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cinéma - Page 144

  • Critique de "L'avocat de la terreur" de Barbet Schroeder (ce soir, sur Arte)

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    Présenté en sélection officielle (Un Certain Regard) du Festival de Cannes , "L'avocat de la terreur" avait obtenu le César du meilleur documentaire en 2008, un prix entièrement mérité pour ce qui fut un des meilleurs film de cette année-là et que je vous recommande. Il sera ainsi diffusé à 20H40, ce soir, sur Arte. Retrouvez ci-dessous ma critique de ce documentaire qui dresse le portrait de d'un avocat aussi énigmatique que médiatique : Jacques Vergès. 

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    Communiste, anticolonialiste, d’extrême droite ?  Quelle(s) conviction(s) guide(nt) Jacques Vergès ? Barbet Schroeder mène l’enquête pour élucider le mystère. Au départ de la carrière de cet avocat énigmatique : la guerre d’Algérie et Djamila Bouhired, la pasionaria qui porte la volonté de libération de son peuple. Le jeune homme de loi épouse la cause anticolonialiste (procès mémorable où il fait le procès de la justice, Djamila Bouhired sera ainsi condamnée à mort puis graciée !), et la femme. Puis, entre 1970 et 1978, il disparaît. 8 longues années de clandestinité qui suscitent les rumeurs les plus folles. A son retour, il défend les terroristes de tous horizons et des monstres historiques tels que Klaus Barbie, le tristement célèbre ancien chef de la Gestapo de Lyon (là, il ne fera pas le procès de la justice mais… celui de la Résistance !).

    Le documentaire commence donc en Algérie, là où débute aussi la carrière de l’avocat qui y défendit Djamila Bouhired puis qui l’épousa.  Les images d’archives alternent avec l’interview de l’avocat, et les entretiens avec des proches de ce dernier, des fréquentations souvent peu recommandables (il revendique ainsi son amitié avec un ancien nazi notoire : le banquier suisse François Genoud).

     A travers le portrait de cet homme ambigu passant de l’extrême gauche à l’extrême droite, de la défense des persécutés à celle des persécuteurs, de la clandestinité à l’exposition médiatique, de l’opposition à l’Etat Français à une éventuelle collaboration avec les services secrets, ses 8 années de disparition n’ayant jamais réellement été élucidées (même si on évoque un exil au Cambodge…), c’est celui du terrorisme du 20ème siècle qu’effectue Barbet Schroeder.

     Dictateurs africains,  Khmers rouges et Pol Pot, Klaus Barbie…tout ce que le 20ème siècle a compté de terroristes semble avoir un jour ou l’autre croisé la route de Jacques Vergès qui, loin de s’en défendre, le revendique avec cynisme, suffisance et bravade.  L’Algérie, la Palestine, l’Afrique, le Cambodge, aucune partie du globe où règne ou où a régné la violence ne lui est inconnue.

    Si la longueur de ce documentaire vous rebute, sachez que le parcours de cet avocat de la terreur se regarde comme un thriller palpitant, qu’il nous paraît trop court tant Barbet Schroeder fait preuve d’habileté dans sa mise en scène et dans son montage. Il  ne recourt ainsi jamais à la voix off mais à une musique qui donne des allures de films d’espionnage à ce documentaire  qui ressemble à s’y méprendre à une fiction qui nous permet de reconstituer les pièces du parcours mystérieux de l’avocat, puzzle aux multiples et dangereuses ramifications.

    Il révèle l’ambiguïté d’un homme dont il explique l’engagement autant par ses origines desquelles résulterait son horreur de la soumission et de l’oppression que par ses histoires d’amour ( Djamila Bouhired puis la femme de Carlos) : l’ambiguïté de celui qui pleure dans les prisons des combattants algériens et qui défend Klaus Barbie sans un remord en déclarant, avec une jubilation délibérément ostentatoire qui ne peut que susciter le malaise du spectateur (et qui la suscite à dessein, la provocation étant l’arme favorite de l’avocat), que c’est « euphorisant de le défendre seul contre 39 avocats », l’épicurien parfois enfantin qui tire avec un pistolet à eau sur les passants et qui se déclare capable de tuer…

