titre original : LOU REED - BERLIN (Etats-Unis)- Genre : Documentaire, Musique - Duree : 1H25 mn

    Pitch : Le mythique album de Lou Reed « Berlin », sorti en 1973, qui racontait l’errance d’un couple de drogués, Caroline et Jim, a toujours été considéré comme son chef d’œuvre. « Berlin », 30 ans plus tard, est joué pour la première fois en concert à New-York par Lou Reed et filmé par Julian Schnabel.

    « Il Sole Nero » de Krzysztof Zanussi, avec Lorenzo Balducci, Toni Bertorelli et Valeria Golin

     (Italie)-Genre : Drame - Duree : 1H44 mn

    Pitch : Agata et Manfredi s’aiment d’un amour absolu. Seulement, après une nuit passionnée où le jeune époux fait des projets d’avenir, il est assassiné par un voisin jaloux et envieux. Agata, abattue par la mort prématurée de son mari, est bien décidée à se venger. Défiant l’Etat et la justice, elle identifie, traque et arrête l’assassin de Manfredi.  Mais la jeune veuve est tiraillée : doit-elle pardonner le tueur ou venger la mort de son époux ?

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  • Demain, toute la programmation du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2006 sur "Mon Festival du Cinéma"

    medium_dea2006_1_logo.3.jpgAprès un mois d'interruption, demain "Mon Festival du Cinéma" reprendra de l'activité avec un article sur la programmation du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2006. Patience donc. En attendant je vous invite , pour plus d'informations concernant le festival, à relire mes nombreux articles d'ores et déjà consacrés à celui-ci (à cette édition 2006 et aux précèdentes) dans la rubrique suivante:

    Tout savoir sur le Festival du Cinéma Américain de Deauville

     Sandra.M

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  • 32ème Festival du Film américain de Deauville, du 1er au 10 septembre 2006, en direct sur "Mon festival du cinéma"

    medium_Deauville_2004_8blog.jpgCannes s’éclipse doucement dans les tréfonds oniriques de ma mémoire, je reviens laborieusement à la réalité et Deauville se profile medium_Deauvilllll.jpgdéjà à l’horizon pas si lointain. Alors qu’il y a tout juste trois semaines, Cannes délivrait son palmarès, le 32ème festival du film américain de Deauville délivrera bientôt les premières bribes d’informations le concernant. Pour l’instant, nous savons seulement que le festival se déroulera du 1er au 10 septembre 2006. Inutile de spécifier que j’y serai présente de l’ouverture à la clôture. Depuis 14 ans, le rendez-vous est devenu pour moi incontournable. Il y a 14 ans ce festival m’a définitivement envoûtée. En 14 ans, j’ai vu des cinéastes émerger, d’autres triompher ou être célébrés et ma passion pour le cinéma n’a cessé de croître rythmée par ce rendez-vous normand de septembre qui célèbre aussi bien le cinéma indépendant qu’il met à l’honneur les majors américaines, qui rend aussi bien hommage à des talents reconnus du cinéma américain qu’il met en avant des documentaires moins accessibles.

     Difficile de rivaliser avec tous ces souvenirs mais nul doute que pour cette 32 ème édition après medium_abcdea19.jpgdeux dernières éditions un peu moins remarquables, le festival de Deauville saura retrouver son prestige et garder cette medium_fca2005affgran.jpgambiance si particulière, de convivialité, de joyeuse mélancolie, de douce effervescence, qui le caractérise et le singularise, et surtout qu'il saura se démarquer du festival de Venise qui, une fois encore, se déroule à la même période à savoir du 30 août au 9 septembre. Rendez-vous immuable et incontournable donc même si depuis j’ai parcouru bien d’autres festivals, Deauville reste celui des premières émotions festivalières, des premières palpitations cinéphiliques. La passion deauvillaise ne s’effrite pas avec les années. Bien au contraire!

     Pour l’occasion,  « Mon festival du cinéma » passe en version professionnelle et se mettra donc aux couleurs du Festival, avec notamment medium_afd3bis.jpgen juillet un nouveau design et une nouvelle mise en page. D’ores et déjà, vous pouvez constater quelques modifications avec notamment une newsletter à laquelle je vous invite à vous inscrire (ci-contre) pour recevoir hebdomadairement les informations de « Mon festival du cinéma ». D’ici là, vous retrouverez bien entendu des critiques de films à l’affiche et des critiques de classiques du 7ème art. Si elles se sont raréfiées ces derniers temps, c’est tout simplement parce qu’après l’effervescence cannoise aucun film n’a suffisamment attiré mon attention et suscité mon enthousiasme pour que j’ai envie de vous en parler. Peut-être est-ce parce que le dernier film que j’ai vu à Cannes était Babel et que là aussi il est difficile de rivaliser.

    En attendant, si vous voulez tout savoir sur ce festival du film américain, je vous invite à visiter mes anciens articles ou à relire mon récit du festival 2005 sur lesquels figurent toutes les informations pratiques et qui vous donneront une idée de l’atmosphère particulière de ce festival.

    medium_abcde4bis.jpgVous trouverez également ci-dessous tous les liens pour être incollable sur le festival de Deauville. Et bien entendu je vous transmettrai régulièrement toutes les informations concernant le festival et sa programmation avant de vous faire un compte-rendu en direct du festival en septembre.

    TOUS LES LIENS CONCERNANT LE FESTIVAL DU FILM AMERICAIN DE DEAUVILLE :

    -Site internet de l’office de tourisme de Deauville  (pour toutes les informations concernant les accréditations publiques. A titre d’information l’an passé : forfait permanent : 140 euros /forfait journalier : 40 euros/ forfait étudiant par jour Casino et Morny exclusivement : 10 euros).

    -Le public peut assister aux projections en achetant des forfaits journaliers ou permanents, en vente medium_Deauville_2004_4a.jpgsur http://www.badgecid.com  .

    -Site internet du CID (Centre International de Deauville où se déroulent les projections des avant-premières, les hommages et la compétition.)

    -Site internet officiel du festival du film américain de Deauville 2006

    -Site internet offficiel  du festival du film américain de Deauville 2005

    -Le site internet du Public Systeme (qui gère les accréditations professionnelles)

    medium_Deauvill_Lucas_et_Coppol.jpg-Le site internet de la mairie de Deauville

    -Mon site internet sur le festival du film américain de Deauville 2004

    -Mon site internet sur le festival du film américain de Deauville 2005 (avec toutes les informations pratiques pour venir à Deauville et être accrédité)

    -Mon compte-rendu du festival du film américain de Deauville 2005.

    -Le site non officiel du festival du film américain de Deauville.

    medium_DeaivolSpiel.jpg-Le site du festival Off Courts de Trouville (qui se déroule en même temps que le festival du film américain, cette année du 1er au 9 septembre 2006 ).

    Pour me transmettre toute question, toute remarque, toute information, toute critique sur ce festival 2006 ou sur les éditions précèdentes, je vous invite à laisser vos commentaires ci-dessous.

    Sandra.M

    photos, © Sandra.M (photos prises lors des différentes éditions du festival, de haut en bas: Morgan Freeman, G.Lucas et F.F Coppola, Steven Spielberg)

    Lien permanent Imprimer Catégories : FESTIVAL DU CINEMA AMERICAIN DE DEAUVILLE 2006 Pin it! 5 commentaires