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cinéma - Page 173

  • Dates du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2010: 36ème édition

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    Alors que le Festival du Film Asiatique de Deauville vient de s'achever, je vous donne d'ores et déjà rendez-vous sur "In the mood for Deauville" pour le Festival du Cinéma Américain de Deauville 2010 qui aura lieu du vendredi 3 au dimanche 12 septembre, la 36ème édition du festival qui sera pour moi la 17ème (à moins que je ne cède à la tentation vénitienne...)

     D'ici là, vous pourrez y  retrouver de nombreuses informations sur le 150ème anniversaire de la ville de Deauville dont je vous reparle très bientôt.

    En attendant le 36ème Festival du Cinéma Américain de Deauville, je vous donne bien entendu rendez-vous sur "In the mood for Cannes" pour le Festival de Cannes 2010 que vous pourrez également suivre ici en direct, de l'ouverture à la clôture.

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  • Palmarès complet et bilan du Festival du Film Asiatique de Deauville 2010

    C'est avec un peu de retard que je vous livre mon bilan du Festival du Film Asiatique de Deauville 2010, la trépidante vie parisienne ayant déjà repris son cours et m'ayant déjà entraînée dans son tourbillon.
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    Dans l'un des films en compétition, « The Eternal», son réalisateur Rituparno Ghosh fait dire à l'un de ses personnages que le cinéma ce sont des « moments fugaces ». Si je ne devais donc que garder les meilleurs moments fugaces de ce festival je me souviendrais des instants de pérégrinations amicales et cinématographiques qui ont une nouvelle fois contribué à faire de ce festival une douce et revigorante parenthèse. J'espère d'ailleurs qu'il perdurera et que cette 12ème édition ne sera pas la dernière malgré la baisse des partenaires ( baisse de 35% dit-on après une baisse déjà de 20% l'an passé et la disparition du village asiatique) et malgré le peu de public à certains films en compétition pourtant de grande qualité, et surtout particulièrement diversifiés qui ont constitué pour moi, comme chaque année, une promenade instructive dans la cinématographie et la culture asiatique, un éclairage sans concessions sur le visage de l'Asie contemporaine.

    Avec le film chinois  « Judge » de Liu Jie mon premier coup de cœur (lotus du meilleur film 2010) je me suis engouffrée dans les couloirs de la mort et de l'absurdité de la justice chinoise (cliquez ici pour lire ma critique du film), un film jalonné de plans fixes d'une acuité implacable.  Avec le film coréen « Paju » de Park Chan-ok (mon autre coup de cœur), prix du jury ex-æquo, j'ai accompagné  des destins déconstruits comme un puzzle à l'image d'une Corée écartelée entre le Nord et le Sud. Un film dont la construction habile ne nuit jamais à l'émotion mais au contraire fait qu'elle s'immisce peu à peu en vous (voir ma critique ici). Un petit bijou d'intelligence scénaristique. J'ai découvert l'atrocité du « Massacre de Nankin » dans « City of life and death » de Lu Chuan (hors compétition) aussi visuellement brillant qu'humainement insoutenable (pour moi en tout cas). J'ai eu envie de découvrir le cinéma de Mendoza, suite à sa Master class où il s'est révélé aussi prolixe que passionnant (voir mon résumé, ici).  J'ai vu deux films japonais aussi loufoques qu'inclassables, l'un (« Symbol » de Matsumoto Hitoshi) dont je vous ai déjà parlé ici qui aurait pu faire un splendide court-métrage là où la version longue le rend présomptueux et agaçant. L'autre ( « The king of jail breakers » de Itao Itsuji) dont les scènes répétitives d'un prisonnier qui s'échappe systématiquement de la prison dans laquelle il est incarcéré trouve son originalité dans une autre évasion (du ventre maternel !) filmée en caméra subjective et un final aussi ironique et diaboliquement réjouissant que le reste du film était glauque. Un film qui aurait sans aucun doute mérité le prix de la dérision. Avec « The Eternal » de Rituparno Ghosh, j'ai découvert un cinéma venu d'Inde qui sait être réflexif (réflexion sur le cinéma, la filiation) mais sans oublier Bollywood auquel quelques scènes chantées rendent hommage.  J'ai vu la première production tadjike depuis 18 ans avec « True noon »  (dont je vous ai parlé ici), film dans lequel le réalisateur Nosir Saidov a su donner des accents d'universalité  à un drame local.