    Barbet Schroeder (qui a eu le final cut) ne prend pas parti, mais certains plans sont particulièrement éloquents comme ceux des interviews de Vergès qui se met lui-même en scène avec une vanité stupéfiante, jouant du silence entre deux bouffées de cigare, entre deux paroles délibérément provocatrices, dans un décor aussi fastueux qu’était misérable celui de certains de ses clients, des paroles parfois démenties par les interviews qui leur succèdent grâce à un montage astucieux. Le générique de fin est ainsi un clin d'oeil ingénieux, il énumère les noms des clients de Jacques Vergès et défilent sous nos regards effarés les plus grands criminels du 20ème siècle.

     Plus qu’un documentaire, c’est une plongée passionnante et instructive dans l’Histoire du 20ème siècle, dans ses zones d’ombre à travers celles d’un homme (ses années de disparition, son énigmatique enrichissement…),  qui donne parfois froid dans le dos et est tellement réussie qu’elle nous fait presque oublier qu’elle relate des faits dramatiquement réels dont Vergès a tour à tour été le protagoniste, l’avocat et parfois la victime autoproclamée… Fascinant et terrifiant à l’image de son protagoniste, un documentaire qui est aussi une réflexion sur la vérité et la sincérité d’un engagement. A voir absolument !

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  • Bilan et vidéos de la clôture du Festival du Film Britannique de Dinard 2010

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    Je vous ai déjà livré le palmarès du Festival (ici) et j’ai également déjà évoqué les thématiques récurrentes de cette édition 2010 qui, si elles étaient moins sombres que celles de l’édition 2009, étaient surtout et avant tout le reflet de la remarquable diversité du cinéma britannique et « de la qualité des comédiens anglais » par laquelle  le président du jury Etienne Chatiliez s’est d’ailleurs dit « émerveillé ». Je vous invite donc à découvrir ci-dessous mes commentaires sur le palmarès et mes vidéos de cette cérémonie de clôture riche en imprévus et joyeusement  mouvementée.

    C’est donc « We want sex », la comédie sociale de Nigel Cole qui a tout raflé ou presque : Hitchcock d’or, prix du public Studio CinéLive et prix du scénario, un film qui, comme tous les autres de cette compétition, met en lumière le talent des acteurs britanniques, en l’espèce des actrices, et dont le sujet dans l’air du temps (il s’agit de la grève du personnel féminin de l’usine Ford pour obtenir l’égalité salariale) l’émotion, la qualité des décors, l’ont emporté sur l’aspect plutôt convenu et conventionnel du scénario et de la réalisation. Dommage aussi que le titre original « Made in Dagenham » ait été transformé en un plus racoleur et trompeur « We want sex ».

     Je suis ravie  que « Treacle Jr » de Jamie Thraves ait également obtenu un Hitchcock d’or (le jury en ayant décerné deux), je vous avais déjà fait part de mon enthousiasme pour ce film mais surtout pour la prestation de l’acteur principal, l’incroyable Aidan Gillen, un prix qui a mis son réalisateur « en état de choc », lequel a même raconté alors avoir hypothéqué sa maison pour pouvoir achever son projet.

    C’est le complaisant et (pour moi) déplaisant « Mr Nice » de Bernard Rose qui a obtenu le prix de la photographie.

    Côté courts-métrages, le public a attribué son prix à « Stanley Pickle » de Vicky Mather, un film d’animation à la fois tendre, drôle, poétique et cruel dans lequel Stanley, un jeune homme de vingt ans, transforme les êtres vivants une fois morts en automates.  L’occasion pour moi de souligner l’excellente qualité des courts-métrages sélectionnés du très beau « Until the river runs red » qui parle de mysticisme et disparition avec une mise en scène et des couleurs glaciales et évanescentes à mon coup de cœur « Behind this sea », le documentaire de Lottie Gammon  qui part à la rencontre de ceux qui quittent l’Afrique pour s’échouer sur l’île de Lampedusa. En quelques plans, elle parvient à traduire l’espoir et l’horreur que symbolise ce lieu pour eux. Avec beaucoup de sensibilité et d’empathie elle filme ces jeunes visages, fiers et nobles, qui ont connu l’horreur, et apprennent à devenir quelqu’un d’autre après avoir tout laissé derrière eux, y compris leur histoire et leur identité. Un documentaire instructif et bouleversant qui, en 24 (trop courtes) minutes, réussit à traduire toute la complexité et la difficulté d’une situation, un documentaire que tous les politiques en quête de simplification devraient voir.

