Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

cinéma - Page 203

  • Soirées spéciales "Le concert" (de Radu Mihaileanu) au cinéma Le Saint Germain des Prés

    le-concert.jpgJe vous parle souvent de ce cinéma, le Saint Germain des Prés, un de mes préférés (avec l'Arlequin) récemment évoqué lors de la projection d' "Un Prophète" de Jacques Audiard suivie d'une rencontre avec son scénariste et son acteur principal Tahar Rahim (cliquez ici pour lire le récit de cette soirée ).

    Si je vous en parle à nouveau aujourd'hui, c'est à l’occasion de la sortie du nouveau film de Radu Mihaileanu "Le Concert" à l'avant-première exceptionnelle duquel j'ai eu la chance d'être invitée (cliquez ici pour lire ma critique du film et voir les vidéos et photos de cette soirée exceptionnelle).

    Pour cette occasion le Saint Germain des Prés vous propose ainsi 2 soirées spéciales autour du film avec au programme:

    Mercredi 4 novembre à 20h : mini concert russe (15 minutes) avant le film et une rencontre avec le réalisateur Radu Mihaileanu  après la projection.

    Vendredi 6 novembre à 20h : mini concert russe (20 minutes) avant le film.

    Les mini concerts sont proposés par l'Association pour la culture russe en France GLAGOL avec chant & guitare (Lesya TYCHKOVSKAYA), Violoncelliste (Anatoly VAINCHTEIN) & traducteur poétique (Vladimir SERGUEEV).

    Réservation au 01 46 34 82 54.

    Le film est par ailleurs projeté tous les jours au Saint Germain des Prés à 13h30 - 15h40 - 17h50 - 20h* -22h10**
    * sauf mardi 10 novembre / ** sauf mercredi 4 novembre et mardi 10 novembre

  • « Michael Jackson's this is it » de Kenny Ortega

    thisisit.jpg

    Le 25 juin dernier, à 50 ans, Michael Jackson décédait subitement faisant déferler une vague d'émotion sans précèdent, avec réactions entre abattement et incrédulité et (plus rarement) indifférence, souvent exacerbée par cynisme. Les mythes ne meurent pas ou, au contraire jeunes, c'est même à ça qu'on les reconnaît, on avait tendance à l'oublier.  

    On imagine aisément le pathos qui aurait pu découler d'un film sur les répétitions de sa série de concerts prévus à Londres, avec fans ravagés par la tristesse, voix off larmoyante de circonstance et impudeur conséquente. C'est la principale raison qui me faisait redouter ce documentaire. La seconde étant bien sûr la manne économique (en témoignent les 447 salles en France pour un résultat de 147083 entrées dès le premier jour) que représente une sortie savamment orchestrée (prévente des places, film à l'affiche deux semaines seulement) mais après tout cela rentre aussi dans la lignée de ces films, de plus en plus nombreux, et finalement pas pour me déplaire, dont les sorties s'apparentent à de vrais évènements, ramenant finalement le cinéma à ce qu'il était à ses origines (comme « Home » sorti dans le monde entier, ces films en 3D, ou encore « Le Concert » dont l'avant-première a été retransmise dans une cinquantaine de villes françaises...). Et puis l'envie d'assister à 1H45 de musique, d'une musique liée (comme pour beaucoup d'autres) à tant d'instants de mon existence l'a emporté sur mes doutes. L'envie de réminiscence l'a emporté sur les réticences.

    Les premières minutes m'ont au moins rassurée sur un point : pas de pathos, pas d'outrance dans le drame, mais au contraire beaucoup de mesure et de retenue. Le film a par ailleurs l'humilité de se présenter comme destiné aux fans. Les seuls visages en larmes sont ceux des danseurs (« prolongements de lui-même ») qui racontent leur bonheur d'avoir été choisis pour cette tournée. On imagine aisément la douleur de leur rêve brisé, mais aucune image ou aucun témoignage  postérieurs à sa mort ne viendront alourdir l'ensemble. Pas de violon : la seule musique est celle de Mickael Jackson. Et pas de voix off. Ici c'est la musique et l'artiste qui sont à l'honneur.