    Certes, je me suis parfois ennuyée, j'ai parfois été agacée mais comme chaque année cette promenade s'est avérée enrichissante. Deauville a su montrer un visage d'une Asie hétérogène même si les différents films en compétition (qu'ils viennent d'Inde, de Corée du Sud, du Japon, de Chine, de Malaisie...) avaient  en commun de nous montrer des personnages englués dans une réalité suffocante, cherchant à échapper à leur situation et à s'évader (au propre comme au figuré) mais aussi cherchant à nous montrer leurs vrais visages même si on tente de le dissimuler derrière une frontière, des barbelés, les barreaux d'une prison. On retrouve enfin  ce même sentiment d'enfermement et cette difficulté à communiquer (que ce soit entre l'Etat et les citoyens, ou entre les citoyens).

     Je vous laisse découvrir le palmarès ci-dessous, pas vraiment surprenant, « Judge », lotus du meilleur film 2010 surpassant le reste de la sélection, le festival prouvant son indépendance en mettant en avant un film plutôt critique avec la Chine, Chine par ailleurs à l'honneur cette année (ce qui lui a par ailleurs été parfois reproché). « Paju » pouvait difficilement être écarté du palmarès pour toutes les raisons précédemment évoquées. Je n'ai malheureusement pas vu « Au revoir Taïpei » (prix du jury ex-aequo avec « Paju »). Le contemplatif et prétentieux film malaisien de Charlotte Lim Lay Kuen « My daughter » disposait de toutes les « qualités » pour remporter le prix de la critique internationale. Comme chaque année, je me suis concentrée sur la compétition et n'ai donc vu aucun film de la section Action Asia (d'ailleurs une petite requête auprès du festival, il serait bien que les films repassent davantage de fois pour permettre aux spectateurs de profiter de toutes les sélections et que reviennent les séances de deuxième partie de soirée) dont le jury présidé par Florent Emilio Siri a récompensé « The sword with no name » de Kim Yong-kyun.

    Un grand merci à notre partenaire Orange pour les 40 pass et les séjours de rêve qu'ils m'ont permis de faire gagner, et à mes  joyeux acolytes de salles obscures et d'escapades gastronomiques qui se reconnaîtront.

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    Pour voir mes vidéos de la clôture, cliquez ici.

     Le Jury Longs Métrages présidé par Pascal Bonitzer, entouré de Raja Amari, Elie Chouraqui, Anne Consigny, Sara Forestier, Safy Nebbou, Clémence Poésy, Frédéric Schoendoerffer et Bruno Todeschini a décerné les prix suivants:

    LOTUS DU MEILLEUR FILM - Grand Prix

    JUDGE de Liu Jie (Chine )

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    LOTUS DU JURY - Prix du Jury ex-aequo

    AU REVOIR TAIPEI de Arvin Chen (Taïwan/Etats-Unis/Allemagne / ) & PAJU de/by PARK Chan-ok (Corée du Sud )

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    Le jury composé de journalistes internationaux a décerné le prix suivant:

    LOTUS AIR FRANCE - Prix de la Critique Internationale

    MY DAUGHTER de Charlotte Lim Lay Kuen (Malaisie )

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    Le Jury Action Asia présidé par Florent Emilio Siri, entouré de Vikash Dhorasoo, Thierry Frémont, Samuel Le Bihan, Cécile Telerman et Malik Zidi a décerné son prix au film:

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    LOTUS ACTION ASIA - Grand Prix Action Asia

    THE SWORD WITH NO NAME de Kim Yong-gyun (Corée du Sud)

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    A suivre: l'actualité deauvillaise continue sur "In the mood for Deauville" en attendant les premières informations sur le Festival du Cinéma Américain de Deauville 2010.

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  • Mes vidéos de Tim Burton (avant-première Allociné d' "Alice au pays des merveilles")

    Hier soir avait lieu l'avant-première d' "Alice au pays des merveilles" pour le club 300 d'Allociné à l'occasion de laquelle la venue surprise de Tim Burton a été orchestrée... Avant de vous livrer ma critique du film, je vous propose donc ci-dessous mes vidéos du cinéaste.