    C’est le dernier jour que j’ai eu l’occasion de voir le film qui a reçu le prix coup de cœur (un prix sélectionné parmi tous les films projetés dans le cadre du festival) remis par l’Association La Règle du jeu et qui est d’ailleurs aussi mon coup de cœur de ce festival 2010 et dont je regrette qu’il n’ait pas été en compétition car il aurait vraiment mérité à la fois le prix du scénario et le Hitchcock d’or, sans aucun doute le plus inventif de cette année, témoignant par ailleurs d’une impressionnante maîtrise pour un premier film. Il s’agit d’ « Exam », premier long-métrage de Stuart Hazeldine qui a auparavant réécrit des scénarii pour plusieurs films de science-fiction. « Exam » a ainsi été nommé aux BAFTA 2010 dans la catégorie meilleur premier film. Huit brillants candidats ont atteint la phase finale d’embauche d’une mystérieuse et puissante corporation. Enfermés dans une pièce sans ouverture sur l’extérieur, un examinateur leur donne 80 minutes pour répondre à une question. Pour cela et sous peine de disqualification, ils doivent respecter trois règles : ne pas s’adresser à lui ni au vigile armé qui garde la porte, ne pas souiller leurs papiers, ne pas quitter la pièce. Mais quand il part et que les candidats retournent leurs papiers, ils découvrent une feuille blanche. Ils ont alors 80 minutes, non pas pour trouver la réponse mais pour, dans un premier temps, trouver la question.  Tant pis si la fin n’est pas forcément à la hauteur de l’attente suscitée (il est finalement plaisant d’être mené en bateau quand c’est fait aussi brillamment), ce thriller psychologique aura réussi à me scotcher à l’écran pendant ses 101 minutes qui s’écoulent à une vitesse fulgurante tant la mise en scène épurée, froide, précise et le jeu des acteurs, à son image, sont impressionnants. Alors que le cinéma infantilise de plus en plus le spectateur, Stuart Hazeldine en fait un acteur à part entière. Une seconde d’inattention et cela pourrait nous être à nous aussi fatal. S’ajoute à cela une pertinente métaphore d’une société (celle avec un grand S) où, pour réussir, il faut être prêt à tout, surtout à écraser les autres. Un film jubilatoire qui nous procure un réel sentiment de claustrophobie et qui, contrairement à « Buried » par exemple, nous tient en haleine jusqu’à la dernière seconde et nous laisse exténués mais réjouis de cette brillante expérience cinématographique.

    Cette année encore, j’ai donc eu le plaisir de me balader dans la cinématographique et (par voie de conséquence) dans la société britanniques avec ses sujets graves traités avec une apparente légèreté, et surtout  souvent en musique, le festival ayant eu l’excellente idée de placer cette édition 2010 sous le signe des Beatles avec notamment la projection de « Nowhere boy » sur l’adolescence tourmentée de John Lennon (je vous en ai déjà parlé mais j’y reviendrai au moment de sa sortie) sans parler d’une  ouverture et d’une clôture pour le moins musicales et joviales comme mes vidéos vous le démontrent.

    Films du 21ème Festival du Film Britannique de Dinard recommandés par inthemoodforcinema.com :

    -« Nowhere boy » de Sam Taylor Wood

    -“Neds” de Peter Mullan

    -“Another year” de Mike Leigh

    -“Skeletons” de Nick Whitfield

    -“Treacle Jr” de Jamie Treaves

    -“A Passionate woman” de Kay Mellor

    - “Exam” de Stuart Hazeldine

    -“Tolstoï le dernier automne” de Michael Hoffman

    -« Behind this sea » (court-métrage) de Lottie Gammon

    -“Stanley Pickle” (court-métrage) de Vicky Mather

    -“Until the river runs red” de Paul Wright

      (Je reviendrai sur certains au moment de leur sortie et notamment sur « Neds » le très beau film de Peter Mullan).

