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  • L'Avant- Scène Cinéma à Laval : cinema paradiso...

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    Cela fait deux mois déjà qu'a ouvert l'Avant-Scène cinéma de Laval. Le 8 novembre 2023, la salle de spectacle se transformait en effet en cinéma art et essai. De quoi réjouir les Lavallois (étant native de cette ville où il m'arrive encore souvent de séjourner, je sais de quoi je parle !) qui l'attendaient depuis si longtemps, la programmation du Cinéville (seul autre cinéma de la ville) se cantonnant principalement aux films grand public, aux blockbusters et surtout à de la VF, même si cela tend à s'améliorer depuis quelques années. Il manquait néanmoins un cinéma art et essai pour les passionnés et cinéphiles. Ce projet de la Ligue de l'enseignement-FAL53 qui est propriétaire des locaux, après tant d'années où les Lavallois ont attendu un tel lieu, a donc abouti à la plus grande joie des Mayennais, amoureux du cinéma. Ce cinéma est ainsi géré par la ville et la Fédération des Associations Laïques de la Mayenne (FAL 53).

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    Mais, surtout, ce cinéma est dirigé par Karen Raymond avec passion, enthousiasme, bonne humeur, détermination, une grande cinéphile qui a en plus beaucoup d'expérience dans le domaine de l'exploitation cinématographique pour avoir travaillé dans l'équipe parisienne de MK2, et notamment dirigé le MK2 Beaubourg parmi de nombreuses autres fonctions à son actif dans ce groupe, pendant une dizaine d'années, aux côtés de Marin Karmitz, son fondateur.  Elle fut ainsi d'abord ouvreuse avant d'obtenir un CAP d’opératrice-projectionniste, puis monteuse, critique de cinéma mais aussi auteure d'une thèse d’études cinématographiques.

    L'équipe de ce nouveau cinéma (quatre salariés et de nombreux bénévoles), et avant tout sa directrice, fourmille d'idées. Et la programmation (de 12 à 20 films par semaine, avec 28 séances par semaine !), remarquable (qui met avant tout en avant le cinéma d'auteur), s'en ressent. Voyez plutôt, rien que ces jours prochains : un ciné club avec Django de Sergio Corbucci, un ciné débat par La Ligue des Droits de l'Homme, une ciné-rencontre sur le thème cinéma et santé autour du film Loup y es-tu ?, l'avant-première de The Green Border et de La Ferme des Bertrand, une conférence sur le thème "notre monde est beau mais est-il durable ?", une ciné-rencontre sur Emmaüs, une soirée "anim' ta nuit" avec 4 films d'animation pour 16 euros seulement mais aussi de formidables animations pour le jeune public comme le Veloptik.  Et des films aussi formidables que :

    - Aftersun de Charlotte Wells, un film premier avec (notamment) un dernier plan inoubliable. Un dernier plan qui évoque le vide et le mystère que laissent les (êtres et moments, essentiels) disparus, et les instants en apparence futiles dont on réalise trop tard qu’ils étaient cruciaux, fragiles et uniques. Celui du manque impossible à combler. Celui du (couloir) du temps qui dévore tout.

    - The Fabelmans, déclaration d’amour fou à ses parents et au cinéma de Spielberg. Film mélancolique, flamboyant, intime et universel. Ode aux rêves qu’il faut poursuivre coûte que coûte, malgré le danger, comme on pourchasserait une tornade dévastatrice. Un film sur le pardon, la curiosité. À fleur de peau. À fleur d’enfance. La force du cinéma en un film. Le cinéma qui transcende, transporte, révèle. Qui mythifie la réalité et débusque le réel. Le cinéma qui éclaire et sublime la réalité comme une danse à la lueur des phares. L’art cathartique aussi comme instrument de distanciation. L’art qui capture la beauté, même tragique. 

