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IN THE MOOD FOR CINEMA - Page 332

  • Programme du 25ème Festival du Film de Cabourg ( Journée romantiques )

    Cabourg, Festival, romantique, cinéma, film

    Alors que le Festival de Cannes vient de s'achever (retrouvez tous mes articles en direct sur In the mood for Cannes), alors que Deauville vient d'écrire une nouvelle page de son Histoire en accueillant le G8, et en attendant de vous faire suivre ici, comme chaque année, le Festival du Cinéma Américain, je vous propose de retrouver ci-dessous les premiers éléments de programmation d'un autre festival qui m'est cher, le Festival du Film de Cabourg et de ses "Journées romantiques".

    Voici les noms des premières personnalités attendues...et non des moindres:

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    Le Festival du Film de Cabourg (Journées romantiques) célèbrera cette année sa 25ème édition et aura lieu du 15 au 19 juin 2011. Un festival qui me tient tout particulièrement à coeur depuis ma participation à son jury des courts-métrages en 2002 (et que je vous recommande vraiment autant pour la qualité des films présentés que pour sa convivialité).

    Les courts-métrages sélectionnés pour la compétition sont (je vous recommande vraiment les séances des courts-métrages toujours d'excellent niveau à Cabourg):

    Aglaée de Rudi Rosenberg

    Alexis Ivanovitch vous êtes mon héros de Guillaume Gouix

    Cheveu de Julien Hallard

    Cinderela de Magali Magistry

    Les cybernautes rêvent-ils d'amours digitales  de Gilles Bindi

    Douce de Sébastien Bailly

    Haram de Benoît Martin

    Hymen de Cédric Prévost

    J'aurais pu être une pute de Baya Kasmi

    Leave not a cloud behind de Pablo Gonzales

    Prochainement sur vos écrans de Fabrice Maruca

    Le Rodba de Hafsia Herzi

    Nous savons également que L'Elève Ducobu de Philippe de Chauveron sera présenté en avant-première le mercredi 15 juin à 14h au Cinéma Le Normandie en présence d'Elie Semoun.

    -Le festival fera un coup de coeur à Sylvie Vartan pour ses 50 ans de carrière romantique

    -Le festival proposera "Une fenêtre sur le Pacifique" à travers des films primés au Festival International du Film Documentaire Océanien, en résonance avec 2011, anée des Outre-Mer.

    -Paraîtra un livre anniversaire sur le festival

    Et toujours, en plus des courts-métrages: des longs-métrages en compétition, le Ciné-Swan sur l'écran géant de la plage, le prix du public, des conférences et dédicaces, une exposition...

    Comme chaque année, vous pourrez vous offrir  un moment privilégié au coeur du Festival en participant à la Soirée des Roses le vendredi 17 juin. (renseignements ici).

      Vous pourrez bien entendu trouver ici toutes les informations concernant le festival ainsi que sur son site officiel: Site offficiel du Festival de Cabourg.

    En attendant d'en savoir plus sur cette édition 2011, retrouvez mon compte rendu du Festival du Film de Cabourg 2007.

     

     
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  • Les personnalités attendues au 25ème Festival du Film de Cabourg

    Comme chaque année, vous pourrez retrouver ici toutes les informations sur le Festival de Cabourg. En attendant d'en savoir plus sur la programmation( pour les premiers éléments de programmation cliquez ici), voici les noms des premières personnalités attendues...et non des moindres!

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  • Rencontre avec Vincent Perez et Karine Silla Perez chez Europacorp pour la sortie de « Un baiser papillon »

     