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  • Lauréats du Forum International Cinéma et Littérature de Monaco 2010

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    © Forum International Cinéma & Littérature 2010

    monaco.jpgAlors que cette semaine sort sur les écrans "L'Arnacoeur" de Pascal Chaumeil projeté en avant-première à Monaco (où il se déroule), voici le palmarès du Forum International Cinéma et Littérature de Monaco 2010 où je n'étais pas cette année, lui ayant préfèré, le Festival du Film Asiatique de Deauville. Notons au passage que le très beau film de Stéphane Brizé "Mademoiselle Chambon" (cliquez ici pour en lire ma critique) a reçu le prix de la meilleure adaptation, le film avait déjà reçu un César dans cette même catégorie.

    Palmarès

    PRIX DU MEILLEUR ROMAN ADAPTABLE

    (Président du Jury Olivier Marchal entouré de Pauline Delpech, Abdel Raouf Dafri, Nicolas Fargues et Véronique Zerdoun)

     Darling Jim de Christian Mørk (Le Serpent à plumes)

    PRIX DE LA MEILLEURE ADAPTATION LITTERAIRE DE TELEVISION

    (Président du Jury Jean-Paul Lilienfeld entouré de Armelle Deutsch, Delphine Chanéac, Gilles de Verdière et Karole Rocher)

     XIII de Duane Clark (adapté de la Bande Dessinée éponyme de William Vance et Jean Van Hamme)

    PRIX DE LA MEILLEURE BANDE DESSINEE ADAPTABLE

    (Président Jean-Claude Mezières entouré de Emile Bravo, Florian Genetet-Morel, Marc Du Pontavice et Philippe Tome)

     Rébétiko (La Mauvaise herbe) de David Prudhomme (Futuropolis)

    PRIX DE LA MEILLEURE ADAPTATION LITTERAIRE

    - Film sélectionné par Studio CinéLive

     Mademoiselle Chambon de Stéphane Brizé (adapté du roman éponyme de Eric Holder)

    PRIX DU MEILLEUR SCENARISTE

    Abdel Raouf Dafri

    PRIX DU MEILLEUR PRODUCTEUR

    Fidélité Films pour Le Petit Nicolas (Marc Missonier & Olivier Delbosc)

    TROPHEE D'HONNEUR

    Jean Van Hamme

    Liens:

    Mon compte rendu du Forum International Cinéma et Littérature de Monaco 2009

    Site officiel du Forum

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  • 11ème Festival du Film Francophone de Grèce

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    Si vous suivez ce blog depuis un moment, vous connaissez sans doute ma passion pour la Grèce (vous pouvez retrouver tous mes articles consacrés à la Grèce sur mon nouveau blog, en cliquant ici).

    Je ne pouvais donc pas ne pas vous parler de la onzième édition du Festival du Film Francophone de Grèce qui se tiendra du 15 au 25 avril à Athènes, et du 22 au 28 avril à Thessalonique.

    Vous pourrez y découvrir (si vous avez la chance de pouvoir y assister!) une grande sélection de films, pour la plupart encore inédits en Grèce. Ils seront projetés sous l'œil attentif d'un jury jeune, sélectionné dans le lycée franco-hellénique Eugène Delacroix d'Athènes.  Daphné Roulier, la plus cinéphile des présentatrices de Canal+, en sera la marraine.

    Invité de marque (et griffé haute couture),  Jean-Paul Gaultier sera le parrain du Festival.

    Pour plus de renseignements, rendez-vous sur le site de l'institut français d'Athènes  et sur le blog officiel du Festival

    Dès que je dispose de davantage d'informations, je vous en fais part sur le blog.

    A suivre bientôt sur "In the mood for cinema": ma critique de "Alice au pays des merveilles" de Tim Burton, mon bilan du Festival du Film Asiatique de Deauville 2010 , des pass à gagner pour le Festival du Film Policier de Beaune, le salon du livre... notamment!

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  • La clôture du Festival du Film Asiatique de Deauville 2010 en vidéos

    En attendant mon bilan écrit de ce Festival du Film Asiatique de Deauville 2010 avec le palmarès complet et de nombreuses photographies (dès que j'aurai un peu de temps mais je préfère le publier un peu en retard plutôt que de le bâcler et que celui-ci ne reflète pas complètement mon enthousiasme), voici quelques unes de mes vidéos de la clôture.

