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  • César 2013 : pronostics, nommés, critiques des films...en attendant le palmarès

    A J-5 de la cérémonie des César 2013 dont je vous rappelle qu'elle aura lieu vendredi prochain, au Théâtre du Châtelet, je vous propose un retour sur les films en lice, commentés, avec mes critiques des films, mes choix et des pronostics. Tout cette semaine, je mettrai les César à l'honneur sur Inthemoodforcinema.com, Inthemoodlemag.com et Inthemoodforfilmfestivals.com avec un retour sur mes films français ou francophones, coups de coeur de cette année 2012, et ils furent nombreux.

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    L’enveloppe cachetée contenant les noms des nommés a été ouverte  au Fouquet's. Ci-dessus et ci-dessous, mes photos de la conférence de presse.

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    L’affiche représente la sublime Simone Signoret, César de la meilleure actrice en 1978 pour « La vie devant soi », la photo de l’affiche étant celle de « Casque d’or » de Becker.

     Cette année, Jamel Debbouze présidera la cérémonie, après Guillaume Canet, l’an passé.

    Pour la 20ème année consécutive, la cérémonie sera diffusée sur Canal +, en clair, le 22 février prochain et au Théâtre du Châtelet, également comme chaque année.

    C’est « Camille redouble » de Noémie Lvovsky qui est en tête avec 13 nominations. « Amour » de Michael Haneke qui a remporté la Palme d’or suit avec 10 nominations ainsi que « Les Adieux à la Reine », le très beau film de Benoit Jacquot.

    Je me réjouis tout particulièrement des nominations de « Louise Wimmer » de Cyril Mennegun dont je vous parle depuis de sa découverte au Festival International des Jeunes Réalisateurs de Saint-Jean-de-Luz 2011, il y a plus d’un an donc, un énorme coup de coeur de même que « Comme des frères » d’Hugo Gélin, également nommé. Ce sont là deux formidables premiers films, très différents, mais qui exhalent la sincérité de leurs auteurs et qui ont aussi permis de découvrir deux remarquables comédiens dans des genres très différents: Pierre Niney (j’en profite pour vous signaler que, le 23 janvier, Canal plus consacrera une journée aux César en diffusant notamment « J’aime regarder les filles » de Frédéric Louf, un film pour lequel le comédien avait déjà été nommé comme meilleur espoir, l’an passé, étonnant également dans « Un chapeau de paille d’Italie » de Labiche à la Comédie Française, fin 2012) et Corinne Masiero, une comédienne magistrale et j’espère que cette nomination (si ce n’est déjà fait) fera décoller sa carrière et lui permettra d’avoir d’autres rôles comme celui-ci à sa (dé)mesure. « Louise Wimmer » est donc nommé comme meilleur premier film et la comédienne Corinne Masiero est nommée comme meilleure actrice (si vous avez vu le film, vous comprendrez à quel point cette nomination était une évidence, elle joue également d'ailleurs dans "De rouille et d'os") face à Catherine Frot dans Les Saveurs du palais, Marion Cotillard dans De rouille et d’os, Noémie Lvovsky dans Camille redouble, Emmanuelle Riva dans Amour, Léa Seydoux dans Les Adieux à la reine, Hélène Vincent dans Quelques heures de printemps.

    Je suis également ravie pour « Les Adieux à la reine », « Dans la maison », et « De rouille et d’os » parmi mes coups de coeur de cette année 2012.

    Je n’ai pas encore vu « Quelques heures de printemps » mais je me réjouis également pour Stéphane Brizé, réalisateur des remarquables « Je ne suis pas là pour être aimé » et « Le bleu des villes ».

    Les deux grands oubliés de ces nominations, dans des genres différents sont pour moi « Vous n’avez encore rien vu » d’Alain Resnais (selon moi, le film de l’année 2012) et « Une bouteille à la mer » de Thierry Binisti (un autre premier film qui, tout comme « Louise Wimmer » et « Comme des frères » aurait mérité d’être nommé dans cette catégorie, de même que ses acteurs). Ces trois films précités auraient d’ailleurs aussi mérité d’être nommés pour le scénario.

