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Par Sandra Mézière. Le 7ème art raconté avec passion depuis 2003. 4000 articles. Festivals de cinéma en direct : Deauville, La Baule, Cannes, Dinard...Critiques de films : avant-premières, à l'affiche, classiques. Actualité de romancière. Podcast.
Pour tenter votre chance, suivez mon compte instagram @Sandra_Meziere, "likez" le post qui concerne le concours et dites-moi en commentaires sur instagram ou par email à inthemoodforfilmfestivals@gmail.com (avec, pour intitulé de votre email "Concours RBG") pourquoi vous voulez découvrir ce film et quel est votre documentaire préféré, et pourquoi. Tirage au sort lundi parmi les réponses les plus convaincantes. Bonne chance !
CRITIQUE :
Présenté dans la section Les Docs de l’Oncle Sam dans le cadre du 44ème Festival du Cinéma Américain de Deauville (un festival dont vous pouvez retrouver mon compte rendu complet et détaillé, ici, ), RBG est un documentaire de Julie Cohen et Betsy West. Il s’inscrivait parfaitement dans la programmation de cette édition du festival qui mettait les femmes et leurs combats à l’honneur. RBG, ces initiales désignent Ruth Bader Ginsburg, une octogénaire aussi modeste et timide que ses combats furent ambitieux et téméraires. Derrière cette voix fluette, ces lunettes qui lui mangent le visage et cette allure frêle, se trouve un symbole de la lutte féministe aux Etats-Unis.
Ce documentaire qui lui est consacré est avant tout un sublime portrait de femme, un juste retour des choses pour celle qui les a ardemment représentées et défendues. « Sorcière malfaisante, monstre, honte absolue de la cour suprême, anti américaine, zombie » … : ainsi est-elle définie par ses détracteurs au début du documentaire. Dans le plan suivant, armée de ses quatre-vingt et quelques printemps, elle s’adonne à des exercices physiques dans une salle de sport vêtue d’un tshirt qui clame « super diva ». Elle est pourtant bien plus et bien mieux que ce que ces premières minutes laissent entendre, bien plus qu’une personnalité « notorious » admirée et controversée, bien plus qu’une icône de la pop culture. A travers une vingtaine de témoignages et des images d’archives sont ensuite retracés son existence et son parcours professionnel. Ceux d’une femme brillante qui, tout en affrontant réticences, obstacles et drames personnels, a gravi les échelons jusqu’à devenir juge à la cour suprême.
« Be a lady. Be independent » lui répétait sa mère qu’elle perdit très tôt d’un cancer. Elle ne cessera jamais de faire honneur à ce précepte et à cette femme dont elle était si proche. Ainsi, dès 1956, elle intègre l'École de droit de Harvard parmi 9 femmes dans une promotion comptant plus de 500 hommes. En 1959, elle obtient son baccalauréat en droit à Columbia. En 1970, elle cofonde le Women's Rights Law Reporter, premier journal américain qui se concentre exclusivement sur les droits des femmes. Elle fera valoir six cas de discrimination devant la Cour suprême entre 1973 et 1976 et en fut 5 fois victorieuse. De 1972 à 1980, elle enseigne à l'université de Columbia, où elle devient la première femme avec un poste titulaire. En 1980, le président Jimmy Carter la nomme à la Cour d'appel des États-Unis pour le circuit du district de Columbia. Elle y restera 13 ans avant d’être nommée juge à la cour suprême par le président Bill Clinton, réussissant l’exploit d’être confirmée à 96 voix contre 3. Elle est aujourd’hui placée 31ème au classement 2010 des « 100 femmes les plus influentes dans le monde » publié chaque année par le magazine Forbes
Toute son existence, elle n’a eu de cesse de se battre pour l’égalité homme/femme, soutenu par un mari qui se mit en retrait pour que son épouse qu’il admirait tant puisse mener ses combats dont il perçut très tôt l’importance. Aujourd’hui disparu, le film rend hommage à son attachante personnalité. Il formait avec elle un couple soudé, sans doute forgé par les combats publics et personnels puisqu’elle l’aida ardemment dans sa bataille contre le cancer dans ses jeunes années. Ils formaient un duo indissociable, touchant et espiègle.