    - The quiet girl,

    - Memories,

    - Chien de la casse,

    - Anatomie d'une chute de Justine Triet, un film palpitant sur le doute, le récit, la vérité, la complexité du couple, et plus largement des êtres. Un film qui fait une confiance absolue au spectateur. Un film dont le rythme ne faiblit jamais, que vous verrez au travers du regard de Daniel, l'enfant que ce drame va faire grandir violemment, comme lui perdu entre le mensonge et la vérité, juge et démiurge d’une histoire qui interroge, aussi, avec maestria, les pouvoirs et les dangers de la fiction.

    - Les Filles d'Olfa de Kaouther Ban Hania, lauréat du Prix de la Citoyenneté du dernier Festival de Cannes, une mise en abyme, une théâtralisation du réel aussi intéressante pour les questions avec lesquelles elle nous laisse et que cela fait émerger, les doutes sur la réécriture de la réalité également. Finalement, c’est aussi à une « anatomie d’une chute » que procède Kaouther Ben Hania, presque une enquête pour comprendre comment deux jeunes filles gaies et lumineuses ont pu se radicaliser, se tourner vers la noirceur, l’obscurantisme et la violence aveugle et inouïe. La musique d’Amine Bouhafa amplifie encore l’émotion. Par ce dispositif, la réalisatrice exalte aussi le rôle de la parole, là où elle n’était plus possible avec celles qui ne voulaient plus entendre que leur vérité, dogmatique. Le dernier regard face caméra nous hantera longtemps et renforce nos interrogations. Ce documentaire qui ne cède jamais au manichéisme, et qui brouille intelligemment la frontière entre réalité et fiction, pour mieux enfanter la vérité, est aussi original que fascinant, citoyen, instructif et poignant.

    - Les Herbes sèches,

    - L'innocence de Hirokazu Kore-eda, un film qui  incarne toute la beauté et la force du cinéma : sonder la complexité des êtres, nous perdre pour mieux nous aider à trouver une vérité, nous trouver aussi parfois, nous éblouir pour nous éclairer (avec ces  plans du début et de fin, enflammé pour l’un et irradié pour l’autre, qui se répondent). Un film doux et poétique sur la rugosité des êtres et de la société japonaise, sur l’enfance et ses cruautés. Un film labyrinthique qui nous ramène à la source du tunnel et du secret qu’il traque comme dans un polar, celui des mystères de l’adolescence et de la fausse innocence des adultes. Un film sur les blessés de la vie, thème cher au cinéaste, comme la famille. Scénario et réalisation magistraux à l’unisson portés par la sublime ultime bo de Ryuichi Sakamoto.

    - Scrapper de Charlotte Regan (primé lors du dernier Dinard Festival du Film Britannique, dont vous pouvez retrouver mon compte-rendu, ici), une ode à l’imagination, à l’utopie, et donc finalement au cinéma, pleine de douceur, de fantaisie et d'espoir.

    - L'abbé Pierre -une vie de combats,

    - Moi Capitaine,

    - Jeunesse,

    - Dream scenario,

    - Un silence...

    Cela vous donne une idée de la formidable diversité et densité de la programmation !

    Ajoutez à cela une vraie qualité de son et d'image, et de confort dans la salle, des films du patrimoine aussi bien que des avant-premières,  un accueil chaleureux et convivial (il n'est pas rare de voir les spectateurs converser et faire connaissance, encouragés par l'affabilité et l'enthousiasme communicatifs de Karen), des prix inférieurs à ceux pratiqués au Cinéville...vous aurez compris pourquoi ce lieu est incontournable et est devenu en deux mois l'antre des cinéphiles du département, un vrai "cinema paradiso" qui rend à la salle de cinéma toutes ses lettres de noblesse, dont on ressort comme Jacques Perrin à la fin du film éponyme qui, par le pouvoir magique du 7ème art, retrouve les émotions de son enfance et le message d'amour que lui envoie Alfredo, par-delà la mort. Un parfum d'éternité. Le cinéma est décidément un paradis. Celui des vivants. 