     Je vous donne évidemment rendez-vous pour le 22ème Festival du Film Britannique. Cette édition 2010 a encore une fois prouvé à quel point ce festival était un révélateur de talents mais aussi à quel point il était convivial et chaleureux, à l’image de la météo cette année (qui a dit qu’il pleuvait tout le temps en Bretagne et à quel point il prenait le cinéma au sérieux sans jamais se prendre au sérieux (comme l’a démontré cette très joyeusement chaotique cérémonie de clôture). Surtout qu’il ne change rien ! En attendant l’actualité continue sur les blogs inthemood avec toujours des avant-premières, des événements, les films à l’affiche... Le prochain festival prévu est pour moi celui du Festival du Film Asiatique de Deauville en mars en attendant peut-être Monaco et évidemment Cannes en mai mais souhaitant en découvrir de nouveaux d’ici là, je compte sur vous pour m’en recommander.

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  • Programme du 15ème Festival International des Jeunes Réalisateurs de Saint-Jean de Luz

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    C'est ce soir que débute la 15ème édition du Festival International des Jeunes Réalisateurs de Saint-Jean de Luz dont le jury sera présidé par Claude Brasseur. C'est le film "A bout portant" de Fred Cavayé qui fera l'ouverture.

    Je vous laisse découvrir le programme complet sur le site officiel du festival et ci-dessous en vidéos.

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  • Vidéo-Etienne Chatiliez-Master class du Festival du Film Britannique de Dinard

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     Hier matin, le Festival du Film Britannique de Dinard a eu l'excellente idée de proposer aux festivaliers une master class sur la direction d'acteurs avec, notamment, pour invités: Peter Mullan, Etienne Chatiliez, Nick Moran, Anne Consigny... Dernière vidéo de cette master class avec Etienne Chatiliez qui évoque sa vision de la direction d'acteurs en attendant mon bilan du festival demain et de nouvelles vidéos, de la clôture cette fois.

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  • Vidéos-Peter Mullan et Nick Moran - Master class du Festival du Film Britannique de Dinard

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     Hier matin, le Festival du Film Britannique de Dinard a eu l'excellente idée de proposer aux festivaliers une master class sur la direction d'acteurs avec, notamment, pour invités: Peter Mullan, Etienne Chatiliez, Nick Moran, Anne Consigny... Peter Mullan évoque ici le casting de son dernier film "Neds" (film de clôture du festival ) dont je vous reparlerai et sa vision de la direction d'acteurs. Nick Moran intervient également sur ces sujets.

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  • Gagnez l’avant-première d’ « Harry Potter et les reliques de la mort » dans votre ville! 1000 points à gagner sur ce blog pour la compétition « Harry Potter dans ta ville » !

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    Voilà une compétition plutôt originale à laquelle il m’amuse de participer à ma manière. Une ville de France aura en effet prochainement la chance d’accueillir l’avant-première d’ « Harry Potter et les reliques de la mort- 1ère partie ».

    Pour marquer des points, de nombreuses actions devront être réalisées par les défenseurs de chaque ville et  ces dernier peuvent notamment entrer des codes secrets « cachés » sur internet. Grâce à Warner Bros, j’ai le plaisir de vous en proposer un qui est : XKYJ1785 . Bonne chance à toutes les villes et si vous voulez en savoir plus sur cette opération, lisez ce qui est écrit ci-dessous.

    Soutenez également votre ville sur http://www.harrypotter.fr .

     Retrouvez également ma critique de « Harry Potter et le princce de sang-mêlé » de David Yates en cliquant ici.