    Une rumeur (lancée par le père même de l'artiste) selon laquelle dans certaines séquences il s'agirait d'une doublure m'a d'abord perturbée, je ne pouvais m'empêcher de scruter les traits de son visage (malheureusement ce qu'il en reste) pour m'assurer qu'il s'agissait bien des siens, particulièrement dans les plans d'ensemble où il aurait été plus facile de nous tromper. Je n'ai pas non plus pu m'empêcher de remarquer que beaucoup de séquences ont été tournées le même jour (en témoigne cette chemise rouge qui dépasse d'un côté du pantalon présente dans de très nombreux plans), ce qui témoigne vraisemblablement du fait qu'elles ont été choisies avec parcimonie pour le montrer dans le meilleur état de santé possible et que (peut-être, mais rien ne permet de l'affirmer) elles étaient plutôt rares.

     Mais ensuite...ensuite...la musique, l'admiration devant cet artiste hors du commun qui révèle ici toute sa force fragile, son humilité, son perfectionnisme, sa créativité, son implication, son humour même l'ont emporté et j'ai été totalement embarquée au point de trouver cette heure quarante-cinq beaucoup trop courte. Pour paraphraser (encore) Truffaut, je dirai que chaque minute est à la fois « une joie et une souffrance ». Une joie parce que son talent explose à l'écran, et quelques pas de danse ou de moonwalk, quelques notes avec la pureté cristalline de sa voix, lui font frôler au plus près quelque chose  qui s'appelle la grâce. Si rare. Epoustouflante.  Une souffrance parce que les gros plans nous montrent des traits informes, parce qu'il semble d'une telle maigreur qu'à tout instant on a l'impression qu'il va se répandre en mille morceaux. Une souffrance parce que chaque minute nous montre quel artiste unique et irremplaçable il était mais aussi quel spectacle incroyable, inédit, fascinant aurait été cette dernière série de concerts (et quand on le voit s'impliquer autant, habité par la musique, on se demande même comment il n'a pas eu envie de remonter sur scène plus tôt). Une souffrance parce qu'il apparaît terriblement professionnel et enfantin. Un enfant d'une désarmante simplicité et naïveté (quand il parle d'amour ou de nature, dès qu'il le peut, et achève tout ses discours par « God bless you ») et d'un talent incomparable. Un enfant qui voulait toujours s'élever plus haut.

     Evidemment, on ne peut s'empêcher d'exercer un œil critique, et de considérer « This is it » en objet de cinéma. Finalement pour la rapidité avec laquelle il a été monté, pour tous les écueils qu'il évite,  pour l'émotion qui nous envahit progressivement et qui culmine à la fin sans jamais être forcée, même du point de vue cinématographique c'est plutôt une réussite. Par ailleurs ses références cinématographiques (on imagine quel bonheur cela aurait été de le voir sortir des images de films qu'il a tournées, où la magie du cinéma le faisait se retrouver avec Rita Hayworth et Humphrey Bogart, dans « Le Grand Sommeil » ou « Gilda »), et cet extrait de thriller en 3D montre aussi qu'il savait se référer au cinéma d'hier tout en influençant celui d'aujourd'hui. Beaucoup de films ne peuvent en dire autant. Par ailleurs, le montage est plutôt réussi, il donne une impression de rythme et d'amplitude. Au-delà du cas de Michael Jackson, il permet aussi de confronter un artiste, dans l'exercice de son art, à son image médiatique, si éloignée de ce que nous montrent ces images qui imposent le silence ; et de montrer le travail, l'exigence que cet art implique. Et des images qui, plus d'une fois, m'ont donnée envie d'applaudir ou danser (mais le petit nombre de spectateurs plutôt sérieux m'ont convaincue de rester sagement assise et silencieuse).

     Alors voilà. This is it. C'est terminé. On y est. A la fin. Au paroxysme. Michael Jackson avec ces ultimes concerts voulait tirer sa révérence. On sort de là avec un sentiment mêlé d'admiration et de nostalgie. On ne peut s'empêcher de se demander ce qu'aurait pensé le perfectionniste qu'il était de ces images où il apparaît (un peu) débraillé, où il ne force pas toujours sa voix (pour la préserver en prévision des concerts), où il n'atteint pas la perfection préservée pour le jour j..., où il ne tire pas sa révérence au sommet comme il le souhaitait mais montre son perfectionnisme et sa fragilité et n'en est que plus touchant, et finalement mythique ? 