    Pour en savoir plus : le site internet de l'Avant-Scène cinéma de Laval et son compte Instagram (@avantscene.laval). 29 Allée du Vieux Saint Louis, 53000 Laval

  • MODE – CONCOURS – Gagnez une robe de la marque BLEU D’AZUR (collection été 2017)

    C’est en 2015 que j’ai découvert cette marque spécialiste de la robe ( ce que j’avoue honteusement étant donné qu’elle existe depuis 1992 ) et j’ai eu un vrai coup de cœur pour celle-ci, pour  ses superbes imprimés, la simplicité et l’élégance alliées à l’originalité et la qualité. Je souhaitais absolument vous faire partager à nouveau mon enthousiasme pour cette belle marque après vous avoir déjà fait gagner une robe de la marque en avril 2016 (modèle Bonifacio de la collection été 2016, ci-dessous).

    Je suis donc  ravie de vous faire gagner à nouveau une robe identique à celle que je porte ( Robe Mania) dans le décor de la ville de Laval, une robe choisie pour vous, -photos ci-dessous- et issue de la collection été 2017.  Je trouvais sa forme et ses couleurs simples mais élégantes. Une robe qui sied aussi bien à la journée qu’à une belle soirée d’été, idéale pour les vacances. Sans aucun doute l’emmènerai-je avec moi à Cannes, Cabourg et Deauville pour mes prochains festivals de cinéma.

     

     

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  • Mon avis sur le concert du Groupe Archimède au Théâtre de Laval et sur le nouvel album "Méhari"

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    Il est rare que je vous parle ici de musique mais, après tout, évoquer le groupe Archimède, c’est aussi parler de cinéma car leurs chansons, toujours incroyablement bien écrites, avec des phrases ciselées, des mots d’une redoutable précision, sont des histoires qui nous embarquent dans leur univers, comme des courts-métrages qui nous emmènent en voyage, a fortiori avec cet album intitulé Méhari. Ce Tour en Méhari, une tournée qui célèbre leur quatrième album (déjà !) débutait ce samedi soir à Laval, la ville dont Frédéric et Nicolas Boisnard sont originaires (comme l’auteur de ces lignes) et à laquelle ils sont toujours restés fidèles, commençant toujours leurs tournées dans cette ville, comme samedi, au Théâtre de Laval.

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    Ce samedi soir, sous un soleil étincelant et presque irréel, aux abords du théâtre, régnait déjà un air de fête, une atmosphère à l’unisson de cet album annoncé par le groupe comme « solaire, vintage, plus fun et plus débraillé que jamais », « joyeux, primesautier et sans artifices ». La pochette de l’album, sorti ce 7 avril 2017, donnait déjà le ton : vrombissante, bondissante, ludique, cinématographique, cartoonesque et réjouissante. Déjà une magnifique invitation à l’évasion.

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    Sur scène, avec les frères Boisnard, trois musiciens et une Méhari rutilante (grâce à la restauration méthodique de l’oncle des frères Boisnard) avec pour plaque d’immatriculation la date de sortie de l’album et, au-dessus, un écran diffusant des images tantôt décalées, tantôt attendrissantes ou parfois même plus revendicatives (comme celles, parfois révoltantes ou poignantes, sur la chanson intitulée Toujours plus con).

    Lors de ce concert, Archimède a eu la bonne idée d’alterner nouveaux et anciens titres et l’extrême délicatesse de proposer un voyage enjoué, interprétant tous les titres de ce nouvel album à l’exception de celui consacré aux attentats du 13 novembre, le sublime et émouvant Vivre est un poème que je vous recommande vivement d’écouter. S’ils sont parfois mordants, (im)pertinents plus qu’insolents, leur impertinence résonne comme une forme de pudeur et c’est finalement de la bienveillance qui ressort de ces chansons, ou en tout cas une douce et lucide incitation et invitation au bonheur.