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    Je vous parlais hier d’« Un baiser papillon », le premier film de Karine Silla (dont vous pouvez retrouver ma critique en cliquant ici) découvert en avant-première dans les locaux d’Europacorp, à l’invitation de Way to blue, avant d’avoir le plaisir d’y rencontrer la réalisatrice et un de ses acteurs principaux (et par ailleurs son mari) : Vincent Perez. Ces derniers temps les belles rencontres, notamment avec les équipes de films, se multiplient et c’est à chaque fois pour moi le même mélange de plaisir et d’appréhension. Plaisir de pouvoir échanger sur la genèse d’un film, de partager mon enthousiasme ou mes interrogations. Appréhension de poser des questions maintes fois entendues, appréhension de poser une question maladroite sachant à quel point et à juste titre un artiste est à fleur de peau a fortiori au moment de la sortie d’un film, appréhension de préjugés sur les blogs. Mais le plaisir l’emporte toujours. Et il faut avouer que pour l’instant je n’ai que de bons souvenirs de ce genre de rencontres, les préjugés venant plutôt de journalistes qui ne considèrent pas toujours d’un bon œil cette masse indifférenciée que sont les blogs pour un certain nombre d’entre eux. (je reviens plus tard sur ce sujet à l’occasion de la diffusion du documentaire « Tous critiques ? » dont je n’ai eu le temps de vous parler que brièvement pour l’instant et dans lequel j’interviens sur ce sujet). Après avoir fait connaissance avec les 6 autres blogueurs (que, pour une fois, je ne connaissais pas) dans le hall d’Europacorp où sont diffusées les bandes-annonces de la société (dont la palme d’or « The Tree of life » de Terrence Malick dont je vous ai brièvement parlé à Cannes mais dont vous pourrez retrouver ma critique détaillée demain), direction le restaurant jouxtant le bâtiment principal d’Europacorp.

    Vincent Perez ( « Cyrano de Bergerac », « Indochine », « La Reine Margot », « Fanfan la Tulipe », « Demain dès l’aube »…  et mercredi à l’affiche également de « Monsieur Papa » de Kad Merad mais aussi réalisateur  de deux longs-métrages : « Peau d’ange » en 2002 et « Si j’étais toi » en 2007) arrive le premier, souriant, affable, nous saluant un à un, et engageant immédiatement la conversation pressentant sans doute la légère fébrilité de l’assistance et coupant ainsi intelligemment court à tout éventuel malaise ou silence, et évoquant le film avant même que nous abordions le sujet, pour lui un vrai « combat », nous racontant d’emblée qu’il « devait se faire chez Pathé et a été sauvé en distribution au dernier moment chez Europacorp » et nous demandant avec anxiété si nous l’avions vu et aimé (question à laquelle il n’est jamais évident de répondre même quand on a aimé le film, sans donner l’impression de tomber dans la flagornerie). Quelques minutes plus tard Karine Silla (actrice  notamment dans « Je vais te manquer » de Amanda Sthers mais aussi dans  « Il est plus facile pour un chameau », de Valeria Bruni-Tedeschi, également  coscénariste de « Peau d’ange » de Vincent Perez) le rejoint, avec une complicité évidente.

     Comme toujours de la dizaine de questions que j’avais préparées je n’en poserais que 4 ou 5, juge sans appel de la qualité de mes questions, supprimées à la dernière minute par mon propre et impitoyable tribunal, mais ayant eu mes réponses aux principales. Ci-dessous les réponses mêlées à mes propres questions et celles des autres blogueurs. Extraits d’une conversation à bâtons rompues avec un couple engagé, passionné, désireux de partager son enthousiasme pour ce projet porté de longs mois  qui a redoublé mon envie et mon énergie de croire aux miracles, de continuer à travailler obstinément et contre vents et marées et de croire à mes projets et rêves fous et qui m’a permis de constater une fois de plus que le talent est synonyme de modestie et simplicité, ou en tout cas de l’intelligence d’y laisser croire.

     Karine Silla a d’abord évoqué la durée du tournage : 7 semaines après 2 ans et demi « sans interruption », « d’acharnement ».( « Un baiser papillon » étant son premier film, elle n’est pas passée au préalable par la case court-métrage).