     Avec cette œuvre posthume, le king of pop entre donc  définitivement dans la légende et nous laisse avec une impression d'inachevé et un air de musique qui n'a pas fini de nous accompagner. Parce que la musique, elle aussi, est éternelle. A voir. A vivre. Absolument.

     

    Lien permanent Imprimer Pin it! 2 commentaires
  • 7ème semaine du cinéma russe à Paris

    regardsderussie.jpgCette nouvelle année bloguesque, je continuerai à vous parler de l'actualité festivalière et aujourd'hui je tenais à vous parler d'un festival qui se déroule dans un cinéma que j'apprécie tout particulièrement et auquel je n'aurai malheureusement pas le temps d'assister: il s'agit de la 7ème Semaine du Cinéma Russe à Paris qui s'achèvera le 3 novembre.

    Vous y découvrirez une sélection des dernières productions russes, et vous pourrez débattre avec les grands réalisateurs russes contemporains.

     Vous pourrez également voir 12 films inédits parmi lesquels: " Le Tsar" de Pavel Lounguine, "Passagère" de Stanislav Govorukhin,  "Le Miracle" de Alexandre Prochkine, "Minette" de Grigori Konstantinopolski, "Kromov" de Andreï Razenkov, " Amour, toujours– 2"  de Maxime Pejemski, "Mais lâchez-moi la grappe" de Sergueï Snejkine, "Les Zazous" de Valeri Todorovski...

     Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.lesecransdeparis.com .

     

    Lien permanent Imprimer Catégories : IN THE MOOD FOR NEWS (actualité cinématographique) Pin it! 0 commentaire
  • In the mood for cinema en route pour une 6ème année: bilan annuel et projets

    anniv.png

    Demain, Inthemoodforcinema.com entamera (déjà!) sa 6ème année. Pas encore tout à fait l'âge de raison. Cela tombe bien: ici il est et sera question de passion(s), plus que jamais. Celles qui m'animent depuis une bonne dizaine d'années  (cliquez ici pour en savoir plus sur mon parcours et les origines de ce blog) et que j'essaie de transmettre par le biais de ce blog avec plus de régularité depuis ce début d'année.  Celles qui, depuis 16 ans, m'ont fait vivre des histoires incroyables, et m'en feront vivre, je peux d'ores et déjà vous l'annoncer, l'année à venir.

    Il faut dire qu'avoir un blog n'est plus cette activité marginale, voire inconnue, comme c'était le cas aux débuts d'inthemoodforcinema.com. Les choses ont considérablement changé depuis, surtout depuis un an, et si je passe désormais autant de temps dans les projections presse que dans les salles "normales", j'essaie surtout de ne pas tomber dans les travers journalistiques (être blasée; dire que Cannes  j'y vais parce que je ne peux faire autrement, que c'est fatiguant et c'était bien mieux avant; partir avant la fin d'une projection; parler d'un film parce que les petits fours étaient délicieux et que j'espèrerais bien y avoir droit la fois prochaine... -ce qui ne m'empêche pas d'apprécier accessoirement les petits fours-; encenser ou dénigrer un film sans l'avoir vu; ne parler que du film dont tout le monde parle parce qu'on m'a dit d'en parler et que sinon je serais bannie à vie de toute projection de la société le distribuant; dire du mal d'un film que tout le monde a aimé parce que c'est mieux de se distinguer et d'aller à contre-courant de l'avis général ou l'inverse...) et  je ne me prends surtout par pour une journaliste pour autant (et ne souhaite même nullement le devenir!), mais plutôt pour quelqu'un qui s'amuse tout en exprimant son point de vue ou racontant ses pérégrinations le plus souvent cinématographiques (un "travail" ludique ou un jeu-parfois- sérieux en somme) en osant espérer qu'il soit singulier à l'image de mon parcours un peu atypique, quelqu'un qui essaie de partager sa passion irrépressible et plus que jamais ardente et qui essaie aussi de vous faire vivre par procuration tous ces évènements auxquels j'ai la chance d'assister.