    Dans Méhari, j’ai retrouvé leurs sonorités pop et enjouées aux influences anglo-saxonnes qui caractérisaient déjà leurs précédents albums, une musique d’une nostalgie joyeuse, des chansons gaiement mélancoliques, intelligemment paradoxales. Et surtout une musique composée et interprétée par Frédéric Boisnard (et composée avec son frère aussi pour quelques titres, le chanteur, Nicolas) et des musiciens tout aussi talentueux  que leur interprétation en live a réellement sublimée.

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    Photo ci-dessous prise lors d'un précédent concert au Théâtre de Laval. ©Inthemoodforcinema.com

    Derrière les mélodies allègres, les textes de Nicolas Boisnard mettent en effet souvent l’accent sur les travers de notre société comme la pensée uniformisée dans l’excellent On singe le monkey (« La bêtise humaine est pandémique, On a perdu tout sens critique, On ne pense qu’à la chaîne, Clichés poncifs, rengaines… »), les utopies perdues dans l’enthousiasmant Rue de la joie (« On a rêvé du grand soir, Et les lendemains ont déchanté, Tout ce qu’on a voulu croire ne s’est jamais réalisé »), la destruction égoïste et aveugle d’un monde laissé comme triste héritage aux générations futures dans le percutant Toujours plus con (« Pardon pour les plages qu’on bétonne, Pardon pour les baleines qu’on harponne, Fallait bien des cosmétiques pour nos blondes »).

    Derrière ce triste constat chanté avec une allégresse judicieusement décalée, Archimède prône la joie, la fraternité, l’amour, une bienveillance derrière l’impertinence. Et cela fait un bien fou.

    On retrouve les mêmes influences que dans leurs précédents albums : Dutronc, Renaud, Oasis, Bashung, les Beatles auxquels me fait aussi penser cette pochette de Méhari. Des références qu’ils ont su dépasser et intégrer pour créer leur style bien à eux encore étoffé, sublimé, plus engagé aussi sous le beau masque de la légèreté. Avec leur singulière élégance, ironiques mais jamais cyniques, légers -seulement en apparence- mais jamais désinvoltes (ou alors royalement comme dans Rue de la joie), impertinents mais jamais arrogants, délicats sans être mièvres, ils nous embarquent une nouvelle fois dans leur univers, universel et particulier.  Ils ne cherchent pas à être à la mode et c’est ce qui les rend précurseurs et indémodables.

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    J’avais découvert le groupe Archimède tout à fait par hasard, il y a quelques années, lors d’un mini-concert qu’ils donnaient chez un disquaire (lavallois, donc). Entre-temps, j’ai écouté et aimé leurs trois albums (un album éponyme, Trafalgar et Arcadie), les ai entendus dans les jardins du Palais Royal, à Paris pour la fête de la musique, devant un public électrisé par leur énergie communicative (comme ce fut d'ailleurs également le cas à Laval samedi dernier), et j’ai suivi leur fulgurant parcours. Archimède a ainsi été nommé deux fois aux Victoires de la musique: en 2010  (comme album révélation de l’année, l’occasion notamment de découvrir le remarquable L’été revient (je vous mets au défi de l'écouter sans qu'il vous reste agréablement dans la tête) ou le très beau  Au diable Vauvert) puis en 2012 pour leur album Trafalgar comme « Album rock de l’année ». Je suis certaine que la troisième fois sera la bonne… Ils le mériteraient en tout cas pour ce nouvel album qui est une indéniable réussite.

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    Vous les avez  peut-être ainsi découverts à ces occasions ou lors d’un de leurs nombreux passages télévisés où, d’ailleurs, ils ont souvent fait l’unanimité comme dans Taratata, notamment l’occasion pour eux de chanter avec Bénabar une remarquable version de Mathilde de Jacques Brel, Bénabar pour qui ils ont  composé et dont ils ont fait la première partie de la tournée ou même aux concerts de Thiéfaine dont ils ont fait la première partie à Bercy et dans une dizaine de Zénith et évidemment en première partie de Johnny Hallyday pour qui ils ont composé une très belle chanson co-écrite avec Miossec A l’Abri du monde.