    Pas de polémique cette année concernant l’absence de comédies ou de films populaires bel et bien présents à commencer par le film éponyme de Régis Roinsard , mais aussi « Le Prénom » (qui, il est vrai, repose essentiellement sur l’excellente interprétation de ses comédiens, notamment Patrick Bruel et Valérie Benguigui, tous deux nommés).

    Je trouve d’ailleurs que ces nominations 2013 reflètent la diversité du cinéma français mettant autant à l’honneur des premiers films que des films de cinéastes confirmés, mais aussi des genres très différents. Voilà qui nous promet une belle cérémonie, en tout cas une réjouissante affiche.

     Je vous invite à découvrir ci-dessous les nominations avec, soulignés  en rouge, mes propres choix, en vert mes pronostics et en noir lorsque les deux coïncident. Rendez-vous  le 22 février pour vivre la cérémonie en direct.

    Retrouvez également ci-dessous, mes critiques des films nommés en cliquant sur leurs titres et, plus bas, la liste complète des nominations commentées:

    « Dans la maison » de François Ozon

    « Comme des frères » de Hugo Gélin

    « Amour » de Michael Haneke

    « De rouille et d’os » de Jacques Audiard

    « Louise Wimmer » de Cyril Mennegun

    « A perdre la raison » de Joachim Lafosse

    « Une bouteille à la mer » de Thierry Binisti

    « Les Adieux à la Reine » de Benoit Jacquot

    « Cloclo » de Florent-Emilio Siri

    « Argo » de Ben Affleck

    « Le Prénom » de Matthieu Delaporte et Alexandre De la Patellière

    NOMINATIONS/ PRONOSTICS/ CHOIX

      En rouge, mes propres choix, en vert mes pronostics et en noir lorsque les deux coïncident.

    Meilleur film:

    Difficile pour moi de choisir entre "Les Adieux à la Reine", "De rouille et d'os", "Dans la maison" et "Amour", 4 films qui font partie de mes coups de coeur de cette année 2012 qui ont d'ailleurs en commun de mettre en scène des personnages enfermés dans une réalité étouffante et d'éprouver un désir d'ailleurs ou de fuite (quelle qu'elle soit).  Il y a de fortes chances qu ' "Amour" soit une nouvelle fois le lauréat même si je voterais pour "Les Adieux à la Reine".

    Le Prénom de Matthieu Delaporte et Alexandre De la Patellière

    Holy Motors de Léos Carax

    De rouille et d’os de Jacques Audiard

     Les Adieux à la reine de Benoît Jacquot

     Dans la maison de François Ozon

    Camille redouble de Noémie Lvovsky

    Amour de Michael Haneke

    Meilleur réalisateur:

    Je pense que je voterais pour Jacques Audiard et je pense d'ailleurs qu'il obtiendra ce prix pour ce  film âpre et plein d’espoir. De rouille et d’os. De chair et de sang. De rudesse et de délicatesse. De douceur et de violence. De troublants paradoxes pour un troublant film. Des contrastes à l’image de ceux de l’esthétique du film.

    Benoît Jacquot pour Les Adieux à la reine

     Michael Haneke pour Amour

    Noémie Lvovsky pour Camille redouble

    François Ozon pour Dans la maison

    Jacques Audiard pour De rouille et d’os

     Leos Carax pour Holy Motors

    Stéphane Brizé pour Quelques heures de printemps

    Meilleur film étranger:

    Je voterais pour "A perdre la raison" même si j'ai eu un énorme coup de coeur pour le film de Xavier Dolan dont la maturité étonnante, la compréhension des tourments de l'âme humaine, l'humour, la poésie, la maitrise, l'originalité m'épatent et me chavirent. Mais "A perdre la raison" m'a bouleversée, hantée, terrassée par cette plongée étouffante, palpitante et brillante dans cette cellule familiale (la bien nommée, ici).