Cette femme brillante avait tôt compris que pour faire entendre ses opinions il n’est pas nécessaire de crier mais que les mots, lorsqu’ils sont astucieusement choisis, peuvent constituer une arme redoutable. Elle a aussi compris que l’intransigeance n’aide aucun combat et n’honore pas ceux qui en font preuve comme le démontre son amitié avec un juge conservateur aux idées diamétralement opposées aux siennes.
A une époque à laquelle au-dessus de deux ou trois décennies, une femme doit encore être la moins visible possible du moins surtout si son visage témoigne des stigmates du temps, à une époque à laquelle les icones sont (parfois ? souvent ?) synonymes de vacuité, que cette octogénaire réservée et brillante soit devenue un symbole rassure un peu sur le devenir de l’humanité a fortiori après la nomination du juge Brett Kavanaugh à la cour suprême, conservateur accusé par trois femmes d'agression sexuelle soutenu par Donald Trump, ce même président américain que RBG qualifia d’ « imposteur ». En attendant que l’imposture n’éclate enfin au grand jour (c’est à désespérer que ce soit le cas un jour), l’existence d’une RBG et l’engouement qu’elle suscite font souffler un vent d’optimisme.
Les films de ce 44ème Festival du Cinéma Américain de Deauville se terminaient pour la plupart d’entre eux par des femmes qui prenaient leur destin en main. A travers ce documentaire captivant (qui ne s’embarrasse pas de fioritures dans sa forme pour laisser toute sa place à son fascinant sujet), Betsy West et Julie Cohen, au-delà de la femme et de ses combats auxquels le documentaire rend magnifiquement hommage, à l’image de ce que fit RBG avec sa propre existence, nous invitent à leur tour à braver les obstacles et à tracer notre voie, avec détermination et bienveillance.
Sortie DVD et VOD le 19 février. En lice pour les Oscars (meilleure chanson, meilleur documentaire).
Avant de revenir à l'actualité cinématographique ( très chargée!) et avant un nouveau concours dans un hôtel 5 étoiles d'exception au Pays Basque (et mon article sur celui-ci), je vous propose aujourd'hui de remporter un séjour pour deux dans un splendide hôtel 5 étoiles en Bretagne dans un cadre idyllique, à Perros-Guirec. Vous pourrez aussi profiter du spa Nuxe de l'établissement. Pour en savoir plus sur ce lieu de rêve, et en attendant que je le teste à mon tour, découvrez le concours sur mon site Inthemoodforhotelsdeluxe.com ou cliquez ici pour accéder directement au concours. Et pour vous donner des envies d'ailleurs, quelques photos de l'établissement ci-dessous.
Dans un peu moins de trois mois aura lieu le 42ème Festival du Cinéma Américain de Deauville. J’ai assisté à plus de la moitié de ces 41 éditions passées et pourtant ma curiosité et mon enthousiasme pour ce festival demeurent intacts. C’est même le seul pour lequel la question ne se pose même pas. Quoiqu’il arrive, chaque année, le rendez-vous est en effet pour moi immuable et incontournable. Je n’ai ainsi jamais cessé d’y retourner sur toute sa durée après ma découverte du festival. Quoiqu’il arrive, chaque année, c’est comme une douce réminiscence de mon premier Festival du Cinéma Américain (qui fut aussi mon premier festival de cinéma auquel en succédèrent tant). La beauté incendiaire, mélancolique et changeante de Deauville me fascine toujours autant que la première fois que j’ai foulé ses célèbres planches et je ne me lasse d’ailleurs toujours pas de la photographier.