    Elle est aussi revenue sur le titre (à mon sens d’ailleurs très judicieux qui reflète les idées d’envol, d’espoir, de métamorphose  présentes dans le film mais aussi l’univers coloré de la cinéaste) synonyme du « côté éphémère » des choses. L’atmosphère de conte dans laquelle nous plonge le film et qui adoucit la dureté de certains sujets abordés était pour elle importante, essentiellement concernant les décors « que ce soit pour la chambre de la petite fille » vue à travers son regard ou « lorsque la Tour Eiffel s’illumine. »

    Karine Silla a aussi insisté sur l’aspect populaire du film, sur son « amour des gens » qu’elle voulait transmettre, que lui a transmis notamment son grand-père qu’elle accompagnait sur les marchés.  « A chaque fois, je voulais qu’il y ait un impact populaire comme la musique de Vivaldi. J’avais envie de faire un film sur les autres et sur ce qui nous rassemble et non sur ce qui nous divise comme la peur de la mort et de la mort des autres. » « Chaque petit rôle quand on arrivait sur le plateau était pour moi le personnage principal. J’aime les gens profondément. J’ai abordé ces petits rôles de la même façon »

    Karine Silla et Vincent Perez sont surtout apparus très déterminés : « On n’a rien lâché », « Ce film était tellement nécessaire, si je ne le faisais pas, je voyais le précipice. » Pour Vincent Perez concernant les thèmes du secret, de la maladie évoqués dans le film : « Ce sont des histoires que tout le monde vit » et pour Karine Silla : «  ce sont des histoires qui, tout au long de notre vie, se sont répétées. »

    Concernant ses points communs avec le personnage Vincent Perez a évoqué son côté : « obsessionnel dans mon travail. Mon travail, je le trimballe à la maison. (…)Je n’ai pas envisagé de construire un personnage mais d’être sincère, dans une sincérité. J’ai tendance à me réfugier derrière un personnage, j’ai toujours aimé fabriquer un personnage donc c’est un peu nouveau. »

    A propos des voitures brûlées évoquées dans le film: « Ce sujet m’est sensible. On a toujours un fait, un sujet dont tout le monde parle. Cela fait 17 ans que je travaille dans les prisons de France. Cela me donne un autre regard sur la société. J’y vais de façon anonyme»

     

    Karine Silla a également évoqué son travail en amont du tournage : « C’était un scénario fort. C’était mon outil de travail. J’avais besoin de m’appuyer sur le travail. J’ai trop connu la danse pour faire de l’à peu près ». « Trois prises c’était le grand luxe. J’avais fait un plan de travail extrêmement chargé avec des scènes difficiles à faire. J’avais travaillé avec chaque acteur. On avait réglé en amont les problèmes qui auraient pu se poser pendant le film. » « Tout à coup on ose et c’est possible. Ce film m’a donné une confiance folle d’oser. Cela m’a toujours fascinée d’avoir un rêve, d’oser et qu’il se réalise », « Pour moi, la vie c’est le mélange de volonté, de travail, et de miracle. »

    Parmi ces miracles, il y a eu notamment la musique, signée Angelo Badalamenti, connu avant tout pour ses musiques de films de David Lynch dont elle rêvait sans en avoir les moyens. Elle lui a envoyé une copie du film à Los Angeles et ce dernier ayant aimé le film lui a « donné » la musique.

    Concernant ses références, et à mon évocation de Wong Kar Wai, Karine Silla a confirmé y avoir pensé pour les scènes entre Paul (Jalil Lespert) et Natalya (Véronika Novak).  Vincent Perez lui fait remarquer que la scène du coiffeur pourrait être une scène d’Almodovar.

    Karine Silla a également évoqué brièvement son prochain film « Le père noël est africain » avec, notamment, Gérard Depardieu et Vincent Perez,  « toujours sur les relations humaines, toujours avec le même message ».

    Ce n’est là qu’un résumé de cet échange de 45 minutes qui, je l’espère, reflètera la générosité, l’empathie, la luminosité, la douceur de ce premier film riche de ses jolies maladresses et à l’image des personnalités de sa réalisatrice et d’un de ses acteurs principaux.

    « Un baiser papillon » sort dans 180 salles et 14 sur Paris.