     

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  • "Bus Palladium" de Christopher Thompson

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    Alors qu'il a toujours baigné dans l'univers cinématographique, entre son grand-père Gérard Oury et sa mère Danièle Thompson (avec laquelle il a coécrit plusieurs scénarii), Christopher Thompson a attendu d'avoir presque quarante ans pour passer derrière la caméra. Un premier film est souvent le plus personnel, celui qui porte le plus l'empreinte de son réalisateur. Christopher Thompson, lui, a choisi de nous parler de musique et d'amitié à travers une bande de jeunes musiciens...

    Lucas, (Marc-André Grondin), Manu (Arthur Dupont), Philippe (Abraham Belaga), Jacob (Jules Pelissier) et Mario (François Civil) s'aiment depuis l'enfance. Ils ont du talent et de l'espoir. Ils rêvent de musique et de gloire. Leur groupe de rock, LUST, connaît un succès grandissant, mais les aspirations de chacun rendent incertain leur avenir commun. L'arrivée de Laura (Elisa Sednaoui) dans leur vie va bousculer un peu plus ce fragile équilibre.

    Cela débute sur le sublime air de « Let it loose » des Stones et pour moi c'était déjà une bonne raison d'aimer ce film ( vous saurez désormais comment me corrompre... : -)). Et ensuite ? Ensuite, « Bus Palladium » pâtit un peu de cette brillante référence avant de nous embarquer dans sa propre musique. Plus lisse, plus douce mais non dénuée de rugosité et d'amertume. Christopher Thompson fait commencer son film dans un joyeux désordre imprégné de l'enthousiasme de ce groupe qui débute. Puis, des personnages se distinguent : Lucas et Manu surtout, définis autant par l'amitié qui les lie que par leur rapport à leurs mères. La mère de Lucas est psy, réfléchie et compréhensive. Celle de Manu est très jeune, hôtesse de l'air, elle est indépendante, libre, et vit avec son fils comme avec un colocataire, dans un incessant tourbillon. Le premier est aussi équilibré que le second vit sur le fil et en déséquilibre. Et c'est là la grande force de ce premier film qui nous en fait dépasser les faiblesses : le caractère attachant de ses personnages dont Christopher Thompson (et Thierry Klifa, son coscénariste) brosse subtilement les portraits, à travers leurs relations avec leurs parents (mère dans le cas des deux précités ou grand-mère dans le cas de Babcia la grand-mère de Jacob qui ne parle que Yiddish.) Il sait singulariser ses personnages, les distinguer, nous les rendre familiers, particulièrement aidé en cela par trois acteurs exceptionnels. D'abord, la découverte Arthur Dupont qui interprète l'écorché vif Manu qui joue la comédie avec un air de Romain Duris et chante avec la voix de De Palmas. Ensuite Marc-André Grondin qui de nouveau en est au « premier jour du reste de sa vie ». et Elisa Sednaoui, séductrice et forte avec juste ce qu'il faut de fragilité qui affleure.

    Ces trois-là nous valent de suivre le film avec intérêt, leurs relations parfois troubles, surtout fortes, leur douloureux et définitif adieu à l'adolescence et le cruel renoncement à leurs rêves. Dommage alors que le reste soit si peu « rock », si peu à l'image du nom du groupe « Lust » (qui signifie luxure), que tout semble tellement lisse, que le Bus Palladium et certains personnages (au contraire de ces trois-là qui en ont tant) manquent  de caractère, que le film ait refusé de se situer vraiment dans une époque pour malheureusement ne pas parvenir non plus à être intemporel ( l'intrigue se déroule dans les années 80 avec des références vestimentaires des années 1970  et un vocabulaire des années 2000 « taf », « buzz » sans oublier la nourriture venant de chez Quick...).

    Malgré cela, émanent de ces trois personnages  principaux un tel charisme et une belle fragilité qu'on les quitte avec regret même s'ils nous laissent, comme Rizzo (lumineuse Naomi Greene)qui, dans le dernier plan, regarde à travers une vitre baignée de soleil, avec le bel espoir et la force d'un avenir (plus) radieux. Allez-y ne serait-ce que pour ces trois-là qui crèvent l'écran... Une première réalisation imparfaite mais attachante avec quelques beaux plans qui reflètent bien le tourbillon d'effervescence et de mélancolie mêlées de cette période charnière de leurs existences.

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