    En plus des nouveaux titres dont la découverte fut un réel plaisir, quelle joie, lors de ce concert lavallois, de réentendre Je prends,  Les premiers lundis de septembre,  Au marché des Amandiers, ça fly away...!  Des mélodies et des textes qui vous trottent rapidement dans la tête, vous mettent de bonne humeur (vertu de plus en plus en plus rare et ô combien précieuse) et vous donnent envie de les écouter et réécouter sans modération.

    Des premiers albums, je vous recommande tout particulièrement Je prends,  Le bonheur, L’été revient, Les premiers lundis de septembre, A mes dépens,  Au diable vauvert,  Nos vies d’avant, Au marché des Amandiers, Les indociles…et la chanson du groupe que je préfère, beaucoup plus mélancolique que leurs chansons plus connues (et qui prouve aussi la diversité de leur talent, et la qualité admirable de l’écriture) Le grand jour qui me bouleverse et qui, tous chanteurs et groupes confondus, est une de mes chansons préférées.

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    Ce nouvel album contient plusieurs titres qui pour moi sont des tubes (c’est tout le mal que je leur souhaite), évidemment celui qui passe en radio actuellement Je t’aime low cost, ode à l’amour « qui ne s’achète pas », Hendaye, ou encore celui que je préfère Rue de la joie. Assurément aussi, après Fils de, chanson hommage pudique et décalée à leur père, ce dernier ne sera  «plus tout à fait un inconnu », le public ayant pris un malin plaisir à scander le nom de « Gérard Boisnard ».

    Inutile de vous dire que ce même public a passé plus de temps debout qu’assis, que la bonne ambiance était au rendez-vous, et que ce concert était formidable. Sans doute direz-vous que nos origines communes m’ôtent un peu d’objectivité mais je vous le garantis, ils sont aussi sympathiques que talentueux.

    Le concert s’est achevé avec Le bonheur. La délicatesse, l’allégresse et le souci de transmettre le bonheur d’être jusqu’au bout.  « La bonté pour seule arme » pour répandre la « joie comme un soleil » comme dans Vivre est un poème, nous communiquant leur fraternité joyeuse comme une réponse à l’égoïsme et au désenchantement du monde.

    Je suis ressortie du Théâtre de Laval, alors que le soleil avait décliné, mais le cœur en joie, me croyant « un soir d’été » à Hendaye avec en tête cette chanson que, à coup sûr, vous fredonnerez à votre tour lorsque vous l’aurez entendue, Rue de la joie, dans laquelle « on rira comme des rois désinvoltes ». Et à me dire que la vie « est un poème » qu’il nous appartient d’écrire, de rêver, de sublimer pour en devenir les rois désinvoltes. Ce que sont indéniablement les frères Boisnard. Et ce qu'ils nous ont donné l'illusion d'être le temps de ce concert.

    Alors n’attendez plus, embarquez dans cette Méhari et prenez la route du soleil et des vacances pour oublier le quotidien, l’espace de quelques chansons parce que, certes, « la vie dure le temps d’une étincelle » (La vie est un poème) mais elle vaut la peine d’être savourée intensément, fraternellement ou amoureusement. Chaque instant. Chaque note de musique.

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    Pour tout savoir sur Archimède et suivre leur tour  en Méhari :

    -l’excellente page Fan Archimède dirigée par le passionné et très sympathique Tristan

    -la page Facebook officielle du groupe Archimède

    -le compte twitter officiel du groupe Archimède @archimedemusic

    -le compte Instagram officiel du groupe Archimède @archimedemusic

    -Quelques dates de la tournée:

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    Et pour terminer un petit clin d’œil en photos à la très affable équipe de Cultura qui a organisé la vente de l'album avant et après le concert, et la dédicace du groupe, et par laquelle j’avais été remarquablement accueillie lors de ma propre dédicace dans leur magasin de Laval St Berthevin.