    Merci à Way to blue pour l’invitation, à Europacorp pour l’accueil et à Karine Silla Perez et Vincent Perez pour leur disponibilité.   Et rendez-vous mercredi en salles pour découvrir « Un baiser papillon » .

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  • Les courts-métrages en compétition du 25ème Festival du Film de Cabourg (Journées romantiques)

     

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    Comme chaque année, vous pourrez retrouver ici le programme complet du Festival du Film de Cabourg (Journées romantiques) qui célèbrera cette année sa 25ème édition et qui aura lieu du 15 au 19 juin 2011. Un festival qui me tient tout particulièrement à coeur depuis ma participation à son jury des courts-métrages en 2002 (et que je vous recommande vraiment autant pour la qualité des films présentés que pour sa convivialité).

    Les courts-métrages sélectionnés pour la compétition sont (je vous recommande vraiment les séances des courts-métrages toujours d'excellent niveau à Cabourg):

    Aglaée de Rudi Rosenberg

    Alexis Ivanovitch vous êtes mon héros de Guillaume Gouix

    Cheveu de Julien Hallard

    Cinderela de Magali Magistry

    Les cybernautes rêvent-ils d'amours digitales  de Gilles Bindi

    Douce de Sébastien Bailly

    Haram de Benoît Martin

    Hymen de Cédric Prévost

    J'aurais pu être une pute de Baya Kasmi

    Leave not a cloud behind de Pablo Gonzales

    Prochainement sur vos écrans de Fabrice Maruca

    Le Rodba de Hafsia Herzi

    Nous savons également que L'Elève Ducobu de Philippe de Chauveron sera présenté en avant-première le mercredi 15 juin à 14h au Cinéma Le Normandie en présence d'Elie Semoun.

    Comme chaque année, vous pourrez vous offrir  un moment privilégié au coeur du Festival en participant à la Soirée des Roses le vendredi 17 juin. (renseignements ici).

    En plus des "journées romantiques", vous pourrez vous plonger dans les "journées mexicaines".  Vous pourrez bien entendu trouver ici toutes les informations concernant le festival ainsi que sur son site officiel: Site offficiel du Festival de Cabourg.

    En attendant d'en savoir plus sur cette édition 2011, retrouvez mon compte rendu du Festival du Film de Cabourg 2007.

     

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  • Critique – « Un baiser papillon » de Karine Silla Perez avec Valeria Golino, Vincent Perez, Elsa Zylberstein, Jalil Lespert, Nicolas Giraud, Cécile de France

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    Pas encore tout à fait remise de mes pérégrinations cannoises et me laissant encore bercer par le joyeux, perturbant et irréel brouillard dans lequel elles m’ont plongée, en attendant de vous livrer mon bilan de ce Festival de Cannes 2011, je vous propose une courte critique de film dont je rencontre deux éminents membres de l’équipe cet après-midi.

    « Un baiser papillon » est le premier film de Karine Silla Perez (elle vient également d’écrire une pièce de théâtre interprétée par Elsa Zylberstein et Vincent Pérez et intitulée « Le temps qui passe »). Le temps qui passe, tel aurait d’ailleurs également pu s’intituler « Un baiser papillon ».

    Synopsis : Billie (Valeria Golino) et Louis (Vincent Perez) forment un couple uni et amoureux, seulement Billie est atteinte d’un cancer et tarde à le révéler à Louis, une maladie qui aura des conséquences sur tout leur entourage, et sur l’envie de vivre et de prendre son envol de chacun…. Marie (Elsa Zylberstein), l'amie de Billie, sa confidente et comédienne reconnue, redouble d'acharnement pour donner la vie tandis qu'Alice (Cécile de France) son infirmière, qui étouffe de plus en plus dans son quotidien, lui maintient que la vie « c'est maintenant et dans l'instant ».

    Pour un premier film, Karine Silla Perez n’a pas choisi le genre le plus facile, celui du film choral qui brasse autant de personnages que de sujets et non des moindres (le secret, la vie, l’amour, la mort, l’espoir, l’art, la liberté…), des personnages sur lesquels elle porte un regard tendre, sensible, délicat et bienveillant et qu’elle parvient à nous faire appréhender et aimer en quelques plans : de l’infirmière qui aspire à la liberté au frère de Louis, interprété par Jalil Lespert, l’écorché vif au cœur tendre en passant par les filles de Billie et Louis (les vraies filles de Karine Silla Perez).