    C'est toujours un immense plaisir que de pouvoir échanger sur cette passion (merci, vraiment, pour votre fidélité et pour vos commentaires même s'ils sont parcimonieux). Ne pas être journaliste ne m'empêche pas d'essayer de le faire le plus honnêtement possible (même si la perfectionniste que je suis est forcément insatisfaite), en tout cas passionnément et de résister aux sirènes de la publicité (il n'y en a désormais plus une seule sur inthemoodforcinema.com, et même si je n'ai pas la prétention de penser que je suis  incorruptible, s'il en vient, elles seront clairement signalées), et de ne pas m'abstenir  de dire ce que je pense réellement sous prétexte que j'ai été invitée par tel ou tel distributeur... même si le but de ce blog reste le même qu'à ses origines: plutôt défendre un film qui m'a enthousiasmée que de dénigrer un film pour exercer une plume(ou une souris) assassine -rien de plus facile que d'être blessant avec de cyniques envolées lyriques et d'autres savent bien et mieux s'en charger- même s'il peut arriver que mon exaspération l'emporte sur cette mesure. Eviter la tiédeur à tout prix! Il peut arriver aussi que certaines périodes soient moins riches, l'existence l'emportant parfois sur le cinéma et son reflet...même si je cite toujours Truffaut avec plaisir: «Les films sont plus harmonieux que la vie. Il n’y a pas d’embouteillages dans les films, il n’y a pas de temps mort.»   Je ne prétends ni à la perfection ni à l'exhaustivité mais je fais de mon mieux pour que ce blog soit aussi riche, varié et cohérent que possible...mais il est humain (bah oui, il y a une âme et un coeur derrière ces lignes dactylographiées...) donc faillible et perfectible.

    femmedacote.jpg

     Ainsi, vous ne trouverez désormais sur ce blog que des bandes annonces de films que j'ai appréciés (à moins qu'elles aient un caractère exceptionnel) et que des concours pour des films que je vous recommande (comme pour "L'Enfer" de Clouzot cette semaine, à propos, toutes les places ont déjà été gagnées, les gagnants seront contactés demain). Cela ne m'empêchera pas d'accepter à nouveau certains partenariats quand ils me paraîtront pertinents comme celui avec Orange en septembre dernier qui a permis à 18 d'entre vous de venir au Festival de Deauville, ou encore comme ces partenariats récurrents avec la Cinémathèque. Vous trouverez aussi toujours des films dits d'auteur comme des films de pur divertissement, et des films d'hier et comme des films d'aujourd'hui, et même de demain parce que je peux d'ores et déjà vous annoncer de très nombreuses avant-premières à venir...

    blogdeauville10.jpgblogdeauville207.jpg
    prix du meilleur blog Festival de Cannes 2008.jpg

     2009_0322Monaclôture0050.JPGCe blog est avant tout pour moi un plaisir (d'ailleurs croissant), un espace de liberté (certains ont tendance à l'oublier...) et je ne compte plus tous les instants insolites, magnifiques, inattendus, palpitants qu'il m'a permis de vivre en un an, de Paris (de mon bilan de l'année cinéma commandé par le journal de l'ENA et publié dans celui-ci en fin d'année dernière à un partenariat avec le Salon du Cinéma, en passant par une visite privée de l'expo Tati à la Cinémathèque guidée par les commissaires de l'exposition) à Monaco (où Inthemoodforcinema était le blog choisi par un site de cinéma et invité au festival par l'agence "Rumeur publique", en accord avec le festival, dans des conditions exceptionnelles), des locaux de France 2 à ceux de Canal plusde Dinard (avec la parution dans "Flashback", le livre des 20 ans du festival, de mon article sur le cinéma britannique et le festival que vous pouvez lire icià Cannes (avec notamment le prix du meilleur blog du festival 2008 pour inthemoodforcannes grâce auquel notamment  et pour une multitude d'autres raisons, j'ai vécu cette année mon plus beau festival de Cannes, de la montée des marches avec l'équipe L'Oréal et Eva Longoria à de magnifiques découvertes cinématographiques ), avec aussi évidemment l'incontournable Deauville pour la 16ème année consécutive (Inthemoodfordeauville ayant même été cité comme site officiel du Festival par Télématin!) et dans des conditions idéales (même si je réfléchis à la possibilité de délaisser le Festival du Cinéma Américain pour celui de Venise l'an prochain, ayant je crois exploré toutes les facettes de ce festival)... sans compter, surtout, de belles amitiés blogosphériques. Il m'a aussi fait découvrir quantité de films ou d'univers vers lesquels je ne serais pas forcément allée spontanément.