    Argo de Ben Affleck

     Bullhead de Michael R. Roskam

     Laurence Anyways de Xavier Dolan

    Oslo, 31 août de Joachim Trier

     La Part des Anges de Ken Loach

     Royal Affair de Nikolaj Arcel

    À perdre la raison de Joachim Lafosse

    Meilleure actrice:

    Sans hésiter, je voterais pour Corinne Masiero (même si je doute forte qu'elle obtienne ce César qui reviendra plus probablement à Emmanuelle Riva, Marion Cotillard ou même Hélène Vincent) qui  incarne magistralement Louise Wimmer dont le visage âpre marqué par la vie en devient beau tant Cyril Mennegun la filme avec justesse, empathie, et dignité. Elle dévore l’écran, nous happe, tant elle donne corps et âme à cette femme qui ressemble à la fois à tant d’autres et aucune autre.

    Catherine Frot dans Les Saveurs du palais

    Marion Cotillard dans De rouille et d’os

    Noémie Lvovsky dans Camille redouble

    Corinne Masiero dans Louise Wimmer

     Emmanuelle Riva dans Amour

    Léa Seydoux dans Les Adieux à la reine

    Hélène Vincent dans Quelques heures de printemps

    Meilleur acteur:

    Là, sans hésiter, je voterais pour Jean-Louis Trintignant, injustement écarté des récompenses reçues par "Amour" jusqu'à présent.  Dans ce film, qu’il raconte une anecdote sur son enfance, ou s’occupe du personnage d'Emmanuelle Riva dans ses derniers instants avec une tendresse infinie (comment ne pas être bouleversé quand il lui raconte une histoire, lui caressant doucement la main, pour faire taire sa douleur, qu’elle hurle), il est constamment juste, là, par un jeu d’une douce intensité. Ses gestes, sa voix, son regard, tout traduit et trahit son émotion mais aussi la digne beauté de son personnage qu’il dit être son dernier, ce qui rend ce rôle encore plus troublant et tragique.

    Jean-Pierre Bacri dans Cherchez Hortense

    Patrick Bruel dans Le Prénom

    Denis Lavant dans Holy Motors

    Vincent Lindon dans Quelques heures de printemps

    Fabrice Lucchini dans Dans la maison

     Jean-Louis Trintignant dans Amour

     Jérémie Renier dans Cloclo

    Meilleur second rôle féminin:

    Je pense qu'il reviendra à Edith Scob ou Yolande Moreau et je voterais pour Valérie Benguigui dans "Le Prénom", irrésistible dans ce très bon divertissement, gentiment cruel, d’une ironie finalement tendre.

    Valérie Benguigui dans Le Prénom

     Judith Chemla dans Camille redouble

    Isabelle Huppert dans Amour

     Yolande Moreau dans Camille redouble

     Edith Scob dans Holy Motors

    Meilleur second rôle masculin:

    J'ai trouvé Guillaume de Tonquedec remarquable dans le prénom, et je n'ai vu ni "Cherchez Hortense" ni" Camille redouble" même si je pense que Michel Vuillermoz l'obtiendra.

    Guillaume de Tonquedec dans Le Prénom

    Samir Guesmi dans Camille redouble

    Benoît Magimel dans Cloclo

     Claude Rich dans Cherchez Hortense

    Michel Vuillermoz dans Camille redouble

    Meilleur premier film:

    C'est un vrai dilemme pour moi que de choisir entre "Comme des frères" et "Louise Wimmer" mais, comme j'ai voté pour "Corinne Masiero", j'espère que "Comme des frères" obtiendra cette récompense, film d’une gravité légère à la fois tendre et drôle, pudique et espiègle: en tout cas, charmant et qui prouve qu'une comédie peut sonner juste et actuelle sans recourir systématiquement au trash ou au cynisme. Avec un casting impeccable, un scénario et des dialogues réjouissants, une photographie et musique ensorcelantes -du groupe Revolver- , c'est un road movie attachant et riche d'espoirs, un hymne à l'amitié et, finalement, pour moi, la comédie tendrement mélancolique de l’année.