     Chaque personnage pourrait donner lieu à un film et c’est ce qui, à la fois, enrichit le film et frustre le spectateur comme le personnage de Samuel (interprété par Nicolas Giraud, également à l’affiche de « Voir la mer » de Patrice Leconte, que je vous recommande) qui ne semble vivre que pour et par Vivaldi et qui succombe au charme d’une violoncelliste qui en fait une interprétation vibrante et passionnée.

    Si « Un baiser papillon », est un hymne à la vie, malgré les rudes épreuves de l’existence, c’est aussi à un hymne à l’art qui sublime l’existence malgré les sacrifices qu’il impose. La danse, la musique, le théâtre, la peinture sont ainsi les moyens d’expression respectifs des personnages. L’art qui sublime le présent et donne à  l’éphémère de l’existence des accents d’éternité, judicieuse mise en abyme puisque c'est aussi l'objectif plus ou moins conscient de Karine Silla avec son film. Cet amour de l’art se ressent aussi dans la réalisation très soignée, poétique. A chaque personnage est associée une couleur (rouge pour Marie la passionnée, bleu pour Alide l’infirmière etc). Plus que de forcer le trait, ces couleurs transforment chaque portrait en esquisses délicates tout en assumant les règles du genre (celles du mélo) magnifiant et poétisant l’envol et la métamorphose de chacun des personnages. Elle dépeint ainsi l’existence et leurs existences par petites touches pour en donner un portrait plein d’espoir et coloré.

    Ce papillon est fragile, maladroit, fascinant, insaisissable. Karine Sylla Perez dépeint ainsi sa colère contre le malheur avec beaucoup de douceur et de féérie, et orchestre les destins de ses différents personnages avec beaucoup de sensibilité, un conte porté par la poignante musique d’Angelo Badalamenti. J’attends maintenant avec beaucoup d’impatience son prochain film, en espérant qu’il permettra à la chrysalide cinéaste Karine Sylla Perez, à l’univers indéniable mais encore fragile et maladroit, de devenir un flamboyant papillon.

     Sortie en salles le 1er juin

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  • Reprise de la Quinzaine des Réalisateurs 2011 au Forum des Images : programme

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    Parce qu'il fallait bien faire des choix, cette année je n'ai vu qu'un film de la Quinzaine des Réalisateurs. Heureusement, la reprise de la sélection au Forum des Images permet de les rattraper...  En effet, le Forum des Images reprend l'intégralité de la 43ème sélection de la Quinzaine des Réalisateurs.

    Cette année, 40 longs et courts métrages répondent à la volonté du festival de montrer un cinéma d’auteur international, expérimental et passionné. Lieu de rencontre artistique vivant et unique, la Quinzaine est une expérience à partager notamment avec les cinéastes, prêts à dialoguer autour de leur film.
    Du 25 mai au 5 juin 2011 

    Cliquez ici pour découvrir le programme complet

     
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  • Reprise de l'intégralité du programme Un Certain Regard au Reflet Médicis à Paris

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    Comme il y a de nombreux films de la section Un Certain Regard que je n'ai pu voir cette année, j'irai certainement faire un tour au Reflet Médicis qui permet de revoir l'intégralité de la sélection.

    L’intégralité de la sélection Un Certain Regard sera reprise du mercredi 28 mai au mardi 3 juin au Reflet Médicis à Paris.
    Un Certain Regard compose avec la Compétition le coeur de la Sélection officielle et met l’accent sur des oeuvres singulières, originales dans leur propos et leur esthétique. Le public pourra les découvrir à son tour lors de cette reprise.

    Téléchargez en pdf le programme des projections.

    Reflet Médicis

    5 rue Champollion
    75006 Paris
    Tél : + 33 (0)1 46 33 25 97

     
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