    blogdinard4.jpgblogdinard5.jpgblogdinard3.jpg

    Cette 6ème année inthemoodforcinemaesque est pour moi l'occasion de  vous annoncer le programme de cette année blogosphérique à venir avec d'abord beaucoup d'inattendu à l'image de cette dernière semaine riche en évènements avec notamment l'avant-première du "Concert" au Châtelet, la soirée du Courrier International ou encore la rencontre avec Terry Gilliam.

    pitt et tarantino.jpg

    quentin tarantino et mélanie laurent.jpgBien entendu, les festivals, sans lesquels je n'aurais pas eu l'idée de créer ces blogs, continueront à être à l'honneur avec comme chaque année le Festival de Cannes, pour la 10ème année consécutive,  et sans aucun doute de nombreuses nouveautés l'an prochain. Il se pourrait que je délaisse Dinard pour Rome, Deauville pour Venise (oui, je sais, je sais, cela fait des années que je dis ça...:-)) et il est probable que je retourne à Cabourg délaissé cette année et que j'explore de nouvelles cinématographies et destinations.

    blogphoto6.jpg

    Bien évidemment le cinéma restera la thématique principale avec davantage d'interviews, de masterclass, d'avant-premières évènementielles, de conférences de presse (comme celles à Deauville ou Dinard, mais aussi à Paris comme celle de Jennifer Aniston notamment) de festivals de cinéma, de classiques du septième art, et de pérégrinations scénaristiques qui restent ma priorité. Avec aussi davantage de photos et vidéos, bientôt de meilleure qualité grâce à l'investissement dans un matériel lui aussi de meilleure qualité (je réfléchis à la possibilité d'investir dans une petite caméra ou un appareil photo faisant caméra, les avis sont les bienvenus). Si j'ai longtemps privilégié le fond, j'essaie aussi désormais de faire en sorte que la forme soit la plus agréable possible.

    elle35.jpg

    La littérature continuera aussi à être à l'honneur puisque je fais partie du jury des lectrices de Elle 2010. Jusqu'en mai prochain, je continuerai donc à recevoir des ouvrages et à vous faire partager ces lectures avec 7 livres au programme d'ici la mi-décembre dans la lecture desquels je vais me plonger de ce pas! Et je continuerai bien entendu après ce prix à partager mes coups de coeur littéraires.

    athens19.jpg

    Vous aurez aussi remarqué que j'ai récemment introduit une nouvelle rubrique "lieux in the mood" non pas pour faire de la publicité comme on me l'a fait remarquer (je parle de lieux d'exception que j'ai la chance de connaître, simplement pour le plaisir de vous les faire découvrir et de vous faire rêver un peu, sans que quiconque me l'ait demandé) vous ayant ainsi récemment embarqués en Grèce ou à Barcelone. De temps à autre, le dimanche, vous trouverez donc de nouveaux lieux "in the mood" à découvrir... et cela dès dimanche prochain. Inthemoodforcinema.com a par ailleurs désormais un partenariat avec le site de voyage Cityzeum.

    Vous continuerez aussi à trouver des chroniques théâtrales (bientôt de nouvelles...) ou musicales (avec comme la semaine dernière la découverte du groupe Girbig ) ou télévisuelles (comme sur "Apocalypse" que j'ai eu le chance de voir en avant-première à France 2, ou comme sur "Braquo", suite à la rencontre avec Olivier Marchal dans les locaux de Canal plus.)

    boutiqueinthemood5.jpg

    Inthemoodforcinema est aussi désormais une marque déposée à l'INPI, d'une part parce que je ne voulais pas découvrir un jour ou l'autre un magazine ou une émission portant ce nom, d'autre part parce que je me suis amusée à créer la marque "in the mood for cinema" et à ouvrir une boutique en ligne que je vous invite à découvrir en cliquant ici! Avec l'idée, peut-être, à terme de créer une vraie marque (et donc à moindre coût... même si vous trouverez des articles à partir de 13€, une quarantaine sont déjà "en boutique").

    J'espère aussi avoir le temps, prochainement, d'écrire et mettre en ligne d'autres nouvelles et textes plus personnels comme ma nouvelle se déroulant à Cannes que vous pouvez lire en cliquant ici.