Et lorsque j’entre dans la majestueuse salle du CID, un mélange de nostalgie joyeuse et de fascination émue devant cet écrin synonyme de tant d’instants de vie et de cinéma indélébiles m’étreint toujours. Vous l’aurez compris: j’aime ce festival. Passionnément. Indéfectiblement. Au point d’avoir fait partie de son jury de cinéphiles en 2000. Au point d’y consacrer un blog entier (Inthemoodfordeauville.com). Au point d’avoir réussi à y placer une scène clef de mon premier roman publié en papier L’amor dans l’âme ( paru en avril 2016 aux Editions du 38) …qui se déroule pourtant au Festival de Cannes et en attendant la publication d’un autre manuscrit en septembre, lequel devrait faire une plus large place au Festival du Cinéma Américain de Deauville (mais chut, je ne vous ai rien dit..). Comme chaque année, je serai donc, forcément, fidèle au rendez-vous. Et je me réjouis d’avance de vous le faire vivre en direct et, comme chaque année également, en partenariat avec le CID, de vous permettre de remporter vos pass pour vivre pleinement ce festival avec, en plus, un bonus exceptionnel cette année puisque je vous ferai gagner deux invitations pour la cérémonie de clôture et le film de clôture!
Ci-dessus, Keanu Reeves lors de l’hommage qui lui a rendu le Festival du Cinéma Américain de Deauville l’an passé
Le Festival du Cinéma Américain de Deauville se caractérise et se distingue par sa judicieuse alliance de blockbusters et de films indépendants grâce à la compétition mise en place en 1995 mais aussi par les hommages à des personnalités du cinéma américain dont les noms, pour la plupart, ornent les cabines des planches. Un générique éclectique et impressionnant! Malgré cela, le festival a su rester un événement très accessible et ouvert à tous, destiné à la fois aux cinéphiles autant qu’aux « simples amateurs » de cinéma. « Un moment précieux pour tous les amoureux du cinéma », comme le spécifie le juste et beau slogan du festival…
Les Docs de l’oncle Sam nous réservent aussi chaque année d’excellentes surprises comme l’électrisant Janis d’Amy Berg l’an passé. Mais Deauville, ce sont aussi: le prix Michel d’Ornano (qui récompense un scénario de film français, l’an dernier l’excellent Les Cowboys de Thomas Bidegain), un prix littéraire, des séries, des classiques du cinéma, des conférences de presse…
Malgré leur diversité de styles, d’époques, de points de vue (14 films l’an passé), des thématiques communes se dégagent ainsi chaque année des films en compétition comme un état des lieux de l’Amérique. En 2015, les films en lice pour le Grand Prix mettaient en scène des personnages avides de liberté, emprisonnés dans un quotidien étouffant, une vie qu’ils n’avaient pas choisie à laquelle ils désiraient échapper, englués dans les difficultés économiques, des personnages marqués par l’absence du père et/ou le deuil comme la métaphore d’un monde en quête de (re)pères et d’un nouveau souffle de liberté. Comme chaque année, cette compétition nous donnait à voir une autre Amérique, l’envers de l’American dream, les failles et blessures qui se cachent derrière l’étincelante bannière étoilée, la réalité souvent crue que le cinéma américain préfère habituellement dissimuler et édulcorer. En cela, ce fut une plongée passionnante dans une autre Amérique. Qu’en sera-t-il cette année? Pour cela, il faudra attendre la fin août et la conférence de presse du festival même si de nombreux éléments du programme nous seront révélés d’ici là. Je ne manquerai pas de vous les annoncer au fur et à mesure.
Nous savons pour l’instant seulement que cette 42ème édition aura lieu du 2 au 11 septembre 2016 et que le jury sera présidé par Frédéric Mitterrand. Avec ce cinéphile érudit, amoureux passionné et passionnant du cinéma, à n’en pas douter les débats seront brillants et les films seront regardés avec bienveillance. Il n’est pas seulement cette voix lyrique et inimitable. En plus d’être désormais écrivain, il a surtout défendu ardemment le cinéma comme exploitant de cinéma, réalisateur, producteur, mais aussi en tant qu’ancien Ministre de la Culture. Le cinéma n’a plus de secrets pour lui et son regard sur les films en lice sera sans doute aucun aiguisé.