    Description de l’opération « Harry Potter  dans ta ville »

    15 villes rivaliseront pour avoir la chance d’accueillir l’avant-première officielle française d’un des films les plus attendus de l’année : Harry Potter et les Reliques de la Mort – 1ère partie, le septième et dernier opus de la saga racontée en deux volets. Harry Potter et les Reliques de la Mort – 1ère partie, sort en France le 24 novembre 2010. Le concours « Harry Potter dans ta Ville ? » se déroulera du 4 octobre au 10 novembre en 3 étapes.

    ETAPE 1 - LE RASSEMBLEMENT - « REJOINS LA BATAILLE » (du 4 Octobre au 24 Octobre – 15 villes )

    Les 15 villes en compétition  devront recruter et mobiliser un maximum de personnes autour de leur communauté de fans d’Harry Potter. Plusieurs épreuves sur le terrain et sur le web permettront aux compétiteurs d’accumuler des points pour leur ville mais aussi à titre personnel (les meilleurs recruteurs de chaque ville remporteront des prix). Au programme : parrainer des amis, rechercher le ‘7’ dans sa ville, publier des vidéos de motivation, customiser son blason… A l’issue de ces 3 premières semaines de bataille, les 8 villes qui auront accumulé le plus de points pourront passer à l’étape suivante.

    ETAPE 2 - L’AFFRONTEMENT - « RELEVE LE CHALLENGE » (du 25 Octobre au 7 Novembre – 8 villes)

    Les 8 villes en compétition confronteront leurs connaissances de la saga et devront faire preuve d’encore plus d’enthousiasme et d’implication. Le classement individuel ainsi que celui des villes continuera de faire rage. Au programme : QCM Harry Potter, Chasse aux objets via Google Streetview, concours de sosies, Légo Harry Potter à taille réelle… Au terme de ces quinze jours d’affrontement, seules 2 villes seront sélectionnées.

    ETAPE 3 - LE COMBAT FINAL : “TA VILLE SERA-T-ELLE L’ÉLUE ?” (du 7 Novembre au 10 Novembre – 2 villes)

    Les 2 villes finalistes s’affronteront lors d’un duel en direct à la radio sur RTL. A l’issue de ces derniers jours de campagne intensive et d’une émission live pleine de suspense, La ville victorieuse remportera l’avant-première officielle du film.

    Les 15 villes en compétition : Bordeaux, Grenoble, Lille, Lyon, Marseille, Montpellier, Nancy, Nantes, Nice, Paris, 11-Rennes, 12-Rouen, 13-Strasbourg, 14-Toulouse, 15-Tours

    Harry Potter et les Reliques de la Mort est réalisé par David Yates, également auteur des films à succès Harry Potter et l’Ordre du Phénix et Harry Potter et le Prince de sang-mêlé. David Heyman, producteur de tous les films Harry Potter, a produit ce dernier volet avec David Barron. Le scénario est une adaptation du livre de J.K. Rowling par Steve Kloves. Lionel Wigram en est le producteur délégué. En tête de la distribution, Daniel Radcliffe, Rupert Grint et Emma Watson reprennent leur rôle de Harry Potter, Ron Weasley et Hermione Granger. Les acteurs Helena Bonham Carter, Robbie Coltrane, Tom Felton, Ralph Fiennes, Brendan Gleeson, Richard Griffiths, John Hurt, Jason Isaacs, Helen McCrory, Bill Nighy, Miranda Richardson, Alan Rickman, Maggie Smith, Timothy Spall, Imelda Staunton, David Thewlis, Julie Walters et Bonnie Wright participent également au film. La sortie mondiale de Harry Potter et les Reliques de la Mort Première partie est prévue le 24 novembre 2010, la deuxième partie sortira en juillet 2011.

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  • Vidéo-Anne Consigny évoque ses débuts (Festival de Dinard-Master class)

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    Hier matin, le Festival du Film Britannique de Dinard a eu l'excellente idée de proposer aux festivaliers une master class sur la direction d'acteurs avec, notamment, pour invités: Peter Mullan, Etienne Chatiliez, Nick Moran, Anne Consigny... En attendant d'autres vidéos  de Peter Mullan, Nick Moran  et Etienne Chatiliez, écoutez Anne Consigny évoquer ses débuts avec beaucoup d'humilité.

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