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    © B.Renault

     

    Retrouvez également cet article sur mon nouveau blog, le 8ème blog "in the mood", cette fois consacré à la ville de Laval: http://inthemoodforlaval.hautetfort.com.

  • Lauréate d'un concours de nouvelles et en direct à la radio...

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    Comme je vous le disais l'autre jour, ma nouvelle "L'être romanesque" figurait parmi les 60 finalistes sur 630 participants du concours de nouvelles "Saint-Valentin" (thème : "amour, c'est votre jour de chance") du célèbre site Short Edition. Hier, j'ai eu le plaisir d'apprendre que ma nouvelle était lauréate d'un prix du jury. Même déjà publiée, cela continue à faire particulièrement plaisir. Si vous voulez lire des nouvelles plus longues et "complexes" vous pouvez bien sûr toujours acquérir mon recueil "Les illusions parallèles" publié par Les Editions du 38.

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    Cette semaine, j'ai également eu le plaisir d'être l'invitée pendant 45 minutes de L'Autre Radio.Tranquillement, mes livres publiés l'an passé vivent leur vie, et embellissent la mienne, en tout cas me valent ces temps-ci des rencontres, des commentaires et des échanges qui m'émeuvent et m' encouragent mais aussi me permettent d'évoquer des sujets qui me tiennent à cœur comme, à la radio, invitée notamment pour parler écrits (merci à l'intervieweuse pour son enthousiasme pour mon premier roman) et cinéma et lors de laquelle on m'a notamment aussi proposé de rendre hommage à des personnes que j'admire. J'ai d'emblée pensé aux infirmières de l'HAD (en particulier de Laval) qui s'occupent des soins palliatifs. Parce que leur dévouement, leur engagement, leur bienveillance, leur professionnalisme dans des moments indicibles sont remarquables et inestimables. Parce que leur travail, indispensable, est peu valorisé et parfois même menacé. Je tenais à leur rendre une fois de plus hommage. Lors de cette émission, j'ai aussi eu le plaisir de choisir la playlist. J'ai notamment pu sélectionner cette chanson d' Archimède que je n'ai malheureusement jamais entendue en radio, qui n'est pas la plus joyeuse mais une de celles du groupe en question que je préfère, bouleversante a fortiori en concert (à écouter en entier ici: http://www.deezer.com/track/79084268). L'occasion aussi de leur faire un clin d'œil avant la sortie de leur nouvel album Méhari le 7 avril. Je vous en reparlerai, d'autant plus que j'aurai le plaisir d'assister à leur premier concert pour ce nouvel album, le 8 avril.

  • Merci...

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    De belles rencontres. Une journée très agréable. Merci Cultura pour l'accueil et vivement la prochaine ! Et, en bonus, ci-dessous, la nouvelle publicité de mon éditeur "Les Editions du 38" sur laquelle mon recueil de nouvelles "Les illusions parallèles" figure en bonne compagnie.

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  • Prochaine dédicace à la Librairie M'Lire de Laval (Mayenne)

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    Après ma dédicace avec le grand compositeur Lalo Schifrin au Festival du Cinéma et Musique de Film de La Baule, le week-end dernier, (photo ci-dessous), ce vendredi 18 novembre, dès 16H30, je serai en dédicace à la librairie M'Lire de Laval.

    Venez me rencontrer pour échanger autour de mon recueil de 16 nouvelles sur les festivals de cinéma "Les illusions parallèles" au sujet duquel vous pourrez en savoir plus sur le site de mon éditeur Les Editions du 38, ici. Vous pouvez également en retrouver la quatrième de couverture ci-dessus.

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  • Mode - Luxe : ma sélection pour l'hiver 2016 / 2017

    Cliquez sur la photo ci-dessous pour accéder à mon article mode sur mon autre site http://inthemoodforhotelsdeluxe.com. Vous y trouverez de nombreuses idées de looks pour l'hiver: doudounes, vestes, trenchs...

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