Nous connaissons désormais aussi le nom d'une des personnalités à qui le festival rendra hommage: le cinéaste Michael Moore, en sa présence. À cette occasion, le Festival présentera en avant-première son nouveau film "Where to Invade Next", avant sa sortie en salles le 7 septembre.
Voici le pitch de son nouveau film: Dans son nouveau documentaire, Michael Moore décide de s'amuser à envahir le monde pour déterminer ce que les États-Unis peuvent apprendre des autres pays.
Nous savons également que la marque de cosmétiques Kiehl’s sera à nouveau partenaire officiel cette année après avoir fait de sa « Villa Kiehl’s » LE lieu convivial et élégant de l’édition passée qui a aussi indéniablement contribué à la réussite de cette 41ème édition. Je me réjouis donc de retrouver la villa et son affable équipe cette année.
Quelle affiche que celle de cette 42ème édition! Sans doute est-ce la plus belle depuis la création du festival, même si certaines furent particulièrement mémorables. Mais j’avoue que ce magnifique hommage à Chaplin et à la scène finale du chef-d’œuvre que sont Les Temps modernes me réjouit tout particulièrement.
Vous pouvez bien sûr d’ores et déjà acheter vos pass pour ce 42ème Festival du Cinéma Américain de Deauville auprès du CID, directement sur internet, ici. Les prix demeurent très raisonnables pour le nombre de séances auxquelles un pass permet d’assister. Les entreprises peuvent également acheter leurs pass VIP (avec de nombreuses formules) auprès du CID (renseignements, ici).
Et vous pouvez aussi bien sûr tenter votre chance au concours ci-dessous. Sur les 36 pass que je peux vous faire gagner, j’en conserve 6 et les 2 invitations pour la clôture que je mettrai en jeu en septembre pendant le festival. Deux d’entre vous pourront ainsi gagner trois pass (pour le vendredi 9, le samedi 10 et le dimanche 11 septembre) et chacun une invitation exceptionnelle pour la cérémonie et le film de clôture le 10 septembre.
En attendant, tentez votre chance pour gagner un ou plusieurs des 30 pass restants mis en jeu dès aujourd’hui! Bonne chance et bon festival à tous!
En complément, quelques liens utiles concernant le Festival du Cinéma Américain de Deauville:
Pour me suivre en direct pendant le festival: sur mes blogs (Inthemoodforfilmfestivals.com, Inthemoodforcinema.com, Inthemoodfordeauville.com et Inthemoodforhotelsdeluxe.com), sur twitter (@moodforcinema-compte principal- et @moodfdeauville), sur Facebook (Facebook In the mood for cinema et Facebook In the mood for Deauville) et sur Instagram (@sandra_meziere).