    Augustine d’Alice Winocour

    Comme des frères d’Hugo Gélin

     Louise Wimmer de Cyril Mennegun

    Populaire de Régis Roinsard

    Rengaine de Rachid Djaïdani

    Meilleur documentaire:

    Bovines ou la vraie vie des vaches d’Emmanuel Gras

     Duch, le maître des forges de l’enfer de Rithy Panh

     Les Invisibles de Sébastien Lifshitz

    Journal de France de Claudine Nougaret et Raymond Depardon

     Les Nouveaux chiens de garde de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat

    Meilleur film d’animation:

     Edmond était un âne de Franck Dion

     Ernest et Célestine de Benjamin Rennet, Vincent Patar et Stéphane Aubier

     Kirikou et les hommes et les femmes de Michel Ocelot

    Oh Willy… d’Emma de Swaef et Marc Roels

     Zarafa de Rémi Bezançon et Jean-Christophe Lie

    Meilleur espoir masculin:

    Je vote sans hésiter pour Pierre Niney qui, dans ce film, est à la fois grave, immature et obstiné, autodestructeur et volontaire, audacieux et inconscient. Il est aussi lunaire, burlesque même,  attachant, pour incarner ce personnage qui, derrière sa maladresse, cache  une blessure. La concurrence est néanmoins rude dans cette catégorie et je pense qu'il y a aussi de fortes chances qu'Ernst Umhauer et Matthias Schoenaerts l'emportent.

    Félix Moati dans Télé Gaucho

     Kacey Mottet Klein dans L’Enfant d’en haut

    Pierre Niney dans Comme des frères

    Matthias Schoenaerts dans De rouille et d’os

     Ernst Umhaeur dans Dans la maison

    Meilleur espoir féminin

    Alice de Lencquesaing dans Au galop

    Lola Dewaere dans Mince alors

    Julia Faure dans Camille redouble

     India Hair dans Camille redouble

     Izia Higelin dans Mauvaise fille

    Meilleur scénario original:

    "Amour" pour moi, sans aucun doute. Un film tragique, bouleversant, universel qui nous ravage, un film lucide, d’une justesse et d’une simplicité remarquables, tout en retenue. «Je ne me souviens plus du film, mais je me souviens des sentiments» dit Jean-Louis Trintignant en racontant une anecdote à son épouse. C’est aussi ce qu’il nous reste de ce film, l’essentiel, l’Amour avec un grand A, pas le vain, le futile, l’éphémère mais l’absolu, l’infini. Et cela, grâce à un scénario ciselé.

    Adieu Berthe

    Amour

     Camille redouble

    Holy Motors

    Quelques heures de printemps

    Meilleure adaptation:

    Ces 5 scénarii sont de grande qualité ... Mon coeur balance entre "De rouille et d'os", "Les Adieux à la Reine" et "Dans la maison" mais je choisis le dernier pour la ludique et jubilatoire leçon d'écriture et manipulation qu'est le film de François Ozon. Un film particulièrement bien écrit (sans l’être trop, écueil particulièrement difficile à éviter avec un film sur l’écriture), brillant et ludique, un labyrinthe (avec et sans minotaure) joyeusement immoral, drôle et cruel, une comédie grinçante et un jeu délicieusement pervers, qui ne pourra que plaire aux amoureux de la littérature et de l’écriture qui sortiront de la salle heureux de voir que, toujours, le cinéma et l’écriture illuminent (ou, certes, dramatisent) l’existence et, en tout cas, sortent vainqueur, et peut-être sortiront-ils aussi en ressassant cette phrase : « Même pieds nus la pluie n’irait pas danser ». A suivre…

    Luca Belvaux pour 38 témoins

     Gilles Taurand et Benoît Jacquot pour Les Adieux à la reine

    François Ozon pour Dans la maison

    Jacques Audiard et Thomas Bidegain pour De rouille et d’os

    Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière pour Le Prénom

    Meilleure musique originale:

     Bruno Coulais pour Les Adieux à la reine

     Gaëtan Roussel et Joseph Dahan pour Camille redouble

    Philippe Rombi pour Dans la maison

     Alexandre Desplat pour De rouille et d’os

    Rob et Emmanuel d’Orlando pour Populaire

    Meilleur montage:

    J'attribuerais ce César à "De rouille et d'os" même si je pense qu'il reviendra à "Holy motors" qui est avant tout un travail de montage tout comme le (magnifique montage) de "De rouille et d'os" qui met en exergue et oppose les sons, les silences, les corps, le contrôle, l’abandon.

     Luc Barnier pour Les Adieux à la reine

    Monika Willi pour Amour

     Annette Dutertre et Michel Klochendler pour Camille redouble

    Juliette Welfling pour De rouille et d’os

    Nelly Quettier pour Holy Motors

    Meilleur son:

     Les Adieux à la reine

     Amour

    Cloclo

     De rouille et d’os

    Holy Motors

    Meilleure photographie:

    J'hésite entre "De rouille et d'os" et "Les Adieux à la reine" mais je dirais "Les Adieux à la Reine" avec le souvenir, notamment, de cette scène lorsque la reine trône, terriblement seule et majestueuse, dans cette pièce soudain tristement luxueuse, illuminée par le feu d’une cheminée, déchirant des lettres, tandis que les vautours rôdent déjà. Symbole d’une époque et d’un monde qui chancèlent, image bouleversante de beauté, de mélancolie, de cruauté mêlées.

    Romain Winding pour Les Adieux à la reine

     Darius Khondji pour Amour

    Stéphane Fontaine pour De rouille et d’os

    Caroline CHampetier pour Holy Motors

     Guillaume Schiffman pour Populaire

    Meilleurs costumes:

    Christian Gasc pour Les Adieux à la reine

    Pascaline Chavanne pour Augustine

     Madeline Fontaine pour Camille redouble

    Mimi Lepicka pour Cloclo

    Charlotte David pour Populaire

    Meilleurs décors:

     Katya Wyszkop pour Les Adieux à la reine

    Jean-Vincent Puzos pour Amour

     Philippe Chiffre pour Cloclo

    Florian Sanson pour Holy Motors

     Sylvie Olivé pour Populaire

    Meilleur court-métrage:

     Ce n’est pas un film de cow-boys de Benjamin Parent

    Ce qu’il restera de nous de Vincent Macaigne

     Le Cri du homard de Nicolas Guiot

     Les Meutes de Manuel Schapira

     La vie parisienne de Vincent Dietschy

    Lien permanent Imprimer Catégories : CESAR 2013 Pin it! 0 commentaire
  • Sortie DVD: "Le premier jour du reste de ta vie" de Rémi Bezançon

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    Un nouveau coup de projecteur sur  " Le premier jour du reste de ta vie" de Rémi Bezançon à l'occasion de sa sortie en DVD ce 27 janvier (sortie en 3 éditions) mais aussi à l'occasion des nominations aux Césars puisque le film a récolté 8 nominations récapitulées ci-dessous.
    Souhaitons-lui le même succès en DVD qu'en salles : le film a engrangé environ 1,2millions d'entrées et a obtenu également un beau succès critique.
    NOMINATIONS AUX CESARS DU "Premier jour du reste de ta vie":
    MEILLEUR ACTEUR
    Jacques Gamblin
    MEILLEUR ESPOIR MASCULIN
    Pio Marmaï
    Marc-André Grondin
    MEILLEUR ESPOIR FEMININ
    Déborah François
    MEILLEUR REALISATEUR
    Rémi Bezançon
    MEILLEUR FILM
    MEILLEUR SCENARIO ORIGINAL
    Rémi Bezançon
    MEILLEURE MUSIQUE ECRITE POUR UN FILM
    Sinclair
    MEILLEUR MONTAGE
    Sophie Reine

    Lien permanent Imprimer Catégories : DVD Pin it! 0 commentaire