    Comme vous l'aurez remarqué pendant ce mois d'octobre, j'essaie désormais d'écrire quotidiennement (ce n'est et ne sera pas toujours possible) et jamais parce qu'il le faut ou parce que ce serait un devoir mais parce que c'est un exercice jubilatoire que de partager mon enthousiasme et mes découvertes. Je dois même avouer que les activités que je mène en parallèle ne me laissent pas le temps d'écrire autant que je le voudrais ( oui, certains sembleraient l'oublier, il y a aussi une vie en dehors du blog même si l'un et l'autre s'enrichissent mutuellement.)

    inthemood.jpg
    inthemood6.jpg

    La forme d'inthemoodforcinema.com, d'inthemoodforcannes.com, d'inthemoodfordeauville.com a aussi considérablement évolué depuis un an plus en adéquation avec le fond du blog, de même que la liste de mes liens, renouvelée (dans la colonne de droite) que je vous invite à parcourir.

    twitter1.jpgfacebook.jpg

    Vous pouvez aussi désormais suivre ce blog sur Twitter et sur Facebook...et vous êtes déjà une centaine à le faire pour avoir des informations exclusives, notamment sur les concours et divers évènements. Et je n'ai pas abandonné certaines de mes idées saugrenues comme celle de voir un festival de cinéma digne de ce nom à Laval (si vous voulez en débattre, j'ai créé un sujet facebook à ce sujet, ici).

    Si les conditions ont changé, si les sollicitations se sont multipliées, mes objectifs restent les mêmes. Me laisser surprendre. Vous surprendre. Vous emmener (et m'emmener) dans mes pérégrinations, mes enthousiasmes et mes découvertes ( cinématographiques, littéraires, théâtraux...).  M'évader. Vous permettre de vous évader.  Et/ou réflèchir. Vivre au rythme de ma passion viscérale et démesurée pour le cinéma. Et pour l'écriture. Jongler avec les mots. Et avec les surprises du destin. Découvrir (des lieux, des univers, des cinématographies...).  Et rester toujours fidèle à cette citation de Saint-Augustin  en exergue sur ce blog "Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion." Cette passion m'a déjà conduite dans des aventures passionnantes dont il semblerait que ce ne soit que le début. Pour l'instant je ne m'y suis pas égarée, bien au contraire, alors je continue à pérégriner!

    Alors en route pour une nouvelle année qui s'annonce très riche, plus que jamais et sans modération "in the mood for cinema", avec plus d'enthousiasme, de curiosité, de passion, de surprises, de découvertes...et évidemment de cinéma que jamais!

    Lien permanent Imprimer Catégories : EDITORIAUX Pin it! 8 commentaires
  • Terry Gilliam sur in the mood for cinema!

    Terry Gilliam1.jpg
    Terry Gilliam2.jpg

    Cet après-midi, une vingtaine de blogueurs, dont inthemoodforcinema.com, ont eu la chance d'assister à une rencontre intimiste et privilègiée avec Terry Gilliam, suite à la projection en avant-première de "L'Imaginarium du Docteur Parnassus" (dont vous trouverez bien évidemment très bientôt la critique sur inthemoodforcinema.com ).

     Avec son rire tonitruant, sa chemise aussi fantaisiste que son dernier film (dans lequel il témoigne de sa réjouissante imagination débridée), Terry Gilliam s'est prêté au jeu des questions avec beaucoup de simplicité. Ses influences, ses échecs, son univers, Johnny Depp... : tels sont quelques uns des sujets abordés que je vous laisse découvrir dans mes vidéos ci-dessous.

  • Terry Gilliam bientôt sur inthemoodforcinema.com!

    De nombreux évènements à suivre sur inthemoodforcinema.com et notamment ma critique en avant-première de "L'imaginarium du Docteur Parnassus" et la masterclass de Terry Gilliam mais aussi ma critique en avant-première de "Samson et Delilah", et mes critiques des films à l'affiche cette semaine (This is it, Cineman, Micmacs à Tire-larigot)! En attendant, pour patienter, voici la bande annonce de ce dernier film de Terry Gilliam:

     

  • Sortie en salles de "Micmacs à Tire-Larigot": masterclass de Jean-Pierre Jeunet

    micmacs3.jpgA l'occasion de la sortie en salles de "Micmacs à tire-larigot", demain, je vous propose de relire  le compte rendu de la passionnante masterclass de Jean-Pierre Jeunet, en cliquant ici.

    jeunet.jpg