CONCOURS
Règlement
Pour participer, envoyez vos réponses à inthemoodforfilmfestivals@gmail.com en n’oubliant pas de spécifier vos nom et prénom (pas de pseudo). L’intitulé de votre email devra être « Concours Deauville 2016″. Seuls les gagnants seront contactés, par email après la fin du concours qui s’achève le 23 août 2016, à minuit. Les 6 pass restants et les invitations pour la cérémonie et le film de clôture seront mis en jeu pendant le festival (2 gagnants avec chacun 1 pass pour le vendredi 9, 1 pass pour le samedi 10, 1 pass pour le dimanche 11 et une invitation pour la clôture). Les questions portent sur Deauville et/ou le cinéma américain et/ou le Festival du Cinéma Américain de Deauville. A gagner pour cette première partie: 30 pass ainsi répartis en 11 lots:
Répartition des lots:
1er prix (6 pass pour le gagnant : 3 pour lui et 3 pour un accompagnant) : 2 pass pour le samedi 3, 2 pass pour le dimanche 4, 2 pass pour le lundi 5
2ème prix (3 pass pour le gagnant) : 1 pass pour le vendredi 9, 1 pass pour le samedi 10, 1 pass pour le dimanche 11
3ème Prix (4 pass pour le gagnant) : 1 pass pour le lundi 5, 1 pass pour le mardi 6, 1 pass pour le mercredi 7, 1 pass pour le jeudi 8,
4ème prix (3 pass pour le gagnant) : 1 pass samedi 3, 1 pass pour le dimanche 4, 1 pass pour le lundi 5
5ème prix (2 pass pour le gagnant) : 1 pass pour le samedi 3, 1 pass pour le dimanche 4
6ème prix (2 pass pour le gagnant) : 1 pass pour le samedi 10 et 1 pass pour le dimanche 11
7ème prix (3 pass pour le gagnant) : 1 pass pour le mardi 6, 1 pass pour le mercredi 7, 1 pass pour le jeudi 8
8ème prix (2 pass pour le gagnant, 1 pour lui et 1 pour un accompagnant) Prix : 2 pass pour le mardi 6,
9ème prix (2 pass pour le gagnant) : 1 pass pour le mercredi 7 et 1 pass pour le jeudi 8
10ème prix (2 pass pour le gagnant) : 1 pass pour le mercredi 7 et 1 pass pour le jeudi 8
11ème prix (1 pass pour le gagnant) : 1 pass pour le vendredi 9
Questions:
1. Une plaque au nom de son auteur se situe sur les planches de Deauville. O. l’a adapté (dans un film américain). De quel livre s’agit-il?
2. Citez 4 films dans lesquels au moins une scène a été tournée à Deauville, au moins un des 4 cités devant être sorti en 2015 ou 2016.
3. Quel est le titre du film dont l’image figure ci-dessous et quel est son rapport avec le Festival du Cinéma Américain de Deauville?
4. Quel est le lien principal entre les deux films dont sont extraites les images ci-dessous? Donnez-moi les titres de ces deux films.
5. Combien la salle de cinéma du CID peut-elle contenir de personnes?
6. Parmi ces personnalités, laquelle n’a pas son nom sur les planches de Deauville: James Ivory, James Dean, Danny Kaye, Arnon Milchan, Steven Spielberg, Jessica Chastain, Abel Ferrara, Elia Kazan, James Coburn.
7. De quelle affiche cette image est-elle extraite?
8. Qui a récemment présidé le jury du Festival du Cinéma Américain de Deauville avant de revenir rendre hommage à une actrice l’an passé?
9. Quel est le rapport entre le cinéaste qui a réalisé ce film et le Festival du Cinéma Américain de Deauville ?
10. Afin de départager les questionnaires dont toutes les réponses seraient exactes et afin d’éviter les réponses provenant de sites de concours les répertoriant, pouvez-vous me dire quel fut pour vous le meilleur film américain de l’année 2015 (et pourquoi) et ce que représente le Festival du Cinéma Américain de Deauville pour vous (que vous soyez déjà venu-e- ou non).
Je choisis ici mes concours avec parcimonie, toujours dans l'optique qu'ils aient un lien direct avec ce blog et aussi parce que le temps me manque un peu ces temps-ci notamment avec mes pérégrinations littéraires et l'écriture d'un prochain manuscrit que j'espère vous faire découvrir avant la fin de l'année.
Je trouvais ainsi qu'il y avait une vraie cohérence à vous faire gagner des places pour "Les malheurs de Sophie" qui est une adaptation d'un classique et plus encore de vous faire gagner le roman qui fait partie de ceux que j'ai eu le plaisir de découvrir très tôt et dont (qui sait?) la lecture ou le film qui en est l'adaptation en embarquera peut-être d'autres dans cette magnifique passion qu'est la lecture.
Même si j'ai pour principe de ne faire gagner des places que pour des films que j'ai vus et aimés, le fait que celui-ci soit réalisé par Christophe Honoré, que le scénario soit coécrit par ce dernier et Gilles Taurand, qu'Alex Beaupain en ait signé la musique, et qu'il s'agisse de l'adaptation d'un classique me conduit à déroger joyeusement à ce (ridicule?) principe.
Le film sort en salles ce mercredi 20 avril donc je vous propose un concours plus simple que d'habitude comme vous le verrez ci-dessous.
Quelques mots sur le film d'abord.
Synopsis:
"Les malheurs de Sophie" est une adaptation du roman de la Comtesse de Ségur publié en 1858 ( un roman pour enfants mais le film d'adresse tout autant aux adultes). L'adaptation mêle les intrigue de deux romans de la Comtesse de Ségur Les Malheurs de Sophie et Les Petits filles modèles.
Depuis son château, la petite Sophie ne peut résister à la tentation de l'interdit et ce qu’elle aime par dessus tout, c’est faire des bêtises avec son cousin Paul. Lorsque ses parents décident de rejoindre l’Amérique, Sophie est enchantée. Un an plus tard, elle est de retour en France avec son horrible belle-mère, Madame Fichini. Mais Sophie va pouvoir compter sur l’aide de ses deux amies, les petites filles modèles, et de leur mère, Madame de Fleurville pour se sauver des griffes de cette femme.
Voilà comment Christophe Honoré évoque les raisons du choix de ce nouveau projet :
Marier le cinéma et la littérature jeunesse correspond à un désir ancien. J’ai écrit de nombreux romans et albums pour enfants. C’est une part moins connue de mon travail, mais à laquelle j’accorde beaucoup de valeur. Pour tout écrivain pour enfants, la Comtesse de Ségur est un idéal de précision et d’élégance. Il m’a semblé qu’en réunissant dans un même film « Les Malheurs de Sophie » et « Les Petites Filles modèles », je pouvais construire un modèle de récit brisé que j’affectionne. L’idylle et la disgrâce. Et surtout, je pouvais compter sur un héros enfant. J’étais très curieux de pouvoir filmer pendant des semaines une petite fille de cinq ans.
Avec, dans les rôles principaux: Madame de Fleurville (Anaïs Demoustier), Madame de Réan (Golshifteh Farahani), Madame Fichini (Muriel Robin), Sophie de Réan (Caroline Grant).
Concours: 1er prix (le roman et 2 places pour découvrir le film en salles) et 2ème prix (2 places pour découvrir le film en salles). Les places sont utilisables dans n'importe quel cinéma à n'importe quelle séance. Réponses à envoyer à inthemoodforfilmfestivals@gmail.com avec, pour intitulé de votre email, "Concours Les malheurs de Sophie". N'oubliez pas de spécifier vos coordonnées. Seuls les gagnants seront contactés. Fin du concours le 24 avril à minuit.
1. Quel est le titre du long métrage dont est extraite l'image ci-dessous? Quel est le rapport avec "Les malheurs de Sophie"?
2. Citez 3 romans de la Comtesse de Ségur.
3. Quel est le titre du film dont est extraite l'image ci-dessous? Quel est le rapport avec "Les malheurs de Sophie"?
4. En une phrase (ou plus), quel est le premier livre qui vous a laissé un grand souvenir et pourquoi? (que ce soit dans l'enfance ou plus tard)
Merci à Gaumont pour le concours et bonne chance à tous!
Un peu de mode pour changer. Gagnez une robe de la marque BLEU D'AZUR sur mon blog Inthemoodforhotelsdeluxe.com. Cliquez sur la photo ci-dessous pour accéder au concours.
Vous voulez en savoir plus sur ce beau concours que je vous propose pour la Saint-Valentin? Alors rendez-vous sur mon site http://inthemoodforhotelsdeluxe.com ou cliquez sur la photo ci-dessous pour accéder directement à l'article.